Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Pour commencer, laissez-moi me présenter. Je me nomme Bernadette Durant, j’aurai trente-neuf ans à la fin de l’année. Avec une taille d’un mètre soixante-dix-sept je suis plutôt grande pour une femme de ma génération. Brune à la peau mate de par mes origines latines, j’ai de longs cheveux d’un noir d’ébène qui la plupart du temps sont relevés en un chignon strict pour plus de facilités. J’ai une poitrine quelque peu opulente ( un bon 90 C ) ronde et ferme, qui attire les regards des hommes. Ma taille s’évase sur des hanches que je trouve un peu larges, mais avec deux grossesses, cela n’a rien d’anormal.
Je suis divorcée et, ayant eu la garde de mes deux fils, j’ai vécu seule de longues années pour me consacrer entièrement à eux et à ma carrière. Je suis chargée des relations extérieures d’une grande entreprise située dans le Quartier de la Défense ce qui fait que je suis assez libre de mes horaires et de ma présence au bureau.
Je vis depuis quelques années avec Jean-Louis. Il a mon âge. C’est un copain de lycée mais nous nous étions perdus de vue à la fin de nos études. Ingénieur agronome, il était parti à Madagascar au titre de la coopération pendant dix ans et ce n’est que fortuitement que nous nous sommes retrouvés : au centre de Paris, nous cherchions tous les deux un taxi, lui pour aller au Ministère de l’agriculture et moi pour rejoindre La Défense.
Evidemment, nous n’avons pas pris de taxi tout de suite car pour bavarder et renouer contact, nous sommes allés boire un café dans une brasserie toute proche où nous avons convenu d’un rendez-vous pour un repas au restaurant le vendredi soir suivant. Çà tombait bien car mes deux enfants passaient le weekend avec leur père.
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Tout au long du repas, nous échangeons nos souvenirs, dit ce que nous avons fait au cours de ces années écoulées. Revenu en France depuis une quinzaine de jours après une nouvelle mission en Afrique de l’Ouest, Jean-Louis me raconte les conditions parfois spartiates dans lesquelles il a accompli ses missions à Madagascar, comment les malgaches et autres africains, pleins de bonne volonté mais sans beaucoup de moyens, arrivent à obtenir de bonnes récoltes.
Sans avoir bu excessivement au cours du repas, l’ambiance de ces retrouvailles dérive peu à peu sur une conversation plus légère. Je taquine Jean-Louis sur ses éventuelles amours avec des belles indigènes et lui me fait en retour une cour discrète faite de flatteries sur mon élégance, ma silhouette. Bref nous nous sentons bien ensemble alors qu’au temps de nos études, nous n’avons été que de bons copains. Sous la table, je sens ses genoux chercher le contact avec les miens, ses pieds emprisonner une de mes chevilles… si bien qu’au lieu de nous séparer, je me retrouve dans sa chambre d’hôtel dans le XIIème arrondissement.
L’un et l’autre nous savons ce qui va se passer et quand Jean-Louis me prend dans ses bras, je me colle à lui de tout mon corps et nous échangeons un baiser torride qui n’en finit pas. Sans que nos lèvres se quittent, nous nous déshabillons fébrilement avant de basculer, totalement nus, en travers du lit. Il y a si longtemps qu’un homme ne m’a pas prise, que c’est sans aucune pudeur que je me livre aux assauts de Jean-Louis, qui, placé au dessus de moi m’éperonne littéralement avec sa bite dure comme du bois.
Avant de nous endormir, nous faisons l’amour deux fois et au réveil, en milieu de matinée, nous remettons le couvert pour une étreinte plus tendre et câline. Finalement, je ne reviens chez moi que le dimanche en milieu d’après-midi, fourbue mais heureuse : Il y a si longtemps que je n’ai plus fait l’amour et ce ne sont pas les séances d’onanisme avec des godes qui pouvaient me satisfaire, moi qui ai toujours aimé les choses du sexe depuis qu’un copain de vacances avait pris mon pucelage l’été de mes dix-sept ans.
Quelques jours plus tard en milieu d’après-midi, je reçois sur mon téléphone portable ce message de Jean-Louis :
« Caresse tes seins et ta chatte et vas te faire jouir dans les toilettes ! Je vais en faire autant en pensant à toi ! »
Au cours du weekend, j’avais découvert que Jean-Louis est un coquin, libertin, quelque peu dominateur et ce message ne m’étonne guère car il m’a libérée de certaines inhibitions qui freinaient ma libido : l’intimité préservée de ma chambre était un domaine secret. Je m’empresse d’aller dans le cabinet de toilette attenant à mon bureau et je commence à me caresser.
J’ouvre la veste de mon tailleur-pantalon puis glissant une main dans l’échancrure de mon chemisier, je titille les bourgeons de mes seins. Waouh ! Pensai-je en moi-même, je suis si excitée qu’ils sont déjà sortis. Mon autre main descend caresser mon pubis par-dessus le tissu du pantalon et du string. J’ai chaud et bientôt cela n’a plus suffi. Je vais directement au contact de ma vulve que je trouve inondée de cyprine. Aïe ! Mon portable sonne ! C’est Jean-Louis :
« Je veux t’entendre jouir !
- OK. Je reste en ligne ! »
Et aussitôt je reprends ma caresse et je suis de plus en plus excitée, si bien qu’il ne faut pas bien longtemps pour qu’une jouissance démentielle éclate dans mon ventre. Alors que je ne me suis même pas pénétrée, je pousse un feulement sourd et je reste comme tétanisée pendant quelques minutes.
« Bravo ! J’espère que c’était bon ! Vingt heures ce soir à mon hôtel ! Sans string et sans soutif ! »
Et nous coupons la communication. Après être repassée chez moi pour donner à diner à mes fils et les directives pour la soirée, je m’apprête pour me rendre au rendez-vous fixé par Jean-Louis. Une douche rapide, un maquillage de soirée pas trop appuyé, je choisis dans ma garde-robe la tenue que je vais mettre : une jupe droite noire un peu serrée sur les hanches qui met bien en relief le galbe de mes fesses et qui s’arrête un peu au dessus des genoux, un sweatshirt ivoire moulant au décolleté en rond qui découvre un peu mes épaules bronzées et pour finir je choisis une veste dépareillée à large encolure d’un rouge vif et qui ne ferme que par une cordelette réunissant deux boutons.
Quand je me vois dans le miroir, je ne peux m’empêcher de penser qu’en quelques jours, je me suis libérée d’un carcan de femme sérieuse et posée. Jamais je ne serais sortie seule dans une tenue aussi provocante ! Avant d’enfiler la veste, je m’aperçois que les bourgeons de mes seins font un relief très visible sous le tissu.
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A l’heure dite, un taxi me dépose devant l’hôtel et je gagne directement la chambre de Jean-Louis. Il m’attend debout au milieu du coin salon, la main gauche négligemment glissée dans la poche et un petit sourire aux lèvres. Il est vêtu d’un pantalon et d’un pull léger qui moulent son corps comme une seconde peau laissant distinguer ses pectoraux et abdominaux puissants et à l’entre-jambes la bosse de son sexe :
« Stop ! Montre-moi ta chatte ! »
Je m’empresse d’obéir en faisant remonter le bas de ma jupe jusqu’à découvrir ma toison brune.
« Bien, maintenant le haut ! Montre tes seins ! »
Je déboutonne ma veste que j’ôte et je fais glisser l’échancrure de mon sweatshirt pour découvrir ma poitrine. Mes tétons sont dressés au point que si je les touche, je vais avoir en même temps de la douleur et du plaisir.
« C’est bon, tu as obéi à ce que je demandais ! Nous allons diner légèrement ensuite je t’emmène là où j’en suis sur, tu n’es jamais allée… »
Je suis intriguée, car Jean-Louis ne m’a parlé de rien lors de nos échanges téléphoniques ou par courriels. Je trouve cependant que les propos qu’il me tient sont un peu chauds, mais au fond de moi, je me sens flattée qu’un homme me désire à ce point.
Vers vingt-trois heures, nous quittons l’hôtel en taxi et je suis intriguée par les indications données au chauffeur qui nous dépose devant une porte cochère Rue d’Argenteuil. Je ne vois pas trop ce que nous venons faire à cette heure dans un tel endroit mais Jean-Louis semble connaitre. Il sonne à l’une des portes latérale qui s’ouvre aussitôt.
Nous entrons dans un couloir faiblement éclairé de petites lampes de couleur rouge et violette et j’entends de la musique. Mon compagnon me tient fermement par le coude droit et me pousse en avant et, après avoir passé une seconde porte, nous débouchons dans un bar où seule la partie réservée aux deux serveuses est bien éclairée. Le reste est dans une pénombre avec quelques points de faible luminosité.
« Viens, je vais te faire découvrir un bar libertin ! Je suis convaincu que tu ne connais pas ce genre d’établissement… »
J’écarquille mes yeux et je ne suis pas au bout de mes surprises : les deux serveuses ne portent qu’une minijupe au ras des fesses et un haut en filet au travers duquel on voit les tétons qui pointent. Plus loin, dans une première salle, des couples dansent étroitement enlacés, et je vois avec stupeur que la plupart des femmes ont le buste nu.
« Viens ! Dansons ! »
Ces deux mots claquent sèchement, et je ne peux me dérober lorsque Jean-Louis m’enlace, puis fait glisser ma veste et mon sweatshirt par-dessus mes épaules. Nous dansons ainsi une sorte de slow, où je sens la jambe de mon amant s’insérer entre les miennes, puis son érection contre mon ventre. Ensuite, il me guide vers une autre salle, où deux filles dansent à moitié nues sur un podium entouré d’une cage métallique… Dans des alcôves, j’entends des soupirs comme si des couples y faisaient l’amour.
Bref, au cours de cette soirée, je découvre ce qu’est un club libertin. Jean-Louis me fait danser nue dans la cage lorsque les deux occupantes en sont sortie. Au départ, moi une femme mature, j’ai honte de m’exhiber ainsi. Puis voyant de plus en plus d’hommes et quelques femmes s’arrêter à ma hauteur pour me regarder, je me livre totalement dans une danse torride faite de poses suggestives et de caresses sur des endroits sensibles comme j’ai vu faire les deux filles qui m’ont précédé dans la cage.
Jamais je ne m’étais livrée ainsi, dans une impudeur totale. Ensuite, nous avons fait l’amour à deux reprises devant des couples de voyeurs qui, Jean-Louis me l’a dit après, auraient aimé participer à nos ébats.
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Pendant près de six mois nous continuons ainsi. Nous nous retrouvons parfois en pleine journée dans un hôtel complice où nous ne passons que quelques heures à faire l’amour. Généralement, nous nous sommes bien excités auparavant par un t’chat coquin et sans aucun préliminaire, nous nous envoyons en l’air. Nous retournons à plusieurs reprises dans le club pour de belles parties de baise où nous nous livrons au mélangisme, échange de caresses avec d’autres couples, mais jamais un autre homme que Jean-Louis ne m’a prise.
Puis lors d’un weekend, je présente mon amant à mes deux garçons qui l’accueillent avec beaucoup de joie et d’humour malgré leur jeune âge (douze et treize ans). En fait, ils sont heureux que je ne sois plus seule, et au fil du temps, tous les trois deviennent très complices.
Voyant cela, je propose à Jean-Louis de s’installer chez moi, il ne peut pas rester indéfiniment à l’hôtel… Nous avons bien assez de place…
Au moins deux fois par semaine alors que l’un et l’autre, nous sommes au travail, nous avons des conversations ou un échange des mails très chauds qui sont un prélude à une partie de jambes en l’air à notre hôtel fétiche ou le soir quand les garçons sont couchés. Ces échanges me troublent toujours autant et chaque fois, soit à la demande de Jean-Louis soit d’initiative, je dois me soulager et faire tomber la pression dans le cabinet de toilettes de mon bureau. J’ai même, bien cachés au fond d’un tiroir, deux jouets à ma disposition pour me caresser jusqu’à la jouissance. Nous sommes allés les acheter ensemble dans un magasin de la Place Clichy. Il m’arrive même de porter un petit Plug bloqué dans mon anneau plissé.
Personne dans l’entreprise ne sait ce qui parfois se passe derrière la porte fermée de mon bureau. Certainement plus d’une personne en aurait été étonnée alors que je suis une femme « sérieuse et réservée ». C’est le jugement de mes supérieurs ! Et c’est justement un de mes jouets qui va me plonger plus profondément dans une sexualité inconnue.
Depuis plusieurs semaines une jeune stagiaire effectue un stage de trois mois dans le cadre de son B.T.S. et elle passe d’un service à l’autre. En l’absence du D.R.H., je l’avais reçue lors de son entretien initial et je l’avais croisée à plusieurs reprises au détour d’un couloir ou d’un trajet en ascenseur. Nous échangions quelques mots dans un salut poli et nous en restions là.
Autant je suis brune, autant Véronique est blonde comme les blés. Aussi grande que moi, elle a un visage fin encadré par des cheveux coupés en carré court, des yeux gris foncés, un nez droit et mince et une petite bouche à peine fardée. Sa silhouette mince avec une poitrine très menue et une taille étroite lui donnent une allure androgyne.
Lundi passé, je m’apprête à quitter le bureau en fin de journée lorsque le téléphone sonne. C’est un cadre en déplacement à l’étranger qui cherche à joindre son patron. Tout le monde est déjà parti et il se rabat sur moi pour traiter son problème. La porte du bureau est entrouverte et je vois le minois de la stagiaire s’y encadrer. Ne sachant pas ce qu’elle veut et toujours occupée avec mon correspondant, je lui fais signe d’entrer. Là, elle me fait comprendre par gestes qu’elle souhaite utiliser mon cabinet de toilette. Quand je termine ma communication, je repense soudain qu’un de mes jouets est resté sur le lave mains. Au même moment Véronique sort du cabinet de toilette en tenant mon Plug entre ses doigts et me dit d’un air moqueur :
« Oh ! Madame Durant ! Quelle surprise ! Seriez-vous une coquine sous vos airs sérieux ? »
En quelques secondes je me sens pâlir puis rougir, surtout quand elle s’approche de moi, et m’attire dans ses bras pour m’enlacer et chercher mes lèvres. Je suis tellement surprise que je ne résiste pas à cet assaut et à la main qui part explorer le devant de ma poitrine pour débusquer un sein dans mon soutien gorge. Je suis complètement désemparée ! Je suis sans réaction quand la jeune stagiaire déboutonne ma veste et mon corsage et fait sauter l’agrafe de mon soutif pour venir cueillir un de mes tétons entre ses lèvres.
Je devrais la repousser, fuir, mais je suis sans volonté. Maintenant j’ai chaud, je sens mon sexe envahi par une douce chaleur et comme une sorte de poids dans mon ventre. Comment à bientôt trente-neuf ans, femme comblée par un amant doué, je peux commencer à éprouver du plaisir pour la première fois sous les caresses d’une autre femme, qui s’enhardit de plus en plus au point que mon buste est nu. Ma veste, mon chemisier, mon soutien gorge, tout n’est qu’un tas de chiffons à nos pieds.
Je réagis de plus en plus faiblement ! Je me laisse faire ! Cette coquine va me conduire sur les chemins d’une relation saphique… Mais elle n’oublie pas que nous pouvons être surprises aussi va t’elle verrouiller la porte du bureau. Avant de me reprendre dans ses bras, elle ôte son sweatshirt et je découvre sa poitrine si menue qu’elle ressemble plus à celle d’une adolescente qu’à celle d’une jeune femme de vingt et un ans. Elle se colle à moi, se frotte contre moi, ses petits seins tout juste à la même hauteur que les miens les font rouler pendant que nous échangeons des baisers à en perdre le souffle. Entre mes cuisses qui s’ouvrent, une main indiscrète remonte sous ma jupe et vient masser mon Mont de Vénus et ma chatte ruissèle de plus en plus.
Véronique me repousse de telle sorte que mes fesses se collent contre le plan de travail de mon bureau puis elle s’agenouille devant moi, remonte ma jupe au dessus de la taille, fait glisser mon string totalement humide et pose ses lèvres sur mon clitoris tout bandé. Elle le prend dans sa bouche, le mordille, le suce avant de descendre plus bas et d’ouvrir ma fente avec sa langue pour la darder ensuite à l’entrée de ma vulve. Waouh ! Que c’est bon ! Je n’aurais jamais imaginé que de recevoir un cunnilingus de la part d’une femme, c’était presque meilleur que la même caresse prodiguée par un homme. Etait-ce quelque part le fait de braver les convenances ? En tout cas, j’apprécie au point qu’une vague de plaisir déferle en moi pendant que mon amante lape la cyprine qui coule entre mes lèvres intimes.
« N’ayez pas honte ! Depuis notre entretien, j’ai envie de vous, de vous faire l’amour. Je n’ai jamais connu d’homme mais, sans me vanter, j’ai déjà connu pas mal de femmes de tous âges auxquelles j’ai donné beaucoup de plaisir. Certaines me l’ont rendu. »
Je ne sais pas trop comment accueillir cet aveu mais je relève Véronique pour la prendre dans mes bras et l’embrasser, un peu comme une jeune amie que je consolerai. Je retrouve sur ses lèvres mon odeur et le goût de ma cyprine que j’ai découvert lorsqu’après avoir fait l’amour avec Jean-Louis, il m’arrive de le prendre en bouche pour qu’il bande à nouveau pour me baiser une seconde fois.
« Je n’en doute pas ! Si tu veux, je vais te rendre ta caresse mais je ne sais pas comment faire ! Tu va me guider ?
- Oh oui ! J’ai envie de ta langue sur ma chatte ! Je suis déjà bien mouillée ! »
Quelques jours après, je m’étonne encore de la facilité avec laquelle Véronique m’a entrainée dans les plaisirs saphiques.
Nous achevons de nous déshabiller mutuellement en échangeant baisers et caresses et lorsque nous sommes nues toutes les deux, Véronique s’allonge sur le dos en travers de mon bureau, cuisses ouvertes, les jambes pendant et le sexe offert à ma bouche avide :
« Viens, pose tes lèvres sur mon sexe et joue avec ta langue comme si tu te faisais du bien avec un doigt…
- Fais courir la pointe jusqu’au clitoris et suce le comme si tu suçais un bonbon...
- Ensuite tu feras des allers-retours entre mes lèvres jusqu’à l’entrée de ma chatte. »
Comment puis-je obéir ainsi à cette jeune femme alors que j’ai un poste à responsabilité dans la Société ? Est-ce que Jean-Louis a ouvert à ce point les vannes de ma libido pour que je me livre ainsi sans pudeur aux caresses d’une autre femme à laquelle je vais les rendre ? En tout cas, je suis tellement excitée que je ne réfléchis plus, je me concentre sur ce que je fais à Véronique et je suis sans rechigner les ordres qu’elle me donne emplissant mes narines de son odeur un peu épicée.
Quand je lève les yeux, je vois son ventre plat qui palpite, elle a les mains posées sur ses seins et les passe doucement pour faire rouler les tétons dans sa paume. Son souffle se précipite au fur et à mesure que ma caresse intime fait monter son plaisir. Sa tête va de gauche à droite et inversement. Véronique m’encourage :
« C’est bien ! C’est bon ! Tu va me faire jouir ! »
Et effectivement ma caresse porte ses fruits. Véronique pousse un feulement rauque puis une série de cris aigus quand elle jouit, enserrant ma tête entre ses cuisses
Je me relève pour m’asseoir dans mon fauteuil pour réfléchir, récupérer un peu de mes émotions et Véronique vient se mettre en travers de mes cuisses et m’embrasse à nouveau à bouche que veux-tu :
« Tu vois, ce n’est pas difficile ! Dès la première fois tu m’as fait grimper aux rideaux ! Es-tu bien sûre que ce soit la première fois que tu donnes du plaisir à une autre femme ? Ou alors, tu as l’habitude de te masturber !
- Oh oui, cela m’arrive, d’ailleurs j’ai ce qu’il faut, caché au fond d’un tiroir.
- Montre s’il te plait. »
Et là, sans aucune pudeur ni réserve, je sors les deux godes. Le premier est en plastique un peu rigide dont l’extrémité est pourvue d’un beau gland tout rond. Lorsque Jean-Louis et moi nous l’avons choisi dans un sex-shop, nous l’avons sélectionné parce qu’il ressemble beaucoup à sa queue. Le second est un peu plus long et plus fin avec un gland pointu qui s’évase doucement jusqu’au bourrelet. J’explique à mon amante comment le choix s’est fait, expliquant que le second tout comme le Plug sont destinés à assouplir les muscles de mon anneau serré pour que Jean-Louis arrive à me sodomiser.
Ce soir-là Véronique et moi, nous quittons la Société avec beaucoup de retard sur un horaire habituel. Nous avons fait l’amour en 6 9, vautrées sur la moquette, Véronique au dessus de moi. Le plaisir m’a terrassé une seconde fois quand je sentais sa langue parcourir ma vulve et un de mes godes aller et venir dans ma chatte… alors que mes mains posées sur ses fesses, je léchais ses orifices, passant de l’entrée de sa vulve et celle de son anus.
Bien plus tard dans la soirée quand je me couche près de Jean-Louis et qu’il me demande comment s’est passée ma journée, je lui raconte ce que j’ai vécu avec Véronique. Je constate alors que l’un et l’autre, nous sommes excités à cette évocation. J’ai dans mon ventre cette boule lourde et chaude que je connais bien désormais quand l’envie de faire l’amour me prend et le sexe de Jean-Louis est dressé comme un pic, dur comme du bois et suintant… Lorsque cet estoc me pénètre, je m’ouvre à lui mais dans ma tête, je ce cesse de penser à Véronique.
A suivre….
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