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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Astrid continua de descendre l’escalier, poussée sans ménagement par le gardien. Les voix devenaient plus claires, les soupirs, plus intenses. Elle frémissait de désir, de son orgasme avorté. Elle en voulait encore, elle en voulait le maximum. A ce moment précis, elle était prête à se soumettre à toutes les lubricités possibles. Une vague honte, due à son éducation très stricte, la perturba quelque secondes. Puis elle secoua la tête, se disant :

« Je vais être la pire des chiennes que cette cave aura jamais vue. Ce soir, j’accepte tout… »


Pierre poussa la porte qui fermait l’escalier. Elle s’ouvrit brusquement, offrant une vision de rêve à la jeune fille.

Les sept personnes qu’elle avait comptées dehors étaient là. Et en effet, comme l’avait dit Pierre quand il l’avait trouvée dans sa maison,  Anne ne pouvait pas lui répondre…


Elle était en levrette, empalée sur Teddy, un des deux jeunes hommes en costume (enfin, sans costume à cette minute…), enculée par Monsieur Robert, nu comme un ver. Elle avait aussi la bouche prise. Elle pompait avec ardeur le proviseur, qui semblait au paroxysme du plaisir.


Colette, la prof d’anglais, était allongée sur l‘autre jeune homme au costume, plongée dans un 69 débridé. Son cul s’agitait sous les assauts de la langue du mec.


Un autre homme, assez âgé, qu’Astrid n’avait pas vu entrer, se tenait dans un coin, sa courte mais large bite à la main. Il s’astiquait vigoureusement, regardant à tour de rôle les participants.


Les deux étudiants, Lila et Tom, se tenaient dans un coin. Il était évident qu’ils découvraient ce genre de situation pour la première fois. Elle avait la poitrine à l’air, il lui tripotait les seins, pendant qu’elle le masturbait d’une main distraite…

 

Astrid contemplait la scène, envahie par un désir encore plus fou…

Elle se retourna vers Pierre, et lui cria :

« Baise-moi ! Je veux que tu me baises, que tous ces types me baisent, me prennent par tous les trous. Je veux bouffer Colette et cette chienne d’Anne. »

 

En entendant ces paroles, les participants ralentirent leurs actions, et se tournèrent vers les nouveaux arrivants.

« Messieurs, mesdames, voici Astrid, votre nouveau jouet pour la soirée. Elle est à vous, elle vous obéira, sinon, elle aura affaire à moi ! »


Un grognement de satisfaction monta de la salle surchauffée. Au grand regret d’Anne, elle voulait Pierre avant tout, le proviseur sortit aussitôt sa bite de la bouche de la secrétaire, pour se ruer vers la jeune lycéenne

« Toi, ça fait trop longtemps que je veux te baiser. Je savais que tu étais une petite pute, je l’avais deviné. Maintenant, tu vas me sucer le dard, avant que je te bourre à fond. »


Sans attendre la réponse de la jeune fille, il appuya sur sa tête, la forçant à se mettre à genoux. Elle se retrouva avec la bite déjà rouge face à elle. Sans hésiter, elle goba d’un trait ce dard appétissant. Pierre pesait sur sa tête, pour la forcer à accélérer le mouvement. La bouche aspirait de plus en plus vite le membre qui coulissait à grands bruits de succion. L’homme ne résista pas très longtemps à ce traitement de choc, et dans un grand ahanement, déversa son foutre au fond de la gorge d’Astrid. Elle manqua de s’étouffer, sous la force du jet âcre. Le concierge lui tira alors les cheveux en arrière. Le sperme coulait des lèvres de la gamine. 

« Va embrasser Anne, va lui donner le jus qu’elle aurait du prendre à ta place. »


Sans se faire prier, elle se leva et approcha de la secrétaire. Celle-ci était toujours prise en double pénétration, criant de plaisir et de douleur. Le pieu qui lui déchirait l’anus, celui de Monsieur Robert, avait des dimensions impressionnantes…


Astrid s’accroupit devant elle, et lui enfourna sa langue chargée dans la bouche. Les lèvres s’ouvrirent sans résistance, et aspirèrent la crème qui venait du proviseur. Leur baiser devint passionné, leurs langues se cherchaient, se poussaient, s’aspiraient sans relâche. Ca semblait ne jamais vouloir finir. Astrid, toujours aussi excitée, se masturbait avec les doigts, les enfonçant dans son con détrempé.


Ses gestes n’avaient pas échappé au voyeur. Il vint vers elle, l’œil lubrique. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas baisé de la chair fraiche, lui qui avait plus de 60 ans. Il était prêt à tout pour ça, à toutes les bassesses, toutes les humiliations.

Il fit se relever la jeune fille, et la bascula sur le matelas posé au sol, encore inoccupé.


Elle chuta lourdement sur le dos, avec une grimace de douleur. Ses jambes s’écartèrent naturellement. L’homme se mit entre ses cuisses, sembla hésiter un instant, et finalement, aplatit son visage sur la chatte juteuse. Astrid se cambra de bonheur. La grosse langue lui fouilla le vagin, aspirait au passage le clito bandé comme jamais.


Pierre la regardait, semblant hésiter lui aussi. Finalement, sans la quitter des yeux, il se dirigeât avec Colette, toujours en 69. Il ôta son slip, et son braquemard en jaillit, tel un diable de sa boite. Il se mit à genoux derrière elle, se pencha en avant, et lui écarta les fesses. Elle eut un mouvement de surprise, regarda par-dessus son épaule qui la touchait ainsi. A la vue du concierge, elle eut un sourire de contentement.


« Tu peux y aller, Pierrot, baise-moi la chatte. Carl va te sucer en même temps. »

 

Un grognement de refus de l’homme se fit entendre. Elle lui cloua le bec : « Suce, et tais-toi. Sinon, je t’encule ensuite.»

Il ignorait que ce serait le cas, de toutes façons…

Il obtempéra, et replongea la langue pour aspirer le clito brulant. Pierre ouvrit les fesses, pour bien mettre à jour la chatte pleine de mouille et de salive de la prof. Pas besoin de la lubrifier, il pouvait y aller ! Il se positionna, bien en face du trou accueillant, et jeta son corps lourd en avant. Sous la bascule, la grosse queue entra sans peine dans le con dilaté. Il s’affala sur les deux corps allongés. Il sentait sous lui la langue de Carl lui absorber goulument les couilles.

« Mon salaud, et tu ne voulais pas me sucer ? Tu es une vraie pompe à bites, tu suces bien, continue, j’aime trop ça. » Il accentua ses va-et-vient, s’enfonçant autant que possible dans la chatte de Colette…


Astrid ne perdait pas une miette de ce spectacle. Elle se tordait de plaisir sous les caresses du vieux vicieux. En voyant les deux femmes se faire troncher bestialement à quelques centimètres d’elle, elle se sentit encore plus excitée, si c’était possible. Elle jouit brutalement, et lâcha alors un grand jet de mouille, en pleine figure du vicelard. Elle se lâcha tant et si bien, qu’un autre jet jaillit d’elle.


A sa grande surprise, elle pissait ! Un immense soulagement la prit, elle pissait, dans la bouche ouverte de surprise du vieux. Pourtant, il ne recula pas, s’approchant encore pour boire le liquide odorant. Elle avait en fait très envie de faire pipi depuis un moment, mais elle ne pouvait se soustraire à la bouche experte du lécheur. L’urine coulait des lèvres de l’homme, qui semblait être en extase.

« Ta pisse est excellente, chérie, donne-la moi à boire quand tu veux ! »


C’était une première pour Astrid, mais elle y trouva un certain contentement. Elle s’était lâchée pour de bon ! Pourtant, elle n’était pas satisfaite. Certes, elle avait joui, mais il lui manquait des bites bien profond en elle.

Le tout se passait sous le regard vicieux du proviseur. Il se massait la queue, impatient de baiser cette chatte brillante de cyprine et de pisse tiède. Il bouscula l’homme, pour prendre sa place. Ce dernier protesta faiblement, il n’avait pas encore joui.

Astrid lui dit :

« Viens, je vais bouffer ta bite, pendant que je me fais limer. »

 

Il se ne fit pas prier, et vint se positionner sur le visage de la lycéenne, en appui sur ses bras, pour ne pas l’écraser. Dans le même temps, le proviseur levait ses jambes bien haut, en appui sur ses épaules. Il se cala bien, et présenta son nœud turgescent à l’entrée du sexe affamé de la petite garce. Il la pénétra d’un coup, sa queue glissant sans problème dans la chatte hyper lubrifiée. Sous la secousse, Astrid avala en entier la courte bite du vieux. Elle se mit à le pomper au rythme des coups de boutoir de son baiseur. Ce dernier avait trop attendu, il jouit très vite, au contact des chairs brulantes de la fille. Astrid se sentit frustrée…


Heureusement, Pierre, qui la regardait avec attention, tout en besognant la vieille fille, vint à son secours… Il ordonna au vieux, dénommé Martial, de venir nettoyer la lycéenne. Ce dernier obéit une novelle fois sans protester, et sortit son chibre de la bouche gourmande. Il se rua sur la chatte maculée de jus. Il aspira tout, se régalant de tout ce sperme. Astrid devenait folle, sous cette caresse. Elle adorait qu’on vienne lui lécher le minou plein du sperme d’un autre !

Pierre lui demanda :

« La place est propre ? Je vais venir te baiser, tu mérites ma grosse queue… 

- Oh oui, viens me défoncer pour de bon ! Celui qui vient de me baiser avait une trop petite bite, il a joui trop vite. Je veux être possédée pour de bon ! Viens me défoncer le fion !!! »


Ces dernières paroles firent bondir le gardien, qui se retira de Colette. Il dit au jeune mec qui les léchait de venir baiser la prof d’anglais :

« Tiens vas-y, la place est chaude. Elle veut de la bite, cette vieille pute !!! »


Carl ne se fit pas prier, fit rouler Colette sur le dos, et la pénétra sans ménagement. Sa chatte était bien dilatée par le gros sexe sui venait de la ramoner. Comme il se sentait un peu au large, il enserra sa hampe de ses doigts, et rentra le tout dans le con béant de la femme. Inouï : il la baisait et la fistait en même temps !!! La prof adorait ça, et n’en pouvait plus de crier son plaisir.


L’autre jeune homme, Teddy, qui était sous Anne, n’en croyait pas ses yeux !!!

Il continuait de limer furieusement la secrétaire, toujours embrochée sur les deux sexes. Pourtant, elle appela le jeune Tom : 

« Viens, je veux te sucer ! Il faut que tu voies comment une vraie femelle suce. Lila, prends une leçon, regarde-moi le sucer ! »

Les deux jeunes s’approchèrent timidement. Pourtant, la queue de Tom sembla se raidir et prit du volume. Anne l’empoigna et fourra cette jeune bite dans sa gorge. Là, elle semblait enfin satisfaite, prise par tous les trous !

 

Pierre arriva près d’Astrid, la fit se relever, tourner à genoux, et la prit en levrette. Il admirait le cul blanc et ferme, qui se trémoussait, avide de sa grosse bite gonflée du désir qui le tenait depuis de longues minutes déjà. Sans hésiter, et sans ménagement, il enfourna son pieu au tréfonds du vagin de la jeune fille. Sous la poussée brutale, elle laissa échapper un cri :

« Aie, tu me fais mal ! Oh non, maintenant vas-y, défonce-moi, éclate ma chatte de pétasse !!! J’aime ta queue, ta putain de grosse queue !!! »


Il la besognait si violemment qu’il devait la retenir par les hanches, pour qu’elle ne tombe pas en avant. La fin ne se fit pas attendre. Astrid sentit tout son corps secoué par un orgasme géant, qui la laissa à demi-inconsciente. Pierre vida ses couilles dans la chatte boursouflée de la fille. De longues saccades la remplirent.


Une fois de plus,  il fit appel au « nettoyeur de chattes », Martial. Il arriva au plus vite, et entreprit de manger la crème, alors que le mandrin de Pierre était toujours en place. Ses derniers coups de reins faisaient déborder le jus, dont le vieux semblait se délecter.

Décidemment, il ne reculait devant rien, pour avoir le droit de baiser des jeunes…

Sous la langue experte, Astrid reprit ses esprits. Elle venait de se faire défoncer comme rarement, et pourtant elle en voulait encore !

« Personne n’a m’a encore sodomisée. Je veux être prise par tous les trous… Je veux tout, aujourd’hui, le pire du pire… » pensa-t-elle.


Martial la supplia du regard. Elle comprit, et lui dit : « Ca va, tu me peux me baiser, mais fais-vite, je veux du vrai mâle ! » Il obtempéra et pénétra la moule plus que béante. Il aurait pu y entrer deux bites…

Ce que ne manque pas de remarquer le proviseur… Il revint vers eux :

« Vu comme elle est ouverte, la garce, elle peut bien en prendre deux !!! »

 

Il obligea Martial a quitté le fourreau élargi, lui dit de s’allonger au sol. Sans ménagement, il indiqua à Astrid de venir s’empaler sur la vielle queue ridée, mais encore vaillante. Elle obtempéra sans ciller, et vint s’assoir sans problème sur la bite, cul tourné vers le proviseur. Il la fit se pencher en avant, et se positionna derrière. Il agaça un instant l’anus, mais pour le moment, il voulait prendre sa chatte en double. Malgré la place occupée par Martial, il mit sans problème ses doigts dans la chatte, pour en évaluer la largeur. Avec un grognement satisfait, il les retira, et présenta sa belle hampe dure contre l’autre bite. D’un coup, il la pénétra.


Astrid gémit sous la double poussée. Mais elle était aux anges ! Enfin, elle était bien bourrée, bien pleine !!! Cette sensation des deux bites qui allaient et venaient en elle, c’était magique ! Elle leur fit savoir bruyamment :

« C’est bon, vieux cochons, baisez-moi, baisez-moi bien, défoncez ma moule de salope !!! Je veux vous sentir cracher votre foutre bien chaud !!! Baisez-moi à fond, j’adoooooooore !!! »


Très près de là, Tom en train de se faire sucer par Anne, ne perdait pas une miette de ce spectacle. Il avait les yeux hors de la tête. Lila se branlait furieusement. En voyant cela, Pierre, en bon maitre de cérémonie, donna ses ordres :

« Va t’assoir sur la figure de cette salope de Colette, elle va te sucer ! »


Colette, sur le dos, toujours défoncée par Carl, tenta de protester :

« Non, je ne veux pas lécher une femme… 

- tu lècheras jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ou alors, tu seras punie : plus de baise, plus de queues et de bites pendant un mois… Et tu sais bien que tu ne peux te faire tringler que chez moi ! »


A ces mots, Colette rougit, et se tut. Lila vint  positionner sa vulve excitée sur la bouche de la vieille femme. Jamais personne ne lui avait fait cela. Colette explora activement toute l’intimité de la jeune fille. Sous cette nouvelle caresse, elle ne tarda pas à lâcher un flot de cyprine sur le visage de Colette. Elle jouit bruyamment, se tourna vers Tom, et lui lança, à la grande surprise du jeune homme :

« Laisse cette garce, vient me baiser, je veux de la jeune bite !!! »


Il ne se fit pas prier, cela faisait des mois qu’il voulait sauter la lycéenne. Elle s’accouda au dossier du canapé, la chatte exhibée à la vue de Tom. Sans attendre, il pointa son nœud à l’entrée de la grotte, et d’un coup de rein rageur, la pénétra brusquement. Il la limait profondément, au plus grand plaisir des deux jeunes amants.

 

Le spectacle était grandiose ! Vous seriez là, vous verriez tout ce petit monde en train de se tringler, troncher, baiser, enculer, défoncer, sucer…

Carl finit par jouir, et pour se nettoyer, vint fourrer sa bite à moitié débandée dans la bouche de Martial, toujours à besogner Astrid, en rythme avec le proviseur. Lui aussi déchargea son foutre au fond de la moule visqueuse. Quand Carl fut propre, il se fit sucer lui aussi par le vieux.

Pierre, toujours l’œil à tout, dit à Astrid de se relever, pour que Martial la nettoie aussi. Une fois encore, il tenta de protester car il n’avait toujours pas joui, mais Pierre lui intima l’ordre de se taire : « Tais-toi, lèche, nettoie, tu jouiras quand je l’aurais décidé ! »

Obéissant, Martial nettoya bien le vagin d’Astrid. A vrai dire, il aimait beaucoup le foutre…


A partir de ce moment-là, tout dégénéra encore, si c’était possible. Tous les acteurs de cette belle partouze se retrouvèrent mêlés dans tous les sens possibles :

Carl suçait Pierre, debout à coté de lui, et enculait Anne. Teddy, s’activait sur la bite molle de Martial, Anne était bien léchée par Astrid, qui elle-même était enfin défoncée, sodomisée à fond par l’énorme bite de Monsieur Robert.

« Ah, si j’avais su qu’il était monté comme un âne, je l’aurais dragué bien avant ! Vivement les prochains cours, je vais le faire chanter ! Il devra me baiser quand et comme je le voudrais, ce cochon vicelard. Je veux que cet énorme pieu me déchire de partout… Le pied serait celle de Pierre en même temps…», pensa-t-elle, encore plus excitée par ses pensées lubriques.


Lila, toujours baisée par Tom, se pencha en avant pour pomper Pierre. Pierre, qui bientôt, ordonna à la gamine de venir s’empaler sur sa grosse hampe, pendant que Tom tenterait sa première sodomie.

 

Je ne peux pas tout vous raconter : tout le monde est aux prises avec tout le monde, hommes, femmes, tout le monde se baise et se suce. Une orgie phénoménale, qui dura des heures encore… Elle se finit par une apothéose, dont Astrid rêvait depuis le début : se faire prendre par tous.

Pierre la fit allonger sur un matelas, posé sur le sol. Il lui lia les poignets, attacha ses jambes aux chaises restées à proximité. Elle était là, écartelée, offertes à tous. Chacun à tout de rôle vint la baiser bien profond, pendant qu’elle suçait le mandrin de Pierre. Il ordonna aussi aux femmes de venir la lécher : Anne, Colette, Lila.

Astrid jouissait presque sans arrêt, sous ces pénétrations brutales, et les caresses lascives des femmes. 

 

Quand tous se furent soulagés une dernière fois dans ce vrai garage à foutre, Martial vint une dernière fois avaler tous ses spermes mélangés, boire la pisse de la lycéenne, qui en avait encore eu envie.

 

Et Pierre, royal, arriva près d’elle avec un gode monstrueux, comme Astrid n’en n’avait jamais vu, gros comme un avant bras. Elle eut un hoquet de surprise et d’envie… Il la détacha, la mit en levrette, enfonça sans problème le gode démoniaque dans la chatte béante. Puis il lécha la rosette de la jeune fille, pour la préparer à l’ultime défonce. Quand elle fut bien lubrifiée, il immobilisa la gamine, qui se tortillait sur le gode, prit son élan, et défonça l’anus palpitant. Il enfonça sa grosse bite en entier au fond des jeunes entrailles.

Les autres étaient effarés par cette double pénétration quasi irréelle. Seule Astrid hurlait des mots incompréhensibles.

 

Elle n’était plus qu’une marionnette dans les mains d’un baiseur de haut-vol. Et elle aimait.

« Ce soir, je suis la pire des putes, la pire des salopes. Je suis une pompe à bites, à foutre. Je suis la chienne en chaleur la plus garce que cette ville ait connu !!! Et j’aime ça ! »

 

A cette ultime pensée, elle poussa un tel hurlement, qu’il surprit les autres, et eu un orgasme phénoménal… Pierre se déchargea aussi dans son cul, qui déborda, une fois de plus… La fête était finie.

En tout cas, Astrid garda cette journée gravée dans sa mémoire, et n’avait de cesse que de recommencer ces orgies démentielles, où plus aucun tabou n’existait…


Cette histoire s’est déroulée au début des années 80, en un temps où le mot « Sida » n’existait pas. C’est pourquoi je ne parle pas de capotes… Mais si vous en faites autant, protégez-vous ! On ne joue pas avec sa vie pour quelques instants de baise, même géante !!!

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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