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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Mon amie Carole est venue me raconter son aventure, sur une belle plage de nos côtes équatoriales… Plage de rêve, sable blanc et cocotiers qui se balancent au vent des alizés…

 

Sans méchanceté, je peux dire que Carole est une femme ordinaire, cheveux aux épaules d'un brun noisette, les traits un peu tirés. Elle s'occupe de son corps en allant faire du sport en salle trois fois semaines, mange bien et prend un peu de soleil sans exagérer.

Ses yeux sont noisette, mais très rieurs. Elle travaille dans une compagnie d’assurances. Les cheveux toujours attachés pour une simple raison de commodité. Une femme comme nous toutes, qui a espoir d'une vie excitante et fantasque. Mais la vie, les responsabilités et la vision de la société viennent nous mener par le bout du nez 99 % du temps.

Un soir, après une grosse journée de travail, elle décide de sortir et d'aller se promener dans la nuit mystérieusement enivrante et torride de notre belle région.

Elle porte une jupe longue qui descend jusqu'aux pieds et un chemisier blanc mi-ouvert, légèrement transparent. Elle marche sur le bord de l'eau, en regardant le coucher du soleil qui rend le ciel d'un rose flamboyant. L'eau est d'une couleur turquoise transparente et chaude, l'implorant de mettre seulement une partie de son corps en elle. Les vagues caressent ses pieds, comme le ferait un amant gourmand et vigoureux qui la prendrait de tout son être.

La mer, en quelque sorte lui fait l'amour encore et encore, chaque vague vient effleurer son être profond. Le vent se mêle à sa chevelure trempée par l'eau salée, mais aussi par la sueur que son corps dégage, dûe à la caresse sensuelle du vent humide des pays tropicaux.
Quelques gouttelettes d'eau viennent se déposer sur sa chemise, et le tissu lui colle à la peau. La chaleur enveloppante vient contribuer à l'augmention de sa gourmandise et de son imagination sexuelle qui l'obsède depuis un certain temps.

Un petit coup de vent vient exciter le bout de ses seins qui transpercent le tissu de son haut. Ses lèvres se gonflent et atteignent une couleur rouge vermillon.

Elle sort sa langue très légèrement pour humecter ses lèvres, pour facilité le glissement encore et encore de ses doigts, qui valsent au gré des battements de son cœur. Tout en penchant sa tête par derrière, elle descend sa main très lentement vers son cou pour enlever la sueur mais aussi pour ressentir la sensation de son corps qui brûle sou ses doigts. Sa main descend jusqu'à l'atteinte de son buste continuant à caresser encore et encore d'un coté à l'autre.

Des palmiers qui bougent au rythme du vent chaud du sud, du sable blanc qui lui glisse entre les orteils, la senteur de fleurs exotiques qui tourbillonnent autour d'elle et un regard vigoureux au loin dans l'abandon du coucher du soleil.

Un regard qui l'attire, même si la seule chose visible à cette distance est une silhouette sombre. Pourtant, de l’apercevoir au loin, Carole ressent une passion qui l'enflamme. Elle s'avance dans un roulement de hanches, les pieds effleurant le sable humecté, allant vers l'inconnu dans la nuit qui s'annonce torride…

L'inconnu se déplace lentement vers la mer. Elle le regarde s'avancer à une vitesse qui semble prendre une éternité. Arrivé près de l’eau, l'inconnu s'incline pour s'humecter les mains. Après avoir pris de l'eau de ses mains viriles, il lève ses bras musclés pour enduire ses cheveux d'un noir ébène de ce liquide chaud et salé. Il a une tignasse tombant sur les épaules, frisée et soyeuse. Il relève d'un seul mouvement énergique tout son corps, et se tourne vers elle.

Carole distingue dans le soleil couchant les lèvres pulpeuses qui semblent l'appeler. Des yeux en formes amande d'une couleur vert émeraude projettent des éclats de lumière qui la font vibrer. Il est grand, musclé, bronzé et affamé.

Il ya comme une connexion sexuelle entre cet homme inconnu et Carole.

 

Elle se demande si c'est un rêve, ou si c'est vrai, si c'est une occasion unique qui ce présente… Un inconnu, une plage déserte, un coucher de soleil magique et un homme attirant sur son chemin : une seule chance de sortir de la routine exaspérante...

Arrivée à quelque centimètres de lui, les cheveux au vent, les lèvres brûlantes d'envie de le goûter, de le toucher, elle reste là, ne disant rien, et regardant le visage de cet inconnu.
Sans aucun mot, il la soulève dans ses bras, elle sent son corps entier le toucher, s'imbiber de lui. En un moment, elle perd tout sens de la réalité. Un monde de fantasmes s'ouvre devant elle.
Sans perdre un instant, il l'embrasse sur le cou avec une férocité animale. Ni tendre, ni brusque, juste avec un appétit vorace. Il veut la goûter, la sentir vibrer dans ses bras. Sentir le bout de ses mamelons en érection effleurer son torse nu. Ses grandes mains, ses bras gonflés, la soutiennent avec une douceur remarquable.

La senteur de l'inconnu vient éveiller en elle un appétit qu'elle n'a jamais connu avant, l'abandon de tous ses sens intimes. Son sexe devient moite et s'ouvre à l'attente de cet inconnu.
L'homme la reprend dans ses bras, mais cette fois-ci, pour la déposer par terre sur le sable chaud et humide. Le dos à plat sur le sable, les cheveux étalés sur la plage, ses jambes sont légèrement repliées. Une certaine réticence lui monte à la tête, mais sans façons, l'étranger s'étend sur le sable à coté d'elle, et pose ses doigts sur ses lèvres brûlantes de désir. Les doigts descendent doucement dans son cou comme elle l'avait, plus tôt dans la soirée, fait elle-même.

Il atteint son buste avec délicatesse et douceur. Elle le regarde, et remarque son jean’s  d'un bleu délavé et un peu usé par le passage du temps. Au lieu d'une fermeture éclair, il y a des aboutons. Mais ceux-ci ne sont pas fermés, le pantalon est ouvert et prêt à inviter l'inconnue à le prendre de toutes les manières possible. Il a le torse nu, lisse et chaud. Le pantalon lui colle à la peau comme un gant, et tous les détails de son anatomie se présente à elle sans détours.

Elle sent au fond d'elle leur désir intense et réciproque. Elle tente de prendre le sexe du l'homme dans sa main et de savoir qu'est ce qu'il l'attend. Sans succès.
En un mouvement brusque, l'inconnu ouvre son chemisier et enfouit son visage fraîchement rasé dans le creux de ses seins. Elle laisse échapper un soupir de volupté. Un soupir de délivrance, de jouissance.

Les mains de l'inconnu descend du haut du buste jusqu'à chaque côté de ses sublimes seins, qui sont ni trop petits et ni trop gros, des seins que le temps a    modelé.

Pour ensuite enfouir ses mains derrière son dos qui est encore collé au sable. Il la soulève doucement vers lui pour l'embrasser passionnément, d’un baiser affamé. Il lui mord tendrement le bas de la lèvre, et à son tour, elle lui lèche la bouche entière avec une faim intense. Leurs lèvres se nouent ensemble sans fin.

 

Les mains de l'inconnu descendent au niveau des fesses qui sont enfouies dans le sable, et la soulève d'un coup sauvage pour la remettre debout devant lui. Il enlève le chemisier, ôte la jupe, et contemple ce corps magnifique.

 

Voluptueuse dans ses bras, elle se laisse dévêtir sans protester. L'inconnu passe ses mains de chaque côté de ses mollets, de ses cuisses et arrivé au niveau des fesses, il remarque que Carole ne  porte rien. Ni de petite culotte ou de maillot de bain, juste un sexe prêt à le recevoir. Il la soulève pour installer ses deux jambes de chaque côté de lui et l'appuie sur un palmier peu confortable, mais qui n'est rien à comparer la nuit qu'elle va passer. Il sort son sexe volumineux, et sans plus de préliminaires, lui insert le prépuce entre les lèvres de sa vulve. Il le fait glisser du clitoris à l'anus pour exciter Carole et l'entendre  gémir de plaisir. Elle se trémousse dans ses bras musclés dû aux caresses infligées par son tendre inconnu. Après quelques secondes de plaisir, il décide de la monter encore plus haut sur le palmier et de savourer entièrement son sexe. Elle crie, vibre, et demande plus encore. Sur le bord de l'extase, l'inconnu l'assied sur sa bite dure et prête pour elle. Il s’enfonce en elle avec douceur, au tout début, mais il accentue ses mouvements en faisant crier Carole de plaisir. Elle me dira n’avoir jamais ressenti un tel orgasme auparavant.

Il glisse ses bras derrière de son dos et la porte pour aller la déposer sur le sable blanc, juste au bord de la mer. L'inconnu, à son tour, s'étend sur le dos, avec sa queue bien dressée et demande à  Carole de lui avaler son pieu turgescent... Elle se penche en avant, se positionne entre ses jambes à lui, à genoux, écarte ses cuisses et laisse les vagues lui caresser la chatte durant qu'elle lui ravale son chibre goulûment..

Elle sent les vagues qui vont et viennent, lui caressant sa vulve excitée. Sous la seule pression de l'eau, Carole est au le seuil de l'extase quand l'inconnu décide de renverser les rôles. Il la fait coucher sur le dos, la pénètre d’un fort coup de reins... La mer les roulent ainsi, accrochés l’un à l’autre, Carole pilonnée par la grosse queue de l’homme. .

 

Il la plaque au sol, les vagues la fouettent. Il accentue ses profonds allers et retours, la clouant au sol. Elle se cambre, son corps est secoué d’un violent spasme. Elle hurle son plaisir dans la nuit tombante, sans retenue…

L’homme à son tour, dans un ultime mouvement de bassin, crache son foutre au fond du vagin de carole. Puis ils restent ainsi, soudés l’un à l’autre, le sperme de l’inconnu qui s »coule de son con meurtri, venant se diluer dans la mer tiède.


Pourtant, l'inconnu la fait se relever, puis coucher à nouveau sur le sable. Il écarte doucement ses cuisses, et vient la manger avec avidité, goutant le reste de sa crème, salée par la mer. Il la mange, la dévore, la lèche, lui aspire le clito qui bande à nouveau. Carole ne résiste pas longtemps à ce traitement magique. A nouveau, elle jouit sana retenu sur cette plage désertée.

Toute la nuit, ainsi, sans répit, sans fatiguer, ils feront l’amour encore et encore, usant et abusant de l’autre.

 

Au bout de la nuit, à l'aube du matin, fatigué et satisfait, l'inconnu se lève en l'embrassant tendrement sur le cou, et disparaît dans les premières lueurs du matin tropical

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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