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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

31 mars, vingt-trois heures trente.

 

Marine a fini son meeting de Nice dans une salle surchauffée, et elle est heureuse de voir le succès grandissant dans les salles, quoiqu’en disent les sondages…

Sais elle est encore plus heureuse, car elle va retrouver son amant... Pour une fois, il n’est pas loin !

Jean-Luc tenait son propre meeting à Marseille.
Ils vont enfin avoir une nuit complète pour eux seuls ! Cette campagne pour la présidentielle 2012 est épuisante, et leur histoire cachée ne rend pas les choses faciles…

 

Il ne lui reste plus que quelques minutes pour arriver à Sainte Maxime, à mi-chemin entre le deux villes. Un ami fidèle leur prête discrètement sa maison. Le plus dur a été de faire partir les gardes du corps qui la suivent partout. Surtout Thierry*, son garde du corps le plus fidèle. Il est vrai que les militants du Front de Gauche ne l’épargne pas. Il faut qu’elle en parle à Jean-Luc… Mais demain matin. Inutile de gâcher une nuit de plaisir…. Elle sort de sa voiture, fébrile. Il ne devrait plus tarder. Et en effet, elle a à peine fini de sortir son sac de voyage, que des phares trouent la nuit étoilée. Une Clio grise ralentit, et elle distingue la silhouette aimée à la place du passager : c’est bien LUI !

 

Il se gare, et sort en trombe de sa voiture, toujours pressé, toujours aussi vif.

« Bonsoir son amour, lui souffle-t-elle dans le cou…

- Bonsoir ma beauté, tu m’as manqué !

- Mon amour, il serait temps que tu passes ton permis ! Je suis toujours inquiète de la discrétion de tes chauffeurs !

- Mais non, ne t’en fais pas. C’est Benoît** mon plus vieil ami, une vraie tombe.  Tu sais, il aurait aussi à perdre si on nous découvrait !

- Je suis rassurée, alors… mais avoue que c’est moins facile pour nous retrouver !

- Oui, soupire-t-il, tu es toujours trop loin de moi ! Allons, rentrons vite, on ne sait jamais... Ces charognards de journalistes… ils trainent là où ne les attend pas ! »

 

Elle sort les clés de son sac, et ouvre la porte vivement. Ils entrent, pouffant comme deux collégiens. La porte est à peine refermée, qu’il la saisit dans ses bras et l’embrasse goulument. Elle gémit sous le tendre assaut de son amant. Ils s’embrassent à pleine bouche, se dévorant mutuellement. Ca fait déjà dix jours qu’ils ne se sont pas vus. Entre les meetings partout en France, et la discrétion obligatoire, ce n’est pas simple…

 

En un tournemain, ils sont quasiment nus, serrés l’un contre l’autre, affamés de sexe et d’amour. A petits pas maladroits, ils arrivent à trouver la chambre. Ils connaissent les lieux, pour y venir tous les mois… Marine se dégage pour tirer les rideaux, réflexe de survie, malgré tout. Jean-Luc en profite pour défaire le lit. Il s’affale dessus, et Marine vient le rejoindre, s’allongeant à coté de lui.

 

Elle voit son boxer déformé par une bosse prometteuse. Elle la caresse doucement. Il vibre sous sa main... Il y a encore un moment de quasi immobilité….

 

Et brusquement, il écarte franchement la dentelle de son léger string, dévoilant sa chatte trempée. Il a une mine gourmande, et sans plus hésiter, elle abaisse son boxer pour voir enfin l’objet de son désir. Il jaillit, fier et insolent, raide comme la justice, le gland brillant de sa mouille… Instantanément, elle a envie de le gober… Mais il la devance, en se penchant sur elle pour manger sa fleur qui n’attendait que ca…

 

Elle sursaute sous la caresse douce et forte à la fois. Elle ne s’était pas trompée sur son appétit du soir ! Sa langue est d’enfer. Il lape son clito à tous petits coups très rapides. Elle enserre sa belle bite entre ses doigts, elle en fait à peine le tour. Il ne mesure guère plus de quinze centimètres, sais son diamètre la fait toujours autant  rêver…

 

Un doigt inquisiteur se glisse dans sa fente, et comme s’il devinait ses pensées, il en insère un second pour lui offrir un des plaisirs qu'elle préfère. Il recule un peu, regarde son inimité profonde… Elle est en extase : elle aime être ainsi ouverte exhibée.

Mais vu les circonstances, ce ne sera jamais possible !

 

Il l’écarte encore plus, elle se dilate sous ses mains expertes. Et il le faut, vu son diamètre !

Il enfonce sa langue aussi loin qu’il le peut, son nez venant branler son clito.

Quel talent ! Elle ne s’en lasse pas ! Malgré ses soixante-et un an, il est un amant hors pair.

 

Cette simple évocation agit comme un détonateur, et elle jouit une première fois, étouffant ses cris dans la toile de coton. Comme toujours, elle fait un peu attention... La crainte de voir leur secret dévoilé la taraude.

 

Elle se relève un peu, pour enfin emboucher cette belle queue épaisse dont elle ne se lasse pas.

Elle la gobe comme elle peut, mais le gland pénètre à peine dans sa bouche, tant il est large. Elle l’aspire, puis décide de le lécher sur toute la longueur, d’enrouler sa langue autour. II se met à gémir doucement, ce qui lui donne du cœur à l’ouvrage…

 

Elle continue une savante fellation sur le méat, la veine bleue (qu’elle devine), le gland, la hampe, les couilles bien pleines. Il ne résiste pas bien longtemps à son savoir-faire et bientôt, elle a la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude.

 

Elle continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme. Visiblement, il a la santé ce soir, pour rebander aussi vite !
Ses mains parcourent son corps, se crispent sur sa tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans sa bouche distendue, il est enfin à point.

 

Il lui dit doucement : 

« Viens, j’ai envie de te prendre à fond !

- Oui, mais vas-y doucement, tu es si large… »

 

Il embrasse ses seins, les pétrit sans cesse, il prend sa bouche dans un baiser infernal de sensualité. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules ses jambes. Il glisse doucement sur son bas ventre où elle sent passer son membre arrogant jusqu'à l'entrée de sa grotte en feu.

 

D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur sa chatte en feu, et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans son con. Elle le sent s’étirer sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que son corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins, prend entièrement possession d’elle.

 

Elle ne peut que pousser un :

« Oh ! ouiiii » de plaisir intense.

 

Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à son antre et le lubrifier. Elle sent son sexe taper au fond de son con et sur son utérus. Elle agite ses reins à son tour, allant au devant du mâle, s'empalant à fond. Elle s’enhardit à glisser ses mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur son clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Elle ne peuu résister plus longtemps et se livre entièrement à cet amant hors-pair :
« Oui ! Vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus ! »

Elle met ses bras autour de son cou et ses jambes autour de ses reins, ses pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter d’elle à fond, il se retire, la retourne et la prend en levrette, lui arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et large que sur le dos. Sa main passe devant et caresse son clitoris, prêt à exploser. Elle ne peut résister au traitement et se met à jouir violemment, secouée de spasmes qu’elle ne peut contrôler. Elle crie tant et plus, sans se soucier de quelque journaliste que ce soit…

 

Il en profite pour la retourner et la reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir, et enfin, épancher son plaisir en elle avec de longs jets chauds de sa semence, qu’elle sent éclater dans son antre en feu. Il se retire d’elle, et s'allonge à coté.

 

Reprenant chacun leur souffle, il la caresse d'une main pour affirmer sa possession. Il ne semble pas vouloir en finir là, et elle est sure qu'il en veut encore….

 

« Jean-Luc tu es insatiable !

-  Mais ma beauté, tu sais comme je t’aime… et comme j’aime ton  corps de vraie blonde !

-  Moi aussi, je t’aime, et je n’aurais jamais cru que tu aies une telle vitalité au lit.. Surtout avec les journées de dingue que nous avons ! Au fait, ils étaient combien à Marseille aujourd’hui ?

- Plus ou moins dix mille, je pense. Et pour toi, ma chérie ?

- Un peu plus de trois mille. Mais tes sympathisants ne nous facilitent pas la tâche ! Ce serait bien de leur dire d’être moins nerveux ! Tu sais si nous voulons réussir notre deal, il faut quand même que mes sympathisants puissent venir assister à mes réunions publiques. Ils y on été fort, à la Réunion, quand même…

-Tu as raison, ma beauté,  je vais leur dire de mieux « respecter la démocratie »… en étant moins rudes avec toi.

- Merci mon amour, c’est aussi pour cela que je t’aime ! »

 

Elle se love contre lui, et l’embrasse à nouveau goulument. Elle hésite encore à lui parler d’une chose qui la taraude depuis un mois… Ils se sont promis de ne rien se cacher, mais il est parfois si impulsif !

Ils finissent par s‘endormir, blottis dans les bras l’un de l’autre, savourant cette nuit providentielle. Demain sera un autre jour !

 

Qui aurait dit qu’un jour, ces deux-là se rencontreraient, et tomberaient un jour amoureux... Mais ne dit-on pas qu’il n’y a qu’un pas entre l’amour et la haine ?

 

 

A suivre, si vous voulez tout savoir de cette histoire secrète !

 

 

* Thierry Légier, garde du corps de Marine Le Pen

** Benoît Schneckenburger, garde du corps de Jean-Luc Mélenchon

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Récits Erotiques X
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