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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Elle c’est SOPHIE. Elle m’a précisé Sophie de R.

Elle n’aime pas qu’on la compare aux autres. Elle n’est en rien comparable aux autres car elle est maîtresse d’elle-même, de ses choix et de ses désirs.


Elle vit en Guyane, c’est même peut être une guyanaise en tout cas : qu’importe c’est une femme « djok », qui prend ce dont elle a envie. Elle est de ce bois canon là, et elle m’a choisi MOI.


Oh, faut savoir que j’ai rien de plus qu’un autre. Je suis un de ces « ti-Boug sans sens » qui pullulent ici et là. Je suis ce cliché-là : panoplies jamaïcaines DICKIES, le style plus ricains encore que les AMERICAINS, plus RASTA encore que Bob Marley, peut être une sorte  de Fifties Cents avec les muscles en moins, l’air faussement méchant en plus.


Je n’ai rien de plus qu’un autre de mes pairs, rien de moins qu’un autre de ces jeunes kamikazes en véhicules motorisés, prêt à tout pour se faire remarquer mais qui en fait ne se démarquent de rien. 

C’est vrai ! Tu pourrais te dire ça me voyant. Que tu sois un homme ou une femme. Encore faudrait-il que tu m’ais regardé.


Et pourtant, j’aspire aux mêmes choses que les autres : le bonheur. Je désire les mêmes choses que les autres : jouir de ce bonheur. 

Alors oui, je ressemble surement à n’importe quel autre, à la différence que le sexe est pour moi un plaisir aussi épicurien que le bien-manger, le bien-boire, en somme le bien-vivre. En l’occurrence, j’adore aussi le bien et le bon sexe. Pas juste le « koké », que tout le monde connait, non le « bon-koké »


Comme les autres, proches de cette trentaine inéluctable,  je n’ai pas nécessairement tous les atouts de la séduction immédiate, j’ai juste le verbe romantique, le désir du fantasme vécu. Comme les autres, j’aime « la » femme, toutes les femmes pour autant qu’elles s’aiment  et qu’elles aiment la vie.

Et  ce soir, j’allais aimer Sophie,  Sophie de R., Sophie mystère, Sophie qui tient un blog.


On a pris rendez vous pour vendredi, vendredi dans l’après-midi, juste au moment où on ne distingue plus le jour du commencement de la nuit. On s’est donné rendez vous dans le parking du stade de Baduel, sur la droite, près de l’herbe. Elle m’a donné la marque de sa voiture, et je lui ai donné celle de la mienne. 
A l’heure prévue, on est tous les deux là. L’heure n’est pas guyanaise là, elle est au désir. C’est une heure qui n’attend pas. Chacun au volant de son véhicule, on se voit pour la première fois, on s’appréhende rapidement. C’est le désir qui parle et bien avant cette rencontre, il avait prévu ce qui devait se passer. Le doute n’est pas là, y pas de passagers dans nos voitures. Alors après s’être regardés et souris, on démarre jetant par la portière toutes indécisions et rattrapant au passage l’excitation, le désir, l’envie de jouir de l’inconnu. 


J’avais vu des photos de Sophie de R. sur son blog, son intimité luisante, ses récits excitants comme un film érotique, sa vertu vicieuse. Mais je ne connaissais pas son visage. Eh bien, elle est telle que vous l’avez imaginé,e peut être un peu plus charmante, avec l’air du vice en plus.

 

On se gare devant un immeuble étrange. On est dans un quartier plutôt propre sur lui et agencé de manière à ce que chaque maison entretienne sa propre intimité. Très peu de voisins, et en cet après midi de début de weekend, même pas un mioche qui fait du vélo ou qui tape de manière bruyante sur le portail de ses parents avec une balle de football en cuir véritable. 


Juste cette maison en face de moi : plutôt grande. Le jardin broussailleux et presque sauvage entoure ce lieu d’où ne s’échappe aucun bruit. La maison est vide. Dans ma voiture, je m’interroge et me demande à qui elle peut bien appartenir, quand soudain Sophie apparaît à ma fenêtre et me demande de rentrer environ cinq minutes après elle dans la propriété. J’ai à peine répondu qu’elle m’embrasse subitement. Désolée, me dit-elle, elle ne pouvait se retenir. Elle s’éloigne, et en la regardant pénétrer l’endroit, c’est moi et mon imagination que je ne pouvais retenir.

Elle est belle Sophie de R.. Elle n’est ni trop grande, ni trop petite, juste à une taille qui me convient et qui convient aux choses, elle a un sourire qui rivalise avec la beauté elle-même, une robe noire et un corps et des fesses fabriquées par le Diable pour nous faire connaitre à coup sûr, un des 7 péchés capitaux.


Mais je dis ca, je ne dis rien !!!  Je compte juste les minutes, je tente de retenir l’excitation qui monte, la boule qui se forme dans mon jeans. Et si je serre les dents, ce n’est pas que j’ai les dents longues, mais que, emprisonné comme il est dans son fourreau, mon pénis me fait mal à vouloir se détendre dans un espace trop petit pour lui et qui ne lui est conseillé qu’au repos.


Je compte. Cela fait cinq minutes. Allez, j’en laisse un peu plus. Un peu plus de temps pour que la surprise soit plus belle. Je me faufile à l’entrée sans toucher le portail rouillé. Je regarde avec admiration comment la nature a repris ses droits sur la demeure, et distingue deux colibris qui se suivent à travers les branches cassés, les feuilles jaunes et rouges du cotonnier et les troncs déjà attaqués par les pouls bois. J’arrive à l’entrée de ce bâtiment sur étages.  Il y a un mot scotché sur la vitre de la porte d’entrée : tu entres, tu suis la lumière et les instructions.


Sophie est très mystérieuse et joueuse. J’adore Sophie. La nuit tombe surement maintenant et j’aperçois à l’intérieur de cette maison vide, une lumière près de l’escalier. C’est une bougie. Mais je vois autre chose en me rapprochant : la robe que portait Sophie de R. tantôt. Le vêtement est sur la marche de l’escalier et il y a un mot sur une feuille : enlève le Haut ! Je souris à la vue du spectacle d’inanimés et m’exécute et j’enlève mon tee-shirt.  J’ai les tétons qui trahissent mon calme apparent.

Je monte, une autre bougie, accompagnée d’un soutien gorge. Et d’un mot : enlève le bas…. Déjà ? Tout ! Alors avec ce qui me reste de pudeur, le cœur battant de plus en plus fort, l’envie de monter les marches 4 à 4, je décide de garder le caleçon.  En même temps, mon sexe faisait déjà tout pour être à l’extérieur à l’air libre, on aurait dit qu’il voulait percer le sous vêtement.


Je continue et j’aperçois la fin des marches et sur la dernière une autre bougie, pas de vêtements, juste un mot : enlève ce qui reste ! Je regarde mon caleçon et le tissu fin est déjà un peu mouillé par endroit. J’ai le désir qui me fait fondre et qui coule déjà dans mon « calimbé ».  Je l’enlève et rejoins la chambre qui est éclairée.
La maison est donc une maison vide. Aucun meuble, aucune activité électrique. Visiblement, juste celle de notre envie, celle qui va rapprocher nos corps.


Je suis maintenant devant la chambre. Sophie est couchée sur le ventre, elle n’est pas totalement nue, elle a gardé son string. Elle est couchée sur un matelas à même le sol, recouvert d’un drap pour éviter les acariens. Elle regarde vers le mur du fond. Pas moi. Et pourtant, elle sait que je suis là. Les bougies qui l’éclairent donne à l’atmosphère quelque chose d’irréel mais la tension est palpable, le désir sent déjà  et se répand dans la pièce, dont je referme la porte. 


Elle ne bouge pas et moi non plus. Je suis debout et je regarde le spectacle de son corps là, étendu, les jambes légèrement écartées, son intimité pas tout à fait cachée par un bout de tissu en dentelle.

Je le répète : elle a de superbes fesses Sophie de R.

Je ne détermine pas son origine ethnique, mais ce sont des fesses rebondies, une forme ovale que l’on ne peut dessiner à main nue, une sorte de géométrie de la rondeur incalculable. Je me mords les lèvres. J’avale ma salive. J’ai déjà faim. Mon sexe est tendu, je ne le regarde même pas, je sais qu’il  voudrait agir de son propre chef.

Pénis tendu, gland gonflé. Cette turgescence me rassure et je voudrais qu’elle la voie.
Surement m’a-t-elle entendu puisque elle se retourne maintenant : elle me fait découvrir sa poitrine, ronde, grosse et belle comme les papayes de Man Henriac sur le marché de Cayenne.

Elle me regarde et sourit. Ce sourire qu’elle ne quitte jamais, et qui ne peut que me convaincre à poursuivre mon élan du désir. Elle a la peau claire et les ombres des flammes des bougies dansent sur celle-ci. 

« Viens, me dit-elle ! Viens près de moi ! » 


Je me rapproche et Sophie enlève son dernier apparat.  Elle a le sexe rasé. Elle aime avoir le sexe épilé. Elle trouve ça hygiénique et sensuel. Je trouve ça hygiénique et ouvert sur un champ des possibles beaucoup plus agréables. Alors sans réfléchir, je me baisse et me mets à quatre pattes sur ce sol que je ne connais même pas, mon sexe gonflé ressemble à une queue, à une troisième jambe,  une drôle de béquille.

Des gouttes perlent encore, je ne peux contrôler ce mécanisme organique du plaisir anticipée. J’en ai pas envie, je suis un animal à quatre pattes et ma proie est devant moi : c’est une SOPHIE, un animal protégé en voie d’excitation.


Le string est posé délicatement sur un coin du matelas, pendant que j’arrive à la hauteur de ses pieds. Ma bête a les pieds humains, fins et sensibles. Quand j’en approche ma bouche, ils se tortillent. Quand je leur souffle dessus, ils palpitent. Je suis près d’ongles french-manucurés qui brillent. Je choisis alors d’explorer entre ces doigts là et du bout de la langue, je dessine son pied et m’attarde avec une succion timide sur ces petits appendices.  Je voyage sur la plante de son autre pied et l’énerve la partageant entre frétillements et agacements.

« Arrête, c’est une torture !! » rit–elle en enlevant son pied.

 

J’arrête, mais je continue à avancer à quatre pattes. Je suis un jaguar maintenant, et je renifle le corps de ma proie. De la cheville aux genoux, du genou à la cuisse, ici et là, je passe doucement ma langue pour m’assurer du relief et des replis de  sa peau. Ma proie est docile, elle me regarde, mais ne bouge pas. Elle veut profiter du moment et d’une certaine passivité.  Son souffle devient court et sa respiration profonde. Sophie continue de sourire, ne s’arrête jamais. Et moi, à mesure que je remonte ses cuisses, je me régale de l’odeur de sa peau, qui se mêle bientôt à l’odeur plus forte de son sexe.
Soudain, elle pose la main sur sa vulve. « Embrasse-moi ! », me dit-elle.

Alors quoi qu’étant le prédateur, je lui accorde sa dernière volonté. Je me rapproche de son visage, elle a le regard qui ne sautille pas, l’air sûr et pourtant tendre.


Je colle mes lèvres aux siennes et insère ma langue. La sienne

m’accueille et m’entraine dans un accord parfait dans un mélange de gouts et de mouvements. Hum Discovery-langues ! On s’applique, se pince, se cherche se taquine. Ce n’est plus juste un baiser, c’est un jeu qui envahit le corps entier, ma cuisse croise son entrecuisse et se frottent, sa main veut saisir à la fois mon visage et mon sexe. Je me retire !


Un temps, je la regarde et me rappelle que depuis son blog, je m’étais fait déjà milles scénarios.

Sophie de R. n’est plus un mythe. Mais encore un mystère profond. Avec l’agilité d’une panthère, je me débarrasse de ses mains, libère mon sexe et presque brutalement je plonge vers son sexe que j’ai senti humide sur ma jambe.

Sauvagement, mais sans lui faire mal, je me place entre ces cuisses, mon nez est presque collé à son sexe imberbe et j’hume déjà les odeurs appétissantes d’un sexe aux lèvres gonflés.  C’est un spectacle que je connais, et pourtant un sexe de femme qui s’ouvre est toujours émouvant. Je souffle sur les lèvres, autour, au milieu, j’isole son clitoris entre mes doigts et le taquine des lèvres doucement. Je veux la taquiner, Sophie  de R. Je sais que ça marche.


Car elle bouge du bassin et cherche à se rapprocher. « Vas-y ! Vas-y ! N’hésite plus », me dit–elle !!!

Alors je colle brutalement ma bouche sur son clitoris, et avec ma langue le balance rapidement de haut en bas et de bas en gauche etc.… et aussi vite que j’ai commencé je m’arrête, et la regarde.  
« Pourquoi tu t’arrêtes ? » dit-elle les sourcils froncés. 


Sophie avait anticipé le plaisir et j’avais tout fait pour. Je me rapproche alors de son ventre, sans dire mot, m’attarde sur son nombril, effleure ses côtes et me dirige vers ses pointus tétons.

A cette station, il faut faire le tour des petites pylônes, dans un sens, puis dans l’autre… Mordiller au passage mais doucement, sucer et encore faire des tours et mordiller et sucer, chaque petit pylône ! Car ces bouts colorés et sensibles sont deux et il ne faut pas faire de jaloux ! Sophie973 ne parle pas. Elle s’exprime en onomatopées de râles et de plaisirs. Elle regarde beaucoup, son plaisir est visuel, et sourit toujours, quelque soit ce qu’elle veut exprimer.


Encore une fois, je change de rythme et passe d’un coup de ses tétons à son vagin. Juste un « annnnh ! » perdu de sa part et j’y suis déjà ! Et cette fois ci, je dois me délecter de la saveur d’un fruit qui devient de plus en plus juteux. Il coule de plaisir et je goute alors à la quintessence de son intimité. Je veux boire à la fontaine de ses entrailles, alors je me colle à son sexe,  je suis un chat qui lape tout.


Je découvre son clitoris et le suce, le lape, l’envoie à gauche puis a droite. La langue en pointe, je descends suivant un chemin imaginaire jusqu’au trou merveilleux et j’y pénètre. Sophie apprécie et m’encourage. Elle empoigne parfois le drap. Je le vois du coin de l’œil.


Elle se dérobe du bassin parfois, je le sens : alors avec mes mains je m’agrippe à cette partie de son corps et lui fait comprendre que c’est moi dorénavant qui imprimera le mouvement.

Et j’entame une danse, ma langue son vagin et moi ! Elle me caresse le haut de la tête, avec une main puis deux. En réalité, elle essaie elle aussi de contrôler le mouvement, subtilement. Je le sens. Alors j’abandonne son bassin, remonte à l’aveugle mes mains sur sa poitrine et engage un jeu entre mes doigts et la pointe de ses mamelons. C’est une autre phase, je suce son bouton, l’aspire sans lui laisser de répit et lui pince, lui titille et triture la poitrine. C’est intense !  Si relever brutalement le bassin à une hauteur inimaginable, fermer et ouvrir ses cuisses sans contrôle, se tendre et inspirer en même temps veut dire que Sophie a pris du plaisir ce soir, alors on peut dire qu’elle a pris du plaisir. Car elle se relâche maintenant, elle vit encore. Elle s’est même remise à respirer. J’arrête mes soins à celle qui fut morte. Elle me sourit et me fait signe de venir. 


Alors je me rapproche d’elle.  J’arrive à hauteur de visage. 

« Continue…. » dit-elle.


Alors, je la dépasse et son visage est à la hauteur de mon thorax. Elle m’embrasse, saisit mon sexe et me suce les tétons. Très vite, elle me demande de continuer d’avancer et je m’exécute, sachant maintenant à quoi m’attendre. Je ne regarde pas. Je sens et ressens sa bouche près de mon sexe. Je ne regarde pas. Je sens juste sa bouche sur le bout de mon sexe, sur le gland, sur mon ventre et à nouveau sur mon sexe. Soudain, elle le prend en bouche. Et arrête aussitôt de me sucer. « Mets-toi à l’aise, me dit elle. Couche-toi et je vais m’occuper de toi ! »

 

C’est à mon tour d’être sans défense. Je ferme les yeux. Je ne veux pas voir. Je veux juste ressentir. Elle m’embrasse un peu partout sur le torse, explore chaque forme de ma poitrine et la bonne santé de ses bouts, le dénivelé de mes abdominaux, qu’elle embrasse chacun à leur tour comme un rituel sacré  et s’attarde autour du « bâton ».  C’est elle l’animal maintenant, celui qui lèche, tantôt le gland, tantôt la tige, parfois les deux, quelquefois un peu plus bas même étonnement plus bas que les bourses.  C’est un animal sans limites, qui veut tout connaitre, tout sentir tout gouter. Ses mains branlent mon pénis, tandis que sa langue s’essaye à mon petit trou. Quelle coquine !! Elle a osé.
« Tu n’avais pas le droit ! »


Elle me regarde et continue ce qu’elle fait en me disant : « je le  prends le droit et tu aurais dû, toi aussi, le prendre !! » Je me relève alors soudainement. Je dois lui demander de continuer mais de venir à moi et de me laisser la lécher en même temps. Sopjie de R. me regarde, et me poussant de sa main libre, elle me force à me recoucher. Elle vient placer intimité au dessus de mon visage.

«  Explore ce que tu dois ! Et ne te prive de rien stp !!! », dit-elle en se remettant à me sucer, et jouant maintenant à me mordiller le gland !!


Hum, cette chatte offerte !! Je m’en délecte un peu… puis en abaissant ces fesses avec mes mains je me rapproche de l’œil de son petit trou. Un petit coup de langue, deux, et bientôt délicatement je peux pénétrer.

Alors je m’insère, je vérifie les alentours, je rentre à nouveau et retourne à au point de départ : le clitoris gonflé, bandé, gros et dur.  Cette fois, je mets le doigt à l’intérieur. Sophie m’indique à sa manière que ca lui plait. Elle gémit. Alors je continue, me concentrant sur son clitoris, et mon doigt dans sa entre ses lèvres qui laissent tout passer.  Elle insère sa langue dans la fente de mon sexe. Et se remet à me sucer, descendant loin sur mon pénis. C’est très bon, alors faut que je lui fasse savoir. Il me reste une main. Un doigt qui s’approche de sa rosette. Il lui tourne autour, palpe avertit de ses intentions, s’humidifie et pénètre doucement très doucement. Elle ne bouge presque plus, elle est électrique. Je me concentre car si une femme peut faire deux choses en même temps, je dois savoir en faire trois à ce moment-là.


Je dois sucer, insérer et pénétrer.  Elle ressent, frissonne suce. Jusqu’à la garde. 

« Ca monte, ca monte », dit elle….


Alors je me calme. « Non encore ! Encore ! Encore ! », rajoute-t-elle. Alors je m’applique, encore, encore et encore, mais je pourrais me retenir longtemps, mon plaisir monte moi aussi. Elle tremble, je ne me retiens plus, je continue de sucer, d’aspirer de titiller,  c’est le plus important… Elle se relève, et appuie sur mon visage, je vais jouir…. son clito gonfle encore, je le suce encore et son corps se tord. Se tord encore dans tous les sens qui existent.


Des spasmes !!! Une explosion !!!!! Je ne contrôle pas, je ne vois plus rien…..je ne sais plus ce qui se passe. 
Tu crois que c’est fini… mais avec Sophie de R., ce n’est jamais fini !!
Black Karma

Par Black Karma - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Histoire érotique
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