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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

L’une de mes très bonnes amies, Céline, rêvait depuis longtemps d’un gang-bang, sans toutefois oser passer le cap. Elle avait peur de se faire déborder, de ne pas pouvoir gérer.

J’ai donc décidé de prendre les choses en main, et de lui offrir ce cadeau pour son anniversaire.

Me voilà donc appelant quelques bons amis, sur qui je savais pouvoir compter, tant pour leur savoir—faire, leur bonne éducation et leur discrétion. J’avais fixé le nombre de participants à 10, nombre dont nous avions toutes les deux parlé avant, quand elle fantasmait sur ce beau rêve. Mais je n’avais que 7 participants. J’ai donc passé une petite annonce sur un site local, pour recruter les trois manquants.

Des dizaines et des dizaines de réponses sont arrivées ! Difficile de faire un choix. Il allait bien falloir que je paye de ma personne, pour savoir si les hommes étaient à la hauteur….

Après un premier tri, basé sur l’expérience, l’âge, le profil (de préférence mariés, ils sont plus discrets…), j’en gardais une dizaine, que je rencontrais tout à tour. Cinq m’ont plu. Comment choisir ???

Comme je suis d’une nature généreuse –sic-, je me suis dévouée, et j’ai testé… Pas question de laisser Céline entre n’importe quelles mains !

Et tant qu’à faire, autant faire la chose groupée… Rendez-vous fut pris dans un hôtel discret avec trois d’entre eux pour le samedi, et les deux autres, le dimanche.

Samedi donc, premier test grandeur nature. Eh bien, je ne fus pas déçue ! Ils tenaient leurs promesses… Bonne éducation, pas de violence, un excellent savoir-faire. Ils m’ont tour à tour, et ensemble, léchée comme j’aime, bien ouverte, le clito bandé, la chatte humide et trempée de leurs salives… Leurs doigts agiles me doigtaient parfaitement.

Quand l’un me dévorait le minou avec application, les deux autres me caressaient, se branlaient juste sous mes yeux. Je leur avais dit que je ne ferai pas grand-chose : j’étais là pour tester, pas pour être active ! N’empêche que la belle tige de l’un d’entre eux me faisait bien envie, et que je n’ai pu me retenir de la sucer goulument…

Ils m’on prise tout à tour, très profond, en levrette, pour me baiser bien à fond. La levrette permet aux autres de me caresser aussi le clito, de sucer mes seins qui pendent…

Un plaisir immense !


Petite anecdote, pour le second, je me suis allongée sur le lit, les jambes justes écartées. Il m’a enfilée bien dur, les couilles battaient contre le bas de mes lèvres. Le troisième, qui ne m’avait pas encore prise, s’est alors penché sur ma chatte pour continuer de lécher le clito, qui n’attendait que ça… Mais vu l‘ampleur de ses grands coups de langue, il léchait aussi la bite qui me labourait la chatte. Mon baiseur a faiblement protesté, puis il a du trouver ca bien agréable. Tant et si bien qu’il me pénétrait de moins en moins profond, pour profiter de la bouche aspirante du 3ème.

Pour, en fin de compte, se retirer complètement de ma grotte toujours affamée, et ôter sa capote. Il s‘est alors fait emboucher de façons phénoménale, ses 20 cm ont disparu dans la gorge du suceur. Un vrai phénomène, auquel je ne m’attendais pas. En effet, pour une fois, je n’avais rien spécifié sur les hommes bi, puisque ce n’était pas le but de la rencontre….

Divine surprise, dont j’ai profité largement. J’ai fait bouger les deux partenaires, pour que le 3èmend se mettrait debout, bite à la hauteur de la bouche de l’autre. Imaginez la scène… splendide pour moi. Baisée bien comme il faut, et un superbe spectacle sous les yeux… vienne me prendre, pendant que le 2

Bien sur, je les ai sélectionné tous les deux !

Me restait le dimanche, à voir les deux derniers. Pas grand-chose à dire, si ce n’est que l’un était vraiment doué, avec une splendide queue très longue et épaisse (trop pour moi, mais le péché mignon de Céline). Il savait aussi divinement sucer ma chatte toujours aussi avide…

Il fut donc le dernier sélectionné.

 

Mais à l’origine, je suis là pour vous raconter le gang-bang.

Le jour dit, je demande à Céline de passer à la maison, pour m’aider à choisir un gode. Je sais que cette idée la mettra dans de bonnes dispositions d’esprit…

Ma maison de l’époque était particulièrement discrète, pas de voisins, personne aux alentours. J’avais dégagé tout le salon, posé quatre grands martelas au sol.

Les dix hommes sont là, propres comme des sous neufs, une bonne réserve de capotes et de lubrifiant. Ils sont tous assez excités. Je leur ai donné comme consigne qu’ils doivent tout stopper à la moindre protestation de mon amie, ne rien lui imposer qu’elle ne voudrait. Parmi eux, il y a deux « modérateurs », dont je suis absolument sure. Ils maitriseraient les éventuels dérapages. Et puis moi, je serai aussi là, dans un coin...  Mais je ferai que regarder, promis juré !

 

Céline arrive enfin, vêtue comme souvent le week-end d’un simple paréo noué au-dessus des seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et je me demande si elle à une culotte…

 

Les baiseurs sont cachés dans une chambre. Quand Céline passe la porte, elle s’arrête, surprise de voir les matelas au sol.

« Tu organises une soirée privée ? Tu aurais pu me prévenir ! »

« Ma chérie, c’est ton anniversaire, je n’ai pas de gâteau, mais une énorme surprise… »

Céline me regarde, interrogative. Elle n’a pas le temps de poser sa question, car j’ai tapé dans mes mains, et voilà le harem qui arrive…

Tout de suite, elle comprend…

« Ma puce, ton cadeau, c’est le gang-bang donttut as toujours rêvé… tu es prête ? »

Elle hésite un peu, mais je vois ses yeux briller... elle reconnait certains des mâles présents, habitués des soirées libertines.

Son hésitation fond comme une glace coco au soleil de Guyane…

« Tu savais que ça me plairait, coquine ! Tu participes aussi ? »

Je lui réponds que non, mais que je reste présente pour surveiller que tout va bien.

Céline s’approche, fais des bises, effleure l’entre-jambe de quelques pantalons… Certains bandent déjà beaucoup !

Puis elle se plante au milieu des matelas debout, souveraine. Elle dénoue son paréo, et laisse voir un minuscule string noir. Elle est là, altière, majestueuse dans sa quasi nudité, femme prête à recevoir tous les hommages, tous les outrages des mâles présents devant elle. La voir ainsi me trouble beaucoup plus que je ne l’aurai imaginé !

 

Céline regarde tous les hommes un à un, et en désigne un.

« Toi, viens le premier finir de me déshabiller. »

C’est comme un signal. Le mec s’approche et tous les autres se déshabillent à la vitesse grand V.

Subjuguée, je vois cette belle brochette de sexes de toutes tailles, de toutes formes, toutes couleurs. Un point commun : ils bandent tous comme des turcs.

Je me recule, et vais m’assoir dans le canapé, la chatte en feu. Comment vais-je faire pour résister à un tel spectacle ???

Le premier désigné s’agenouille devant mon amie, passe les mains sur ses fesses, fais glisser la ficelle du string sur le cul frémissant et rebondi.

Il va lentement, mais d’un coup, accélère et presque sauvage, arrache le string. La grosse chatte de Céline apparait, bombée, luisante de son excitation.

Il n’y tient plus, et fourre sa langue dardée dans le con de Céline, toujours debout. Les autres commencent à se branler, un ou deux s’approchent.

Sous la caresse intense, elle se laisse choir sur le lit. Des mains la touche, la masse, la palpe, la caresse. Des bouches passent sur tout son corps, Tous les hommes sont maintenant autour d’elle, se bousculant un peu. Ils ont tous hâte de la toucher, de se faire sucer. Je ne vois presque plus mon amie. Elle jouit une première fois, la première d’une longue série. Elle saisit deux bites à portée de mains, les suce alternativement. Du coup, pour mieux faire, elle se relève, se met à genoux, un type sous sa grotte affamée, la lui dévore toujours.

Tous les autres lui font face, lui présente leurs chibres dressés. Elle suce, elle branle, toutes les queues passent dans sa bouche. Une vraie pompe à bites !

J’hallucine ! Jamais je n’aurai imaginé mon amie dans cet état là. Les gars se relaient pour lui sucer la chatte, elle jouit de façon désordonnée, ca va, ca vient. Mais je sens qu’elle en veut plus. Les baiseurs aussi !!!

Déjà, deux ou trois sont venus me solliciter… J’hésite. Cette vision me met dans un état second. Je me branle furieusement avec mon gode. Finalement, je cède, et accepte de me faire lécher. Ils doivent garder leur foutre pour mon amie !

Céline se couche à nouveau sur le dos, et désigne le gars que j’avais vu le dimanche. Elle veut commencer par la plus grosse bite, la salope !!!

 

Là, mes chers lecteurs, je fais un break. Je suis trop excitée. Je mets ce texte en ligne, (19 h, heure de Paris) et je vais retrouver mon gode et mon tuyau d’arrosage. Il fait chaud, je vais aller me faire jouir sur le bord de la piscine. Avec un peu de chance, un voyeur passera par là...

 

A plus tard, je pense à vous qui vous excitez sur mes textes…

 

L’après-midi est passée… Je me suis faite jouir en pensant à ce gang bang de légende, et en vous imaginant, vous tous, gros cochons lubriques, en tain de vous branler sur mes récits…

Je peux recommencer mon récit là où je m’étais arrêtée : Céline prête à se faire défoncer par la plus grosse queue de la journée : 22 cms x 6…

Elle me demande des oreillers, je m’approche d’elle pour le lui apporter. Elle est là, offerte, luisante de transpiration, les yeux éclatants des jouissances déjà venues, et de celles à venir. Superbe vision, qui continue de m’exciter. D’autant que des mains baladeuses me touchent, se glissent entre mes cuisses quand je me penche pour poser les coussins. Il me faut me faire violence pour quitter ce lieu de débauche totale !


Jamais je n’avais fantasmé sur les gang-bang, mais là, les idées s’affolent dans ma tête et dans mon sexe !

Elle me regarde droit dans les yeux et me dit :

« Merci de cette extraordinaire surprise. Maintenant, je vais être le vide-couilles de tous ces mecs. Je vais les purger à fond en étant la plus grande des salopes. »

A ces mots, les hommes ont du mal à se maitriser, je vois leurs mains les branler encore plus vite, d’autres, tordre leurs queues, pour ne pas jouir.

 

Céline fait mettre Jacky, l’étalon du jour, face à elle. Les autres font cercle, ils savent que le spectacle va être grandiose. Son énorme bite noire, droite comme un i, touche son ventre. Il prend une capote à sa taille, et commence à la dérouler lentement sur le monstre. Le silence est total, on entendrait une mouche voler. Tous, et surtout Céline, sont hypnotisés par cette queue énorme, recouverte petit à petit par le latex.

Ca y est, elle est emprisonnée, mais frémit de désir. Jacky saisit un tube de lubrifiant, et s’enduit la bite du liquide épais. Mon amie se caresse la chatte, s’enfonce deux, puis trois doigts dans le con, avant qu’un des gars se jette sur elle, pour un ultime coup de langue bien baveux. La salive coule de ses lèvres rouges et gonflées.

Jacky se met à genoux devant Céline, soulève ses jambes et les pose sur ses épaules. Le silence est toujours complet, excepté la respiration de plus en plus forte de la « victime. » Ma propre chatte se crispe du désir de ce pieu immense.

Le gland caresse le clito dur de Céline, passe en douceur sur les lèvres, qui s’écartent un peu. Subitement, elle crie : « défonce-moi ! »

Ahurie, je vois le monstrueux engin s’enfoncer d’une traite dans la chatte béante. Comment peut-elle accueillir comme ça un tel engin ???

Elle crie si fort (de plaisir ? de douleur ?) que Jacky se retire. Mais elle agrippe ses cuisses et lui dit :

« Continue, défonce ma chatte de cochonne !!! »

Alors, les vannes sont lâchées, il la besogne avec ardeur, la baise à grands coups de reins rageurs. Les autres l’encouragent à grands cris, se branlent, deux (ceux de l’hôtel) se hasardent à se sucer l’un après l’autre. Deux ou trois s’approchent du visage de ma copine, lui force la bouche de leurs bites qui n’en peuvent plus. Ils lui baisent la bouche comme si c’était un vagin. Certains jouissent, je vois le sperme dégouliner des lèvres de Céline. Elle en a plein les cheveux aussi. Les gars jouissent, et rebandent aussitôt.

C’est le vrai début de deux heures d’orgie totale, indécente, pleine de stupre et de luxure vicieuse et hard.

Impossible de tout vous décrire. Il me faudrait un livre entier. Jacky a joui dans un grand râle, et s’est retiré, la capote débordante de son foutre Il la déverse sur le ventre de Céline. Elle jouit aussi, crie, halète. Elle n’est plus qu’une une vraie marionnette dans les mains de ces hommes en rut.

Elle encourage les autres à venir aussi la baiser. Elle reste sur le dos, tous passent, lui liment la chatte, qui n’est plus qu’un garage à bites, elle suce sans relâche, tout ce qui se présente à elle.

Après un long moment, où au moins chacun l’a baisée une fois, elle se met en levrette. Elle veut se faire sodomiser. Elle réclame d’abord Eric, qui a une petite queue. Celui-ci, flatté de l’honneur, s’approche, et commence à dilater de la langue le cul offert. La rosette s’épanouit très vite sous sa bouche. Il n’a aucune peine à glisser un doigt inquisiteur. Un autre vient me voir, et veut mon gode. Je ne le lui prête qu’après la promesse qu’il viendrait le remplacer. Je suis trop excitée, je veux aussi ma dose de sexe !

Il la donne à Eric. Ce dernier l’enduit de lubrifiant, et force l’anus. Sans trop de peine, il s’ouvre, et engloutit l’engin. Tous ont les yeux hors de la tète ! Un gars vient se coucher sous elle, elle s’assoit aussitôt sur la bite dressée. Ses hanches ondulent, elle jouit encore une fois. Elle réclame :

« Eric, défonce-moi le cul, je veux tous mes trous remplit de chair. »

Nouveau signal de la deuxième partie de cette baise hallucinante. Eric se positionne au-dessus du cul qui s’est immobilisé. Il vise, et s’enfonce sans peine dans le trou béant.

Il va et vient lentement, puis de plus en plus fort. Elle est prise par ces deux sexes, que j’imagine se frottant à travers la mince paroi de son rectum. Il jouit assez vite, et se retire, remplacé aussitôt par un autre.

C’est bien simple, dans les moments qui suivront, Céline aura tous ses trous perpétuellement remplis. Ca sent fort le sperme, ça gicle, sur elle, en elle, on dirait que les hommes ne débanderont jamais. Les cris pleuvent : 

« Salope, pétasse, cochonne, grosse pute, garage à bites, pompe à foutre, on va t’éclater le cul, tu vas hurler grosse pute,… »

A chacune des grossièretés, on dirait que Céline en redemande. Je découvre une femelle en rut, possédée par le sexe. Elle n’est qu’une poupée au service du désir brut des mâles surexcités. Son corps est couvert de sperme, mais jamais elle ne demande grâce. Elle est insatiable. Une vraie garce assoiffée de sexe sans limite.

Chacun s’enfonce à tout de rôle, jusqu’à la garde, dans son cul totalement dilaté. Ils lui fouillent les entrailles, leurs couilles battent contre les fesses meurtries. Le sperme coule de partout, une vraie coulée de lave blanche dégouline de son corps vers les matelas.

 

De mon côté, je n’ai pas pu tenir. Celui qui était venu chercher le gode est revenu vers moi, s’est agenouillé, et a entrepris de me baiser la chatte avec sa langue. D’autres ont fait un petit cercle autour de nous deux. Je les préviens que je ne ferais rien, je veux juste jouir un peu, soulager mon excitation intense.

Bon sang, j’aime toujours autant voir des mecs se branler à quelques centimètres de mes yeux. Je jouis en criant, comme j’aime tant le faire. Quand je rouvre les yeux, je vois là, très très près, l’énorme bite de Jacky.

Je l’ai dit, je n’aime pas trop les membres hors norme, ca me fait mal. Mais là, j’ai envie d’essayer... Céline y a pris un tel plaisir….

Je lui demande de faire preuve de beaucoup de douceur, d’y aller très lentement.

Je m’allonge sur le canapé, une jambe sur le dossier. Un homme vient encore me lécher, et m’ouvrir au maximum avec ses doigts. Je sens ma chatte dilatée, baveuse de mouille.

Jacky a de nouveau enfilé une capote, bien lubrifiée. Je sens l’énorme gland retrousser mes lèvres. Elles s’écartent sans peine pour recevoir cette chose. Lentement, il avance, il force. Je suis envahie par cette queue démesurée. Je ne sais pas si j’ai mal ou pas.

Mon bassin en réclame encore plus. Mes hanches bougent pour avaler encore plus ce sexe qui me cloue au matelas.

Mais j’ai beau faire, il ne rentre pas. Une bonne partie reste dehors. Il me défonce le vagin, j’ai l’impression de sentir tous les organes remonter dans mon corps. Mais rien à faire, ca ne passe plus. Jacky est désappointé, pourtant pas autant que moi…

Il ressort, plonge sa grosse langue dans ma grotte distendue. Une vraie p’tite bite, qui soulage le feu qu’il a provoqué. Et sous le regard lubrique des autres, je jouis une nouvelle fois…

A coté, j’entends Céline râler, puis lancer un ultime hurlement qui déchire la nuit tombante. Je la vois retomber, telle une poupée de chiffon. L’excitation retombe. Les uns après les autres, les baiseurs se rhabillent et quittent la pièce, en silence, comme abasourdis par ce qu’ils venaient de vivre… Fantasme, ou réalité ? Ils ont baisé comme rarement dans leur vie, juté plusieurs fois, purgé leurs couilles, certains ont tenté les relations bi…

Seul reste Thierry, l’un des participants, qui reste collé à mon amie. Il la caresse doucement, parcourt tout son corps de ses lèvres. Il lui refait l’amour doucement, presque tendrement… le calme après la tempête.

Il me semble qu’elle apprécie.

Thierry la quitte comme à regret, et nous nous retrouvons seules toutes les deux.

Elle est rouge, ivre de plaisir, de jouissance, de ce délire sauvage, hard, purement sexuel, presque animal. Son vagin est tellement dilaté qu’on y mettrait une cannette. Son anus, tout autant. Elle a mal à la mâchoire de ses heures de fellations intenses.

Elle sourit, me remercie.

« Ma puce, j’ai adoré, tu m’as offert la plus grande jouissance de toute ma vie. Mais je ne recommencerai pas… »

Moi aussi, j’ai adoré voir ces scènes grandioses, et qui sait….

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : SALOPE A GANG-BANG
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