Léa, c'est mon nom. J'aime quand les gens regardent mon intimité. Je porte soit des mini-jupes, soit un jean qui moule bien les fesses. Je ne porte jamais de culotte et je recherche des pentes ou des escaliers les plus abrupts pour montrer ma croupe à ces messieurs lorsque je suis en mini-jupe. Je ne porte pratiquement jamais de soutien-gorge et mets plutôt un chemisier léger (blanc pour qu'on voit à travers) bien décolleté, comme ça, à chaque fois que je me penche, les mâles peuvent regarder mes seins sans problème. J'ai vingt ans et je suis célibataire. Je veux le rester pour que je puisse m'amuser le plus possible. J’aime le sexe, et je le revendique haut et fort ! Aujourd'hui, je dois aller à un grand concert qui va attirer des milliers de gens. J'ai envie d'exciter et aussi peut-être un peu plus que des regards pervers. Comme c'est un grand concert, je pourrais oser... Aller, on y va ! Je mets une courte jupe plissée noire, une veste de tailleur rouge, des escarpins et c'est tout. Arrivée devant la queue qui allait jusqu'aux caisses, je fonds dans la foule et sens un petit quelque chose au ventre. Ce que je voudrais c'est qu'on me touche, que je me sente nue et me frotter […]

Bien baisée…. Je me prénomme Marie… J’ai 40 ans depuis le printemps, mariée et mère de deux adolescents, je devrais être heureuse car j’ai un bon métier mais voilà… je suis ce qu’il est convenu d’appeler « une mal baisée » ! Quant à 20 ans, j’ai rencontré mon mari, je n’étais plus vierge depuis longtemps et j’avais multiplié les expériences, faisant même l’amour avec une amie à plusieurs reprises… Après le coup de foudre, nous avons vécu ensemble jusqu’à la fin de nos études puis nous nous sommes mariés… Et les enfants sont arrivés rapidement. Je ne sais si ce sont les grossesses successives (voulues) ou parce que mon mari avait peur de me faire un autre enfant (Mdr… je prenais la pilule, donc je ne risquais rien) que nos rapports amoureux se sont faits de plus en plus rares… et si on peut dire, sommaires ! J’ai même pensé que Loïc avait une maîtresse quelque part… mais il n’en était rien. Il se contentait (et moi je subissais…) d’un coup vite fait le samedi soir sans fantaisie. Je me sentais de plus en plus frustrée car les caresses solitaires et les godes ne me suffisaient plus… J’étais de plus en plus insatisfaite au point de me confier à Mélanie, une amie très chère avec […]

Ce texte est une pure fiction… écrite il y a une bonne dizaine d’années… Vous remarquerez au fur et à mesure des publications que je me glisse avec autant de facilité dans un personnage féminin ou masculin. Amanda et compagnie. Comme chaque année, notre groupe d’amis s’est retrouvé pour notre diner de rentrée le premier samedi de septembre. Lors de ce repas généralement préparé par un traiteur auprès duquel nous avons nos habitudes, nous avons évoqué nos souvenirs de vacances. Cette année, c’était à mon tour d’être l’hôtesse de ce repas. La soirée s’est terminée en apothéose. Nous ne nous y attendions pas mais cela fut génial. Mais tout d’abord qui sommes nous ? Je m’appelle Julie, j’ai 30 ans depuis le début de l’année. Je suis mariée depuis quatre ans à Charles qui a cinq ans de plus que moi. Stéphanie, ma sœur cadette de un an, est quant à elle mariée à Jérémie qui a le même âge qu’elle. De notre ascendance italienne nous avons hérité d’une peau mate, de cheveux noirs ondulés et des formes assez généreuses au niveau de la poitrine et de hanches qui mettent en valeur la courbe de nos reins. En fait, nous n’avons rien des critères physiques d’un mannequin de mode. Plus que […]

C’était une nuit de pleine lune. Le vent soufflait dans les arbres et l’on devinait au loin de lourds nuages prometteurs de pluie. Ma voiture était en panne, sombre masse métallique au bord de la route, et pas un seul véhicule n’était passé depuis un bon moment. Je devais agir vite, sous peine de rester toute la nuit piégé au milieu de cette forêt. J’entrepris donc de longer la route nationale, afin de trouver une aide quelconque, une maison, un téléphone, une voiture ou que sais-je ? Après un certain temps d’une démarche à vive allure, je tombai sur un chemin de traverse, où un vieux panneau de bois usé annonçait : « L’Hôtel de la Forêt -2 kms ». Le chemin était sombre et peu entretenu, je m’engageai malgré tout un peu inquiet. Mais l’on m’attendait de façon pressante à mon bureau, et j’étais bien décidé à tout tenter pour rentrer au plus vite. Peu à peu, une nuit noire s’installa et ma progression se fit de plus en plus difficile. La nuit, les arbres, les bruits, le chant du vent dans les feuilles, tout cela confortait mon incertitude. J’entendis bientôt des éclats de voix, des cris de fête ou de joie. Cela me rassura, et je renforçai mes pas. Le sentier s’ouvrait sur une […]