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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ces jours-ci, je suis dans ma période dite « insatiable ». Je ne pense qu’à une chose jour et nuit : baiser, baiser, encore baiser. Rien ne me satisfait pleinement : une partie de jambes en l’air à peine finie, j’ai envie de recommencer…

 

Ce soir-là, donc, nous avons fêté dignement la prise de la Bastille… J’ai pu à nouveau réaliser mon sport favori : un trio avec deux hommes bi, dont un plutôt soumis…

Nous étions donc trois, dans une belle maison isolée, près de Roura. Nous nous sommes retrouvés sur la terrasse. Nous n’avons pas perdu de temps en discussion inutiles… Karl et Laurent étaient près à tout ! En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me suis retrouvée entourée des deux hommes. Karl était en train de me lécher et Laurent caressait mes deux seins. Laurent s'en donnait à cœur joie en gobant à tour de rôle mes deux mamelles ultra sensibles ce soir-là. Karl caressait ma chatte toute poisseuse d'excitation, dans laquelle il introduisit un, puis deux doigts.

Comme si c’état le signal du vrai départ de la fête, je commençai à masser leurs sexes durcis à travers leurs pantalons, tout en écartant plus largement les cuisses. Je savais que Karl obéissait toujours aux ordres de Laurent. Je n’allais pas être déçue !

 

« Tu me parais vraiment bonne, Sophie », me dit Laurent.

Il s'agenouilla alors devant moi, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, il me déshabilla complètement, ne

me laissant que mes bas noirs et mes escarpins vernis.

« C'est pour nous exciter que tu as mis des bas de cochonne ? demanda Laurent.

- Bouffe-moi la chatte pendant que Karl mate », me contentai-je de lui répondre…

 

Ne se faisant pas prier, Laurent enfonça sa langue entre mes lèvres intimes ouvertes et commença à me lécher consciencieusement la chatte.

Mes tétons pointaient comme des torpilles, et Karl les triturait avec délectation.

Je repliai alors les cuisses sur mon ventre en écartant très largement les jambes, afin que Laurent puisse la fouiller au plus profond de mon sexe. Ce cochon en profitait également pour me soulever légèrement les reins afin de titiller mon petit trou.

« Penches-toi en avant et offre-lui ton cul » me demanda Karl.

 

Je me mis à quatre pattes et me cambrais au maximum, présentant ainsi mon cul dans toute sa splendeur aux deux hommes. Je glissais une main sous moi, et commençais à me caresser, tout en tortillant de la croupe.

M’écartant les fesses à deux mains, Laurent m’enfonça la langue dans l'anus. Dans le même temps, Karl se glissait sous moi, et commençait à me lécher le con. J’étais tellement excitée de me faire ainsi bouffer les deux trous en même temps, que mon jus d'amour dégoulinait littéralement dans la bouche de mon lécheur.

Pendant ce temps, Laurent s'était enfin complètement déshabillé. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland était violacé par le désir.

« Mets-toi à genoux, m’ordonna- t-il.

- Alors petite pute, tu l'aimes, ma bite ? T’aimes ça hein ! Te faire mettre par des grosses queues ! »

 

Il força ma chatte d’un violent coup de rein. Je basculais en avant sous la brusque poussée. Mais Karl me retint. Il dit à Laurent :

« Baise-lui le cul, moi je vais m’occuper de sa chatte. »

 

Laurent sortit sa grosse queue de ma chatte toujours aussi affamée. Il entreprit de me lubrifier la rosette avec ma cyprine. J’étais tellement excitée que ses doigts sont rentrés tous seuls ! Quand il m’eut bien ouverte, il commença à enfoncer lentement son nœud raide dans mon anus. Celui-ci s’est immédiatement distendu. Je me tordais de plaisir sur ce membre qui m’envahissait. Quand il fut bien en place, je descendis m’empaler sur la bite dressée de Karl. Ca y est, j’étais bien remplie par ces deux bonnes queues…

 

Je criais mon plaisir…

« Oh ouiiiii j'aime ça ! Bourrez-moi bien !

- T'aime ça quand on te démolit la chatte, t'es une vraie salope et t'aime qu'on baise ton petit cul de pute en même temps, hein !!! 

- Oooh oui….oh oui…oui…. J'aime çaaaaaa….

- Dis-nous que t'es une pute !

- Oui Laurent, je suis ta pute…. Et à toi aussi, Karl…. Je suis votre pute à tous les deux… oui oui  oui… plus vite… Baisez-moi… Oh Karl, ta queue m'écarte la chatte... C'est boooon !!! Laurent, vas-y fouille-moi le cul !!! Aaaah !!!  

- Baise-moi bien le cul ! Oooooh comme tu me fais du bien ! »


Prise en sandwich, pilonnée en rythme par leurs queues, défoncée comme la dernière des catins, j’eus un orgasme qui me fis trembler de tous mes membres.

« Ouiiiii, ouiiii, oui, oui, encooore ouiiii, oh ouiii, je me fais baiser comme une pute et enculer comme une salope ! C'est trop bon ! Plus fort, je vais jouiiiiir…aaaaaah ! »

Je n'étais plus qu'un objet sexuel entre leurs mains, et j’étais remplie ainsi à tour de rôle, l’un ne quittant mon cul que pour mieux me bourrer la chatte, me démolissant les deux trous comme des fous furieux.

 

Brusquement, Laurent se retira, se leva et vint présenter son sexe devant la bouche de Karl, toujours allongé sur le dos, à me défoncer la moule.

A ma grande surprise, il entreprit immédiatement de sucer une bite qui sortait pourtant à peine de mon cul.

« Quelle chien, s’exclama- t-il. Tu es une vraie pompe à bites, pire qu’une pute ! »

 

Très excité par ce que je voyais, je me branlais sur la bite de Karl. Il pompait tant et si bien, que Laurent jouit dans sa bouche :

« ah, c’est bon… Karl, tu suces comme une reine ! Mais maintenant, tu vas te faire défoncer comme la lope que tu es… »

 

Il me fit me relever, et m’embrassa avec force. J’adore ces baisers violents, qui excitent ceux qui les partagent. Laurent dit à Karl de se bouger aussi. Il lui ordonna de venir me lécher la chatte. Je m’allongeais sur le dos, et Karl obéit, il vint à nouveau me dévorer, à grands coups de langue, comme j’aime tant ! Laurent, pour rebander, me dit de le sucer. Ce que je m’empressais de faire. Je savais ce qui allait suivre, et je voulais que ca vienne vite !

J’avalais la bite encore molle. Sous ma langue, elle ne tarda pas à prendre du volume, et durcir comme il le fallait. Il me pétrissait les seins, et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Quand il fut bien bandé, il sortit de ma bouche, et se plaça derrière Karl, qui était en levrette, le cul offert, toujours en train de me lécher furieusement. Il cracha dans son cul, pour lubrifier son petit trou. Mais il ne prit que peu de temps pour le préparer, et lui annonça : « Ma salope, tu vas en prendre plein le cul ! »

Karl grogna un vague oui, la bouche peine de mon jus et de mon clito. Laurent mit son gland contre la rosette de Karl, et s’enfonça dans l’étroit conduit. Dès qu’il fut en place, il commença à le limer sans ménagement.

 

« Alors, ma salope, on y prend goût à se faire enculer pendant qu’on suce une chatte ? Hein ! Allez, réponds !

- Oh oui, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, oui, encore, oh comme ça… des grands coups… que c'est bon une grosse queue… plus fort… je vais jouir du cul… »

 

D’un coup, il se raidit, et lâchant ma fente, il poussa un long cri d’extase, la bite toujours plantée profondément dans son anus.

Immédiatement, Laurent qui n’en pouvait plus, joui à son tour et déversa une giclée de sperme au fond des entrailles de Karl.

Quant à mon tour, je dis que j'allais venir, il me dit : « Viens, je veux boire ton jus, gicle dans ma bouche… »

 

Je jouis en hurlant, tant ce que je venais de voir m’avait excitée !

Mais nous n’avions pas fini... Karl n’avait pas joui. Et Laurent, dans sa grande bonté, lui accorda de prendre son plaisir…

« Tu vas jouir, mais d’abord, suce-moi encore… » Il ne se fit pas prier et avala la grosse queue épaisse dans sa grande bouche. J’étais sidérée ! Comment pouvait-il avaler un aussi gros pieu ?

 

Laurent me dit de m’assoir sur la table toute proche. Ainsi, il pouvait me doigter, tout en se faisant sucer. Il fouillait ma chatte de ses doigts agiles, me les donnait à sucer, plein de mon jus…

« Toi aussi, tu vas encore en prendre… Karl va te baiser, pendant que je vais encore l’enculer… »

 

Laurent dit à Karl d’arrêter de le pomper. Il lui ordonna de me prendre en missionnaire, ce qu’il fit immédiatement. Je m’allongeais sur le sol, Karl me pénétra aussitôt. Sa bite était rouge de ne pas voir joui depuis si longtemps !

Laurent se positionna à genoux derrière lui, et lui enfonça vigoureusement deux doigts dans l’anus en la traitant de « sale petite chienne» et de « bouffeuse de queue » ce qui n’était pas usurpé et même en dessous de la vérité, au vu des événements de la soirée.

 

Karl me baisait au rythme des coups de boutoir de Laurent. Il ne tarda pas à jouir dans ma chatte, tant je le serrais. Cette situation me met dans un état second ! Je jouis aussi presque en même temps que Laurent.

« Maintenant, tu vas tout nettoyer », lui dit Laurent en lui présentant de nouveau son gros nœud, qui n'avait pas encore totalement débandé. Immédiatement, cette petite chienne lécha chaque recoin de son sexe, puis du mien… jusqu'à ce qu'il ne reste plus une trace de mouille ou de sperme.

 

Ce fut la fin du premier acte. Deux autres ont suivi (pas assez à mon goût…), dans cette belle nuit étoilée…

Décidemment, j’aime toujours autant baiser avec des hommes bi !

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Au royaume des salopes
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