Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Il me faut vous raconter ma petite expérience de masturbation-exhibition faite samedi… J’adore ce petit jeu de « safe sex ». Aucun risque n’est pris par les deux partenaires, et le plaisir et maximum.
Eric, un de mes « camarades de jeu » habituels, est passé me voir à l’improviste samedi après-midi. Vu la chaleur, j’étais dans ma piscine, nue comme il se doit. Quand il est arrivé, il m’a fait un smack sur les lèvres, s’est allongé sur un coude, au bord du bassin, habillé, et me fait part de l’objet de sa visite, sans intérêt pour le récit.
Le sujet évacué, il a commencé à jouer avec sa main dans l’eau et me dit :
« L’eau fait un super effet sur tes seins. Ils paraissent encore plus gros et appétissants…
- Vraiment ? » lui demandai-je
Pour toute réponse, il tendit la main vers moi, et commença à me caresser un sein. Ce genre de caresse, associé à un regard lubrique, à le don de provoquer en moi une excitation immédiate !
Ceci se manifesta par un durcissement ultra rapide de mon mamelon. Sans hésiter, Eric plongea son autre main sur l’autre sein. Il les emprisonnait fermement, les pressant, les malaxant, effleurant les pointes érigées. Elles seules sortaient de l’eau. Je me penchais en avant, et en léchait le bout moi-même. Eric manifesta son désir avec ses mots :
« Putain, tu me fais bander dur ! J’ai trop envie de toi, de te faire du bien ! »
Je lui demandais de me rejoindre dans l’eau, mais visiblement, il ne voulait pas. Et comme moi, je n’avais pas envie non plus de sortir, il a fallu trouver un moyen…
J’avisais le tuyau d’arrosage, qui remplissait la piscine.
« Si tu veux, je vais te montrer comment je me fais jouir avec le tuyau… »
Il acquiesça et vint se positionner face à la sortie d’eau. Je pris une pose un peu acrobatique, les mollets agrippés sur le rebord du bassin, la tète posée sur une « frite. »
Eric me retint un peu les pieds, pour que je n’aie pas d’effort à fournir. Dans cette position, j’avais le corps allongé, la chatte juste sur la ligne d’eau. Je saisis le jet d’eau, et pinçait le bout du tuyau, pour que le jet soit plus puissant. De l’autre main, j’écartais mes lèvres intimes, déjà bien humide. Et de cyprine, pas d’eau, comme me fit remarquer Eric, qui fouillait aussi avec ses doigts dans mon intimité largement exposée à son regard vicieux.
Avec le jet puissant, je balayais mon clitoris, en un va et vient rapide, pour l’exciter encore plus. Eric m’ouvrait la moule de plus en plus, m’écartant au maximum. J’y faisais pénétrer le flux puissant, qui venait cogner au fond de mon vagin. Eric m’encourageait de la voix :
« Vas-y ma puce, branle toi bien, c’est beau, ta chatte est superbe, tu baves de plaisir… Tu m’excites grave, mais je veux te voir jouir d’abord… »
Il fouillait de ses doigts mon con qui s’agitait de plus en plus. J’ai vu son regard encore plus allumé, la grosse bosse de son jean, et un ultime coup de jet sur le clito m’a arraché les cris d’un profond orgasme. Mais le voisin passait en voiture. Eric me fourra sa main dans la bouche pour étouffer mes cris. Je lui ai mordu sauvagement le coté de la paume. J’étais en rage qu’il m’ait volé une partie de mon plaisir !!!
Son geste m’avait ramené sur terre, brutalement, en plein orgasme de rêve.
Il me rassura bien vite : « Sors de l’eau, je vais te faire jouir encore mieux… »
Je sorti de l’eau, me séchais rapidement avec l’aide du chaud soleil de Guyane. Nous sommes allés dans ma chambre. C’est à ce moment-là qu’il m’a annoncé qu’il n’avait pas de préservatif. Moi non plus. Il était donc hors de question de baiser comme ça….
Nous avons donc fait avec les moyens du bord. Je sortis mon dauphin vibrant, et ma petite tige de boules. Ce sont une dizaine de boules de tailles différentes, fixée sur une fine tige flexible, en silicone, espacées entre elles d’environ 2 cms.
Pour se faire pardonner, il me fit allonger sur le dos, bien calée dans mes oreillers, les jambes grandes ouvertes. Il s’allongea devant moi, entre mes cuisses. Il prit appui sur ses coudes, et entre prit de m’ouvrir les lèvres encore gonflées de désir. Puis, sans hésiter, il plongea sa langue tout au fond de mon con, toujours aussi affamé et frustré. Il passait la langue partout, de haut en bas de gauche à droite, n’oubliant aucun recoin de mon intimité de plus en plus humide. Il agaçait avec ses dents mon petit bouton érigé. Il n’oubliait pas mon petit trou, qu’il humidifiait consciencieusement...
A un moment donné, il enfonça un doigt dans mon anus, qui s’ouvrit sans peine à ce geste doux. De l’autre main, il fourrageait dans mon vagin, avec deux doigts puissants. Il me dit sentir ses doigts se toucher travers la fine paroi qui sépare les deux orifices. Quelques coups de langue sur le clito m’achevèrent, et me procurèrent un nouvel orgasme puissant. Cette-fois-ci, je jouis sans limite, en criant tant que je pouvais… Je sais qu’il n’aime pas la cyprine, mais là, comme pour se faire pardonner, il buvait le jet qui sortait de ma chatte excitée…
Je savourais cette caresse admirable, regrettant juste de ne pouvoir le voir faire. La prochaine fois, je filmerai !!!
Il cessa un court instant, mais il ne comptait pas en rester là ! Il attrapa mon dauphin. Mouillée comme je l’étais, le petit nez vibrant se faufilait sans peine au fond de mon vagin. Je me tordais sous les vibrations de plus en plus fortes. Éric ne me laissait aucun répit.
Il chercha de l’autre main ma tige de boules, entreprit de la lubrifier avec le tube qui est toujours dans ma table de nuit. Il me fit relever les cuisses sur ma poitrine, et commença à enfiler une à une les perles de silicone dans mon petit trou. Elles rentrèrent sans peine, me ravageant délicieusement les entrailles. Quand la moitié fut rentrée, il commença de lent aller et retour, tout en continuant de stimuler ma chatte avec le dauphin vibrant.
Vu mon état d’excitation, je ne pouvais rester insensible à un tel traitement. Pour la troisième fois en moins d’une heure, je jouis puissamment, je me cabrais sous les caresses perverses, en criant encore plus fort que la fois précédente. Eric en sursauta. Il était habitué à mes cris, mais là, il en fut si surpris qu’il craint de m’avoir fait mal !
Il me laissa pantelante sur le lit, je n’avais plus de jambes, j’étais comme vidée… Il retira doucement les perles, et j’eus l’impression d’un grand vide. Mais dans le même temps, je sentis que mon désir n’était pas mort… Je dis à Eric :
« Tu sais, j’ai encore envie… Je suis morte, mais j’ai encore envie… Branle-toi, je veux te voir faire, je veux te voir juter… »
Il ne se fit pas prier. Il s’allongea près de moi, mais tête-bêche. Ainsi, j’avais sa belle queue à auteur de mes yeux. Il empoigna fermement son membre bandé, et commença à faire coulisser sa main sur la colonne de chair, noir charbon. Il se massait aussi les couilles, de l’autre main. Elles étaient grosses, pleines de ce jus que j’avais envie de voir sortir… Je m’en léchais les lèvres…
Je ne restai pas inactive. J’avais aussi repris mon fidèle dauphin, et je me caressais doucement ma chatte en feu, brulante de ces orgasmes à répétition. Pourtant, elle coulait toujours de désir…
A quelques centimètres de mes yeux, la belle bite s’agitait de plus en plus fort. Il se massait, se branlait de plus en plus vite. J’adore voir ce geste, de l’homme se branlant vigoureusement, son regard fixé sur mes propres caresses… Il articulait des motrs snas suite :
« C’est beau, c’est bon, t’as une belle chatte de salope, j’aime ta grosse chatte… Ma bite va t’arroser.. tu vas en prendre plein partout… tu va recevoir mon jus sur tes seins de cochonne… putain, je vais jouir, ca vient ahhhhhhhhhh !!!!!!!!!! »
Il joint le geste à la parole, et un gros jet de foutre tiède vint s’écraser sur mes seins toujours bandés. Presque dans le même temps, je jouis une dernière fois, certes moins fort, mais plus longtemps. De longues vagues me secouaient le corps, me faisaient me cabrer, comme si je recevais des décharges électriques à répétition….
Bon sang que c’est bon de jouer comme ça ! Il finit notre petit jeu en léchant soigneusement tout son sperme, étalé sur mes seins. Il n’en laissa pas une goutte…
Je ne souhaite qu’une chose : recommencer très vite !!!
J'ai encore eu une expérience lundi matin et la fille s'est éclatée. Le récit dans quelques jours dans ta BAL.
voilà un jeu que j'adorerai faire avec toi. Mais hélas, nous sommes bien trop éloignés.
Heureusement qu'il existe la Webcam; N'est-ce pas??
Je ne désespère pas qu'un jour, nous puissions le faire !
Donc lundi matin je rodais sur un site de rencontres « sexy, libertines et échangistes » comme je le fais de temps à autre. On peut t’chatter au clavier ou par webcam interposée (mais je ne suis pas équipé).
J’ai accroché le profil d’un couple et c’est la femme qui m’a répondu. Elle était seule au bureau et s’ennuyait ferme n’ayant rien d’autre à faire que répondre au téléphone (voila pourquoi elle était en ligne).
Nous avons d’abord bavardé de choses et d’autres – son boulot, ses loisirs, ma retraite et mes activités – avant que je lui propose un jeu que j’avais déjà pratiqué deux fois auparavant sur le même site et dans les mêmes circonstances. A chaque fois, çà avait été très chaud.
En gros, je lui ai proposé de se masturber en obéissant à mes ordres :
- Mets un doigt dans ta bouche et suce-le,
- Caresse tes seins par-dessus ton T-shirt, etc.
Au bout d’un certain temps, elle m’annonce qu’elle a retiré son soutif et sa jupe pour être plus à l’aise.
- D’une main fait rouler tes tétons et laisse l’autre descendre jusqu’à ton sexe. Ouvre la fente et fait rouler ton clito…
Deux minutes passent quand elle écrit :
- Ooooh ! c’est booon ! c’est chaud ! J’ai deux doigts dans ma chatte !
Bien évidemment je l’incite à continuer en lui demandant de décrire sa position. Elle a les talons posés sur le plan de travail, les cuisses écartées, les fesses au bord de l’assise de son fauteuil… Bref, une position assez classique pour une activité de ce genre !
Elle me dit aussi que sa chatte est bien mouillée, que ce que nous faisons l’excite au plus haut point.
Comme elle trouve çà bon, je l’incite à continuer de se caresser ainsi pour rechercher la jouissance. J’encourage en lui demandant de ne plus me répondre alors j’écris des bribes de phrases de plus en plus chaudes : Vas-y, fais toi jouir,... Salope, tu aimerais avoir une queue entre les cuisses,… Agace tes seins,… Continues de te branler,… etc.
Et là, surprise, elle m’annonce qu’elle a un gode dans un tiroir du bureau. Bien évidemment elle l’utilise pour continuer notre petite séance quand elle ne dit qu’il est bien lubrifié et qu’elle va le mettre dans son cul !!!
Plusieurs minutes passent quand la phrase suivante s’inscrit : « Oh putain ! Quel pied tu m’as fait prendre, j’ai joui comme une malade…
Nous avons encore eu quelques échanges. Elle devait parler de notre séance à son homme, pour l’instant, je n’ai pas d’échos.
Tu as le don pour qu'il t'arrive le meilleur, mon cher !
J'apprécie toujours de lire tes recits, meme si je m'abstiens un peu en ce moment, car le medecin a tinerdit toute activité physique, y compris faire l'amour !
SI tu savais comme j'ai hate !!! mais non, encore au moins 15 jours de privation....