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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Comme vous avez sans doute pu le lire, j’avais vécu une première soirée en club libertin très « hot. » A la suite de cette magnifique expérience, je suis retournée deux ou trois fois là-bas, seule ou accompagnée.

La dernière fois, avant que je ne quitte la métropole, il y avait peu de monde, et j’étais venue seule. Il me fallait en profiter au maximum !


Dès mon arrivée, par le bar et la piste de danse, une femme d’un certain âge, (elle m’avoua plus tard 57 ans) m’avait souri, puis parlé. Nous avions échangé sur nos expériences et envies. Elle me parue bien chaude pour une femme de son âge, et je me suis dit que j’aimerai en faire autant quand j’aurai 55 ans passés.

En fait, elle partait. Elle m’a juste « recommandé » deux ou trois bons coups, des hommes biensfaits, et très doués pour les caresses, surtout linguales. En me faisant la bise, elle me dit qu’elle est esthéticienne et qu’elle serait ravie de me voir dans son institut.


Petite parenthèse : elle avait très bon goût, et les hommes  qu'elle m’avaiit désigné m’avaient super bien fait l’amour dans tous les sens possibles. J’étais une vraie fontaine de foutre et de mouille mélangée… Du plaisir à l’état brut….


A l’époque, je ne m’épilais que partiellement, le maillot comme on dit. Je voyais bien les filles totalement épilées dans les films X, mais j’étais un peu réticente. Ce qui me gênait le plus était de me retrouver sur une table, les cuisses grandes ouvertes, avec une inconnue qui m’épilait plus ou moins doucement.


Mise en confiance par Josy (se voir en club échangiste, ca crée des liens…), j’ai pris rendez-vous avec elle.

Lors de ce premier rendez-vous, elle m’a juste épilé la partie que je faisais d’habitude, rien de plus, mais elle insistait pour que je fasse une épilation intégrale. D’ailleurs, je trouvais qu’elle s’attardait beaucoup très près de mes lèvres intimes, pour me montrer où elle poserait la cire. Elle passait un doigt léger mais bien présent, un peu partout, y compris sur le clito, qui ne demandait qu’à sortir de son capuchon…

Cela provoquait une douceur chaleur qui remontait dans mon minou. Mais il y avait des clientes plein le salon, et j’ai préféré partir très vite…


Quelques semaines plus tard, j’ai repris rendez-vous, décidée à faire l’épilation intégrale.

Lors de mon appel, elle me donne rendez-vous à 18 h, dernière heure dispo de la journée. Avant de raccrocher, elle me dit de venir avec mon ami. Selon elle, il doit vérifier si le travail est bien fait, car ce sera lui le premier bénéficiaire…

Cela me surprend quelque peu, mais finalement, je demande à mon ami de passer. Il me dit ne pouvoir être là qu’à 18h30 passé.


Le jour J, je me rends un peu fébrile dans l’institut. Je me doute que ce ne sera pas un soin ordinaire. Mais comment ? Mystère !

Comme je l’imaginais, j’étais la dernière cliente, et toutes les employées étaient parties.

Elle me fait entrer dans une grande cabine, avec la table pour les soins, un grand miroir face à la table, une tablette dessous, et un grand fauteuil en osier, type « Emmanuelle. »

Elle s’enquiert de la présence ou non de Joël, mon ami. Il viendra dans quelques minutes. Elle décide alors de commencer sans lui.


Elle me demande d’ôter ma jupe et ma petite culotte noire. Je m’allonge sur la table, le dossier légèrement relevé. Elle a mis de la musique un peu zen, et éteint la grande lumière. Ne reste qu’un spot, qu’elle braque sur mon pubis encore bien poilu.


Cela donne une ambiance étrange, bien loin de celle que je connais d’habitude !

Josy me demande de lui raconter ma soirée aux Chandelles. Je lui raconte avec force détails, pendant qu’elle commence son travail minutieux. Elle passe rapidement sur les zones externes. Raconter ma dernière sortie me provoque des picotements le long du dos, mes seins se hérissent et pointent. Bien sur, elle le remarque.

Sans que je m’y attende, elle soulève mon haut et attrape mes tétons, qu’elle effleure et pince. Brève caresse, qui m’électrise. J’ai presque cru rêver !


Cette femme mûre est incroyable… j’en reste bouche bée. Elle prend de la cire comme si de rien n’était, et dépose une fine couche juste sur les bords des mes lèvres. C’est chaud, c’est doux, ça continue de m’exciter. Je sais que je mouille. Elle sourit, et me dit qu’elle s’étonne de voir cette humidité perler sur la toison dorée qui reste encore. Je rougis un peu. Autant d’une petite gêne, que d’envies mal contrôlées…


Mais je reviens brusquement sur terre quand elle arrache la bande de cire. La douleur est vive. Elle la calme aussitôt en posant toute la longueur de son doigt sur la partie à vif. Ce geste apaise la brulure, et fait renaitre mon envie. Pendant quelques minutes, elle s’applique à m’ôter tous les poils, me faisant passer alternativement de la douleur au désir. C’est un rythme d’enfer. Je ne sais plus si j’ai mal ou si j’ai envie de sexe !


Au moment où elle allait s’attaquer à mes fesses, le carillon retentit. C’est Joël.


Elle va lui ouvrir et le fait rentrer. Il reste sur le pas de la porte de la cabine, un peu ahuri par le spectacle de mes jambes grandes ouvertes, de ma chatte toute nue, ouverte et impudique, éclairée crûment par le spot.

Il m’embrasse et son baiser m’électrise un peu plus. Mais Josy lui dit qu’il devra vérifier son travail plus tard, quand elle aura fini.


En attendant, elle me fait lever les cuisses sur la poitrine, et du coup, ma chatte s’ouvre encore plus. Je ne peux cacher mon excitation, d’être ainsi offerte à leurs deux regards bien enfiévrés, voire même lubriques…

Il faut pourtant continuer. Elle pose des bandes de cire tout autour de mon petit trou. A ma grande surprise, quand elle arrache les bandes, ca ne fait pas très mal.

Elle me dit que, pour bien finir il faut me mettre à quatre pattes.

Au point où j’en suis, j’accepte tout !


En me retournant, je vois Joël, les yeux brillants. Je pose mon regard sur son pantalon. Le salaud, il bande comme un taureau !

Me voilà en levrette, je tourne la tête, pour suivre le regard de mon ami, qui s’est allumé encore plus ! Je comprends : dans le miroir qui me faisait face, je vois mon cul, ouvert, rouge de l’épilation, mon abricot ressort, rose et obscène, gonflé de son excitation. C’est bizarre, on dirait que ce n’est pas moi. Le spot lui donne encore plus d’ampleur. Je ne vois que ce cul, qui semble affamé de langue et de bite.


Josy ne se démonte pas et fignole son travail, tout en laissant bien trainer ses doigts tout partout. Elle me met dans un état quasi insupportable. Et en plus, la garce, elle fait ça comme si de rien n’était !!!

Ma chatte palpite, coule, mon vagin se contracte tout seul, de ce désir fou. Je crois que jamais je n’avais ressenti une telle excitation, sans pouvoir –encore- rien faire. C’est démentiel.


L’heure de la délivrance approche, enfin ! Josy me fait allonger sur le dos, et demande à Joël de venir vérifier si elle n’a rien oublié. Il répond qu’il n’est pas sur de se maitriser… Et Josy lui dit qu’elle serait ravie de nous voir nous faire du bien.

D’ailleurs, elle recule, et s’assied dans son grand fauteuil.

Joël ne se le fait pas dire deux fois. Il bande tant que son braquemard dépasse de la ceinture de son jean.


Il s’approche de ma chatte détrempée, toujours violemment éclairée par la lumière blanche. Il glisse un doigt, passe partout, trouve à voix haute, que tout est parfait. Son sexe est à hauteur de mon visage. Je n’y tiens plus et défait la braguette. Sa queue raide sort comme un diable de sa boite. Il bande comme je l’ai rarement vu avant. Sa bite épaisse est brillante de sa mouille à lui. Je ne résiste pas, et au moment où je m‘apprête à emboucher ce sexe adoré, il se jette sur mon minou, pour y passer sa langue puissante. Il la passe dessus, dedans, agace ma rosette, s’y glisse pourtant, fouille mon con de ses doigts, fait ce que j’appelle « la pince ». Il glisse le majeur dans mon cul, le pouce s’enfonce dans mon vagin, et il aspire avec ardeur mon clito. Je ne résiste à pas a ce traitement.


J’avais un peu oublié Josy.. Quand j’ouvre les yeux pour voir où elle était. La salope était toujours sur son fauteuil, mais une jambe en l’air, sur l’accoudoir. Elle n’avait pas de culotte. Elle nous fixait du regard, et sa main s’activait sur et dans sa chatte. Grosse chatte, aux lèvres pendantes, avec un clito comme une petite bite, qui dardait en haut de son vagin. Chatte béante, visiblement habituée à être visitée, astiquée, défoncée…


Cette vision me donne un regain d’excitation et je demande à Joël de regarder. Il lève les yeux. Je vois dans le miroir que le spectacle le fascine. Il redouble d’ardeur avec sa langue, me fait reluire comme un cuivre. Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche, à longues giclées de mouille. Josy halète de plus en plus. Joël n’y tient plus. Il me fait allonger au bord de la table, les jambes posées sur ses épaules. Grâce à la table réglable en hauteur, sa bite est juste à la bonne hauteur. Il me gratifie d’un grand coup de langue, au cas où je ne serai pas assez lubrifiée…


Josy se lève, je ne sais pas si elle a joui, elle respirait très fort…


Elle se met près de mon visage, et regarde en se penchant, la queue de mon mec s’enfoncer d’un grand coup de rein au fond de ma chatte qui crie famine. Elle gémit, sa main toujours labourant son con visqueux. Elle y enfourne presque sa main entière ! Je suis fascinée par ce spectacle, à quelques centimètres de mes yeux.


Je n’ai jamais eu de relations avec une femme. Mais comme un automate, pendant que Joël me bourre bien à fond, comme j’aime, à grands coups de bassin, j’avance ma main vers cette grotte frémissante. Sa chatte est bouillante, douce, lisse, trempée… Je passe le bout de mes doigts sur ses grosses lèves dégoulinantes. Jamais je n’ai touché une autre chatte que la mienne. Ca fait tout drôle. Elle avance encore un peu plus le bassin, je décale ma tête et l’impensable se produit : d’instinct, je tends ma langue vers ce trou béant. Je sens la douceur de sa peau intime, et puis, je heurte le clito, vraie petit chibre d’au moins 3 cms de long. Je l’entoure de ma langue, le titille, comme mon homme me le fait. En quelques secondes, elle m’inonde la bouche de son jus sucré-salé. La garce, elle a joui d’un coup, sans prévenir !


Joël a les yeux hors de la tête au vu de ce spectacle inattendu. Je sais qu’il fantasme sur deux femmes ensemble… Il a enfin ce qu’il veut… Il me baise comme jamais, puissant, il heurte le fond de mon vagin. Je suis secouée de spasmes, nous jouissons bruyamment ensemble. Je crie, et je sens son foutre me remplir le vagin.


Mais comme il continue de me baiser puissamment, le sperme coule hors de ma chatte.


Josy le voit, s’avance et vient le ramasser avec ses doigts. Doigts qu’elle porte à sa bouche, elle les lèches avec application… et viens me rouler une pelle. Sa langue me remplit la bouche et je retrouve le gout habituel du sperme…. C’est étrange… Puis elle vient à son tour me lécher le clito, mon sexe toujours bien rempli par cette queue d’enfer. Caresse divine de sa langue pointue sur mon clito, et de la hampe de mon mec qui me baise toujours.


Je sais ce qu’il veut, quand il ne débande pas comme ça… Il a encore les couilles pleines !

Je retire le mandrin turgescent de ma chatte maltraitée, et me retourne en levrette.


Il n’attendait que ça, pour me baiser à nouveau, comme une chienne. C’est ce que j’ai l’impression d’être à ce moment-là : une chienne en chaleur, avide de sexe pur et dur.

Joël ne tarde pas à jouir de nouveau, en longues giclées chaudes. La main de Josy est toute inondée, car elle continuait de me branler pendant que mon ami me tringlait sans ménagement. Je jouis aussi, quand il vient lécher son sperme dans ma grotte déformée par sa grosse bite.


Nous retombons tous les deux sur la table, Josy dans son fauteuil, épuisés.

Brefs commentaires, sourires de plaisirs… Je me rends compte que je n’en n’ai pas eu assez. Nous sommes vendredi. Et le vendredi, les Chandelles sont ouvertes toute la journée… Après une brève concertation, nous décidons d’y aller tous les trois. Josy veut sa dose de bites !!! Euh, et moi aussi, je veux des exhibs, voir des couples copuler, je veux de la baise hard, pour ma vraie dernière soirée de délire en métropole…


Mais ça, je ne vous le raconte pas, à vous d’imaginer la suite...

En tout cas, j’avais eu affaire avec une belle salope excitante, mûre et avide de sexe. Pire que moi ! Je ne souhaite qu’une chose : être comme elle à son âge !!!

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Histoire érotique
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