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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Vous étiez nombreux à demander la suite de "la partouze" de Valy", où eleleentamait des relations très intimes avec son frère François. Voici cette suite tant attendue !

Merci à Bruno, qui nous ravit avec ses superbes histoires...

 

Nous avons enfin réussi à nous mettre d'accord, Valy, son frère François et moi. Ce ne fut pas chose aisée, d’abord avec Valy nous avons un travail extrêmement prenant et fatigant. François, de son côté, poursuit des études de médecine et compte bien les rattraper et pour cela, il travaille beaucoup. Il nous a bien fallu trois mois pour trouver une soirée commune.

 

Enfin elle est là. Bien que mon appartement soit légèrement moins spacieux que celui de Valy, j'arrive à la convaincre que nous serons mieux chez moi. C'est que j'ai toujours ma petite idée en tête, faire baiser le frère et la sœur qui ont souvent joué avec leur corps et n'ont jamais osé faire vraiment l'amour. Et dans ma petite tête, je me dis que s'ils se retrouvent dans un lieu qui ne leur est pas commun, j'arriverai à peut-être à leur faire franchir le pas.

 

Valy était arrivée assez tôt chez moi pour préparer un petit repas sympa, fait essentiellement de plats antillais très relevés. De mon côté je prépare les apéritifs assortis de ce que l'on appelle chez nous les Pieds-Noirs de la Kemia, équivalent en plus épicé, aux tacos espagnols. Bref, de quoi nous mettre tous les trois en grand appétit. Voilà, tout est prêt, Valy va dans la salle de bains se faire une beauté et se changer.

 

Quand elle me rejoint, elle est éblouissante. Pour tout vêtement, elle a une robe légère et courte, très décolletée, retenue par des bretelles très fines nouées sur sa nuque. Le tissu de cette robe est si fin qu'on peut admirer son corps à travers lui et constater qu'elle est entièrement nue dessous. Ses pieds (elle en a deux) nus sont décorés de fines lanières qui leur permettent de reposer sur une fine semelle cuir. Une petite bague à un orteil finit d'embellir ses jolis petons.

 

« Ma chérie, tu es belle ainsi et tellement bandante, tu es irrésistible. Ça va être dur de résister pour ton frangin.

- Maïs j'espère bien que ce sera difficile pour lui. La soirée n'en sera que plus excitante. Et puis tu sais, ça fait longtemps que je le suce, et j'ai trop envie qu'il me baise. Je sais que ce n’est pas bien, mais j'ai vraiment trop envie ! » me répond Valy avec ce sourire formidablement sensuel dont elle a le secret.

 

J'étais heureux, car je sentais que Valy allait, sans le savoir, beaucoup m'aider à réaliser mon rêve de la voir baiser avec son frère. Et la connaissant, je savais qu'il serait plus que très difficile à François de résister aux assauts de sa sœur.

En attendant l'arrivée du frangin, nous nous câlinons, et c'est au moment où j'allais faire subir à Valy des outrages qui, grâce à Éros, seraient loin d'être les derniers, que l'on sonne à la porte. Valy rajuste sa robe et se précipite pour ouvrir.

C'est son frangin, il est presque à l'heure, il tient dans sa main une bouteille de champagne. Valy lui saute au cou et l'embrasse à pleine bouche. Je m’approche, lui serre la main, récupère sa bouteille, le fait entrer et ferme la porte.

« Salut mon p'tit frangin, bienvenue chez Bruno », dit Valy à François en l'entrainant dans le salon.

 

Nous nous asseyons sur la moquette dos appuyé au canapé. Ainsi, l'apéritif est à portée de mains. Ma belle amie est assise entre son frère et moi. Nous buvons nos verres tout en dégustant ma kémia, particulièrement épicée, ce qui a pour avantage d'aiguiser un peu plus nos sens, et dans le même temps de nous donner soif. Ainsi, très vite nous sommes assez gais et plein d'envie de câlins. Valy devient de plus envie excitée et m'embrasse à pleine bouche, puis en fait autant à François tout en caressant nos queues pardessus nos pantalons, qui font une grosse bosse au niveau de la braguette. Notre affaire démarre bien. Mais il nous faut passer à table. Malgré ses envies, Valy ne se fait pas prier, car elle a hâte de nous voir manger les petits plats des Antilles qu'elle nous a amoureusement préparés.

 

Le repas se passe en rires et plaisanteries cochonnes. Le vin consommé nous rend suffisamment gais pour que nous n'ayons plus qu'une envie : BAISER !!

 

Les plats terminés, Valy s'en va dans la cuisine nous chercher le dessert. Elle en revient avec un plateau où il y a de la crème chantilly et de la crème au chocolat. Elle est entièrement nue. Bon sang qu'est-ce qu'elle est belle. Son frère et moi la regardons avec admiration et envie. Elle respire la sensualité. Elle arbore un sourire provoquant, pose son plateau sur la table, la débarrasse, s'allonge sur la nappe nous regarde et nous dit d'une voix rauque

« Mes chéris le dessert ce sont les crèmes et............moi. Bon appétit !!! »

 

Sacré Valy, cette fille est vraiment étonnante. Elle a droit une à récompense, aussi je débouche la bouteille de champagne et remplis un verre. François et moi y trempons nos queues et les donnons à sucer à Valy. On répète l'opération à plusieurs reprises, la belle mérite bien ça... Puis je demande à Valy de s'installer de manière à ce que sa chatte soit en l'air et nous serve de coupe. Je ne connais pas de meilleur récipient pour boire du champagne, sans compter que les bulles provoquent des picotements excitants dans sa chatte.

 

Valy est prête, jambes écartées et chatte assez relevée, j'y fais couler un peu de champagne. La belle émet des gloussements de plaisirs. Le liquide très frais et pétillant au contact de ses muqueuses lui donne du plaisir. François se met à lamper la chatte de sa frangine, après quelques hésitations.

« Tu sais Bruno, Valy m'a sucé quelques fois mais je n'ai jamais léché sa chatte. Elle est douce, et avec le champagne c'est un vrai nectar ! » me dit François comme pour s'excuser. 

 

Il n'empêche que tout hésitant qu'il soit, François se régale et continue de lécher sa sœur alors qu'il y a longtemps qu'il a bu le champagne. Malgré mon envie de boire à mon tour, je le laisse faire. Je trouve très excitant qu'un frère et une sœur se fassent plaisir. Sans compter que nous sommes tous les trois un peu gais à cause des boissons et, ajouté à l'excitation, je suis à peu prés sûr que je vais réussir à les faire baiser, ces deux-là. Durant qu'ils se régalent de lécher et se faire lécher, je m'occupe de la belle grosse queue de François. Elle m'a laissé un très bon souvenir. Il bande déjà bien dur, c'est dommage, j'aurais aimé le sentir grossir dans ma bouche, j'adore cette sensation quand on sent une verge prendre de plus en plus de place dans la bouche.

 

Mais bon, telle qu'elle est, elle me plait je la déguste avec application et gourmandise. De temps en temps, je mordille très légèrement son gland. Je sais par Valy que ça excite beaucoup son frère. Effectivement, il remue son bassin comme si ma bouche était un sexe à baiser. J'entends ces grognements de plaisir un peu étouffés par la chatte de Valy. Celle-ci est à son affaire, elle a orgasme sur orgasme, et hurle son plaisir par des :

« Oh ! Oui ! Vas-y, continue mon François, continue c'est tellement bon ! »

 

Par expérience, je sais que dans ces cas-là, elle mouille abondamment, et que le goût à la fois acre et sucré est particulièrement bon. Aussi, je ne m'étonne pas que François redouble de coups de langues sur sa chatte. Tel que je suis placé tout en suçant François, je vois le joli cul de Valy, et je glisse ma main entre ses fesses pour pénétrer son délicieux petit trou si sensible au toucher. Le résultat ne se fait pas attendre, elle redouble de cris, elle n'en peut plus et enfin après un long moment de ce traitement elle craque et hurla presque :

« Oh ! Putain !! C’est trop bon, j'ai besoin d'une bite en moi, vite ! Baise-moi François, je t'en supplie ! »

 

François, qui ne sait plus où il en est lui non plus, ne réfléchit pas une seconde. Ce n'est plus sa sœur qui s'adresse à lui, mais une belle femme folle de désir, il change de position et embroche Valy d'un seul coup. Celle-ci crie un :

« Enfin !! » où l’on sent bien que cela fait longtemps qu'elle attendait ce moment.

 

Devant ce spectacle, je me recule et m'installe dans un fauteuil pour assister au spectacle. C'est un moment important, cela faisait si longtemps qu'ils se retenaient à cause de ce foutu tabou de l'inceste, qu’il aurait été criminel de m'immiscer et ainsi casser la magie. Et puis, ils sont beaux tous les deux et plein d'amour l'un pour l'autre, un amour fraternel certes, mais aussi un amour physique, une attirance profonde l'un pour l'autre. Il est fort possible que ce soit la seule et unique fois où ils baiseront ensemble. Je dois donc les laisser profiter de cet instant au maximum pour qu'ils s'en souviennent toute leur vie.

 

Ils ont fait l'amour ainsi un très long moment avant qu'ils atteignent l'orgasme quasi ensemble. Le plaisir et l'émotion aussi sans doute font qu'ils restent ainsi allongés l'un dans l'autre, sans autre mouvement que celui de leurs lèvres jointes en un baiser à la fois chaud et tendre. Et enfin, ils se séparent, s'allongent l'un à côté de l'autre en silence les yeux dans les yeux.

Enfin, François réagit le premier et en caressant tendrement la joue de sa frangine lui dit :

 « Pardonne-moi ma petite sœur, je ne sais pas ce qui m'a pris, tu es si belle et si excitante ! 

- Tu sais mon François, je ne t'aurais jamais pardonné si tu ne m'avais pas baisée, je t'en aurais vraiment voulu, ça fait tellement longtemps que j'en avais envie !

- Moi, aussi tu sais, j'en avais envie, mais ce n’est pas facile à dire, et surtout à faire, ces trucs là, ce n’est tout de même pas très autorisé.

- Ne te fais pas de soucis, p'tit frère, on l'a fait chez Bruno, ici ça ne craint rien, il n'ira pas le crier sous les toits, n'est-ce pas mon chéri ?

- Parole d'homme, ma Valy. Et puis d'ailleurs je ne sais même pas de quoi vous parlez, alors !!! »

 

Et nous sommes partis tous les trois d'un grand éclat de rire c'était nécessaire car l'atmosphère était devenu un peu lourde pendant un bref instant. Il fut suivi d'un long silence durant lequel seul le bruit de nos verres résonnait. Puis François nous demanda la permission de se retirer prétextant une excuse vaseuse. Je le laissais s'en aller à regret. Valy m'empêcha de protester. Je lui obéis car elle connaissait bien son frère. Quand nous nous sommes retrouvés seuls elle me dit :

« Ne t'inquiète pas pour lui, il a toujours été très sensible. Et ce que nous venons de faire le touche plus que moi, mais il recommencera sois-en sûr !»

 

Et le fait est qu'une quinzaine de jours plus tard, il revint chez moi. Il y avait donné rendez-vous à Valy pour refaire l'amour avec nous et bien entendu avec elle. Il lui avait fallu tout ce temps pour digérer ce qu'il avait fait et admettre que dans le fond sa sœur et lui s'aimaient d'un amour profond et qu'il n'y avait aucun mal à se le prouver. Et comme il avait trouvé en moi un complice parfait, ils utilisèrent mon appartement pour abriter leurs amours et me faire participer car la queue de François me plaisait énormément. Le départ de François n'avait pas calmé les ardeurs de Valy qui me sauta dessus et nous fîmes l'amour comme des fous tout le reste de la soirée.

Je vous raconterai bientôt une de ces soirées où François enfin libéré de son cas de conscience put donner la pleine mesure de sa queue

 

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Le Cercle des libertines
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