Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Astrid est une jeune lycéenne de dix-huit ans, adepte des pratiques sexuelles quelles qu’elles soient. Elle aime le sexe, et entend en profiter pleinement ! Ce jour-là, elle quitte son studio, pour se rendre au lycée. Elle est dans un état second… Elle venait de voir sa garce de voisine, une belle femme de plus de quarante ans, se faire sauvagement baiser par deux jeunes males en rut, âgés d’à peine vingt ans… Elle était fébrile, et très excitée, en y pensant à nouveau...
Après quelques minutes de marche, elle voyait le bâtiment se profiler au loin, quand une petite voix la héla, provenant d’une ruelle perpendiculaire :
« Attends-moi, comme ça, nous serons deux à être en retard » fit Sylvie, sa meilleure amie, qui se dépêchait de traverser la rue pour la rejoindre. Elle avait la même passion qu’Astrid : le sexe sous toutes ses formes, sans limites.
- Tu n’es pas revenue après la récré ? poursuivit la jeune fille.
- Euh, non. Je suis restée chez le proviseur, et ensuite j’ai passé un moment avec Anne, la secrétaire, répondit Astrid
-Tu sais que c’est une sacrée salope celle-là ? Pire que nous ! continua Sylvie.
- Comment ça, une salope ? Vas-y, raconte, encouragea Astrid.
- Il parait qu’il y a des trous dans les murs des toilettes, situé derrière son bureau et que certains profs ou élèves viennent mettre leurs queues pour se les faire sucer sans être vus… Et c’est elle qui suce, bien sur ! sourirait la jeune étudiante.
- Ce matin, je l’ai vue se faire défoncer par le gardien, en levrette sur son bureau. Il parait que tu le connais. Moi, il me répugne, continua Astrid
- Le gardien ? Je te jure qu’il a de quoi t’intéresser. C’est un gros vicieux. Mais qu’est-ce qu’il me soulage bien quand je vais lui rendre une petite visite ! répondit Sylvie.
Et elle reprit : Et puis je ne suis pas la seule, il a aménagé la cave de la loge en une espèce de pièce à plaisirs. On y rencontre plein de monde, tous les vicieux de la ville connaissent la cave de Pierre !
- Il faudrait que je m’y rende un de ces jours… » relança Astrid, de plus en plus ravie d’avoir croisé sa camarade.
Après avoir vu sa voisine se faire troncher comme une truie, elle mourrait d’envie de se faire baiser à fond.
En arrivant au lycée, elle vit Anne, la secrétaire du Proviseur, se diriger vers la loge d’un pas assuré, toujours impeccablement vêtue.
Astrid la suivit des yeux, et se leva à son tour pour lui emboîter le pas dés que celle-ci entrerait dans le pavillon du gardien.
Alors que la lycéenne se rapprochait lentement, elle vit également son professeur de mathématiques, Monsieur Robert y pénétrer, suivi par deux de ses élèves, Lila et Tom
Astrid s’interrogea sur la conduite à tenir : « Après tout, je ne suis pas invitée » pensa-t-elle tout haut.
Elle s’apprêtait à passer son chemin lorsqu’elle aperçu, de l’autre coté de la grille, deux jeunes hommes en costume qui se présentaient également au domicile du concierge, pour y accéder sans plus de formalité.
Le proviseur ne tarda pas à se montrer, entrant prestement dans la loge.
Elle faisait le compte, déjà sept personnes se trouvaient à l’intérieur. Sans doute prévenus de la présence d’Anne, les « loups » se rassemblaient.
La lycéenne décida d’attendre la sortie générale pour se mêler à la foule des élèves et bifurquer opportunément vers le repère du gardien.
Astrid continuait à surveiller l’entrée du lycée, quand elle vit également son professeur d’anglais, « la vielle aigrie » se présenter à la grille, et rejoindre le groupe, sans aucun doute déjà installé au salon très particulier. Elle avait changé de tenue et paraissait moins coincée.
Enfin, la sonnerie marquant la fin des cours retentit. Quelques instants plus tard, une nuée d’élèves se rua en direction de la porte de sortie.
La lycéenne en profita pour se mêler à cette foule compacte et bifurquer discrètement.
Astrid retrouva l’étroit vestibule, puis poussa la porte donnant sur la cuisine, certaine de n’y trouver personne, tous devant se trouver au sous sol.
Elle ne se trompait pas. Sans distinguer les propos, elle entendait rire et parler de l’autre coté de la porte.
Poussée par la curiosité, elle décida d’explorer le logement de Pierre, et emprunta le couloir sombre, contigu de l’accès à la cave.
Pas un bruit ne venait troubler la tranquillité du logement. Astrid poussa une première porte, c’était la salle de bain. Elle la referma aussitôt, voulant gagner rapidement la chambre du gardien, absolument certaine d’y trouver de quoi rassasier sa curiosité et ses envies lubriques.
Quelques instants plus tard, elle pénétrait dans l’ « Antre » recherchée.
La pénombre ne permettait pas de détailler son ameublement. Cependant, elle pouvait aisément deviner la présence d’un vaste lit en fer forgé orné de quatre boules, sans doute en laiton à chaque coin, celle d’un large miroir au plafond, et d’une imposante armoire au fonds de la pièce. Avec précaution, elle poursuivit sa quête.
Elle gagnait le vestibule, lorsque la porte s’ouvrit d’un coup.
Pierre se tenait en face d’elle, toujours vêtu de son jean, auquel il avait ajouté un polo noir.
« Que faites vous là, mademoiselle Belgarde ? questionna le concierge.
- Vous ne savez pas qu’il est interdit de pénétrer sans autorisation chez les gens ? Vous n’êtes pas bien élevée, comme beaucoup de vos camarades de classe ! s’exclama-t-il.
- Pardonnez-moi, fit Astrid un peu inquiète, mais j’ai aperçu la secrétaire de Monsieur le Proviseur entrer ici, et comme je voulais la voir…
- Et vous ne l’avez pas trouvée… répondit Pierre, amusé.
- Euh, non Monsieur, j’ai du me tromper tout à l’heure, dans la cour, répondit Astrid, embarrassée.
- Suivez-moi, je vais vous mener à elle. Mais peut être sera-t-elle gênée pour répondre à vos questions. » conclut Pierre en empoignant Astrid par le bras, sans lui laisser l’opportunité de refuser de le suivre.
Il traversa la cuisine et ouvrit la porte de la cave.
« Après vous mademoiselle, cela fait bien longtemps que je vous attendais ici, en fait ! »
Une fois la porte ouverte, Astrid fut plongée dans un univers sonore qu’elle appréciait pleinement, ambiance faite de gémissements de plaisirs, de petits cris, de propos parfois grossiers, d’encouragements, d’insultes murmurées…
« Mais, où m’emmenez vous ? s’affola la lycéenne, faisant mine de ne pas comprendre, simulant la peur
- Vous le savez très bien… » répondit le gardien, en lui passant les mains sur les fesses avant qu’elle ne commence à descendre.
Astrid fit mine de résister. Pierre la poussa alors davantage, presque à la faire tomber à la renverse
« Descend, espèce de pétasse ! lui glissa-t-il dans l’oreille en se penchant vers elle, non sans continuer à lui masser sans retenue les fesses.
- Je sais que cela va te plaire. Comme je te l’ai dit, tes copines font moins les effarouchées et elles ne le regrettent pas ! »
Instinctivement, Astrid, qui sentait le souffle chaud de Pierre sur sa joue, passa la main derrière elle et rencontra la bosse formée par le sexe du gardien sous son jean, l’enveloppant sans équivoque de ses doigts pour bien la masser.
« Hummm… il est gros… soupira-t-elle sans tourner la tête.
- Tu veux le goûter maintenant ? Rien que pour toi ? demanda le concierge.
- Où, là, dans cet escalier ? » répondit Astrid qui, à reculons, remontait les quelques marches descendues pour laisser passer son hôte, afin qu’il puisse être derrière elle, à la bonne hauteur lorsqu’elle se retournerait.
La porte de la cave encore ouverte, elle balança son sac dans la cuisine avant de remonter sa jupe sur les hanches. Elle se mit à quatre pattes dans l’escalier, les mains posées sur le seuil de la cuisine. Elle écarta bien les cuisses, à genoux, deux marches plus bas, pour inviter le concierge à la prendre comme ça, en levrette, bien cambrée. Il n’avait plus qu’à se mettre debout derrière elle, un peu plus bas, pour se soulager.
De voir cette belle paire de fesses, rondes, épanouies, simplement séparées par la fine dentelle du string blanc que portait la lycéenne, fit monter le taux d’adrénaline du concierge. Depuis le temps qu’il rêvait de s’occuper du cul de cette petite salope, sans doute le plus beau de l’établissement… Il n’allait certainement pas le rater !
Alors qu’il baissait fiévreusement le zip de son jean, il ne put s’empêcher de la fesser de l’autre main, la faisant claquer sur les chairs souples de la jeune femme.
« Encore… ! Vas y, frappe moi mon salaud. Tu en meurs d’envie ! Occupe-toi de mes fesses, elles en ont besoin, elles aiment quand un homme comme toi les malaxe, les pétrit de ses mains. Je suis une vilaine fille, je rentre comme ça chez les gens… Frappe-moi… Punis-moi ! » fit Astrid, toujours sans se retourner, souriante, goutant pleinement la provocation.
Elle imaginait sans peine l’effet produit par ses encouragements sur le mental du concierge, qu’elle savait être dominateur.
La main de Pierre s’abattit une nouvelle fois sur les fesses de la lycéenne, plus fortement, les faisant remuer à sa guise.
« C’est bon, Ca claque bien, c’est bon ça, hein que c’est bon ? Sale petite garce ! » lança le concierge, dont le jean était maintenant sur les chevilles, le slip baissé et la queue longue et souple pendante devant lui.
« Occupe-toi de mon cul, je sais que tu en as une grosse. On me l’a dit. Remplis-moi la chatte, vite… Ca coule déjà entre mes cuisses. » continuait Astrid très excitée, le visage tournée vers l’arrière, se passant la langue sur la lèvre supérieure.
Le concierge n’y tenait plus. De ses doigts, il écarta violement la dentelle, faisant craquer le tissu, et présenta sa verge devant la chatte d’Astrid.
De son gland à peine décalotté, tenant sa verge de l’autre main, il caressait les lèvres frémissantes de la jeune femme, l’une, puis l’autre, effleurant son calice duveteux. La lycéenne senti la queue remonter lentement dans sa raie, puis s’arrêter un court instant sur son petit trou.
Pierre se délectait de cette caresse, toujours fasciné par l’épaisseur de son gland et l’étroitesse initiale de chaque petit trou qu’il forçait ensuite violemment, avec un plaisir sadique.
Il prit les fesses de sa jeune partenaire, à pleines mains, pour les presser contre sa verge et se décalotter davantage, certain que la jeune salope qu’il tenait aimait le sentir gros et brûlant.
La lycéenne aimait qu’un homme fasse bien coulisser sa queue entre ses fesses avant de la prendre, cela l’excitait.
Le gland du gardien se présenta devant sa vulve échauffée, et Astrid sentit une légère pression.
« Enfonce-le dans ma chatte… Oui, comme ça !!! » cria la jeune lycéenne lorsque le pieu la pénétra d’un coup, l’ouvrant en deux comme elle l’espérait depuis le début de l’après midi, pour satisfaire ses envies.
Pierre la tenait maintenant par les épaules, la tirant en arrière pour mieux la remplir. Malgré la taille de son pénis, il le sentait comme aspiré par sa jeune partenaire.
Astrid se sentait possédée par le membre épais et puissant de son amant. Il grossissait encore en elle, tant la chaleur de son vagin semblait l’exciter. Elle adorait cette sensation.
Le gardien se pencha en avant sur le dos de la jeune femme pour lui remplir la bouche de ses doigts. Astrid salivant, les lui lécha, les aspirant du mieux qu’elle put.
« Serais-tu une bonne suceuse aussi ? » lui chuchota-t-il à l’oreille.
Les mains de Pierre glissèrent sous elle, à la recherche de ses gros seins encore comprimés par son bustier de lin. Les doigts agiles du concierge défirent rapidement les trois boutons, libérant ses deux belles mamelles. Il emprisonna sans retenue les globes, tout en commençant son va et vient entre ses cuisses.
« Elle est bonne ta bite, bien grosse comme je les aime, remplis-moi bien… » continuait Astrid, heureuse d’avoir ce sexe pour elle seule, goûtant chaque secousse avec délectation.
« Vas-y… Vas-y… Ramone-moi bien, encore plus fort. Ne te retiens pas, défonce-moi ! » encourageait la lycéenne, bien accrochée au seuil de l’escalier.
Elle recevait chaque coup de queue comme un soulagement, même si le diamètre du membre l’écartelait à lui faire mal.
Le concierge abandonna les seins durs d’Astrid pour se redresser. Debout derrière elle, il lui attrapa fermement les hanches.
« Tu aimes ça hein, tu aimes ça ! Qu’est ce que vous avez toutes, à être folle de ma bite ? » murmurait le gardien en accélérant le rythme, enserrant de plus en plus fort la taille de sa jeune partenaire.
Il lui passa la main sous le gilet, lui caressa le dos en sueur, descendit lentement des omoplates pour atteindre sa chute de reins, ses doigts glissant aussitôt sur ses fesses épanouies. Il cracha dans la raie pour voir glisser lentement la salive jusqu'à sa queue enfouie, imaginant les sensations procurées à sa jeune soumise quand sa bave allait glisser sur son petit trou.
Pierre ressorti son membre raidit, satisfait de voir Astrid en redemander.
« T’arrête pas là, salaud !!! Encore, reprends-moi, m’abandonne pas comme ça… » supplia la lycéenne.
Elle se passait fiévreusement la main entre les cuisses pour attraper le sexe de l’homme qu’elle sentait à quelques centimètres de ses doigts.
Pierre la regardait faire, reculant suffisamment pour ne rien perdre de ce spectacle. Il entendait le gargouillis de la mouille, lorsque pour se satisfaire, elle s’enfonçait les doigts au fond de son vagin pour le remplacer.
Il descendit quelques marches et se mit à son tour à quatre pattes, les mains posées entre les genoux écartés d’Astrid, le visage à la hauteur de sa croupe.
Le gardien ouvrait la bouche, soufflant de l’air chaud contre le vagin luisant, de bas en haut, de haut en bas, et sortait par instant sa langue pour lui agacer les muqueuses rougies de plaisir.
« Oui... Oui… bouffe-moi, broute-moi ma chatte de salope, encore… t’arrête pas de faire ça. Lèche-là encore » supplia Astrid, tendant un bras derrière elle, en se contorsionnant pour tenter de plaquer le visage du gardien contre sa chatte, entre ses fesses !
« C’est trop bon…. !!! Viens me bouffer le cul !!! » criait-elle à l’attention du concierge, sentant sa langue lui lécher une lèvre, puis l’autre, s’introduire, lui pincer délicatement son intimité entre les dents, tirer dessus comme pour les allonger tout en les mastiquant délicatement, puis lui gober la chatte pour la gouter.
Pierre, la langue sortie, avait le visage collé aux fesses de la jeune fille. La lycéenne se déhanchait de plaisir sous les caresses, feulant comme une bête en quête de jouissance, lorsqu’elle sentait le nez de son partenaire effleurer son petit trou, et sa langue lui écarter la chatte.
Il abandonna la vulve liquéfiée pour, de sa langue agile, remonter lentement lui titiller l’anus, prenant bien soin, au passage, de lécher abondamment la raie profonde de sa partenaire.
Il saliva beaucoup sur le petit orifice avant d’y introduire le bout de son organe et l’entrouvrir davantage. Ses mains étaient crispées sur les fesses rougies de la jeune femme, écartées au maximum pour l’occasion.
Astrid, folle de cuni anal, grognait véritablement de plaisir, soupirait de bonheur et encourageait son amant pour qu’il la fasse jouir, comme ça, comme la truie qu’elle assumait d’être en ces moments-là !
Pierre savait par expérience qu’il lui faudrait bientôt abandonner cette jeune femelle au bord de la jouissance. Elle serait alors prête à faire n’importe quoi pour se satisfaire, pour le plus grand plaisir de ses convives. Cette femelle en rut allait être la surprise du chef, pour ses invités, toujours affamés de sexe de plus en plus extrême.
Après un dernier coup de langue appliqué, il se détacha lentement de la jeune femme, toujours offerte, les fesses relevées, les cuisses écartées.
Debout derrière elle, le sexe long et pendant, il la fessa une nouvelle fois et l’apostropha.
« Redresse-toi salope, j’en ai fini avec toi ! »
« Non, non… pourquoi ? Mon cul ne te plaît pas ? J’ai trop envie… » suppliait Astrid qui se cambrait encore comme pour appeler l’imposante verge de Pierre. Elle se redressa sur ses genoux, pour lui ouvrir grand ses fesses de ses deux mains, en tentant une nouvelle fois de se frotter contre le membre imposant. Il recula pour l’éviter. Il remballa son gros mandrin dans son slip. Puis il se débarrassa de son jean et de son polo, les laissant tomber sur les marches.
En slip, sa grosse queue moulée par le tissu, il attrapa rudement Astrid par les cheveux pour la forcer à se mettre debout, tout en lui glissant l’autre main dans l’entrecuisse saillant.
« Passe devant… descend jusqu’en bas… » ordonna-t-il à la lycéenne obéissante.
Un instant, il l’arrêta devant lui pour descendre le zip de sa jupe de lin, toute froissée.
Elle tomba sur les marches, tandis qu’Astrid, simplement vêtue de son string et de son haut déboutonné, les seins libres et ballotant à l’air, descendait les dernières marches menant au salon particulier.
« Tu veux de la bite ? Tu veux être traitée comme une grosse chienne ? Eh bien, tu vas être servie… »
A suivre...
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