Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
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Bises libertines,
Sophie
Aline aimait se faire plaisir toute seule, surtout quand elle attendait son amant. Machinalement, elle passa une jambe sur un accoudoir pour pouvoir se caresser doucement l’intérieur de la cuisse, l’effleurant simplement du bout des doigts, là ou la peau est la plus douce.
Elle aimait ces sensations, ces touchers.
Elle se regardait alors faire, comme si elle encourageait ses doigts à être les plus légers possible. Immanquablement, elle passait ensuite la main sur ses seins, très doucement, en les effleurant à peine, puis sur son ventre, entre les poils clairs de son pubis, avec une grande sensualité, en laissant traîner ses longues phalanges, comme pour provoquer le regard d’éventuels spectateurs, s’offrant ainsi à leurs désirs voyeurs les plus gourmands.
Elle savait que sa voisine, une jeune lycéenne très perverse, Astrid, la matait par la fenêtre ouverte.
Aline sentait maintenant les pointes de ses obus durcir sous les attouchements, premiers prémices de la quête du plaisir.
Elle déposa de la salive sur le bout de son index pour l’étaler tout doucement sur l’une des aréoles sensibles, par petits cercles concentriques, en prenant bien soin de ne pas toucher, ni même effleurer la pointe dressée, ceci pour la voir se tendre davantage, bander d’excitation.
Le bout de son index glissait lentement, doucement, appliquant la bave avec onctuosité, avec concentration. Elle aimait voir ses bouts luisants, cela l’excitait grandement.
C’était l’un des privilèges de l’expérience que de mieux connaître son corps, de savoir en solliciter les moindres parties pour accroitre son désir. A 45 ans, elle était tout à fait prête à assouvir la fougue de ses jeunes amants.
Aline soupesait d’une main l’une de ses lourdes mamelles, lui titillait le bout de la paume de l’autre main, lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit.
Elle abandonna sa caresse et se leva, non sans omettre d’enjamber sensuellement l’accoudoir, en se cambrant pour s’y frotter l’entrecuisse, écrasant sa vulve gonflée avec délectation, pour assouvir temporairement son impatience.
Arrivée dans le hall d’entrée, elle devina la silhouette de Marc, son jeune amant, à travers le verre dépoli de la porte et se mit légèrement de coté pour lui ouvrir.
« Je suis venu avec mon petit frère. Cela va te faire plaisir, je pense, » annonça le jeune garçon, alors qu’il pénétrait dans la maison, suivi de son cadet.
Marc était serveur dans un des bons restaurants de la ville. C’est ainsi qu’Aline l’avait rencontré la première fois, en lui demandant de lui indiquer les toilettes de l’établissement.
Brun et grand, environ 1m85, d’allure assez bcbg, athlétique, souriant, il avait à peine 20 ans.
Son jeune frère, qu’elle ne connaissait pas, était plus petit, un peu rondouillard pour son âge, avec un visage encore poupon et rieur.
« Entrez vite… », répondit-elle en refermant la porte prestement derrière eux, alors qu’ils se retournaient pour la découvrir presque nue.
« Je suis sure que je vous plais comme ça mes chéris ? » poursuivit Aline en se déhanchant, une main sur le coté, tandis qu’elle rajustait sa coiffure de l’autre, les jarretelles noires tendues de son ventre au haut de ses cuisses.
« Tu le sais bien que tu me plais comme ça… » et, se tournant vers son petit frère : « Tu vois comme elle a l’air bonne… Je suis certain que tu n’en rencontreras jamais une autre comme ça ! » conclut-il avant de s’approcher d’Aline pour lui prendre la taille, et l’embrasser doucement sur la bouche.
Marc sentit les mains de sa maitresse se poser sur ses épaules, sa langue lui remplir la bouche pour chercher la sienne, la titiller, l’exciter !
Leurs bouches glissaient maintenant l’une contre l’autre, le garçon descendaient ses mains sur les fesses, l’arrière des cuisses d’Aline, les remontaient le long de son dos… se collait à elle, lui faisait sentir son érection… Cela se passait sous le regard un peu timide de David, qui ne savait pas quoi faire, embarrassé par la scène, mais très attentif aux moindre détails.
Aline se détacha de son jeune amant pour lui prendre la main, ainsi que celle de son petit frère, et les conduire au salon comme deux enfants.
Une fois le seuil de la pièce franchi, elle abandonna leurs mains pour passer les siennes sur leurs braguettes, pour palper leurs sexes déjà durcis à travers leur jeans et qu’elle sentait encore grossir.
« J’ai l’impression que je vous plais… » dit-elle en les abandonnant debout, alors qu’elle reprenait sa pose dans le fauteuil, une cuisse repliée sur un accoudoir, offerte à leurs envies.
Les deux frères se regardèrent un instant et s’approchèrent pour se positionner face à leur maitresse.
Celle-ci se rassit normalement sur le bord du fauteuil. Doucement, Aline passa la main sur le ventre de Marc, lui enveloppant sensuellement de la main la bosse formée par son sexe gonflé, puis s’occupa ensuite de David, qui, semble-t-il, n’avait rien à envier à son ainé.
« Vous allez me faire du bien avec vos belles queues, mes amours… votre Aline en a grand besoin ! » leur dit-elle en les regardant, droit dans les yeux, chacun leur tour.
Elle leur souriait et se passait la langue sur la lèvre supérieure pour les provoquer.
Les deux garçons continuaient d’être très excités.
Marc et David sentaient leur sexe à l’étroit et attendaient que les doigts agiles de la femme tire sur le zip de leurs braguettes pour libérer leurs membres raides.
Ils regardaient Aline prendre du plaisir à les masser, sentaient ses mains sur eux, ses doigts tantôt presser leurs membres, tantôt les caresser. Elle approchait parfois sa bouche pour les mordre doucement à travers la toile épaisse. Ils lui passaient alors les mains dans les cheveux, sur les joues pour l’encourager. Ils plongeaient leur regard vers Aline, afin d’apercevoir les seins lourds de leur maitresse pendre librement et remuer de façon appétissante à chacun de ses mouvements.
« Elles sont bien dures, je sens bien vos bites. Vous voulez que je les libère ? J’en ai très envie en tous cas… » reprit la femme, alors qu’elle tirait sur la fermeture de Marc qui, en même temps, défaisait sa ceinture et le bouton de son pantalon.
« Tu vois Aline, je n’ai rien mis, comme toi… » lui dit ce dernier, alors qu’Aline voyait le sexe épais du garçon jaillir sous ses yeux, de la braguette grande ouverte.
« Elle me plaît toujours autant tu sais… » répondit-elle alors qu’elle laissait glisser doucement le bout de ses doigts le long de la verge, du ventre vers le gland… Puis elle repartait, jouait avec les poils pubien du jeune homme, revenait le long de la verge, la pressait légèrement entre ses doigts pour la faire encore grossir, se redresser…
Elle se tourna ensuite vers David, très intimidé mais fasciné par la douceur et la perversité de la maitresse de son frère.
« Et toi mon chéri… montre moi tout aussi… j’espère que tu es bien membré, comme ton frère… C’est une belle pièce de jeune homme que tu as là… ! On va se régaler tous les trois » lui dit-elle après avoir ouvert la braguette du jeune garçon, ce dernier ayant baissé son slip pour libérer son sexe.
Assise face aux deux frères, toujours debout et bien campés, elle prit leurs sexes, un dans chaque main, pour commencer à les masturber tous les deux en même temps, les invitant à se décaler légèrement de chaque coté du fauteuil pour être plus à l’aise.
Deux bites à la fois… elle en raffolait depuis que son ex l’avait initiée à l’échangisme, et qu’ils avaient, ensemble, fréquentés les clubs de la région, rencontrant indifféremment hommes et femmes et mêmes des transsexuels.
Le temps de son mariage, Aline avait assouvi son addiction sexuelle avec son mari, jamais sans qu’il ne participe ou ne l’accompagne dans ses expériences, même les plus inavouables, qu’elle raconterait sans doute un jour à qui saurait les apprécier.
Elle tenait maintenant les deux queues épaisses enserrées dans chacune de ses mains et, tournant la tête, ouvrit la bouche pour engloutir celle du plus jeune. Il se raidit alors sur ses jambes, en sentant le souffle chaud d’Aline le long de sa queue. En même temps, elle tenait toujours celle de Marc de l’autre main, maintenant décalottée.
Aline se remplit la bouche et saliva du plus qu’elle pu pour rendre sa caresse agréable en refermant ses lèvres chaudes sur la verge de David. Elle sentit la main de celui-ci sur sa joue, la lui caresser doucement pour l’encourager.
« Suce bien mon petit frère… après tu t’occuperas de moi ! » lança Marc. Il aimait sentir la main de sa maitresse l’enserrer et le masturber avec application, comme elle s’y employait maintenant, sans le regarder, tout en suçant son petit frère.
Seul le souffle régulier d’Aline résonnait dans la pièce, quelques gargouillis de salive ponctuant parfois la fellation, signe qu’elle s’appliquait davantage encore.
David avait à peine 18 ans. Son physique ne lui avait pas permis de multiplier les expériences, mais il se savait bien membré pour son âge.
Cela ne l’empêchait pas non plus d’être très cochon et accro de porno. Aline le comprit lorsqu’il se comprima la base du sexe pour qu’il soit plus gros encore dans sa bouche, l’obligeant à l’ouvrir plus grande pour pouvoir bien l’entourer de ses lèvres.
« C’est vrai qu’elle suce bien, ta copine » lança David à son frère.
Marc regardait la fellation avec envie. Il voyait Aline plonger sur la verge luisante de son frère, remonter ensuite pour, d’un coup de langue lui astiquer le gland violacé, puis la reprendre d’un coup en descendant lentement dessus. Il caressait sa maîtresse pour l’encourager, se penchant pour pouvoir lui agacer les seins qui ballottaient maintenant au rythme de la fellation.
Du bout de la main, du bout de ses doigts, de son index agile, il agace les pointes durcies pour les rendre plus sensibles et érectiles.
Aline abandonna la queue de David, qu’elle ressortit toute luisante de sa bouche, satisfaite du calibre qu’elle avait obtenue. Elle tourna le visage pour plonger aussitôt sur le gland épais et brillant de désir de Marc, salivant encore dessus pour mieux se l’enfoncer dans la gorge ensuite.
David prit sa queue dans la main. Il la frotta doucement sur le visage d’Aline, sur sa joue, étalant la salive, alors que celle-ci pompait Marc avec application, le relâchant parfois, crachant sur sa queue pour la reprendre d’une main ferme et se la remettre en bouche, plus lubrifiée et plus décalottée encore, pour mieux l’avaler ensuite, presque à en étouffer. Elle la lâchait encore et la reprenait ensuite… en la faisant coulisser de plus en plus vite entre ses lèvres qui laissaient de sensuelles traces de salive à chaque mouvement.
« Encore ma chérie, suces moi bien… oui… comme ça… suce comme une grosse salope que tu es ma chérie… oui… t’arrêtes pas.. ! » encourageait le garçon, alors qu’Aline, essoufflée, relevant les yeux, cherchait son regard pour le provoquer, malgré les mains de son partenaire qui lui pressait le visage le long de sa verge.
Aline sentait toujours la queue de David lui parcourir le visage, se frotter sur ses joues, tandis qu’il se masturbait lentement devant elle pour l’exciter encore.
Elle ondulait en même temps sur le cuir chaud du fauteuil, calmant ainsi provisoirement la chaleur de sa chatte.
Les garçons la voyait ainsi se frotter sur le fauteuil, imaginant sa mouille luisante laisser des traces sur le cuir, comme une limace ou un escargot !
« Vas-y salope, suce bien mon frère… applique toi… et regarde ma grosse queue que je branle devant toi… regarde-la bien aussi… elle va te défoncer le cul ! » lança le plus jeune, sans retenue et trop excité maintenant par ce qu’il voyait. Il ne maitrisait plus sa pensée.
Aline adorait être traitée de salope, de chienne, dans ces moments la. Cela l’encourageait et lui donnait envie de mériter ces compliments.
Elle aimait sucer Marc, sentir sa belle queue épaisse lui remplir la bouche, recevoir son gland épais pour qu’il s’écrase au fond de son palais, l’enduire de salive pour que la caresse lui apparaisse la plus douce possible. Elle aimait sentir vite le sperme monter le long du membre, et en avoir les premières gouttes en bouche.
D’une main, elle attrapa le sexe tendu de David et rouvrit trés grand la bouche pour le prendre, et sucer les garçons en même temps. Les deux frères se rapprochaient pour faciliter la caresse buccale.
« Salope !!!... que c’est bon… suce-nous à fond, masse nous les couilles ! » cria Marc, alors qu’Aline était maintenant transpirante, et soufflait bruyamment à chaque succion. La salive lui dégoulinait abondamment de la bouche, qu’elle ne pouvait plus refermer, trop remplie par les deux sexes décalottés !
« Encore… encore, sale garce… oui… tu les sens nos belles bites ?elles sont pour toi ! »
Aline était dopée par les encouragements des deux garçons, allait et venait sur les deux sexes qui lui déchirait la bouche, bavant comme une chienne en chaleur car elle ne pouvait plus déglutir.
Elle sentait leurs mains maladroites appuyer sur sa tête, poussant dessus comme si elle allait les avaler encore plus loin…
Marc et David sentait leurs bites chaudes et enduites de bave qui glissaient l’une contre l’autre dans la bouche de cette chienne d’Aline.
Cela les excitait grandement, et ils essayaient de la rentrer chacun leur tour, comme pour baiser leur amante par la bouche, tandis que celle-ci leur malaxait les testicules !
Leur maitresse releva la tête et lâcha les verges gluantes, regarda ses amants en les tenant par les couilles.
Elle entendit un léger bruit, et vit la fenêtre s’ouvrir plus grand. Elle comprit qu’Astrid était là, en train de les regarder. Peut-être même se branlait-elle…
Elle se rejeta en arrière pour se caler dans le fond du fauteuil, assise sur le bas du dos… Elle reposa instantanément ses longues jambes, terminées par ses chaussures à talon sur les accoudoirs. Elle se mit les mains sous les cuisses, et les remonta vers elle en les écartant pour s’offrir, repliée, dévoilant sa chatte duveteuse et ourlée et même son petit trou rosé, aux regards lubriques des deux frères. La verge dressée et luisante devant eux, ils avaient une vision paradisiaque.
« Venez me baiser, mettez moi vos bites de cheval… » les invita Aline, que la double fellation avait stimulée comme rarement. Jamais elle n’avait sucé deux jeunes bites en même temps, elle ne pensait même pas pouvoir ouvrir la bouche suffisamment pour cela.
Pour joindre le geste à la parole elle se passa le plat de la main sur le pubis puis sur la chatte, avec son index, décolla ses longues lèvres en remontant de son anus au capuchon de son clitoris…
« Elle ne vous fait pas envie ma chatte ? Ma grosse et large chatte trempée de grosse pute !!! Venez me baiser, mes chéris… elle n’attend que ça… ! » souriait-elle.
Les deux frères terminèrent de se déshabiller sous le regard de leur impatiente maitresse.
Nu le premier, Marc s’agenouilla, puis se mit à 4 pattes, le visage à la hauteur de la fente d’Aline, bien calée sur le rebord du fauteuil et complètement impudique.
Marc regardait sa maitresse ainsi soumise à ses envies, la vulve ouverte, les lèvres saillantes laissant voir le clitoris tendu et luisant.
« Qu’est ce que t’attends » lança David, nu lui aussi maintenant, « Bouffe-lui la chatte à cette chienne… elle n’attend que ça !!! »
« Viens mon chéri, occupe-toi bien de moi… regarde, je mouille déjà comme une folle… » poursuivit Aline, en repassant les mains sous ses cuisses, pour mieux les remonter en arrière, et être ainsi la plus offerte possible.
Marc fit jaillir sa langue pour la glisser entre les muqueuses écartées, allant de bas en haut, terminant sa caresse en astiquant le bouton rose de la femme offerte. Il aimait la mouille de sa maitresse sur sa langue, sur sa bouche.
Aline sentait la langue de son jeune amant l’écarter encore, s’enfoncer en elle avec envie, comme pour lui nettoyer l’intérieur du vagin puis ressortir pour s’attarder sur chacune de ses lèvres. Elle aimait aussi cette langue gourmande qui lui enroulait son bouton rose pour le masser, le caresser, l’aspirer ensuite.
Elle sentit les doigts de son amant l’écarter et, une fois encore, sa langue s’enfoncer plus loin. Alors, de ses deux mains, elle plaqua brutalement le visage du jeune homme contre sa chatte, en lui maintenant fermement la tète sans qu’il puisse la relever.
De suite, elle commença à se tortiller contre le visage du jeune homme, comme pour le recouvrir de sa mouille chaude, en l’étalant avec frénésie, pour marquer son territoire en l’encourageant.
« Vas-y… Bouffe la moi… comme ça… encore… Bouffe bien… Elle est bonne, ta salope… Dis-le qu’elle a une bonne chatte, ta pute… dis-le….. ! »
Marc, maintenant à genoux, adorait sentir les mains de sa maitresse lui plaquer la figure contre sa vulve béante et l’entendre ainsi s’exciter.
Il la sentait se frotter contre lui en ondulant du bassin, sentait les muqueuses gonflées s’écraser contre son visage, s’aplatir sur sa bouche. Elle voulait se pénétrer de son nez, sentir son menton à peine rasé lui agacer les lèvres intimes, sa bouche lui pincer le clitoris pour le mâchonner doucement et accroitre encore son excitation.
Marc aimait étancher sa soif de sexe en aspirant la mouille abondante et suave de sa maitresse, il aimait en être couvert
David regardait la scène avec envie.
Le garçon était stimulé par les bruyants gargouillis de bave et de mouille mêlés, le souffle court de son frère et les gémissements réguliers, parfois rauques, d’Aline qui avait encore les deux mains crispées sur la tète de Marc, les cuisses gainées de noir toujours repliées en arrière et bien assise sur son dos.
Il vint sur le coté du fauteuil et offrit sa queue à la bouche ouverte de la femme qui, tournant la tête, l’ouvrit plus grande pour l’avaler et se refermer sur lui en lui tenant la verge.
Marc, les yeux ouverts, regardait par-dessus le ventre de sa maîtresse pour la voir, de ses lèvres maquillées, épouser parfaitement le diamètre de son frère.
David sentit la bouche chaude se refermer sur lui et plaqua ses deux mains de chaque coté du visage d’Aline, lui maintenant fermement la tête à hauteur de sa queue.
Elle comprit de suite que ce dernier voulait la baiser ainsi et se décala légèrement pour qu’il soit bien à l’aise, sans gêner Marc dont la langue la rendait folle.
Elle ondulait maintenant sans retenue contre le visage de son amant. Ce dernier, à genou devant le fauteuil, les mains plaquées sur l’arrière des cuisses d’Aline pour bien les lui repousser et les tenir grandes ouvertes, était plus à l’aise pour la dévorer.
Aline écrasait ses lèvres contre sa bouche, contre son menton râpeux, ce dernier lui léchant le petit trou dés qu’il en avait l’occasion en laissant de la salive sur l’iris brunâtre de sa partenaire.
David commençait ses allers-et-venues dans la bouche d’Aline, qui soufflait bruyamment d’excitation et d’effort, au fur et à mesure qu’il accélérait la cadence, prenant bien soin de lui enfoncer son membre le plus loin possible.
Le jeune garçon voyait sa queue coulisser sans peine, comme aspirée. Aline soufflait à nouveau comme une bête de somme, le ventre en furie et le petit trou de plus en plus gourmand.
« Vas-y salope… suce… encore… t’aimes la bite, toi !!! », l’encourageait David, tout en lui maintenant la tète toujours fermement. Marc, lui, recevait des coups de reins de plus en plus violent de la part de la cochonne, et sentait sa jouissance monter contre son visage détrempé.
David se servait de la bouche d’Aline comme de sa chatte !
« Oui… Oui… c’est… ça… oui… » criait-il maintenant à l’attention de sa maitresse dont le maquillage coulait légèrement.
Aline reçu le violent jet de sperme au fond de la gorge alors qu’il lui rentrait complètement son membre dans la bouche, collant ses couilles au visage, l’empêchant de respirer un instant.
Elle eut un hoquet, recrachant la semence qui restait accroché à sa bouche et dégoulinait sur son menton.
David sentait son jus jaillir par saccades à l’intérieur de la bouche refermée de la suçeuse, dont il écrasait maintenant le visage contre son ventre. Il se vida totalement, Aline ne perdait plus une goutte de sa jouissance et lui massait en même temps les testicules avec passion pour en extraire la dernière goutte.
Alors que David ressortait de sa bouche, long et assoupli, elle sentit la langue de son amant s’enrouler délicatement autour de son clitoris durci d’envie pour l’aspirer avec plus d’application qu’auparavant.
Aline donna un violent coup de reins en libérant ses jambes des mains de Marc et hurla sa jouissance
Marc reçu la décharge de sa maitresse dans la bouche, une véritable éjaculation, qui aurait pu lui inonder le visage.
Il lui passa les mains sous les fesses pour bien la maintenir, alors qu’elle donnait de violents coups de reins contre lui, qu’elle écartait les jambes comme jamais, les refermaient aussitôt, essayait d’enserrer sa tête et sentir les joues chaudes de son amant contre ses cuisses…
Elle se sentait secouée comme une chienne par cet orgasme, sentait sa mouille jaillir et inonder son amant, cherchant à lui plaquer plus fort encore le visage contre sa chatte béante et brulante, dégoulinante même pour se frotter sans retenue contre lui…
« C’est bon… Encore… encore ! » continuait-elle de crier sans aucune retenue.
Marc savait l’exciter plus encore, en lui caressant, du bout du doigt, son petit trou qui s’ouvrait alors sans difficultés, comme pour aspirer ce qui se présentait à lui.
« Enfonce….. Enfonce…. !!! » râlait autoritairement Aline.
Ne sentant pas son anus s’ouvrir suffisamment, toujours parcourue de spasmes jouissifs, elle se redressa.
Les yeux dans le vague, la bouche grande ouverte toujours maculée de sperme, la poitrine gonflée, elle se retourna et se mit à genoux dans le fauteuil, tournant le dos à son amant pour lui offrir ses fesses.
Les mains crispées sur le dossier en cuir, les cuisses écartées et calées par le bas des accoudoirs, elle se cambrait au maximum, sentant sa chatte béante ouverte dans l’attente d’être ravagée.
David, toujours debout à coté du fauteuil, lui passa la main sur le haut du dos, descendant ensuite sur ses flans puis le long de ses mamelles pendantes, les caressant tendrement, les prenant à pleine main pour les malaxer fermement mais sans brutalité.
Aline tourna la tète vers Marc demeuré derrière elle, le visage luisant de son jus, souriant et le sexe à la main.
« Encule-moi mon chéri… viens-vite me bourrer le cul, mon amour… ! » supplia Aline, encore toute tremblante de son orgasme.
« Vas y frérot… défonce-lui le cul à cette chienne… elle est trop bonne… » renchérit David à l’attention de son frère ainé. Maintenant debout, il commençait à caresser les reins d’Aline de son sexe, lui frappant les fesses pour les faire claquer, les faire remuer.
Aline sentait les coups de bite sur son cul, sentait l’excitation de son amant croitre encore…
Marc se pencha au dessus de la croupe d’Aline et laissa tomber de la salive entre les fesses de sa maitresse. Il regarda ensuite avec délectation le liquide blanchâtre dégouliner dans sa raie, peu profonde et large, glisser doucement jusqu'à son anus… couler encore en s’accrochant aux poils déjà collés par la mouille et la salive de son luisant entrecuisse…
Elle sentait le liquide chaud lui couler entre les fesses, lui caresser doucement le petit trou.
« Encule-moi… encule-moi… » suppliait-elle encore, en criant sans retenue, ayant oublié depuis longtemps que sa voisine était souvent à l’affut de ce qu’il se passait chez elle.
Marc présenta son gland dur et luisant devant le petit orifice de sa maitresse.
Il commença par étaler la salive qui y était resté accroché, remontait son gland, redescendait entre ses petites lèvres elles aussi ressorties… Aline sentait la caresse du bout brulant, de son jeune amant. Elle tendait ses fesses pour essayer de s’entrouvrir avec, Marc prenant alors bien soin de reculer de quelques centimètres pour à peine frôler l’iris anal et accroitre ainsi la gourmandise de sa maitresse, à la rendre folle.
Il voyait son anus s’entrouvrir tout seul… comme s’il le réclamait Il repassait son gland dessus, celle-ci donnant maintenant de violents coups de reins pour s’ouvrir avec.
Il vit alors son jeune frère, à quatre pattes, passer à ses pieds pour venir se caler sur le dos, sous sa maitresse, qui ne bougea pas pour permettre à l’adolescent de se faufiler et de venir bien se positionner.
David se mit à l’aise, bien assis au fond du fauteuil, les cuisses écartées, il se masturbait d’une main pour faire grossir à nouveau son sexe, regardant la peau de sa verge coulisser avec délice, libérant son gland luisant.
Aline comprit ce que celui-ci voulait faire et entrepris de l’exciter en ondulant, laissant libres ses lourdes mamelles pendre sous le regard gourmand du jeune garçon qui cherchait à caresser les pointes dressées.
Marc profita de cet instant pour présenter son gland devant l’anus de sa maitresse et, d’une poussée, lui ouvrit le cul en l’attrapant par les cheveux pour la cambrer davantage encore et rentrer en elle d’un seul coup.
Elle en bavait de plaisir sur le visage de David. Ce dernier jouait avec les pointes durcies de cette belle femelle d’Aline, en tirant dessus avec ses doigts, en les faisant rouler entre son pouce et son index
Elle sentait son petit trou bien dilaté, la bouche ouverte, les yeux hagards, concentrée, elle goutait cette délivrance sexuelle et en réclamait encore !
« Vas-y mon chéri… Défonce mon trou du cul… occupes-toi de ta salope !!! »
Aline était agrippée au dossier du fauteuil et, complètement cambrée, encourageait son jeune amant. Elle sentait en même temps les mains de David lui malaxer les seins pendants, et sa queue chercher à s’introduire dans sa chatte ouverte de plaisir.
Marc relâcha quelques instants sa maitresse pour qu’elle puisse s’empaler sur la verge de son frère.
Il ressorti sa bite en se délectant de la vision de cet anus bien rond, épousant parfaitement son diamètre, qui se distendait sous ses mouvements de va-et-vient. Maintenant qu’il ne le remplissait plus, il lui apparaissait comme un bel orifice ouvert et dilaté, prêt à l’accueillir à nouveau ou même quelque chose de plus gros encore.
Il vit la queue de son frère pénétrer d’un coup la chatte de sa maitresse.
« Ouiii… Bien au fond de ma chatte… »
Celle-ci chercha la bouche de l’adolescent pour l’embrasser goulûment avant de se coucher sur lui pour mieux le sentir en elle, écrasant alors ses gros seins sur le jeune garçon. Aline sentit les mains de David se plaquer sur ses fesses pour mieux les écarter, sous le regard de plus en plus lubrique de Marc qui prit cela pour une nouvelle invitation à la sodomiser.
Aline releva la tète et la tourna légèrement pour tenter d’apercevoir Marc, pour l’encourager du regard.
Le jeune homme vint se coller à sa maitresse en s’agrippant à ses deux bourrelets formés au dessus des hanches et lui enfonça d’un coup son membre jusqu’aux couilles, fermant les yeux de bonheur tant le trou d’Aline était bon.
Il sentit la queue de son frère dans la chatte d’Aline. David commençait déjà son va-et-vient, Marc essayant de se synchroniser.
Elle soufflait de bonheur, bavait comme une femelle lubrique.
Marc, maintenant sans bouger, lui caressait le dos, les fesses, les flans avec douceur pour bien la détendre, la mettre en confiance pour qu’elle puisse donner tout ce qu’elle a au bon moment.
David recommençait à aller et venir en elle, Marc sentant la tige de son frère coulisser à nouveau contre la sienne !
« Oui, allez-y les garçons, profitez de moi, j’en bave de plaisir…» souffla Aline, bien prise entre les deux garçons.
David accélérait la cadence alors que Marc commençait maintenant à aller et venir.
« Ah… dans le cul oui… comme ça… encore ! » criait Aline complètement dominée par les deux frères, dont les queues la remplissait chacun leur tour, en cadence, ne la laissant pas respirer.
« C’est bon ça… encore, oui… la chatte oui… comme ça… bourre-moi bien….» continuait Aline qui reprenait maintenant sa concentration, pour faire monter son plaisir et exciter ses partenaires.
« T’aimes ça, ma salope…. t’aimes ça hein !!!... dis-le que t’aimes ma bite…. Dis-le !!! » ordonna Marc, agrippé aux hanches d’Aline, qu’il pilonnait sans retenue, sans s’occuper de ce que faisait même son frère, tant il voulait se libérer.
« Oui… mon chéri… j’adore ta grosse bite… mets-là moi bien… !!! explose-moi le cul…. Fais-moi jouir comme ta truie… vas-y encore » répondit Aline en criant de bonheur, cambrée et recevant les assauts de David, qui n’arrivait pas à lui remplir sa large chatte de femme mature, top dilatée maintenant.
L’adolescent la pénétrait pourtant à fond, la sentait mouiller de partout. Son jus lui dégoulinait de la vulve. Le rythme de son frère s’accélérait encore.
Elle sentit les doigts de Marc lui caresser l’arrière des cuisses, tirer sur ses bas, s’agripper à ses jarretelles, puis passer sous ses fesses pour chercher aussi sa chatte.
Marc, la main toute enduite de mouille, sentit la queue de son frère et glissa deux doigts dans la chatte d’Aline pour mieux la remplir, comprenant qu’elle ne jouissait pas car David ne la satisfaisait pas.
« Oui mon chéri, ta main… mets-la moi… viens branler ma chatte !!! » lança Aline, qui n’en pouvait plus d’être au bord de l’orgasme, sans parvenir à décharger.
Elle voulait sentir le sperme de son jeune amant gicler en elle, l’inonder comme à chaque fois.
David se retira, un peu dépité et, toujours sous elle, entrepris de la caresser comme Marc l’avait fait plus tôt.
Aline sentit les trois premiers doigts de son amant s’introduire en elle, puis le quatrième. Marc se caressait déjà le gland à travers elle.
Marc était collé à Aline. Il se caressait maintenant en elle, et sentit le sperme monter, l’éjaculation survenir.
« Prends tout… Encore… ouiii » cria-t-il alors que de ses doigts, il venait de se faire jouir dans le petit trou dilaté de sa maitresse.
Aline reçu le jet de sperme au fond de son anus. Elle ouvrit la bouche et cria son plaisir
« Crache-moi tout….. Donne tout mon chéri…. Remplis-moi le cul…. encore….. je veux que tu m’inondes le fion !!!!! »
Aline cherchait en même temps la bouche de David, ses caresses, elle voulait qu’il lui malaxe les seins à fond, qu’il tire sur ses bouts douloureux pendant son orgasme comme pour la traire !
Aline éjacula de plaisir sous elle, sur l’adolescent qui n’avait jamais vu pareille jouissance, plusieurs petits jets de gouttelettes éparses. Elle ne maîtrisait plus ses mouvements, écartant les cuisses bloquées par les accoudoirs, cherchant de l’air, se tenant d’une main au dossier et de l’autre voulant enfoncer complètement celles de Marc qui achevait de se vider les couilles, pour ressortir du trou du cul béant de sa maîtresse.
La queue pendante et longue devant lui, Marc se laissa faire et senti sa main entière comme aspirée par la large chatte d’Aline.
Il s’agenouilla derrière elle, le visage à la hauteur de son trou dilaté et de l’arrière de la moule ouverte, il vit son pouce, collé aux quatre doigts, entrer dans la vulve béante et déchirée de la salope, qui adorait se faire fister pendant l’orgasme.
Sa main s’enfonça d’un coup, faisant hurler Aline de douleur et de plaisir
« Haa… Bourre-moi comme une salope… »
Marc ne se retint pas, et enfonça la main au plus loin qu’il put, refermant les doigts pour être plus puissant et la défoncer comme jamais, puis les ouvrant dans son vagin comme pour la caresser partout à l’intérieur !
Aline sentait le poing de son amant la défoncer, la ravager puis ses doigts la fouiller comme jamais.
Elle se laissait faire pour éteindre son orgasme… elle avait éjaculé partout, épuisée de bonheur, les seins douloureux, le trou du cul ouvert…
Marc ressorti la main non sans se régaler de voir cette vulve aux larges et longues lèvres épouser avec difficulté le diamètre de sa main. Il donna quelques coups de langue dessus pour les agacer et rendre le retrait plus facile.
Aline cria de douleur lorsqu’il fit repasser son pouce, pour ensuite s’affaler sur David qui, gentiment la caressait en lui passant les mains dans les cheveux, cherchant sa bouche pour échanger quelques coups de langues sensuels.
Marc se redressa, la verge souple devant lui. Il se pencha sur sa maitresse pour lui enserrer les épaules et la redresser.
Aline se laissa faire et se mit debout. Grace à ses talons, elle était suffisamment grande pour sentir le sexe de son amant contre ses fesses et regarder le cadet encore à moitié couché dans le fauteuil.
Elle sentit les mains de Marc lui emprisonner délicatement les seins, les soupeser avec douceur, ses doigts effleurer ses pointes encore endolories.
Aline se retourna pour déposer un baiser sur sa bouche.
Elle se détacha de lui, se passa rapidement les mains dans les cheveux pour les remettre en place, tira sur ses bas pour bien les remonter en posant une jambe puis l’autre sur la table basse, se penchant légèrement, sentant ses lourdes mamelles pendre sensuellement sous elle.
« C’était bien mes chéris… vous m’avez bien fait jouir. Regardez mon petit trou… il est encore tout ouvert !!! » leur dit-elle alors qu’elle entendit en même temps la fenêtre du salon se refermer discrètement.
Les deux garçons n’avaient rien perçu et, tandis que Marc enfilait son jean, David se relevait enfin du fauteuil, un peu endormi.
Aline su alors qu’Astrid, sa vicieuse voisine n’avait sans doute rien perdu de son accouplement bestial. Cela lui procura une certaine satisfaction. Elle espérait même que la jeune fille ait maintenant son string bien trempé pour l’après midi.
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