Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Parfois, j’ai encore des fantasmes non assouvis. Je vais vous raconter l’un de mes préférés.
Je suis devant la maison pour dire au revoir à mes enfants qui partent en bus à l'école. Le camion des éboueurs est arrivé juste au moment où, par mégarde, j'ai laissé tomber mon trousseau de
clés. Dans la chute, l'attache s'est cassée, éparpillant toutes les clés par terre.
Je m'étais accroupie pour les ramasser une par une. Lorsque j'ai relevé la tête, le camion s'était arrêté à hauteur de notre maison.
Je me suis alors aperçue que, pendant que l'un d'entre eux se chargeait de vider notre poubelle dans le camion, les trois autres étaient devant notre portail, sans bouger, le regard pointé sur
mon décolleté car je ne portais pas de soutien-gorge, juste un petit débardeur noir qui baillait. Ceci leur permettait de mater intégralement mes seins, et cela faisait bien une minute que je me
trouvais dans cette position.
J'ai remonté le tissu sur ma poitrine, plus intimidée qu'en colère. Les trois hommes, surpris, baissèrent leur regard, sauf l'un d'eux qui me toisait de haut en bas, un sourire en coin.
En fait, ma position accroupie avait fait descendre mon jeans, et il pouvait mater mon string noir qui dépassait de la ceinture…
Instinctivement, j'ai jeté un regard sur son bas-ventre et je me sentis rougir car son pantalon un peu étroit laissait deviner ses parties très volumineuses.
« Eh bien, puisqu'ils sont en forme, pourquoi n'en profiterais-je pas », pensai-je !
Prenant mon courage à deux mains je les regardai droit dans les yeux, les fixais durement, la bouche ouverte et avec une moue de dédain.
« Bonjour, je sais que vous êtes des habitués de ce quartier, leur dis-je, que diriez-vous d'une tasse de café pour bien commencer la journée ? », alors que leur collègue ramenait la
poubelle vide.
Les quatre hommes se regardèrent en se demandant s'ils n'étaient pas en train de rêver.
Le ventru, apparemment plus âgé que les autres, s'avança vers moi, un peu méfiant.
« Je suis le chef de cette équipe. Je m'appelle Franck. Je vous remercie madame, mais nous allons être en retard dans notre tournée. »
« Allons, allons, vous n'allez tout de même pas me dire que c'est tous les jours qu'une femme vous invite à prendre cinq minutes de pause chez elle », répliquai-je en me cambrant encore
un peu plus, rajustant mes cheveux tout en me mordant légèrement la lèvre inférieure.
« C'est bon les gars, Yamin ferme le camion à clef, et toi Hassan, rentre la poubelle dans la cour, on finira après », commanda Franck sur un ton autoritaire.
« Bon et bien suivez-moi ! » dis-je en tournant les talons et en prenant bien soin de rouler les hanches.
Ils entrèrent dans le salon, retirèrent leurs combinaisons, et ne me quittèrent pas des yeux pendant que je préparais le café.
Une fois le café servi, ils se mirent à discuter. Je leur expliquai que je ne voyais pas grand monde et que c'était un plaisir pour moi de leur offrir une petite pause.
Un black me fit asseoir à coté de lui, et je me débrouillai de façon à ce que mon débardeur, tendu par mes mamelons érigés, frôle sa chemise. De ma main droite, je me suis mise à lui caresser sa
cuisse, tout en passant ma langue sur mes lèvres…
C'est là que je m'aperçu que ce salaud avait déjà ouvert sa braguette, de laquelle dépassait son sexe déjà bien enflé.
« Je suis une bourgeoise en manque, abandonnée par son mari. Alors, pour une fois que je peux me faire doser par de vrais mâles, je suis à vous… Faites-vous une bonne
salope ! »
Ce disant, je retirai mon débardeur et mon jeans, ne restant vêtue que de mon string en dentelle noire.
Hassan et Yamin, qui n'arrivaient plus à se contrôler, avaient descendu leur pantalon jusqu'à mi-cuisse et se lissaient le sexe d’une main énergique.
Je me penchai en direction de Mamadou, lui empoignant son chibre, et tirai sur le prépuce pour faire apparaître un gland rouge, gorgé de sang.
Je passai la pointe de ma langue le long du bâton dressé, et m'arrêtai sur le méat avant d'enfoncer la tige dans ma bouche pour la faire coulisser. Simultanément, la taille du membre me donna
envie de vomir. Pourtant, la satisfaction procurée par les couinements qui sortaient de la gorge de l'homme, ainsi que les tremblements qui animaient ses cuisses, me faisaient supporter cette
nausée.
« - Oh putain c'est pas vrai ! Vas-y salope, suce ! »
Je sentis son gland enfler et m'empressa de le recracher avant qu'il n'explose.
L'africain me saisit par les hanches pour me prendre en levrette, mais je le repoussai :
« Tout doux, tout doux mon ami, tu n'es pas tout seul, chacun son tour ! »
J'apostrophai le maghrébin :
« Tu as de belles couilles toi ! Arrêtes de te branler ! Tu as envie de te faire une belle blanche, non ? Alors va te coucher sur le divan, j'arrive. » Il
s'exécuta aussitôt et je vins m'asseoir à califourchon sur lui.
Son sexe bandé pénétra sans difficulté dans ma chatte baveuse que l'excitation, de me faire bientôt ces quatre mâles bien montés, avait remplie de mouille…
Hassan m'empoigna les fesses et commença de brutaux va et vient. Je sentais les regards des trois autres sur mon cul et ma chatte dans laquelle s'enfilait profondément un gros mandrin. De me
savoir ainsi matée catalysa mon excitation, et j'étais soudain pressée de vivre un premier orgasme !
« Claque-moi les couilles au cul, je suis ta femelle pour encore quelques minutes, alors vide-toi bordel ! », dis-je au Marocain.
Mes paroles produisent aussitôt l'effet escompté. Il accélère le mouvement et alors que les spasmes envahirent mon vagin, je sentis la chaleur de son foutre qui se répandait en moi.
« Allez, on va pas y passer le réveillon » dit Yamin. « Viens Mamadou, on va se la prendre à deux, cette pute. Elle veut se faire troncher à fond, elle va pas être déçue du
voyage ! »
Yamin me renversa sur le coté afin que je lui fasse une pipe pendant que Mamadou, que j'avais déjà sucé auparavant, s'agenouillait entre mes cuisses pour me lécher la moule. Il colla sa bouche
sur l'orifice béant, tout en plaquant ses deux mains sur mes fesses douces, avalant par la même occasion le sperme de son collègue qui dégoulinait encore de mon con.
Puis il se positionna entre mes jambes pour enfoncer progressivement son sexe dans ma vulve, et ce, jusqu'à la garde.
Il plaça ensuite ses mains calleuses sur ma chair blanche afin de m'écarteler davantage les jambes, et il commença à me pistonner violemment.
Moi, je suçais toujours Yamin, qui semblait bien maîtriser ses sensations... Sa hampe était courte mais épaisse, et son gland était râpeux et décalotté.
Que c'était bon de se faire prendre sauvagement par une grosse bite de black pendant que j'en suçais une autre !
J'étais aux anges !
Puis ils inversèrent leurs positions. Mamadou vint me coller sa bite recouverte d'un cocktail de mouille et de foutre dans la bouche… alors que Yamin m'enfilait son rondin dans mon sexe
béant.
Hassan était venu s'installer à coté de nous pour ne pas perdre une miette du spectacle. D'ailleurs, ça devait lui faire de l'effet car sa hampe avait retrouvé une nouvelle vigueur.
Quant à Frank, le chef, confortablement installé dans un fauteuil derrière nous, matait la scène en s'astiquant la verge comme il devait le faire de temps en temps devant des films porno.
Après avoir excité le gland de Mamadou avec quelques coups de langue, je creusai mes joues afin d'accentuer la succion autour du membre dur, tandis que je lui caressais l'intérieur de la
cuisse.
Il n'en fallu pas davantage pour que l'éboueur déverse son flot de liqueur que je m'appliquai à avaler, alors qu'une longue plainte sortait de sa gorge. Yamin, voulait aussi jouir dans ma bouche
et s'installa sur le canapé. Je m'agenouillai devant lui pour l'engloutir… exposant en même temps mon arrière train à la vue de Franck, que cette perspective stimula.
« On ne lui a pas encore exploré le sens interdit, dit-il. Ton mari t'encule parfois ? » Ayant la bouche pleine, je ne pus lui répondre que j'étais vierge de ce coté là…
Mais déjà, il m'avait attrapé par les hanches et je sentais son gland qui me forçait la rondelle élastique sans ménagement, afin de s'immiscer dans l'étroit passage. Une fois la porte franchie,
il continua sa progression, me procurant un mélange indéfinissable de douleur et de plaisir, sensation toute nouvelle pour moi.
« Tu es belle, bordel, et qu'est-ce que tu es bonne ! »dit-il.
« Ton cul est bien étroit, il n'a pas du être visité souvent. Attends un peu, je vais te roder tout ça ! »
Je me sentis humiliée d'être ainsi à la merci de ce rustre, mais cela m'échauffa en même temps les sens.
Le sexe de Yamin toujours en bouche, j'ouvris les mâchoires pour pousser une série de cris perçants, jusqu'à ce que Franck se cambre en arrière, les ongles plantés dans la chair de mes hanches.
D’un coup, il déverse sa semence dans mon intime orifice, m'arrachant ainsi des sensations jamais ressenties auparavant. Cela provoque illico un second orgasme.
Puis il se relâcha, la respiration et les jambes coupées, et retira son sexe, le regard dans le vide, vexé de ne pas avoir été plus endurant.
« Sale roulure, si j'étais ton mari tu recevrais une sacrée volée, je te le garantis, espèce de salope ! dit-il d'un ton vengeur. Il faut se manier un peu les gars, sinon on va réellement se
mettre en retard. Toi, la chienne ne bouge pas ! »
Jamais personne ne s'était adressé à moi sur ce ton là ! Ce serait le premier et dernière fois !
« Mamadou, je suis sûr que tu n'as jamais pris une femme par le cul. Viens remettre le couvert ! La place est chaude et la voie est tracée. «
Connaissant la dimension du sexe du noir, j'eus soudainement peur qu'il ne me déchire et voulus me dégager.
Mais le chef me tint fermement pendant que l'africain se précipita pour prendre la place de son compère. Il saisit son sexe de la main droite et me l'introduit dans le conduit rectal. Il
m'arracha un hurlement de douleur qui me fit contracter les muscles anaux afin d'expulser cet énorme intrus. Mais ces contractions se transformèrent progressivement en un étrange plaisir qui me
fit perdre toute inhibition.
« Sale putain de blonde ! » éructa-t-il. « Ca te plait de te faire enculer par un black, avoue ! » Quelques va et vient suffi ent pour qu'il se vide dans un dernier coup de
reins et en poussant un grognement sourd, la mâchoire crispée. Puis il extirpa son sexe et recula, encore abasourdi par sa jouissance.
Au bord de l'apoplexie, je voulus me relever, mais déjà Hassan se positionnait derrière moi pour, lui aussi, explorer la partie la plus intime de mon corps. Frank me prit par les cheveux pour me
forcer à rester en position pour le recevoir. J’avais toujours la bite de Yamin dans la bouche, qui m’étouffait à moitié…
Mon cul encore vierge il y a quelques instants était maintenant un large boulevard lubrifié par les vidanges des deux premiers visiteurs. Il reçut donc sans difficulté le manche du troisième
larron. Ce devait être une découverte pour lui, les musulmanes ne pratiquant que très rarement la sodomie.
« C'est ce que tu voulais, hein ! Lime bordel, montre ce que tu as entre les jambes, si tu n'es pas un minable, » lui dis-je provocante !
Fou de désir et de rage, il me saisit par les hanches et les coups de boutoir ont commencé à pleuvoir, de plus en plus rapides et de plus en plus forts, me martyrisant le fragile intestin.
Franck, qui était à coté, l'encourageait avec des paroles salaces.
« Vas-y, défonce lui le cul, à cette chienne, cette bourgeoise qui joue les mijaurées ! Vas-y à fond, mets-la lui profond pour qu'elle se souvienne longtemps encore de notre
passage. »
Instinctivement, j'imprimai le même rythme à la succion de la bite de Yamin, qui ne résista pas longtemps à ce traitement et me déchargea en de longs jets brûlants, sa purée âcre, au fond de la
gorge.
Puis, le contact avec ma langue lui devenant trop insupportable, il se retira de ma bouche et partit s'installer dans un des fauteuils.
Le marocain en profita pour changer de position et me demanda d'empaler ma rondelle sur son chibre d'ébène.
En quelques coups de reins, il fut à nouveau en action dans mon cul.
Ses coups de bite s'accélérèrent. Il haletait, soufflait. Puis, brusquement, il se pétrifia, et se vida en plusieurs giclées puissantes au fond de mes entrailles.
« Bon, ben, on va peut-être y aller maintenant ! », déclara Franck, en enfilant sa tenue d'éboueur.
« Toi, salope, je crois que l'on va se revoir bientôt. Mon beau-frère travaille comme contremaître, sur un chantier, dans la zone industrielle. Les ouvriers viennent de partout, seuls, et
logent dans des baraquements sur place. Je suis sûr que tu vas m'appeler bientôt au centre technique pour que je t'emmène jouer l'inspectrice des travaux finis sur place. Je t'attends. J'imagine
déjà leur tête quand tu te pointeras.
- Ca, c'est moi qui décide ! Répliquai-je, en tapotant la joue du jeune Marocain.
- Ah j'oubliais, s'exclama Mamadou en passant la porte, encore merci pour le café ! »
Les regardant partir, je fis le bilan de ce petit intermède : j'avais eu trois orgasmes et pris trois salves dans mon cul vierge jusqu'à ce jour, j'avais avalé deux fois et m'étais fait inonder
la chatte de litres de sperme….
Pas mal pour une première expérience du genre… En attendant de me rendre au chantier !
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