Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Ce récit a deja été publié il y a longtemps, mais pratiquement la meme experience s'est déroulée ce week-end.. j'en frissonne encore de plaisir !
Dans un précédent post, je vous avais raconté la rencontre avec mon charmant voisin, Pascal. Eh bien, lundi soir, nous nous sommes revus, une fois de plus.
Ce qui est bien, c’est qu’il dit toujours « oui », quand je l’appelle. Mieux qu’un scout, toujours prêt !!!
Mardi soir, j’avais une envie terrible. Le matin même, je m’étais fait épilée, intégralement, et ça provoque toujours un certain effet sur moi. Sentir la cire chaude étalée sur mon pubis, et surtout, sur le bord de mes lèvres intimes… Mhummm, c’est divin, et assez excitant. Mais je ne peux rien faire avec l’esthéticienne.
Je dois donc attendre le bon moment et la bonne personne.
Une fois seule, le soir, je l’ai donc appelé, et, fidèle au poste, il est arrivé quelques minutes après. Je l’avais prévenu que je serais dans la piscine. Je l’attendais dans la nuit, l’eau était chaude... Rien que de l’attendre, l’excitation montait…
Et il est arrivé. En quelques secondes, il était nu, et me rejoignait dans l’eau. Nous nous sommes embrassés comme j’aime, les langues se mêlant, tournant, s’aspirant sans fin, de façon forte, presque brutale. D’un seul coup, il a plongé sous l’eau, et a aussitôt aspiré mon clito déjà bandé sous l’eau. J’ignorais ses capacités d’apnée, et je les ai testées avec délice ! Il restait sous l’eau un temps qui me semblait infini, me léchant bien, insinuant sa langue dans tous les replis de mon vagin. Une vraie petite bite en action, et un pur plaisir.
Mais ne voulant pas le voir me noyer, je me suis assise sur le rebord du bassin, dans l’angle, les jambes bien ouvertes, le con à la hauteur de son visage. Sans une seconde d’hésitation, il s’est jeté sur ma chatte, la dévorant comme si sa vie en dépendait ! Il est vraiment très doué, et sait me faire jouir comme il faut, à plusieurs reprises. J’ai hurlé mon plaisir à la lune, qui nous éclairait comme un spot. Il m’ouvrait le minou à deux mains, au maximum possible, pour bien fourrer sans langue au plus profond. Puis il descendait humidifier mon petit trou, qui frémissait sous cette douce caresse. Je n’en pouvais plus, mais j’avais très envie de son beau chibre, que je voyais bander sous l’eau. Je suis descendue dans la piscine, lui ai tourné le dos, et me suis accrochée au rebord. Ce qui est bien, dans une piscine, c’est qu’on peut faire plein d’acrobaties… Je ne sais pas si vous visualiserez bien la scène... Moi, accrochée au bord, le dos à l’horizontal, mes jambes enserrant son dos à lui, ou plutôt, ses fesses.
Il m’a pénétrée d’un seul grand coup de bassin. Malgré sa taille imposante, et sa belle épaisseur, sa queue est rentrée d’une traite dans ma chatte avide de lui... Je me suis sentie remplie, un vrai bonheur… Il a continué son va-et-vient puissant, me labourant le vagin au maximum. Je lâchais un « ah » de plaisir à chaque poussée de cette bite brûlante et envahissante. Mais je voulais le sentir plus encore. Je me suis retournée, et à nouveau enserré son corps avec mes jambes.
Grâce à l’eau, je pouvais réellement m’assoir sur sa grosse tige, m’empaler dessus, au sens propre du terme. Je montais et descendais sur ce pieu, qui s’enfonçait encore plus en moi. J’en avais des hoquets, tant il était profond, gros et dur. Nous avons alterné ces deux positions pendant de très longues minutes (il devait venir me voir seulement quinze minutes, il est resté une heure trente…)
J’avais l’impression de n’être plus qu’un sexe, un grand sexe, bien rempli. Plus rien n’existait que cette grosse bite qui me labourait les entrailles. Nous nopus racontions plein de fantasmes, nous imaginions à haute voix les plus gros délires.
Quand je lui ai raconté la scène suivante, il a été au bord de l’explosion :
« Imagine, je suis sur le dos, une femme est agenouillée entre mes cuisses, en levrette, elle me dévore la chatte, m’inonde de sa salive, je lui remplis la bouche de ma mouille… En même temps, elle est sodomisée par un gars, qui la défonce avec application. Elle ahane, mais ne lâche pas mes lèvres gorgées de désir. Elle n’arrêtera que lorsque j’aurai joui, et lui aurais arrosé le visage d’un flot de liqueur. Imagine cette belle salope, en train de se faire défoncer copieusement, mais qui me fait jouir avec sa langue fichée dans ma chatte… »
A la fin de ce petit récit, Pascal était au bord de la rupture. Il a sorti sa belle queue chaude de mon fourreau, et je l’ai branlé sous l’eau. En quelque secondes, de longues trainées blanches et laiteuses sont sorties de son gland turgescent... Elles s’effilochaient dans l’eau, en fins rubans clairs… Nous en avons ri tous les deux.
Après quelques minutes de repos, il m’a demandé si j’aimerai réaliser cette scène, avec une femme.
Pourquoi pas ?
Pourtant, je préfère imaginer la même, mais avec un homme. Un homme qui me suce, me lèche, dévore ma chatte sans fin, pendant qu’il se fait enculer bien profond par Pascal… Ca, je sais que ca arrivera très bientôt !
Ce fut une belle soirée de juillet, comme j’aimerai en connaitre plus…
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