Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
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Bises libertines,
Sophie
Ce soir, je vous invite à lire ce merveilleux texte de Tonio. Je l’ai découvert il y a quelques mois déjà, et je le lis très souvent. Il m’excite terriblement, car il contient tout ce que j’aime : des parties à quatre, des hommes bi, du sexe pur et brut. Un vrai bonheur ! Je l’ai imprimé, et souvent, je me mets dans mon hamac, avec mon gode, et je me caresse en le lisant. Je me fais jouir avec ces mots superbes. Ce texte est très long, aussi vous retrouverez ici un extrait, et sa version complète, en page individuelle. Vous avez maintenant l’habitude, cliquez à gauche, dans la rubrique ‘pages pour textes longs ».
Vous retrouverez aussi ce récit illustré sur le blog de Tonio :
http://les-recits-hard-de-toniobi.erog.fr/
Initiation bisexuelle sous les tropiques
Première Partie : Une île où le sexe est roi
J’habite une petite île paradisiaque du pacifique, le genre palmiers dans une nature luxuriante, lagon turquoise, plages de sable et douceur de vivre.
Je m’appelle Thebo, je suis un jeune black assez grand, avec un visage harmonieux, mangé par une barbe naissante et les cheveux fous en longs rastas. On dit que le corps d’ébène dont j’ai hérité est proche de la perfection, bien proportionné et très musclé par tout le sport que je lui fais faire.
Mes concitoyens ne sont pas tous aussi noirs de peau que moi. A cause de tous les marins et flibustiers qui ont accosté notre île à travers les âges et y ont copieusement copulé avec les femmes d’ici, on trouve des corps de toutes couleurs dans notre petite communauté, du presque blanc aux cheveux blonds au noir le plus sombre en passant par tous les métissages.
Parce que l’histoire de mon île a toujours baigné dans le sexe, ses habitants ont un rapport très libre et ouvert avec leur sexualité. Le seizième anniversaire y représente une étape importante, marquée par une initiation sexuelle qui constitue en quelque sorte un rite de passage pour les jeunes hommes et femmes de l’île.
Tout d’abord, le chef du village réunit les jeunes qui ont eu seize ans dans les mois précédents, leur explique dans le détail comment exploiter toutes les ressources de leur corps sans tabous, et leur apprend à donner et prendre un maximum de plaisir sexuel sans inhibition. Puis les jeunes sont laissés à eux-mêmes toute une nuit sans témoins par groupes de quatre pour mettre en pratique les enseignements du sage et découvrir leurs préférences sexuelles.
Tout comme mon copain Bandaï et les deux plus belles filles de mon âge, Vulgine et Monoa, j’ai fêté mes seize ans, je suis puceau et impatient de découvrir enfin tous les plaisirs du sexe partagés qui me font fantasmer un max lorsque je me branle le nœud consciencieusement en matant des vidéos pornos.
Ce matin, le chef nous a expliqué les préparatifs à cette initiation et les différentes choses que nous pourrons expérimenter les quatre pour atteindre la nuit prochaine notre pleine maturité sexuelle.
Douloureuse épilation
La première chose que nous devons faire en ce début de soirée, Bandaï et moi, c’est de nous épiler mutuellement le corps à la cire chaude. Bandaï se met à poil le premier et s’étend sur la table de la terrasse du bungalow qu’on nous a prêté pour que nous puissions opérer tranquillement.
C’est un grand métis au corps fuselé par les compétitions de natation, sans un poil de graisse, les cuisses et les bras puissants, la poitrine bien découplée, les abdos ciselés en carrés et la ligne d’aine bien marquée. Son visage d’ange est encadré par de longs cheveux foncés très épais qui tombent sur ses larges épaules. Contrairement à moi, il n’est pas très poilu, sauf au niveau du pubis qui disparaît dans un foisonnement de poils noirs. Je commence par appliquer les bandes de cire chaude sur son torse. Je le sens se crisper un peu lorsque les poils de ses tétons s’arrachent avec la bande de tissu, mais il n’a pas l’air de trop souffrir. La séance continue avec le devant des jambes et des cuisses. Il se tourne ensuite sur le ventre pour que je puisse terminer l’épilation de l’arrière de ses cuisses. Son dos présente un beau tatouage géométrique qui vient mourir à l’échancrure de ses fesses. Je m’attaque ensuite aux poils qui frisent autour de son trou du cul, que je lui arrache en même temps qu’un cri rauque de douleur. En sentant ma bite durcir dans mon short, je découvre que j’éprouve un malin plaisir sadique à maltraiter son anus, mais lorsqu’il se retourne à nouveau sur le dos, je constate que ce maso s’est lui aussi mis à bander grave. J’empoigne sa longue verge bien droite d’une main et m’empresse de poursuivre ma torture à son entre-jambes, son sac de couilles et la base de sa queue. Il réagit avec force beuglements, mais je sens sa biroute se dilater encore plus dans ma main à chaque arrachement, et je continue de développer moi-aussi une érection carabinée. Il se relève, le corps maintenant complètement glabre, et la vison obscène de sa longue biroute dure au diamètre imposant fièrement dressée et de ses grosses couilles imberbes et bien pendantes ne me laissent pas indifférent.
Je baisse à mon tour mon froc, lui dévoilant du coup mon émoi, et me fais traiter de salaud de sadique qui ne perd rien pour attendre. En effet, comme je suis très poilu, je sens que je vais déguster, et ne suis pas sûr d’y trouver du plaisir. Mon bourreau propose de commencer par mes parties génitales arguant que se sera plus facile avec ma queue en érection qui tend la peau de mes couilles. L’opération se révèle aussi douloureuse que je m’y attendais, et ma bite qui se ramollit me confirme que je ne suis pas masochiste. De son côté, Bandaï prends clairement son pied à me martyriser, comme en atteste son sourire cynique et la persistance de sa formidable érection. Une fois mon calvaire terminé, tout le corps en feu, du poitrail aux mollets en passant par les burnes et la raie du cul, je me fais enduire d’un baume apaisant que j’applique aussi avec une certaine délectation sur tout le corps lisse de mon copain. Sa queue n’a pas débandé durant toute la séance et balader mes mains sur tout son corps a redonné vigueur à la mienne qui s’est redressée à la verticale, mais nous n’y faisons pas allusion même si nos regards gourmands en disent long sur nos pensées.
Les taureaux entrent dans l’arène
Nous enfilons les strings en peau de python que nous avions préparé pour l’occasion, comprimant à l’extrême nos braquemarts toujours turgescents, cachons le tout dans nos bermudas extra larges et sortons sur la plage pieds et torse nus. La nuit est entre temps tombée, et nous avons hâte d’atteindre la chambre d’initiation en bambous dont nous distinguons les pilotis plantés dans l’eau au bord de la plage. Nous grimpons impatiemment l’escalier d’accès éclairé par quelques flambeaux plantés dans le sable. L’entrée de la maison au toit de palmes est fermée par un panneau de fibres tressées qui ne résiste pas à notre poussée fébrile et que nous refermons derrière nous, pour découvrir enfin l’espace ou vont se dérouler nos ébats. C’est une pièce circulaire, sur le sol de laquelle on a jeté une grande natte écarlate. Les murs sont presque entièrement couverts de tapisseries brodées qui présentent de multiples scènes franchement pornographiques. Les torchères fixées aux murs procurent une lumière chaude et dansante et projettent de longues ombres qui modulent la pénombre. Au milieu de la chambre se dresse un grand podium rectangulaire de cinquante centimètres d’épaisseur en fibres tressées, recouvert d’une épaisse natte matelassée et de quelques coussins rebondis. Au dessus d’un des angles du podium, une nacelle ovoïde est suspendue au faîte du toit par une corde en lianes tressées. Elle est faite de tiges de bambous entrecroisées en un canevas lâche, largement ouverte sur l’avant, avec un trou de la taille d’une grande assiette dans le fonds arrondi situé à une vingtaine de centimètres au dessus du podium. Notre mentor nous en avait parlé, comme des calebasses en demi-sphères décalottées remplies de liquides colorés et des divers accessoires de formes allongées qui sont disposés au sol contre la paroi. Dans l’air flotte un parfum suave d’ambre musqué et il règne dans la pièce une douce torpeur un peu moite.
Vulgine et Monoa nous ont précédés et sont installées sur le podium, appuyées contre les coussins, les jambes repliées de côté. Elles sont très différentes l’une de l‘autre mais toutes deux sublimes dans leur déshabillé en fine toile blanche juste noués par un fin ruban au dessus des seins qu’on voit pointer au travers, et qui laisse transparaitre à la lueur des torches le contour de leurs formes parfaitement harmonieuses. Vulgine est la plus grande et la plus foncée, splendide négresse aux lèvres pulpeuses, au visage délicat que mangent de grands yeux noirs aux longs cils et les cheveux crépus relevés en un chignon ananas. Ses longues jambes musclées aux mollets bien galbés témoignent de son goût pour le sport. Monoa est de type polynésien, à la peau brun cuivré avec de longs cheveux noirs brillants et soyeux qui se répandent sur ses épaules et lui tombent jusqu’au bas du dos. Elle a des yeux de jade aux reflets limpides. Elle est mince et parfaitement proportionnée, même si une certaine lascivité se dégage de son attitude. Elle a d’ailleurs laissé négligemment remonter son déshabillé sous ses fesses et ses cuisses légèrement écartées laissent entrevoir les lèvres sombres de son vagin fraichement épilé.
Les deux filles ont le regard vissé sur le bas-ventre de Bandaï qui a déjà retiré son short. Je constate sans surprise qu’il n’a toujours pas débandé et que son string prêt à péter peine à contenir ses attributs congestionnés. Je laisse à mon tour glisser mon bermuda sur mes chevilles. Les yeux des deux vénus s’écarquillent en voyant mon énorme phallus d’ébène émerger de mon slip dont le gland a écarté la peau de serpent qui le comprimait et qui se déploie jusque loin au dessus de mon nombril, la couture supérieure du string le maintenant plaqué contre mon ventre. Elles émettent de petits cris mêlés de rires et tendent leurs mains vers nous en gloussant. Nous nous approchons du podium, prenant leurs mains dans les nôtres pour les empêcher d’aller droit à nos bites alléchantes.
Dépucelages
Je passe derrière Monoa, insinue mes mains sous sa tunique et caresse son dos en faisant remonter le tissu qui découvre ses fesses charnues couleur de bronze. Elle m’aide à la dépouiller de sa tunique, qui découvre sa poitrine plantureuse. Ses gros seins sont magnifiquement galbés, les bouts effrontément dressés au centre des larges aréoles foncées. Comme aimantées, mes mains glissent de son dos sous ses aisselles et viennent envelopper ses mamelles dont je découvre les tétons déjà durcis d’excitation. Elle tourne son beau visage vers moi et me tend ses lèvres que je happe avec fièvre. Nos langues se trouvent et nous nous embarquons dans un baiser torride et mouillé qui nous électrise. Puis je laisse divaguer ma bouche le long de son cou et de son dos jusqu'à ses fesses dont je lèche avec délice la ronde plénitude. Mes bras sont restés scotchés sur ses seins dont je fais rouler les bouts entre mes doigts, pendant que ma langue parvenue au creux de ses fesses s’égare dans la raie de son cul déjà baignée de sueur à laquelle je mêle ma salive. Elle soulève doucement sa croupe de reine pour mieux écarter les fesses et m’offrir sa fleur dans laquelle je laisse couler un filet de salive et darde ma langue aussi profond qu’elle peut aller. De ses mains nerveuses elle vient me pétrir les oreilles et farfouiller mes dreads. Je ramène mes mains pour caresser la chair ferme et lisse de ses fesses moites.
Comme elle relève encore le bassin en s’appuyant sur les coudes, je ressors ma langue de son anus et lèche copieusement l’espace qui le sépare de son vagin avant d’en écarter délicatement les lèvres et de découvrir avec la langue la douceur de velours et la chaude moiteur visqueuse de cette figue éclatée. Ma bouche, comme animée d’une vie propre, la suce furieusement et se pourlèche du suc épais qui en suinte. Je suis de la langue le sillon de ses lèvres écartées et butte contre son clitoris dilaté qui en dépasse et que j’aspire goulûment et branle avec ma langue, le nez maintenant enfoui dans son con aux enivrants effluves de fruits de mer. Elle gémit en ondulant de la croupe, et je bande tellement que j’ai l’impression que mon engin a décuplé de volume et que mes couilles ont la taille de pamplemousses. Les choses vont trop vite, il faut que nous nous calmions un peu. D’une main, je fais passer la couture de mon string sous mes couilles pour les libérer. Je me relève en faisant glisser ma poitrine mouillée de transpiration contre son cul, suivie de ma bite hypertrophiée qui remonte le long de son cul et se plaque entre ses fesses où elle s’encastre le long de la raie qu’elle remplit jusqu’au bas de son dos.
Par dessus le buste de Monoa, je vois maintenant la scène qu’elle avait devant les yeux pendant que je lui astiquais l’arrière train. Bandaï se tient à genoux sur le podium, les cuisses écartées, le torse redressé et la tête renversée en arrière, Vulgine lui faisant face assise sur ses talons. Elle a dégagé son braquemart démesuré en lui arrachant le triangle de peau du string dont il ne reste plus que le lacet de cuir qui lui ceinture la taille et ceux qui lui passe entre les jambes en contournant son sac de couilles pour finir dans la raie de son cul. Une main affairée à lui masser ses grosses burnes imberbes pendant que l’autre évalue la fermeté d’une de ses fesses, elle lui suce avidement le gland, laissant s’échapper un peu de salive qui coule le long de sa longue verge fièrement dressée. Il l’a débarrassée de son déshabillé, et je peux admirer son ventre plat et ses seins qui pointent fièrement comme des obus d’airain, les tétons et les aréoles rétrécis par le désir. Bandaï les lui triture à l’aveugle, absorbé qu’il est par la succion consciencieuse de son gland que lui prodigue Vulgine. Non contente d’être spectatrice, Monoa se penche en direction du couple et se met elle aussi à baiser et lécher le membre du métis sur toute sa longueur. Loin de me calmer, cette vision me met au bord de l’apoplexie. Je décolle ma queue de l’entre-fesses de Monoa, j’écarte largement ses cuisses et prends en main mon engin que je conduis fermement jusqu’à sa moule bien mise en condition et prête à l’accueillir. Trop excitée et occupée à sucer mon copain, elle ne réalise pas que je suis en passe de lui déchirer sa rondelle. Vu la taille de mon gourdin fortement cambré, je dois la dépuceler délicatement si je ne veux pas la blesser. De mon gland hypertrophié j’écarte les lèvres gonflées de son vagin et introduis en douceur mon mandrin dans cette caverne accueillante, vite arrêté par son hymen dont mon gland éprouve l’élasticité. Je me décide à la pénétrer plus avant, distend la membrane que je sens se déchirer d’un coup. J’enfonce mon piston jusqu’à la garde et le ressort baigné de sang, puis je perds le contrôle et la bourre en une série de coups de boutoirs frénétiques. Très vite, je sens un flux irrépressible monter de mes couilles et je décharge en une série de spasmes violents. Presque en écho, Monoa jouit à son tour en soubresauts désordonnés, lâchant un torrent chaud qui m’inonde la gaule et dégouline le long de mes couilles, puis je continue de faire coulisser mon membre encore bien dur dans son écrin gorgé de laitances qui en fluidifient les mouvements.
De l’autre côté du lit, Bandaï n’a pas changé de position, mais Vulgine s’est retournée, lui présentant ses fesses, et c’est elle qui vient s’accroupir entre ses jambes pour s’empaler lentement sur son monolithe dressé, se déflorant elle même en se l’enfonçant profond avec un petit cri de douleur. Un filet de sang s’échappe et colore l’aine de Bandaï qui, trop excité, envoie en poussant un puissant brame une salve de purée qui fait tressauter la dépucelée. Prise de frénésie, elle entame une série de va et vient et se ramone le con avec la bite du métis bien lubrifiée par son sperme, jusqu’à ce qu’elle aussi soit prise de transe jouissive et se répande sur le pubis de Bandaï qui s’est écroulé en arrière.
Voilà, nous ne sommes plus puceaux, les filles sont déflorées, et nous y avons tous pris notre pied.
Mais nous n’allons pas nous arrêter là, la nuit ne fait que commencer, et nous avons encore plein de choses à expérimenter.
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