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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

C’est il y a quelques mois que nos relations avec ma femme Lucie et moi Karl n’ont plus été les mêmes. Ce jour-là, lors d’une balade sans but précis avec ma femme, nous tombâmes sur un club échangiste que nous ne connaissions pas. Il était ouvert et n’ayant rien à faire nous décidâmes d’y entrer.

Dans ce club, après les vestiaires, on passe obligatoirement par le bar. Il était impossible de ne pas voir une blonde agenouillée qui suçait un black confortablement assis dans un fauteuil. Nous nous installâmes un peu plus loin, et remarquions qu’un autre couple regardait la scène, elle une belle brune, la trentaine, et lui la cinquantaine bedonnante. Un peu plus loin, une grande rouquine ne perdait rien de la fellation.

Le noir dit quelque chose à la blonde, qui se releva aussitôt, puis fit un signe à la rouquine, qui prit instantanément la place. Sachant que l’un des grands fantasmes de ma femme est de faire l’amour avec un noir, je lui chuchotais à l’oreille : « Tu aimerais bien être à sa place, non ? »

Elle rit, et continua à siroter son whisky coca. Puis la blonde apporta un verre au black, qui lui pelota les fesses pour la remercier, une claque sur la croupe lui intima l’ordre de disparaître. Tel un pacha, il buvait à petites gorgées pendant que la rouquine suçait goulûment son énorme sexe. Il lui fit lécher ses couilles, puis sucer à nouveau sa bite. Docilement, elle exécutait tous ses caprices.

Il lui dit quelque chose, et comme la blonde, elle se releva et il fit un signe à la brune, qui se précipita pour ouvrir une large bouche. Elle engloutit ce membre qu’elle convoitait depuis un bon moment.

Comme tout à l’heure, la rouquine lui apporta un verre, il lui doigta l’anus pour la remercier, puis lui fit sucer son doigt et, d’une tape sur les fesses, lui ordonna de s’éloigner.

Comme avant, il buvait à petites gorgées, la brune le suçait avidement. Je demandais à ma femme : « S’il te fait signe, tu y vas ? »

 

Elle me répondit : « D’après toi ? »

La brunette s’appliquait sur sa fellation, quand ma femme me dit en souriant d’un air complice : « Demande lui s’il veut venir dans une cabine. »

Je me levais pour lui faire ma requête.

Pendant ce temps, ma femme partit chercher une cabine libre. Ma demande l’intéressa et il dit à la fille : « Allez, c’est fini, j’ai une urgence. »


Il me suivit et je le fis entrer. Mais au moment où moi, j’allais entrer, ma femme me repoussa en me disant : « Toi, tu attends à la porte. »
Je fus surpris, c’était la première fois qu’elle me parlait ainsi, avec autant d’autorité. Nous avions eu quelques expériences de trio, mais à chaque fois je participais.

Ma femme étant directive, je savais qu’il était inutile d’insister. Un peu revenu de mes émotions, je me précipitais dans la cabine d’à coté.

Hélas, pas une ouverture, pas même un trou minuscule me permettant de voir la scène… J’entendais seulement des gémissements de plaisir.

J’attendais depuis un bon moment dans la cabine, quand je repris tout à fait mes esprits et décidais de visiter le club.

Deux cabines plus loin, j’observais une scène étrange : un homme obèse et dégarni léchait les pieds d’une femme mure encore bien conservée qui, elle-même, suçait avidement un jeune black.

En retournant vers le bar, j’aperçus la blonde et la brunette en train de se gouiner et, dans un coin du bar, la rouquine taillait une pipe au mari de la brunette. Je décidais donc de prendre une consommation au bar, pour bien mater toutes ces scènes très excitantes.

 

Le barman m’appris que le black, c’était un antillais qui s’appelait Dominique. Ici, c’est un dieu, toutes les femmes en sont folles. Il est capable de combler une douzaine de femmes dans la nuit. Ce n’était pas pour me rassurer. De plus, la façon dont ma femme m’avait jeté me chagrinait et je gambergeais dur.

Je décidais de retourner voir si ils avaient fini, à peine arrivé à la cabine, la porte s’ouvrait et ma femme me dit : « Nous allons au bar, commande une bouteille de champagne. »

 

Je revins avec un magnum et trois coupes, j’allais commencer à servir la troisième flûte quand Lucie retourna la coupe et me dit : « Toi, ton champagne, il est là… », en écartant les cuisses. Sa chatte dégoulinait du sperme de Dominique.

J’étais ébahi tellement il y en avait. Mais ma femme insistait : « Allez, lèche-moi la chatte. »

Je m’exécutais et léchais sa chatte ruisselante de foutre tiède. Quand Lucie me dit : « Alors chéri, il est bon le sperme de Dominique ? »

Mais elle m’empêcha de répondre en m’appuyant. « Continue de lécher ! Je ne t’ai pas dit d’arrêter ! »

J’étais terriblement humilié, Lucie le sentait et prenait plaisir à augmenter la dose par ses commentaires du genre : « Jamais un homme ne m’a comblée comme toi, Dominique » Ou : « J’aime bien ta façon de me caresser les seins, tu as les mains douces. »

Elle finit pas jouir sous mes coups de langue insistants. Finalement, j’aimais bien ce gout un peu âcre…

 

Je les entendais se bécoter quand Lucie me dit, en repoussant ma tête de la main : « Ca suffit ! Sers-nous du champagne. »

Pendant que je servais, Lucie masturbait Dominique qui appréciait car son énorme sexe gonflait à vue d’œil. Ils trinquèrent tous les deux, s’embrassèrent sur la bouche et se levèrent. Aussitôt ma femme m’intima : « Toi, tu restes ici ! »

Ils disparurent vers les cabines. Tel un automate, j’obéis, une fois de plus. J’étais abasourdi : jamais Lucie ne m’avait traité comme ça.

 

Je ne sais depuis combien de temps j’étais assis sur le canapé quand l’obèse, sa femme et le jeune black s’installèrent presqu’en face de moi.

L’obèse tenait la main de sa femme quand celle-ci se faisait baiser par le jeune black puis il entreprit de la sodomiser. Il la besognait profondément, agrippé à ses hanches rondes. Il poussait des ahanements de forçat, et, dans un gros râle, il finir par jouir dans son cul éclaté.

Presque dans le même temps, elle eu un violent orgasme, qui la secoua des pieds à la tête.

L’obèse se contentait de regarder sa femme prendre du plaisir, et quand celle ci fût contentée par son jeune amant, elle tendit un pied. L’obèse se précipita pour lui lécher les orteils.

 

C’est au même instant que Lucie et Dominique revinrent. Aussitôt installée, ma femme m’ordonna : « Sers-nous encore du champagne ! » Sans plus s’occuper de moi, elle roucoulait avec son amant, le branlant amoureusement, quand ils prirent conscience de la scène qui se déroulait juste devant leurs yeux.

La femme leur adressa en riant : « Un amant vigoureux pour satisfaire votre sexualité et un mari soumis pour satisfaire vos caprices : c’est le cocktail idéal pour nous les femmes ! »

 

Lucie répondit : « C’est agréable de se faire lécher les pieds ? »

« Oh, très agréable, c’est génial ! »

Aussitôt, ma femme m’ordonna d’un ton sec : « Tu as entendu, aux pieds ! »

J’étais dans un tel état de trouble que je m’agenouillai et léchai ses pieds sans discuter.

 

Les deux couples sympathisèrent et ma femme les invita à prendre un verre à la maison. Pendant le chemin du retour, je fis office de chauffeur, Lucie suçait Dominique sur le siège arrière.

A la maison je repris mon emploi de « domestique. » La soirée se termina tard. Pendant des heures, sous mes yeux et ceux de l’obèse, convié à mater, ils baisèrent tant et plus, les femmes réalisant tous les caprices des deux blacks.  Ils les prirent dans toutes les positions, leur défoncèrent le cul avec des sodomies profondes. Dire que ma femme me l’avait toujours refusé, sous prétexte que mes 15 cms lui faisaient mal ! Là, elle en prenait 22 en criant de plaisir ! Les femmes leur offrirent un beau spectacle de 69, se léchant leurs minous dégoulinant de tout le sperme reçu de ces mâles en rut. Moi, je ne pouvais rien faire, juste me branler comme un fou devant ces  scènes de sexe hard, pire que dans les films X. Ma femme était devenue une vraie salope, une chienne en chaleur, que les saillies successives ne calmaient pas du tout !

Après plusieurs heures de baise intense, ils finirent par tomber par terre, épuisés.

 

Ma femme m’ordonna alors: « Moi je vais me coucher avec Dominique, toi, tu dormiras dans la chambre d’amis, mais avant, tu ranges tout, et pour demain c’est petit déjeuner au lit avec pain au chocolat et brioches chaudes. »


A partir de cette soirée, tout changea entre ma femme et moi.

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : sexblog
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