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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ce soir, je ne résiste pas au plaisir de vous raconter ce qu’il s’est passé il y a 15 jours, un samedi après-midi. Tout est vrai, et s’est passé dans notre belle Guyane.

Il y a deux semaines donc, nous avons appelé les pompiers pour un nid de guêpes qui s’était niché sous le toit du garage. Ils nous avaient annoncé leur arrivée pour 18h, plus ou moins au moment du coucher du soleil. Je sais que les pompiers, ca fait un peu cliché, mais pourtant, ce qu’il s’est passé est bien réel…


J’avais laissé le portail ouvert, pour qu’ils entrent directement, l’accès à la maison étant un peu dangereux.

En attendant leur arrivée, la sieste entamée avec mon ami s’était quelque peu… « crapulisée »… Nous faisions l’amour sur le canapé, qui est en face de la porte d’entrée du salon, restée grande ouverte. Nous n’avons pas de voisins, donc pas besoin de nous cacher. Après m’avoir admirablement léchée et ouverte en grand, fait jouir au moins deux fois, grâce aussi à un joli concombre (les photos du blog donnent des idées…), Patrick s’était assis que le canapé, et moi, je m’étais empalée sur lui, lui tournant le dos. Je voyais donc dehors. Je montais et descendais sur cette douce et dure colonne de chair, Patrick gémissait de plaisir, j’ai eu un nouvel orgasme, car il me massait en même temps le clito.


Je fermais les yeux, en criant, comme j’adore le faire.

Et en les rouvrant, surprise : deux pompiers se tenaient juste devant moi, dans l’encadrement de la porte ! Un troisième apparu ensuite. Ils étaient stupéfaits, mais pas autant que moi. Nous ne les avions pas du tout entendu arriver, il était à peine  dix-sept heures.

Premier instant de surprise passé, (Patrick ne les avait pas encore vus), je n’ai pas bougé et les ai regardés droit dans les yeux. Et l’inespéré s’est produit : le premier a porté sa main sur sa braguette, et voyant mon sourire, l’a ouvert et sorti une belle queue bien noire et luisante. Je continuais à monter et descendre sur mon amant, qui avait toujours les yeux fermés…


Les deux autres n’ont pas tardé à en faire autant. Le premier s’est agenouillé devant moi et a commencé à me lécher la chatte béante, où coulissait le membre de Patrick. Ce dernier a bien sur senti la langue de l’homme. Il a sursauté et poussé un petit cri. Quand il a ouvert les yeux, il a eu un mouvement de recul, mais j’étais fermement assise sur lui. Il semblé réfléchir 2 secondes, et a fait oui de la tête.


Alors, la fête a vraiment commencé. Le premier homme, appelons-le Jacques, a continué à me lécher le clito, les lèvres et la queue de Patrick. Il avait toujours refusé qu’un homme le touche, mais là, visiblement, ça lui plaisait beaucoup. Les deux autres, Paul et Marc, sont arrivés près de moi, ont commencé à me caresser chacun un sein. J’étais au 7è ciel. Puis ils ont sorti aussi leur chibres bien durs, j’avais une belle brochette de couleurs : noire, chabine et blanche.

 

Toutes de taille correcte, sans être énormes. Paul et Marc m’ont présenté leur bite à lécher... je les lapais alternativement, comme des glaces, j’entourais ma langue autour, je les dégustais, je les aspirais.

Marc s‘est aussi agenouillé et a pris la place de Jacques, que j’ai aussi sucé gentiment. Il avait une langue super agile, douce et ferme à la fois, qui fouillait parfaitement bien ma chatte toujours aussi affamée...  De nouveau, j’ai joui assez fort. Ils ont été surpris par mes cris. Mais je me laissais vraiment aller…


Et là, quand ils étaient tous bien excités, j’ai fait mon petit chantage : s’ils voulaient continuer, je voulais les voir « jouer » ensemble. Ils ont semblé surpris, on a discuté un peu. Jamais aucun n’avait essayé, et en plus, ils étaient collègues. D’où sans doute un peu de gêne. J’ai juré que je les mettais à la porte s’ils n’essayaient pas. Vu leur état d’excitation, partir ne leur plaisait pas du tout. Déjà, Jacques avait pas mal léché la bite de mon ami, alors, il n’était plus à ça près. Il s’est lancé le premier et a dit oui. Les autres ont aussi acquiescé d’un hochement de tête.


Nous sommes allés sur le lit, beaucoup plus confortable que le canapé. Nous avons passé deux heures de folie pure. Sous leurs regards lubriques, reine au milieu de sa cour, je les ai tous pris un par un. Chacun avait sa façon de faire : douce, presque rendre, parfois forte, quasiment brutale, avec des motos cochons. Ces mots grossiers m’excitent, dans certains cas. Et là, ca me stimulait. J’étais leur jouet sexuel, mais bientôt, j’allais changer les rôles...


J’avais très envie d’une double pénétration. Ce fut donc ma première double, avec Marc, car il avait une queue plutôt fine. J’ai même fait ma première double, vu que Marc avait une queue plutôt fine. 


J’ai adoré être prise par ces deux sexes, qui bougeaient en rythme, sans me laisser de répit. J'ai encore joui en longues vagues qui me prenaient tout le corps.

 

Puis Marc a craché son venin blanc sur mes fesses. Toujours embrochée par la bite de Bob, le vagin bien labouré comme il faut, j'ai ordonné à Paul de lécher ce sperme, puis de sucer Marc. Il avait perdu de sa vigueur, il fallait que ca remonte ! Paul a d'abord refusé, mais d'un œil furieux, je l'ai enjoint à le faire. Il s'est alors exécuté, a lapé tout le sperme de mon dos, puis a embouché fermement Marc.

Peter se branlait à quelques centimètres de ma bouche. Parfois, je venais butiner le bout de son gland rouge d'excitation...

Marc a durci sous la langue vigoureuse de son copain. Alors, juste sous mes yeux, ils ont commencé un super 69, se pompant avec ardeur. Chacun avalait en entier la belle bite de l’autre. Leurs lèvres semblaient avoir fait ça toute leur vie. Je voyais la chair disparaitre dans leurs bouches gourmandes…


Pour une première fois, ils ont fait fort !  Peter a craché sa blanche crème dans sa main, puis est allé rejoindre ses deux potes. Marc était sur le dessus, j'ai donc demandé à Peter de lui introduire un doigt bien lubrifié dans l'anus. Il a frémi sous cette intrusion, voulant la refuser. Mais Peter a insisté, et j'ai vu la rosette s'épanouir enfin... Quel plaisir des yeux !


Sans que j’ai rien demandé, ils ont été plus loin encore… De toutes façons, vu le point de non-retour qu’ils avaient atteint, ils n’étaient plus à ça près ! Ils se sont donc enculés mutuellement, bien sur l’un après l’autre. Ils ont aussi fait une brochette, où l’un me baisait violemment, pendant qu’il se faisait défoncer l’anus par l’autre. Comment peut-on ressentir tant fe plaisir ???


Mon méga tube de lubrifiant y est passé. Nous avons fait tout ce qu’il est possible de faire à une femme et quatre hommes actifs entre eux ! Ils ont tous joui plusieurs fois, se sont fait sodomiser, ont sodomisé leur potes… Tout le monde était mélangé, un vrai carnage de sexe et de défonce totale.


J’ai fini en me calant bien sur les oreillers, les jambes grandes écartées, la chatte plus qu’ouverte par ces traitements ardents. Je me suis branlée avec mon gode, pendant que les quatre hommes se branlaient autour de moi, les yeux exorbités par le spectacle et par ce qu’ils venaient de vivre. Je voyais ces quatre belles tiges, agitées frénétiquement, qui ont fini par cracher leur belle crème blanche, sur mes seins, sur ma chatte pour celle de mon ami.


Et comme si Marc devinait mon envie secrète, il est venu me nettoyer de tout ce sperme, en le léchant goulument. Sa langue courrait sur la peau, aspirait au passage les tétons, les faisant durcir à nouveau. Il a fini sur mes lèvres encore gonflées et mon bouton, encore tout raide de tout ce plaisir. Ce salaud, il a même réussi à me faire jouir une dernière fois ! Ils ont été se doucher, et fait leur boulot.


Mais quand j’ai demandé si on recommencerait, ils ont eu l’air gêné... Je pense qu’ils se sont laissés aller, mais qu’ils en avaient un peu honte, surtout de leurs relations bi !


J’espère les revoir un jour ! Et avis aux amateurs, je ne demande qu’à recommencer…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Histoire érotique
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