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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Comme certains l’ont déjà lu sur ce site, j’aime beaucoup l’exhib, et les relations multiples. Eh bien, la semaine dernière*, j’ai été gâtée, une nouvelle fois.… Si ca vous intéresse, je vous raconte comment.


J’ai depuis peu une piscine, et il n’y a pas de voisins, juste un petit chemin où passent moins de 3 personnes par semaine. Donc, ce dernier week-end, j’étais en train de me baigner, toute seule dans la piscine, nue, bien sur. Je ne vois pas l’intérêt de me baigner dans ma propre piscine avec un maillot... Je n’attendais personne, mais j’étais en train de fantasmer sur ce qu’il pourrait se passer ici-même. Le bassin n’était pas assez rempli, il y avait donc le tuyau d’arrosage qui crachait son eau. En le voyant, avec un jet puissant, ça m’a donné une idée.


J’ai pris deux « frites », une calée sous les bras, l’autre au creux des genoux, et je me suis laissée bercer par l’eau, non sans voir saisi le tuyau. Celui-ci, bien dirigé vers mon sexe, commençait à vraiment m’exciter. Je me caressais avec le jet, et les doigts de l’autre main, les yeux fermés. Je le passais partout, les lèvres bien écartées, le soleil me chauffait aussi doucement, c’était très bon, le plaisir commençait à venir, quand j’ai entendu :

« hummmm, joli. »


J’ai sursauté, et ouvert les yeux : quelqu’un se tenait sur le bord du bassin ! En fait, un vague copain, réparateur de pc à ses heures. Je lui avais demandé de passer depuis plus d’un mois. Sans succès. Il a fallu qu’il arrive juste à ce moment-là ! J’ai manqué de couler sous l’effet de la surprise. Je lui ai demandé en bégayant : « Mais qu’est-ce que tu fais là ? »

Il m’a répondu du tac au tac :

« Continuer à te regarder faire ce que tu faisais… Et participer. »

 

Vu son regard et l’envie qui continuait à me brûler le ventre, je n’ai pu que dire oui.

J’ai repris ma position, sous ses yeux. Il me regardait fixement, ou plutôt, ma chatte béante, en commençant à se caresser par-dessus son pantalon. Je l’ai bien sur encouragé à se déshabiller, et à me rejoindre. Il est descendu dans l’eau, la bite bien dressée et décalottée.


Il s’est approché, se mettant face à moi, toujours comme hypnotisé par mes propres caresses. Il a commencé à ouvrir lui-même ma chatte en plus grand, pour que le jet d’eau aille bien au fond. De l’autre main, il continuait à se branler.


J’ai joui une première foi, j’adore tellement l’exhib, comme ça, aussi proche. Ca m’excite énormément. J’adore qu’un homme regarde mon con, à quelques centimètres de ses yeux, me détaillant sans la moindre gêne…

Il a reposé le tuyau plus loin, mis mes jambes autour de son cou, en appui sur ses épaules, et commencé à me lécher la chatte goulument. Je ne peux résister à ça ! Il passait sa langue bien partout, me fouillait au plus profond, titillait mon clito avec ses dents et le bout de sa langue raide. C’était divin, le paradis sur terre. Flotter dans l’eau, le soleil qui chauffe, et cette langue habile…


Le pied, que je n’ai pas tardé à prendre une deuxième fois, fort bruyamment…

Après cela, il est allé s’assoir sur le bord de la piscine, juste à l’endroit où ma tête dépasse du bord. Sa queue était toujours dressée, insolente, comme le pic d’un cadran solaire. Je l’ai embouchée avec passion, elle me faisait trop envie. Humide, brillante, tiède... Un vrai régal, je l’ai sucée dans tous les sens, aspirée, léchée, mordue, branlée… Elle vibrait sous ma langue, palpitait de plaisir…

 

Soudain, j’ai remarqué que François levait souvent la tête pour regarder au-dessus de la mienne. Je me suis retournée, et surprise, deux types nous regardaient entre les herbes qui poussent le long du grillage. Ils étaient plutôt pas mal, j’ai décidé de continuer, j’aime trop qu’on me voit faire l’amour…


J’ai repris mes coups de langue sur la belle queue de mon amant du jour. Il m’a alors proposé de leur améliorer le spectacle, nous avons donc repris la position dans l’eau, pour que nos deux voyeurs puissent se rincer l’œil sur ma chatte. François a repris ses coups de langue, mais il m’écartait surtout très bien les lèvres, pour leur offrir une belle vue impudique.  Je me caressais en même temps, me malaxais le clito, pour qu’ils en profitent au maximum. Ils ont vite posé leurs sacs à dos, et ont commencé à se branler, tout contre le grillage.


J’ai eu pitié d'eux, et leur ai fait signe de passer dans le jardin. Mais je leur ai précisé avant qu’ils ne me prendraient pas. Ils pourraient se branler, me caresser, me lécher, s’ils le voulaient, mais pas de pénétration. Ils ont été ok. Le temps qu’ils arrivent, nous sommes sortis de l’eau, pour nous mettre sur le bain de soleil.


Quand ils sont arrivés, j’étais sur le dos, François toujours entre mes cuisses (il m’a entre-temps avoué que lécher une femme -et parfois des hommes- était sa passion). Il était donc assis à califourchon sur le siège, mes jambes bien écartées, en train de me fouiller une fois de plus très profondément. Nos voyeurs ont baissé leur pantalon, et ont commencé à se branler. J’adore aussi voir les hommes se branler, voir leurs mains coulisser sur leurs queues raides. L’un deux a demandé à François sa place, et à commencer à m’astiquer copieusement mon minou toujours aussi avide. Sa langue était impatiente, curieuse, gourmande… Il était très doué, le petit jeune ! Mon amant est venu à coté de ma tête, et j’ai commencé à le sucer. Je ne pouvais pas rester juste à coté d’une belle tige comme ça sans avoir envie de l’aspirer bien profond !


L’autre voyeur s’est approché timidement, et a tendu la main vers mes seins, je l’ai bien sur encouragé. Il m’a caressée, et je n’ai pu empêcher de saisir sa bite brillante d’envie. Il m’a sucé les seins, les a malaxé bien fort comme j’aime. Puis il a échangé sa place avec son copain, c’était génial, j’ai joui à nouveau, avec des deux langues sur moi et cette belle bite dans la bouche.


Mais je mourrais d’envie d’être prise, et bien prise. François est venu se mettre devant moi, toujours sur le dos, les jambes levées.


Avec toute ma mouille d’excitation, et les salives de mes hommes, il est entré d’un coup, fort et bien dur. J’avais un voyeur de chaque coté, l’un me branlait le clito, l’autre les seins. Mon amant avait juste à hauteur de bouche la bite de l’un deux. Il n’a pas résisté à l’envie de le sucer. Le gars a eu un mouvement de recul, mais je lui ai dit de se laisser faire, que ça n’irait pas plus loin. Visiblement, l’excitation l’emporta sur ses réticences. Il a finalement accepté, et j’avais là un moment de rêve : un homme qui ma baisait comme j’aime, fort et puissant, un autre qui me caressait, et l’un suçant l’autre avidement…


Le plaisir à l’état pur. J’ai joui au moins deux fois, j’étais comme vidée, mais j’avais encore envie de sexe ! C’était un vrai délire.


Le mec qui était sucé a fini par jouir dans la bouche de François, je voyais le sperme couler de ses lèvres.…Lui aussi a joui, sur ma chatte, et, quelques secondes après, c’est le second voyeur qui crachait son jus sur mes seins. Pour « punir » François » de m’avoir fait subir tout ça, je l’ai contraint à me nettoyer partout, à lécher tout le sperme sur moi, qu’il n’en reste plus une goutte. Ca aussi, j’adore…

Et lui aussi, apparemment : il ne laissa pas une goute de sperme sur mon corps…


Nous avons un peu repris nos esprits, bu un peu de jus, de fruit, celui-là, discuté, et fini par conclure qu’une petite dernière ne serait pas de trop. J’ai encore joué les maitresses de cérémonies, en distribuant son rôle à chacun. J’ai étalé un drap dans l’herbe, François est venu d’abord me sucer, me lécher seul, les deux autres juste à côté, toujours la bite à la main, juste sous mes yeux. Ils se branlaient énergiquement, puis dans un regard, chacun a branlé l’autre… Vu leurs queues raides, ils appréciaient !!!


Visiblement, ils n’en n’avaient pas eu assez, eux non plus. Ensuite, X. s’est attaqué à mes seins, pendant que Y. s’arrangeait avec François pour me lécher à deux. Deux langues en même temps, c’est indescriptible…


L’un me titillait aussi mon petit trou, sa langue y coulissait doucement. Je ne sais plus qui faisait quoi, j’avais des doigts, des langues dans ma chatte, dans mon petit trou qui frémissait d’envie, pour la première fois depuis longtemps…


En même temps que le drap, j’avais pris mon gode, j’ai décidé de l’utiliser. Je me suis mise en levrette, X. s’est allongé dessous, pour pouvoir me lécher en même temps que je me ferai prendre. Y. s’est aussi approché pour bien profiter du spectacle, et recommencer à se faire sucer la bite, car finalement, il avait bien apprécié !

Mon amant s’est introduit encore d’un coup dans ma chatte bien ouverte, la croupe bien redressée. Il m’a doucement caressé l’anus, craché sa salive, pour continuer de l’ouvrir, et a fini par y glisser le petit gode vibrant, guère plus gros qu’un doigt. Je vibrais sous les coups de boutoir de mon mec, et du gode. La jouissance est arrivée par surprise, a explosé en moi, j’ai hurlé, tant et plus, c’était si intense, si puissant…


J’ai rarement joui aussi fort que ça !!!


On a continué a se caresser gentiment, les deux voyeurs ont joui sous la langue de François, le deuxième s’étant finalement laissé convaincre.


Pendant encore une heure, on a « joué », presque sagement, des caresses, des petits coups de langues, des baisers profonds… Je m’endormais presque sous leurs douces caresses.

Les deux voyeurs sont finalement partis, comme à regret.


François, mon amant inattendu du jour, a fini par me dire qu’il était lui-même surpris, car je ne l’avais auparavant pas particulièrement attiré. Il aime les femmes minces, et je suis plutôt l’inverse ! Mais de me surprendre en train de me caresser l’avait excité, et il avait décidé de me faire savoir sa présence.

Je ne le regrette pas !!!


J’espère recommencer bientôt, faire une exhib comme ça, dans une piscine, mais dans un endroit où les gens seraient « prévus », la Guyane est trop petite pour faire ca n’importe où…

…

Un dernier aveu : en me relisant pour vérifier les fautes, je n’ai pu m’empêcher de me caresser et de me faire jouir !

 

 

* Ce récit est une réédition... il a donc eu lieu il y a trois ans...

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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