Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
2ème partie.
Au bout de quelques jours, j’ai pris mes marques dans ce studio prêté par la société au sixième étage au dessus des bureaux. Chaque jour j’épie par la lucarne du coin cuisine les fenêtres de l’appartement du cinquième et je commence à connaitre les horaires du couple qui l’habite.
Il ne faut pas compter voir quelque chose avant vingt et une heures, c’est sans doute l’horaire habituel de retour à la maison. L’appartement doit être bien chauffé car les occupants se baladent toujours en tenue légère dès qu’ils rentrent, sans se soucier de fermer les doubles rideaux ou les stores.
Mon regard peut ainsi plonger sans vergogne dans leur intimité sans qu’ils s’en doutent. Ils n’imaginent certainement pas que le studio est utilisé à plein temps. C’est ainsi que par plusieurs séquences d’une dizaine de minutes au cours de la soirée, je les vois aller et venir sans qu’ils s’en doutent.
A les voir ainsi, je pense qu’il s’agit d’un couple assez jeune car lorsqu’ils se croisent devant l’une ou l’autre des fenêtres, ils échangent des baisers plus ou moins longs et ardents et des caresses.
Pour autant que je puisse voir, l’homme est assez grand, brun aux cheveux mi-longs, sa silhouette est athlétique, la fille me semble un peu plus petite avec de longs cheveux blonds qu’elle dénoue rapidement. Sa poitrine ne me parait pas très grosse.
Samedi passé, j’ai fais l’emplette d’une longue vue et d’un support tripode. Cela me permet une meilleure approche visuelle. Mais le weekend, il n’y avait rien à observer.
Ce soir lundi, ce doit être un jour particulier car le couple n’arrive que vers 22 heures passées. Comme d’habitude, ils se mettent rapidement en petite tenue et je vois désormais assez distinctement ce qui se passe dans leur intimité.
Dans leur pièce à vivre, ils ouvrent une bouteille (certainement du champagne) et trinquent ensemble. Un anniversaire peut-être ? Une promotion ? Que sais-je !
Puis, la flute à la main, ils gagnent la chambre et s’installent sur le lit où ils commencent à flirter tout en finissant leur verre. Seul le lit est éclairé brillamment comme si des spots étaient braqués dans cette direction.
Je suis désormais certain que je vais avoir droit à un beau spectacle car les baisers et les caresses sont de plus en plus chauds. J’ai le lit en plein visuel de ma longue vue.
Et là, le petit show commence ! La fille quitte les bras de son homme et je vois sa tête descendre au niveau du pubis. Elle embrasse au passage le nombril avant d’aller emboucher la bite de son compagnon qu’elle a sortie du boxer.
Je vois sa tête qui monte et descend alternativement mais les longs cheveux blonds ne me permettent pas d’en voir plus. Mon imagination complète la scène, que je trouve être une pipe profonde et goulue, aspirant le gland comme on l’aime.
Cela suffit amplement pour m’exciter, au point que mon sexe se dresse peu à peu dans mon slip. Mon imagination galope…
Elle galope d’autant plus que la fille est tournée de telle sorte que j’ai une vue directe sur ses fesses largement fendues et barrées par le cordon d’un string noir. Elle doit aimer la lingerie foncée car elle en portait l’autre jour et aussi maintenant. Que cela lui va bien!
Mais je n’ai pas encore tout vu. Son homme vient de glisser une main dans le string et il doit lui chauffer la foufoune en attendant mieux. Peu à peu, il fait pivoter la fille jusqu’à ce qu’elle l’enjambe et lui présente sa fourche au dessus de la bouche. Le string glisse rapidement et va atterrir au pied du lit.
J’ai mon membre à l’étroit dans mon boxer, complètement fou, devant ce spectacle incroyable. Je me demande s’ils savent que je suis là, posté comme un pervers, épiant chaque geste et chaque mouvement de leurs corps entrelacés.
Abandonnant quelques secondes sa fellation, la fille ôte son soutif avant de replonger sur le sexe de son copain. Waouh ! Que c’est chaud ! Leur 69 dure mais j’ai complètement perdu la notion du temps qui s’écoule. Et ce que j’épie me fait de plus en plus d’effet…
Soudain, la fille se redresse, prend ses seins à pleine main et semble ouvrir la bouche comme si elle exhalait sa jouissance. J’augmente le grossissement de ma lorgnette pour la diriger vers la bite du mec ! Oulla ! Quel pieu ! Un sexe qui ferait pâlir un acteur de porno !
Le couple change une nouvelle fois de position. La fille s’agenouille sur le lit, pose sa tête et le haut de son buste sur les oreillers et présente son fessier haut levé à son homme. Oh! Une levrette ! Je n’en demandais pas tant moi qui adore cette posture animale de la femme qui s’offre ainsi.
Le mec s’approche entre les jambes de sa copine, la bite dressée devant lui. Il la prend en main et … d’une lente poussée, s’introduit dans un des orifices ! Lequel ? Je ne le distingue pas !
Il prend la taille de la fille entre ses mains et il commence les va-et-vient, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Je n’entends rien, tout se déroule comme dans un film muet mais c’est terriblement excitant car j’imagine les bruits et les mots sans suite que les amants doivent prononcer.
Pour finir, le mec éperonne vivement la fille plusieurs fois. Il doit être sur le point de jouir lui aussi ! Oui ! C’est çà ! Il se retire et prenant sa bite dans la main droite, il se masturbe pour finir de se vider entre les fesses de sa copine.
Puis tous les deux basculent sur le côté en me tournant le dos. Je n’ai plus rien à voir. Je viens d’avoir un beau spectacle.
Lorsque je reviens dans la pièce principale, je jette un dernier coup d’œil vers le cinquième étage. La fille est encore allongée sur le lit en chien de fusil et les lumières s’éteignent un à une jusqu’à ce que l’obscurité soit totale dans l’appartement d’en face. Et moi, la bite dans la main, je reste sur ma faim encore une fois…
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Pendant toute la semaine qui suit la partie de jambes en l’air que j’ai épiée avec ma lorgnette, rien de particulier ne se passe dans l’appartement du cinquième étage qui fait face à mon studio.
Comme tous les soirs, le couple rentre à la même heure et pendant presque une heure, je vois leurs silhouettes aller et venir dans les deux pièces dont les fenêtres donnant dans la cour intérieure de l’immeuble.
Les weekends il n’y a personne. En plus, deux samedis de suite, je suis allé à mon ancien domicile pour déménager le reste de mes affaires et le stocker dans un entrepôt sécurisé en attendant de retrouver un logement.
Plus le temps passe plus je suis accro à ces séances de voyeurisme qui occupent une partie de mes soirées. J’ai toujours aimé mater les jolies filles et imaginer ce que je leur ferais de bon…
Ce soir, je suis à mon poste d’observation depuis une dizaine de minutes. Comme chaque soir, je vois mes voisins déambuler en petite tenue dans leur appartement et il semble que rien de particulier ne doive se produire quand la femme entrouvre les rideaux de leur pièce à vivre et semble me faire signe de la main comme pour m’indiquer de regarder l’autre fenêtre.
Auraient-ils découvert mon observation ? Après tout, s’ils sont gênés, ils n’ont qu’à fermer les stores et je ne verrai plus ce qui se passe chez eux !
Mais ce n’est pas du tout le cas puisque dès qu’elle arrive dans la chambre, la femme ouvre en grand les rideaux en voile de la fenêtre. C’est une véritable invitation…
Ce qui est bizarre, c’est que la pièce est éclairée comme le lundi où ils ont semblé fêter quelque chose. Je vais donc pouvoir regarder tout mon saoul.
Aussitôt, je vois arriver l’homme qui ne porte que son habituel boxer. Devant la fenêtre, il enlace sa copine, se colle à elle de tout son corps et fait sauter l’agrafe du soutif qui glisse à terre. Il se met à genoux devant elle, fait glisser le string et plonge la tête dans la fourche de ses cuisses.
Oulla ! C’est parti pour une séance bien chaude !
Doucement il repousse sa compagne vers le lit où elle se couche sur le dos. Le mec a toujours la tête au creux de la fourche pour un cunnilingus bien appliqué. Pour le retenir dans cette position, la fille a passé ses jambes par-dessus ses épaules… et de ses deux mains elle masse sa poitrine.
Je règle ma lorgnette de façon à avoir un vue plus rapprochée sur le visage de la fille dont la tête va de droite à gauche et inversement au fur et à mesure que son plaisir monte. Ayant contenté sa copine une première fois le mec se relève. Rien qu’avec l’excitation de la caresse faite à sa femme, il a la bite dressée comme un mat.
Il s’allonge sur le lit et la femme vient s’empaler en amazone face à lui. Ils sont de profil et pour la première fois, je peux voir distinctement la poitrine menue de la fille. C’est elle qui assure la baise. Elle monte et descend sur l’épieu qui doit remonter bien haut dans son intimité, l’homme assure son équilibre en la maintenant par la taille.
Tantôt elle se penche sur sa bouche pour l’embrasser, tantôt elle se redresse, rejetant la tête en arrière, secouant sa longue chevelure blonde alors qu’elle s’empale de plus en plus vite et de plus en plus fort sur cette bite qui la fouille.
Les petits cris entrecoupés sont très clairs et j’ai l’impression qu’elle fait ça exprès pour être remarquée, de toute façon je ne le saurai jamais. Je vois sa poitrine rebondir à chaque fois qu’elle monte et redescend et cela me met la gaule.
Soudain, elle jouit ! Elle rejette la tête en arrière et je vois qu’elle brame son plaisir la bouche grande ouverte avant de s’affaler sur le torse de son homme qui, je le pense n’a pas encore eu son plaisir.
Oui, il n’a pas encore joui ! Il désarçonne la fille, la fait basculer sur le dos, remonte ses jambes par-dessus ses épaules et d’une seule poussée, il pénètre la chatte offerte, sans doute déjà pleine de cyprine.
J’ai vu des femmes se tordre de plaisir car leurs sexes sont plus sensibles que les nôtres mais cette fois-ci c’est le mec qui se tortille avec des spasmes violents, et je reste la bouche bée en les regardant.
Les mouvements de va-et-vient sont amples malgré la frénésie des partenaires. Mon voisin doit sortir à chaque fois de la chatte de la fille pour mieux y rentrer ensuite. Ce mec est sacrément endurant car je peux voir qu’il fait jouir la fille deux fois avant de se libérer à son tour. Mais là, il reste fiché dans le sexe, crachant son sperme tout au fond.
Je vois son corps se secouer et je bande grave, même si je reste sans bouger de peur de manquer une seule seconde de ce spectacle fascinant.
Ils restent ainsi enlacés quelques minutes avant de basculer sur le côté et de se désunir. Tous les deux se lèvent. La fille, intégralement nue vient fermer les rideaux en faisant à nouveau un petit signe de la main pendant que les lumières s’éteignent. Il n’y a plus de doute : Ils se savaient observés.
Quelques jours passent quand un soir en revenant d’être allé diner au resto, je trouve une enveloppe en papier kraft sans aucune inscription dans ma boite aux lettres. Elle contient un DVD et une carte portant les mots suivants : « J’espère que tu t’es bien rincé l’œil ! »
Je monte rapidement jusqu’au sixième étage et je glisse le DVD dans le lecteur. Surprise ! C’est un montage vidéo où je vois mon couple de voisins s’ébattre sur leur lit. Je comprends mieux pourquoi à chaque fois, l’éclairage était aussi puissant.
Ils se filmaient en train de faire l’amour avec au moins trois caméras ! Ils savaient donc bien que je les épiais et ces coquins m’en ont fait profiter.
Depuis, j’ai quitté le studio mais je garde précieusement le DVD…
FIN
Merci Sophie de publier à nouveau mes petites histoires....
J'ai eu beaucoup de plaisir à imaginer et à écrire celle-là.... la plus chaude possible pour émoustiller les lecteurs ( et toi aussi ! )
Et je t'assure que le but fut atteint.... En tout cas, pour moi !
on ne louera jamais assez '' le bon esprit de camaraderie'' qui règnent parfois entre Exhibs et voyeurs.
Bandant et joliment écrit
En effet, ni les uns ni les autres n'existeraient sans cette réciprocité !
Tu as gardé le DVD et pas la clé, Gérard, enfin.
Très bonne suite.
J'en ai frémis d'aise en la lisant !