Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Grand amateur de tout ce qui touche au sexe, j’ai toujours fréquenté les sex-shops pour y découvrir les dernières nouveautés des films
X et des divers gadgets pour pimenter les ébats avec les maîtresses que j’avais la chance de ramener chez moi. Dernièrement, je me trouvais dans le magasin le plus proche de chez moi, où j’ai
désormais mes habitudes, car il est bien fourni et le personnel très sympa.
Ce soir-là, la vendeuse me décrivait les avantages des pompes pour agrandir le pénis. Je n’en ai pas spécialement besoin car les
dimensions de ma bite me conviennent parfaitement. Mais cela m’amusait de la voir faire son baratin comme si c’était elle qui les utilisait.
Elle a été un peu déçue lorsque je lui ai dit que je n’étais pas acheteur car je n’en avais pas besoin. En riant, je lui ai dit que si
moi je n’avais pas besoin de développer ma bite, elle, elle devrait penser à faire développer ses seins.
Anna, petite brunette d’environ un mètre soixante avec des cheveux mi-longs tombant sur les épaules, portait une robe courte très
échancrée sur le devant qui, lorsqu’elle se baissait, laissait voir sa poitrine menue aux tétons à peine dessinés. Le dos, maintenu par des bandes de tissu, était encore plus ouvert et laissait
apercevoir le haut du sillon fessier. Agée d’une quarantaine d’années, elle avait les yeux qui pétillaient de malice et de lubricité quand elle faisait l’article. Ce devait être une gourmande du
sexe, et comme vendeuse, elle semblait être tout à fait à sa place dans ce genre de boutique.
Nous étions seuls dans le magasin et l’heure de la fermeture approchait.
« Pouvez-vous me rendre un service ? Je dois aller dans la réserve chercher un carton mais il est rangé trop haut pour moi.
»
« Bien sur ! Ce n’est pas un problème. »
« Demain matin je dois mettre en vitrine divers articles qu’il contient. Il est impossible pour moi de l’atteindre. »
Arrivés au sous-sol, elle s’est dressée sur la pointe des pieds en levant les bras pour me montrer le carton en question.
Waouh quelle vue. Dans cette posture sa robe courte découvrait le pli de ses fesses et je voyais la ficelle de son string. Je n’ai pas
su résister à l’invitation et, m’approchant encore plus, j’ai pris ses fesses dans mes mains.
Au lieu de protester, elle s’est laissée faire en frottant ses fesses contre moi. J’avais la bite raide dans mon slip. Elle s’est
retournée et, passant ses bras autour de mon cou, elle est venue se mettre à cheval à hauteur de mes hanches. Sa bouche a cherché la mienne et nous nous sommes embrassés comme des furieux, à en
perdre le souffle. C’était bien parti.
Un divan nous tendait les bras et comme il fallait sonner pour entrer dans le magasin, nous ne serions pas dérangés. Je suis allé
déposer Anna sur le divan et pendant que je me déshabillais, elle a fait glisser son string. Sa chatte rose déjà ouverte était surmontée d’une fine bande de poils noirs drus et bien
taillés.
Assise, elle avait la bouche à la hauteur de mon sexe dressé. D’un seul trait elle a avalé ma bite jusqu’à la garde dans une délicieuse
gorge profonde agissant uniquement avec sa langue et ses joues pour me pomper. Que c’était bon! J’ai glissé mes mains dans le décolleté de sa robe pour venir agacer ses tétons.
Au bout de quelques minutes, elle a sorti de je ne sais où un préservatif dont elle a déchiré l’emballage. Sortant ma bite de sa
bouche, elle a placé la capote sur le bout de mon gland et pour la dérouler, elle m’a repris en bouche après s’être débarrassée de sa robe.
La situation était sans équivoque. Elle n’allait pas se contenter de me tailler une plume. Elle voulait que je la baise. Elle s’est
mise en levrette pour me présenter ses fesses. Avant de la pénétrer, j’ai fait quelques va-et-vient à l’orée de sa chatte avant de l’investir lentement jusqu’à ce que mon pubis vienne se
coller contre son cul.
Sa grotte d’amour était chaude comme la braise et humide. J’ai commencé à la copuler lentement puis de plus en plus vite.
« Oui, baise-moi bien, me dit-elle. Depuis le temps que tu viens à la boutique, j’en ai envie ! »
Après avoir dit cela, elle a sorti un gode de taille moyenne qui se trouvait sous un coussin et elle l’a pris en bouche en faisant des
mouvements alternatifs. Quelle lubricité ! Soudain, notre plaisir (que je retenais pour attendre celui de ma partenaire) a éclaté. Waouh! Quelle jouissance!
Je me suis dégagé de sa gaine. D’elle-même, elle m’a débarrassé du préservatif et, reprenant ma bite en bouche elle a entrepris de la
nettoyer. Ce fut plus qu’une toilette. Elle m’a si bien pompé que j’étais à nouveau bandé comme un taureau. Elle me fit allonger sur le divan, la bite dressée. Se mettant en amazone, elle
s’encula elle-même en me tournant le dos. Après quelques mouvements de bas en haut, elle se coucha sur mon torse et s’introduisit le gode dans sa chatte.
Levant les yeux au plafond, je découvris dans les miroirs qui le garnissaient le spectacle de nos deux corps. Cette belle était chaude
comme la braise. Est-ce le fait de travailler dans un tel endroit qui la rendait si chaude ? Surement et j’en profitais bien.
Au travers de la paroi de sa chatte, je sentais aller et venir le gode et les vibrations. Cela m’excitait encore plus et notre
jouissance nous emporta une seconde fois. Nous sommes restés l’un dans l’autre de longues minutes avant qu’elle ne se dégage pour venir se blottir contre moi.
«Tu m’as bien fait jouir ! Effectivement tu n’as pas besoin de développeur ! Ta bite est bonne ! »
Après quelques temps, nous nous sommes rhabillés et nous nous sommes quittés sur le trottoir devant la boutique. Pour le moment, je n’y
suis pas encore retourné, mais l’aménagement de l’arrière boutique me laisse penser que le divan doit voir passer pas mal de couples de baiseurs... Tout est à portée de mains, les préservatifs,
les godes, les mouchoirs en papier.
Bref un véritable baisodrome !
Gérard le Matou
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