Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Aujourd’hui, avec les grandes chaleurs, je décide d’aller faire les courses dans les magasins de Parly 2 pour me mettre au frais. Le temps est très orageux. En rentant sur le parking, une pétasse blonde dans son monospace, me grille la priorité et s’engouffre dans les allées du parking. Je la suis, et me gare à coté de son Espace.

Madame va faire ses courses. Dans son tailleur gris BCBG et ses petits escarpins noirs, tu fais vraiment bourgeoise avec ses lunettes noires et les cheveux blonds bien tirés en chignon.

En consommateurs dociles, nous nous retrouvons ensemble dans les allées du grand magasin.

En ce début d’après-midi, les allées du magasin sont presque vides et nous nous croisons au fur et à mesure que nos caddies se remplissent. A chaque fois que je te croise, j’en profite pour te mater et je crois que tu t’en aperçois. Tu flânes dans le magasin en fouillant dans les rayons.

Après les premiers rayons consacrés aux appareils ménagers, nous entrons dans l’espace habillement, et tu te diriges vers les vêtements femme. De mon coté, je suis de l’autre coté de l’allée centrale et je jette de temps en temps un coup d’œil pour ne pas te perdre de vue. Après avoir choisi des fringues, tu te rends dans le rayon lingerie, fouilles et choisis plusieurs slips.

 

(…)

 

Je ne sais pas comment l’aborder quand, maladroitement, tu déchires le sac plein de légumes qui s’éparpillent entre nos voitures. Tu te penches en avant, dévoilant une paire de fesses dodues à damner un saint, tu ramasses ses tomates pendant que je prends le concombre. En me remerciant, tu me le prends des mains. Toutes les courses rangées dans ton coffre, nous sommes trempés et tu m’invites d’un sourire à monter dans son Espace le temps que l’averse s’arrête.

Installés dans sa voiture, nous faisons connaissance.

« Je m’appelle Emmanuelle, ce n’est pas sérieux d’harceler comme ça une innocente petite ménagère. »

 

D’un geste, tu retires ta veste trempée de son tailleur et te retrouves en chemisier blanc tout aussi trempé, on devine ton soutien-gorge au travers de l’étoffe. Avec un mouchoir, tu t’éponges le visage ruisselant de pluie et me le donne.

Je m’éponge le visage et, apercevant une goutte de pluie coulant le long de ton torse, je l’essuie en écartant les pans de ton chemisier. D’un doigt, j’écarte l’étoffe et je caresse la dentelle de ton soutien-gorge. Nous sommes seuls sous le déluge, dans l’habitacle de la voiture dont les vitres sont couvertes de buée, à l’abri de tous les regards. J’en profite pour sortir un sein de sa dentelle et je caresse le téton qui s’érige sous la caresse. Dans mon pantalon, je sens mon sexe qui commence à bander. Quelle aubaine ?

Je me penche et j’embrasse le téton libéré en glissant ma main sur tes cuisses.

Libérant le téton, je baise la bouche d’Emmanuelle. Maintenant, nous faisons  vraiment connaissance.  Ma main remonte le long de ta cuisse, arrive à la lisière de ton slip, soulève l’élastique et cherche le chemin de ton clitoris que je caresse d’un doigt.

Tu écartes les jambes et je peux te fourrer un doigt dans la chatte. Au fur et à mesure que je te caresse, je sens ta chatte qui mouille de plus en plus. De ta main, tu me guides et me fais enfoncer mon doigt de plus en plus profondément. Tu te conduits comme une cochonne et viens au devant de mes caresses. Tu soulèves le bassin et retires ta  culotte que tu poses sur le tableau de bord comme un trophée. Maintenant, le chemin est vraiment libre et je te pénètre de plus en plus profond.

A chaque aller et retour, tu te cambres en gémissant. Je sens ta main qui se pose sur mon sexe que tu caresses au travers de l’étoffe. Tu dégrafes ma ceinture, baisses ma braguette et glisses ta main dans mon caleçon.

D’un doigt, tu caresses délicatement mon gland et sors ma bite de sa prison. Quelle situation, sur un parking, avec une bourgeoise qui est en train de me branler la bite d’une main experte. Pendant ce temps, l’averse s’arrête et la circulation reprend sur le parking.

«  C’est peut-être risqué de rester là, me dis-tu, si nous allions chez moi, nous serons plus tranquilles. »

 

Tu démarres et nous quittons le parking.

Pendant le trajet, je te regarde le chemisier entrebâillé, un téton qui dépasse du soutien gorge et émoustillé, je me caresse la bite à l’abri des regards dans son monospace.

« Continues à te branler, ça m’excite  de te voir te masturber… »

 

Après avoir passé une vitesse, tu empoignes mon sexe et me caresses la bite tout en conduisant. Nous roulons quelques kilomètres, nous nous engouffrons dans le parking souterrain d’un immeuble bourgeois. Après que tu se sois garée, nous déchargeons ses courses et prenons l’ascenseur pour son appartement.

Les courses posées dans sa cuisine, tu m’invites à m’installer dans son canapé et me proposes un café.

« Mets toi à l’aise, le temps que je prépare le café et que  je me change, je suis trempée. »

 

Aussitôt dit, tu quittes la pièce. J’entends le café qui coule dans la cafetière et je t’attends avec impatience, des fourmillements dans le bas ventre.

Quelle surprise, tu entres dans la pièce, le plateau à la main, en jupe noire, bas blanc et chemisier blanc. Quel choc, tu es vraiment mignonne ! Que de promesses pour la suite de l’après midi…

Tu poses le plateau sur la table en se penchant et en exhibant une paire de fesses dodues à souhait, bien serrées dans ta jupe, tu sers les cafés et t’assois à coté de moi.

Je sens ma bite qui se dresse dans mon pantalon en buvant rapidement mon café. Je n’ai qu’une envie te sauter dessus. Je crois que tu as décidé de me faire lanterner car tu dégustes lentement ton café. Je pose ma tasse,  ôte la tasse des mains et me penche pour t’embrasser dans le cou en écartant tes cheveux blonds. Tu tournes la tête et m’embrasses à ton tour à pleine bouche, les festivités commencent. Tu m’enjambes, t’installes à califourchon sur mon bassin. Ta jupe remonte le long de ses cuisses et découvre la lisière de tes bas. Je sens ta langue qui s’insinue dans ma bouche, je glisse mes mains vers ta poitrine, tu n’as pas remis de soutien gorge et je sens tes mamelons qui s’érigent sous mes caresses.

 

En même temps, tu te frottes contre mon sexe emprisonné dans mon pantalon. Je dégrafe les boutons de ton chemisier un à un, dégage tes seins, lui mordille les tétons pendant que mes mains se glissent sous ta jupe et empoignent tes fesses. Tu ne restes pas inactive pendant ce temps car je sens tes mains qui dégrafent ma ceinture, descendent ma braguette et sors mon sexe de sa prison. Tu te glisses le long de mes jambes en me retirant mon pantalon et mon caleçon et te penche vers mon bas ventre. D’une main, tu me caresses les boules et de l’autre me décalotte le gland. En me fixant avec tes yeux coquins, tu sorts ta langue mutine et me lèche le gland. Ta langue tournicote autour de mon gland pendant que ta main monte et descend doucement le long de la tige. Maintenant, tu poses  tes lèvres sur mon gland et doucement le gobe, toujours en me fixant. Tu as vraiment un regard de salope. Je sens mon sexe qui cogne dans le fond de ta bouche et je prends ta tête pour donner le tempo de ta fellation. Je sens que je suis prêt à exploser dans ta bouche et tu le sens car tu arrête juste à temps sa pipe d’enfer. Maintenant, tu te relèves, retires ton chemisier et ta jupe et te retrouves en string, bas  et porte jarretelles blancs. Tu es si bandante dans cette tenue. Je me déshabille à mon tour et je te couche sur le canapé. Je t’embrasse et descend vers ton bas ventre, tu écartes les jambes et me présente ton sexe. Je commence à te lécher le clitoris et glisser ma langue dans ton minou. D’un doigt, je pénètre ta chatte qui est déjà humide et entame des allers et retours dans ton sexe. Je sens ton bassin qui vient à la rencontre de mes doigts et je te pénètre maintenant avec deux doigts, ce que tu sembles apprécier de plus en plus. Je t’entends qui râle de plaisir et tu m’encourages.

« Vas y, enfonce tes doigts plus profond, c’est bon, plus vite ! »

 

Tu donnes des coups de bassin de plus en plus violent et te cambres de plus en plus.

Je glisse ses bras sous tes jambes, écartèle tes cuisses et me redresse. Tu es ouverte et prêtes à accueillir mon sexe qui se trouve à l’entrée de ta chatte. Je présente mon gland et  écarte les lèvres de ton sexe. Il est prêt à investir la place et tu me le demandes : « Vas y, bourre moi la chatte, je suis prête, je suis ta petite salope, mets moi ta grosse queue. »

 

La petite bourgeoise est vraiment une belle salope. Je ne me prive pas et d’un coup, je te pénètre. Dans ta position, tu subis mes coups de butoir et tu sembles apprécier mes longs coups de queue. Tu te cambres et cries sous l’outrage. Je te ramone de plus en plus belle excité par ces gémissements. 

« Attends, je veux que tu me prennes comme une chienne ! »

 

Et tu te dégages et te mets en position de levrette, les fesses bien ouvertes. Je me place derrière toi, écarte tes fesses et te reprends de plus belle.

En levrette, le cul à l’air, les seins qui ballottent, tu aimes ça, la salope. Les deux mains sur le cul, je t’écarte les fesses et donne des grands coups de piston. Tu gémies de plus belle et te couches, les seins écrasés sur le tapis, les fesses relevées. A chaque coup de bite, tu pousses des cris de plaisir qui, si l’insonorisation n’est pas bonne, doivent ameuter les voisins.

« C’est bon, continue, je vais jouir, bourre moi bien la chatte, je viens ! »

 

Tu prends ton pied et moi, je sens que ma sève commence à monter. Je me dégage et te retourne sur le ventre.

« Suce moi, j’ai envie de jouir dans ta bouche. »

 

Tu gobes mon gland tout en me branlant énergiquement la tige. Je sens que je suis prêt d’exploser dans ta bouche. Je lâche de grands jets de foutre dans ta bouche, des filets de sperme coulent le long de tes lèvres. Tu me branles de plus belle et les dernières gouttes de mon jus giclent sur tes seins. En me fixant, d’un coup, tu avales toute la sauce.

Epuisés et en sueur, nous nous écroulons sur le canapé. Mais, la cochonne m’embrasse, je sens sur ta langue le goût de mon sperme.

Après un moment de repos, tu me proposes une douche pour nous rafraîchir.

Tu m’emmènes dans la salle de bain et nous prenons une douche ensemble.

Je te savonne et réciproquement. Nous nous retrouvons couverts  de mousse et nous nous rinçons. J’en profite pour te caresser les fesses et te titiller la petite porte d’un doigt curieux et tu me savonnes la bite délicatement qui se redresse gentiment.

Je te retourne, tu mets tes deux mains sur la paroi de la douche, cambrée, j’empoigne les seins et me frotte contre toi. Tu sens entre tes fesses ma bite raide qui s’insinue et tu te trémousses. Trempés, nous sortons de la douche et, me tenant en laisse par la bite, tu me diriges vers la chambre, où un grand lit face à une glace nous attend. 

Nous commençons le deuxième round. Tête bêche, nous entamons un 69 infernal. Pendant que je te pénètre avec ma langue, tu me tètes le dard. J’empoigne tes fesses en les écartant, et je caresse ta rosace, je pose l’index humecté de salive à l’entrée de la petite porte et doucement  enfonce le doigt dans le cul. Une langue dans la chatte, une bite dans la bouche et un doigt dans le cul, tu es prise de tous les cotés, mais tu aimes ça car tu donnes des petits coups de bassin pour que mon doigt s’enfonce de plus en plus profond.  Je te retourne sur le coté, et me place dans ton dos, la bite raide entre tes fesses. Je me rapproche de ton oreille et te chuchote

« J’ai envie de t’enculer… »

 

Je te sens qui te cambre d’avantage et je t’écarte les fesses pour pouvoir embrasser ton petit cul. Je pointe le bout de ma langue autour de ta rosace et te pénètre avec ma langue. Je sens bien que tu aimes sentir ma langue qui te fouille le cul, tu écartes les fesses de plus en plus.  Je vois tes doigts qui te pénètre la chatte et qui te caresses frénétiquement. Après avoir bien branlé ma bite pour qu’elle soit bien raide, je présente mon gland à l’entrée de ton cul.

Doucement, je l’enfonce dans ton fondement qui, sous la poussée, se dilate. Je vois ma queue qui s’enfonce doucement alors que sous la douleur tu mords les draps.     

L’entrée est vraiment étroite et mon sexe écartèle doucement les chairs. Mon gourdin est entré entièrement, et mes couilles butent contre tes fesses. La place est prise et, les deux mains sur tes fesses, je commence des mouvements de piston dans ton cul. A grands coups de reins, je te défonce le cul. Le mouvement s’emballe et tu geins de plus en plus fort. Les reins cambrés, tu t’offres comme une chienne. Je sens que je vais bientôt gicler

 

Et une fois sortie de ton cul, tu frétilles devant ma bite encore raide.

Tu caresses mes couilles avec tes fesses.

Arrivé à ce moment, je projette une giclée de foutre sur tes fesses dodues

Aspergée et crémeuse, voilà ce que tu voulais cet après-midi. Epuisé, je m’écroule et tu essores ma bite pour en tirer les dernières gouttes de sperme.

Allongée sur le lit, tu te colles contre moi, une main sur ma queue et me proposes de feuilleter ton album de souvenirs sur ton micro. Tu vas chercher ton ordi portable que tu installes sur le lit. Après quelques clics, tu ouvres ton site et me montre tes exploits. A la vue de toutes tes photos, je sens l’excitation remonter.

 

« Si tu veux, je te propose de faire partie de mon album. J’adore me faire baiser devant mon photographe et je sais par expérience que cette situation excite au plus au point mes partenaires. Ca vous excite de baiser la femme d’un autre devant lui. Et moi, j’aime être désirée par tous les hommes. J’aime me retrouver offerte à plusieurs hommes et sucer des queues l’une après l’autre. Je suis sûre que tu es partant et je te propose de nous revoir pour concrétiser mes phantasmes après avoir fait plus amples connaissances. »

 

Rendez-vous à prendre au plus vite pour de nouvelles aventures.

Par Sophie 973 - Publié dans : Vos contributions - Communauté : sexblog
Donnez votre avis... - Lisez les 3 messages
Retour à l'accueil

Commentaires

trop cool des se masturbe en voiture mais un peut dangereux
commentaire n° :1 posté par : phoenix le: 25/07/2009 à 21h18
Génial, tout ce plaisir partagé !
commentaire n° :2 posté par : Denis le: 26/07/2009 à 15h44
J'ai vécu une situation similaire en voiture, qui s'est malheureusement fini au poste de police. Je n'ai pu connaitre la suite, dommage. Histoire bien bandante.
commentaire n° :3 posté par : michel le: 27/01/2011 à 11h02

Dommage.. les policiers n'ont pas voulu participer ???  ;-)

réponse de : Sophie de R. le: 28/01/2011 à 01h49
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés