Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Jeanne et Pierre attendent en silence dans leur appartement.
Jeanne est une superbe fille, ou femme, de 29 ans. brune les cheveux brillants, fraîchement shampouinés, effleurent ses épaules. Grande et mince, elle a de très belles jambes, un joli petit cul bombé, et des seins bien ronds. Elle porte une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, ses bas sont longs, noirs fins et électriques en lycra. Elle a passé deux heures dans la salle de bain, à se passer une crème sur les jambes, les fesses, le ventre les épaules et les seins, puis à se caresser en évitant absolument toute sensation de plaisir. Pourtant, elle s’est fait douce à procurer des frissons à ceux ou celles qui la caresseront ou la lècheront.
Hier, son esthéticienne Agnès lui a épilé les jambes, les aisselles et le pubis. Elle arbore un joli cœur de poils au-dessus de la naissance de ses lèvres, elles, totalement épilées. A chaque fois, c’est un peu douloureux, mais aussi très excitant, et puis toujours Agnès lui propose un massage relaxant…
En fait, elle la masturbe avec un jouet adorable, un gode recourbé qui vient procurer de délicieuses vibrations au niveau du point G. Et à chaque fois, Agnès ne résiste pas à la lécher et à pincer son clitoris entre ses lèvres… Ah quelle esthéticienne !
Mais Jeanne, malgré ses supplications, n’a jamais pu ne serait-ce que lui caresser les fesses.
Jeanne et Pierre sont fin prêts, chacun est assis dans un fauteuil confortable, et semble rêvasser. Maud leur a dit que quelqu’un passerait les prendre à sept heures dix précises, et que s’ils ne descendaient pas au quatrième coup de sonnette, il partirait sans eux. Les coups de sonnette seront longs et espacés de vingt secondes.
Ils se sont assurés d’avoir l’heure exacte, « 19.08 » est inscrit à la pendule posée sur la table. Leurs manteaux sont accrochés près de la porte,
les clefs au crochet, c’est Pierre qui fermera, Jeanne descendra d’abord.
Deux minutes ce n’est rien, ça peut aussi être une éternité de délices ou de supplices.
19.10 enfin. A peine l’affichage a-t-il changé que Pierre et Jeanne se sont levés d’un même élan, comme si ça avait sonné. Ils n’attendent même pas le
signal et passent leurs manteaux, mais restent plantés devant la porte qu’ils n’osent pas ouvrir.
Attente.
19.11, rien, c’est long. Déjà. 19.12.
Les suppositions naissent : et si… et si…...
19.13 Jeanne compte mentalement, à 30 elle va s’asseoir.
Coup de sonnette, ils se regardent se sourient, Pierre ouvre la porte, Jeanne sort en premier s’engage dans l’escalier, ils ne vont pas prendre le risque d’attendre l’ascenseur, et elle adore entendre le bruit de ses bottines à talons fins résonner dans la cage d’escalier, troisième, second, premier et le hall. Un bel homme est derrière la porte vitrée, il est élégamment habillé, d’un jean Levis à belle coupe, une chemise de marque d’un gris beige très clair, une veste légère en lin grise plus foncée. Il est blond, le visage doux. Pourtant il ne sourit pas. Elle ouvre la porte et le salue, « Bonjour ».
Elle se demande si elle doit lui faire la bise ou lui tendre la main/ Lui ne répond même pas, mais s’avance vers un Toyota garé à dix mètres en double file. Elle le suit, Pierre arrive.
L’homme ouvre la portière passager : « Jeanne ».
Plus qu’une invite, c’est un ordre, elle s’assied. Il claque la porte et fait le tour du véhicule pour prendre la place du driver. Pierre sait qu’on ne s’occupera pas de lui, il monte à l’arrière. Contact, et nous roulons. Cinq minutes sans un mot, enfin le driver prend un CD sans pochette dans un étui glissé derrière le pare-soleil et le met dans le lecteur.
Play
« Bonjour. C’est Maud qui vous parle. J’espère que vous êtes bien installés, Mario a pour consigne de vous amener à la villa, il vous paraît
austère, car je lui ai intimé l’ordre de ne pas vous adresser la parole, mais plus tard dans la nuit, vous aurez sûrement l’occasion de vous rapprocher…
Comme vous êtes dix couples, que trois garçons, performants à tous points de vue, doivent conduire à la soirée, je ne vous appellerai pas par vos prénoms -puisque ce CD est utilisé dans trois voitures avec des passagers qui changent- vous serez donc Lui et Elle.
Elle, tu vas poser ta main gauche sur la braguette de Mario. Attention, je ne veux pas que tu la bouges beaucoup, ni que tu le débraguettes. Allez ! »
Mario écarte les cuisses et prend le volant plus haut, de manière à bien offrir son pubis avec son renflement prometteur. Jeanne, elle aussi écarte les
cuisses, sa jupe remonte au-dessus de ses genoux, elle lève lentement sa main gauche qui était posée sur sa cuisse gauche et la dirige vers la braguette de leur chauffeur. Elle la pose, et enrobe
les parties génitales, faisant coque autour de la queue et des bourses qui lui semblent être encore au repos. Elle ne peut résister au plaisir de les serrer un peu, la toile fine du pantalon lui
permet d’imaginer parfaitement la qualité de ce qu’elle a en main.
Pierre s’est avancé sur sa banquette arrière, il s’appuie sur les dossiers des sièges de sa femme et de Mario.
« C’est Jean-Jacques qui vous parle maintenant. Lui, tu dois aimer voir Elle mettre sa main sur le sexe de votre guide, attends, je vais te donner l’occasion de bander fort sans avoir à te caresser. Si ce n’est déjà fait, assieds-toi bien au milieu et pose tes mains sur les dossiers devant toi. Voilà. Maintenant, Elle tu vas répéter après moi en appelant Lui par son prénom. « Lui, mon chéri, j’ai une belle queue sous la main ».
A toi, Elle. »
Jeanne sent le sexe de Mario gonfler sous les pressions de ses doigts. Elle prend sa voix la plus douce la plus sensuelle, elle a croisé le regard de
Pierre dans le rétroviseur, ses yeux pétillaient… Qu’est-ce qu’ils avaient pu jouir tous les deux en imaginant cette soirée.
« Pierre, mon chéri, j’ai une belle queue sous la main. »
La voix de Jean-Jacques reprend, elle s’était tue dix secondes.
« Vas-y maintenant Elle, tu peux libérer ton trésor, sors-la de son pantalon. »
Jeanne s’aide de ses deux mains, elle déboucle la ceinture fine de cuir noir, puis déboutonne les cinq boutons qui ferment le pantalon et la
braguette.
« Répète après moi, toi, Lui, profite bien du spectacle, et Mario concentre-toi aussi sur la conduite, je vous veux entiers tous les
trois : Oh quelle belle surprise se cache derrière la braguette ».
Un silence, Jeanne réalise que c’est à elle.
« Oh quelle belle surprise se cache derrière la braguette ! »
Jeanne a sorti le long pénis de Mario, belle taille, joliment veinée, très ferme et douce sous les doigts.
« Lui, regarde ce bel engin, regarde comme il est beau entre mes mains. »
Jeanne sert la queue entre ses paumes.
« Pierre, regarde ce bel engin, regarde comme il est beau entre mes mains. »
« Lui, j’aimerais que tu la suces avec moi. »
Jeanne la serre dans sa main gauche, elle a la bouche entrouverte, quand pourra-t-elle la sucer… ?
« Pierre, j’aimerais que tu la suces avec moi. »
« Elle, lèche-la un peu et pense à répéter ce que je dis après mon « Tchoup ».
Jeanne se penche sur les cuisses de Mario, qui conduit un peu plus lentement, ils sont sur une route tranquille à deux voies, Pierre a reconnu la route
d’Arles.
« Lui, regarde-moi bien le lécher, comme ma langue glisse bien sur sa queue si douce si ferme. Tchoup »
« Pierre, regarde-moi bien le lécher, comme ma langue glisse bien sur sa queue si douce si ferme. »
« Imagine que je vienne sur toi, que je te prenne dans mon sexe et que Mario me sodomise, tu sentirais son sexe à travers moi.
Tchoup »
« Imagine que je vienne sur toi, que je te prenne dans mon sexe et que Mario me sodomise, tu sentirais son sexe à travers moi. »
« Peut-être que j’aimerais aussi qu’il te prenne. Tchoup »
« Peut-être que j’aimerais aussi qu’il te prenne. »
« J’aimerais au moins que tu le branles devant moi. Tchoup »
« J’aimerais au moins que tu le branles devant
moi. »
« Suce-le maintenant ! »
Jeanne était impatiente de gober le sexe de Mario, elle se l’enfouit jusqu’aux bourses, atteignant
presque à la magie d’un avaleur de sabre. Elle manque s’étouffer la ressort et tousse. Pierre est hyper excité, il aimerait prendre sa bite dans sa main, il résiste.
La voix de Maud revient.
« Je pense que Lui est très excité maintenant. Mario, vous ne devez pas être loin maintenant, dis leur.
- Trois ou quatre minutes. »
La voix de Mario est très chaude un peu rauque, extrêmement mâle.
« Je vous conseille de vous calmer, je ne veux pas d’éjaculation. Elle, laisse Mario, et Lui, je t’autorise à sortir ta queue et à maintenir
une belle érection. Quand Mario vous aura arrêtés devant la villa, il viendra ouvrir la portière de Elle, qui ouvrira alors celle de Lui. Elle le prendra alors par la queue et ira ainsi jusqu’à
la porte cognera trois fois avec le heurtoir. On vous ouvrira, je veux que Elle entre en tenant toujours Lui par la queue. Elle, as-tu rentré sa queue à Mario ? Bon, a tout de
suite. »
La musique de Pulp Fiction succède à la voix de Maud.
Jeanne ne peut résister à un dernier coup de langue sur le pénis de son chauffeur, et réussit à la remettre dans son étui en vinyle noir et à
reboutonner la braguette, le pantalon et fermer la ceinture. Pierre lui, a sorti sa bite bien raide aussi, sa taille paraît ridicule par rapport à celle du hardeur, mais Jeanne sait qu’on en tire
beaucoup de plaisir aussi.
Pierre se caresse très lentement, de temps en temps, il humecte le bout de ses doigts et les fait glisser le long de la hampe. Jeanne le regarde et sourit. Enfin la voiture empreinte une petite rue à l’entrée de Maillane, et s’arrête devant une villa. Il y a un petit jardin, une autre villa à droite séparée par une haie à hauteur d’épaules de femmes, et une autre encore de l’autre côté de la rue. Iil fait encore jour en ce mois de mai, il doit être huit heures moins le quart, il va falloir être un peu exhibitionniste…
Mario sort de la voiture, la contourne par l’arrière, vient ouvrir la portière à Jeanne, qui sort et ouvre celle de Pierre. Son sexe est très tendu,
superbe ! Elle l’attrape de la main gauche, la lui serre très fort, et le conduit dans la courte allée jusqu’à la porte en bois peint en bleu nuit. Elle saisit le heurtoir de la main gauche
et cogne trois fois.
Une attente se présente, ils auraient pu compter lentement jusqu’à trente avant que la porte ne s’ouvre. Un homme est-ce Jean-Jacques ?–
apparaît.
« Bonsoir, Jeanne et Pierre, je pense. »
C’est bien la voix qu’ils ont écouté dans l’auto...
A suivre...
SIgné : sexoriginal jb-inventif@netcourrier.com
Oui être cocu consentant avec cette touche d'originalité, c'est TERRIBLE !
Je suis comme toi, et j'attends avec impatience la suite !
Je l'attends de l'auteur !
Elle arrive... enfin, je l'espère !
J'aimerai ausis qu'il les lise !!! ;-)