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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Vint le jour fatidique de cette violente dispute. Pourtant depuis un an que nous étions mariés, pas un nuage n’avait obscurci notre vie. Ce vendredi de fin juin où je me suis laissé emporter pour un rien, mit fin à cette vie de couple simple.
J’avais de gros soucis financiers et je venais d’être licencié depuis une semaine.
Laly travaillait, elle est secrétaire dans une boite de moyenne importance.
Moi je suis informaticien... au chômage.
J’ai vingt-huit ans et ma femme a dix-neuf ans.

Cette dispute est venue du fait qu’elle venait de s’acheter quelques vêtements sexy. Le matin je ne l’avais pas vue, j’étais resté au lit. Elle revenait de son travail et je fus surpris de ces nouveaux habits. Une mini jupe à mi cuisses, en cuir bleu et un haut en soie bleu clair, presque transparent.

Laly est une très belle jeune femme. Grande, un mètre soixante-dix-sept, mince avec un jolie fessier magnifique et des seins à faire damner un Saint, 95D, larges, ronds et lourds.
Ses cheveux blonds et ses grands yeux verts, la rendent très attirante.
Mais là, habillée ainsi, elle était vraiment... trop splendide.
Je lui en fis le reproche et lui reprochant aussi de ne pas m’avoir montré ses fringues ce matin.

Elle me sourit... bêtement en me disant qu’elle avait aussi acheté 2 autres tenues tout aussi sexy pour l’été.
Alors, je lui demandais combien avait coûté le tout ...
« 600 euros me dit-elle naturellement et ajouta 

- Sans compter les chaussures et les sacs, sinon 990 euros en tout. »

Je crus défaillir. 1.000 euros de fringues, alors que je suis viré et que les traites vont être impayées, sans compter le loyer.
J’entrais dans une colère folle et la dispute commença.
Et tout y passa... Mon boulot, mes finances, mon caractère depuis quelques temps, mon abstinence sexuelle, etc. Et aussi, sa désinvolture, sa non solidarité, ses tenues, ses dépenses, son look de pute, etc.
Et encore, tout ce que nous ne pensions probablement ni l’un ni l’autre, mais que la colère et l’orgueil nous faisait dire.

Bien trente minutes plus tard, nous nous sommes calmés, pour repartir de plus belle, lorsque je m’aperçus qu’elle était nue sous ses vêtements.
Alors, elle remit les mêmes vêtements, me regarda dans les yeux et me dit :
« Alain, tu sais, tu n’es qu’un pauvre con ! »

Elle sortit et claqua la porte de la maison.
Quelques heures plus tard, je l’appelais sur son portable, mais il était fermé. Sans cesse j’appelais mais sans résultat.
Elle rentra tard dans la nuit.
Le dimanche matin, elle me dit :
« Alain, ne recommence jamais plus ça, je te préviens, jamais ! »
Je m’excusais et lui promis de ne plus recommencer.

Mais de ce jour, Laly changea totalement. De presque soumise, elle devint non pas autoritaire mais c’est elle qui « décidait ».
Elle était maintenant toujours habillée sexy.


Un mois passa et arriva le moi d’août. Elle était en congés. Inutile de dire que nous ne pouvions partir en vacances. Nous n’avions pas payé le loyer de juillet et le propriétaire avait été aimable d’attendre.

 

Le 5 août, alors que nous étions dans le jardin à faire la sieste, le propriétaire vint.
Laly était les seins nus avec un string.
Je le fis entrer dans la maison et lui expliquais que mes indemnités de chômage me seraient payées que début septembre.
Il ne voulut rien savoir et exigea un paiement immédiat et argua qu’il était, en plus, très inquiet d’apprendre que j’étais licencié.
Je réussis à le faire patienter jusqu’’au lendemain.
Affolé, nous ne pouvions obtenir de crédit du banquier qui voyait nos prélèvements de crédits et connaissait notre endettement.

Je pris donc la voiture et partis chez mes parents pour essayer de leur emprunter de l’argent.
Mais arrivé chez eux, j’appris par les voisins qu’ils étaient partis quelques jours.
Je rentrais bredouille et avec Laly, nous étions très stressés.
Nous ne savions comment faire.

Laly dit :
« Il ne faut pas qu’il te trouve ici, je lui dirais, justement, que tu es parti chez tes parents pour leur demander de l’argent et comme ils habitent loin, tu ne seras de retour que dimanche soir… »


Je fus ravi de cette idée.
Le Samedi matin, vers onze heures, nous étions dans le salon, en tenu d’été, elle en robe légère et moi en caleçon, quand il sonna au portillon et je me dissimulais vite dans le bureau. Elle le fit asseoir dans le salon et lui expliqua exactement ce qui était prévu.
Mais il entra dans une colère telle que les voisins durent entendre.

Il me traita de tous les noms et de fainéant, demandant à Laly ce qu’elle faisait avec un idiot pareil.
Il sortit son téléphone portable et dit qu’il allait appeler son ami huissier pour pratiquer une saisie conservatoire et l’exécuter dans le même temps.
Laly le supplia de n’en rien faire, qu’elle ferait ce qu’il voudrait pourvu qu’il ne lui inflige pas pareil déshonneur.

C’est alors, qu’il dit froidement :
« Écoute petite, si tu es d’accord, on peut s’arranger, tu es jolie et tu me fais sacrément bander, alors si tu veux faire tout ce que je veux ... pas de problème, je suis prêt à tirer un trait sur les deux mois de loyer à certaines conditions…
- Lesquelles, dit Laly apeurée.
- Simple... tu acceptes de baiser avec moi ces deux jours, en attendant ton con de mari et tu ne me dois plus rien.
- Mais...
-Y a pas de mais, c’est ça ou l’huissier dans une heure ! »

Je pestais, je voulais sortir et lui casser la figure, mais il était grand et fort. La cinquantaine, il semblait un colosse, c’est vrai qu’il était ex militaire.
Laly qui réfléchissait vit la porte du bureau entrebaillée. Elle me devina plutôt qu’elle me vit.
Elle me regarda, froidement, puis se retourna :
« Je n’ai pas d’autre choix, j’accepte.
- C’est un bon choix, jeunette, allez alors déshabille-toi, fais-moi voir ce que je viens d’acheter… »


Laly obtempéra et se trouva nue devant l’homme.
« Va m’attendre dans le jardin.
- Nue ?
- Oui nue, salope. »

Elle sortit et le propriétaire enleva aussi tous ses habits. Il était nu et bandait à moitié. Je voyais tout, et sa queue me parut énorme. Probablement le double de la mienne, tant en longueur qu’en épaisseur. Ses couilles étaient grosses comme des oranges.
Il caressa son appareil génital et sortit dans le jardin.

J’ouvris doucement la porte et j’allais épier derrière un rideau.
Il avait déjà pris Laly dans ses bras et l’embrassait à pleine bouche, ses mains la caressaient sur tout le corps, les fesses et les seins.
Puis il s’allongea à même le gazon et dit :
« Viens me sucer, petite. »


Hésitante, Laly s’y résolu mais dit :
« Les voisins, ils peuvent nous voir...
- Je me fiche des voisins et s’ils voient, tant mieux, ils sauront… »


Alors Laly s’agenouilla entre ses cuisses, regarda le sexe de l’homme et protesta :
« Mais il est énorme, il est trop gros !
- Ah ça te change de celui de ton mari, n’est-ce pas ? »

Elle ne répondit pas.
Elle prit l’engin dans sa main gauche et emboucha un bout de la bite tendue. De sa main droite elle malaxa les couilles. Elle suçait la queue avec avidité, je m’en rendis compte.
Je pleurais doucement. Je voyais ma femme se vendre pour payer le loyer.
Je regardais ma femme sucer une queue qui n’était pas la mienne.
Trois minutes durant, elle s’activa avec passion... et je me rendis compte que je bandais du spectacle. Je me caressais sur le caleçon.

Le propriétaire fit mettre Laly sur le dos, écarta ses cuisses et lui enfonça un doigt dans la chatte...
« Mais c’est qu’elle mouille la salope, elle est toute excitée de m’avoir sucé la bite ! »

Il retira son doigt et sans autre préparation positionna son gland sur la vulve de Laly.
Il poussa et le gland pénétra le vagin. Laly poussa un cri étouffé. Il poussa encore et entra totalement jusqu’aux couilles. Laly cria cette fois franchement.
Ma femme était prise, ouverte par la queue énorme de son amant.
Sa tête allait de gauche à droite et ses râles étaient bruyants. L’homme se retira et commença de la baiser de toute sa puissance. Je voyais très bien le sexe entrer et sortir. Il était vraiment énorme et Laly ne tarda pas à jouir fortement.
« Ah la petite pute, elle jouit comme une jeune salope… »

Il la prit longuement ainsi, la faisant jouir trois fois avant de s’enfoncer en elle pour libérer son sperme au plus profond de ma femme. Ils restèrent soudés l’un à l’autre puis Laly le repoussa et s’enfuit.

J’eus juste le temps de regagner mon bureau sans qu’elle me voit. Le sexe à l’air je me branlais et je jouis dans un mouchoir.
Je devinais qu’elle se lavait.
L’homme entra dans le salon et appela Laly :
« Viens ne t’habille pas, reste nue et sers-nous des boissons. »

Ils discutèrent dans le salon.
« Alors, jeune Laly, tu vois c’était pas la mer à boire, et c’était bon, non ? Ah au fait, je m’appelle Jacques. »

Laly le regarda en fronçant les sourcils et avec une mimique de la bouche.
« Quoi, tu as pris ton pied trois ou quatre fois, tu rigoles ! »


Laly ne parlait toujours pas.
« Alors, c’était comment ?
- C’était bien.
- Bien seulement ?
- C’était bon.
- Tu regrettes ?
- Non, mais j’espère que vous tiendrez parole… »

Il se leva, fouilla dans sa sacoche et sortit les quittances des loyers qu’il remit à Laly.
« Non seulement, je tiens parole mais je te fais confiance, j’espère que toi aussi tu tiendras parole jusqu’à demain soir.
- Et si mon mari rentre avant ?
- Tu te débrouilles pour qu’il ne rentre que dimanche soir »

 

Laly apporta les boissons, elle se promenait nue comme naturellement devant ce quinquagénaire qui aurait pu être son père.
Après un moment, il ordonna :
« Viens me sucer, chérie »

Sans rien dire, Laly le leva et s’agenouilla entre ses jambes. Elle le suça immédiatement. Elle y mettait du cœur et de la volonté. J’en fus étonné et même jaloux.
Il l’arrêta et la fit asseoir sur le fauteuil, il était face à elle, la queue à bonne hauteur de sa bouche.
Il introduisit son sexe démesuré. Elle prenait ses couilles dans ses mains. Il baisait sa bouche et s’y enfonçait régulièrement au plus profond, manquant de l’étouffer.

Soudain, il stoppa et ne laissa que quelques centimètres de sa bite dans la bouche de ma femme.
« Je décharge, salope, je jouis, j’éjacule dans ta bouche de pute, avale mon sperme, avale tout ! »


Il râla et Laly reçu toute la quantité de sperme. Elle suça la bite en se retirant et avala d’un seul coup. Puis elle reprit le sexe en bouche et le suça encore.
La salope, elle en redemandait. Elle qui avait toujours refusé que je jouisse dans sa bouche, elle avait permit à cette homme de le faire et avait même avalé son sperme.
J’enrageais, je ne comprenais plus rien.


« Formidable ma jeune amante, tu suces très bien et tu te comportes comme une vraie professionnelle. Ton mari est un homme heureux.
- Mon mari n’a jamais eu droit à ça. »

J’en restais scié, pourquoi disait-elle ça ?
« Ah bon ... et alors, pourquoi moi ?
- J’en avais envie, c’est tout.
- Parfait, parfait, je suis donc privilégié et en avance sur ton cocu de mari…
- Oui, on peut voir les choses comme ça… »


Je les voyais entrer et sortir de la maison pour le jardin et vice et versa.
Ils discutaient de choses et d’autres et semblait bien s’entendre.
Je crevais de jalousie et m’impatientai de questionner Laly. Mais je savais que je devais rester planté dans mon bureau...

Le soir, ils dînèrent dans le jardin et j’entendais leurs rires.
Laly se rendit plusieurs fois à la cuisine mais n’eut aucun regard vers la porte du bureau.
Toujours nue, elle vaquait à ses occupations.
Enfin ils entrèrent, lui derrière elle, la serrant contre lui, lui pelotant les seins. Dans ses bras, elle semblait une petite poupée fragile. Elle le guida vers notre chambre...

J’attendis un moment et j’osais ouvrir délicatement ma porte du bureau.
Je m’avançais dans le couloir qui mène aux trois chambres. La porte était largement entr’ouverte. Par chance la lumière du couloir n’était pas allumée, mais la veilleuse de la chambre oui.
J’attendis ainsi quelques minutes, et aussitôt, que je compris qu’ils étaient en action, je me risquais dans la chambre d’amis juste en face de la notre, dont je laissais la porte entre baillée. J’avais une vue complète sur le lit.
Le spectacle était hallucinant pour moi !

 

La tête dans les coussins, Laly était possédée par notre propriétaire qui la prenait en levrette. Il la prenait fortement à grands coups de reins. Les mains sur les hanches de ma femme, il la prenait.
Jacques râlait en permanence et criait ses jouissances continues.
Ils durèrent ainsi au moins trente minutes.
L’homme s’arrêta et suça le cul de Laly un long moment. Puis il la prit de nouveau, la faisant encore jouir. Je voyais qu’il enfonçait son pouce dans le cul de Laly.
Il s’arrêta de nouveau et guida son sexe sur l’anus offert.
« Non ! cria Laly, non pas par là ! »

Je fus rassuré de cette négation.
« Tu es à moi pour ce week-end et tu ne dois rien me refuser.
- Mais je ne savais pas que...
- Pas de limite, tu m’appartiens, ton corps m’appartiens.
- Je vous en prie, non pas ça, je ne l’ai jamais fait, pas même avec...
- Avec qui ? Ton con de mari, ça ne m’étonne pas, mais tu vas y passer. »

Il tenait Laly fermement d’une main et de l’autre il guidait sa bite.
Il appuya fortement et l’anus bien préparé s’ouvrit non sans mal pour Laly. Le bout était dans le cul. Laly le suppliait d’arrêter. Mais, lui pressait doucement, il savait qu’il avait gagné. Il s’enfonçait sans écouter les gémissements de l’enculée.
Quand il fut bien à fond, il demeura ainsi sans bouger. Laly pleurait. Mais le bougre savait y faire, il fit un retour de moitié de s’enfonça de nouveau très lentement.

Il sortit totalement et pénétra la chatte toute mouillée. Puis il l’encula à nouveau, et cette fois, pour y rester.
En quelques minutes seulement, il avait réussi à enculer ma femme avec son sexe énorme, alors que j’avais toujours été refusé avec mon petit sexe.
Doucement, il permettait au cul de Laly de s’adapter à son enculage et à la grosseur de sa bite. Tant et si bien que j’entendis des soupirs de plaisirs sortir de la bouche de Laly.

C’est elle d’ailleurs qui parla la première :
« Oh ! Jacques, je n’aurais jamais cru... c’est bon, c’est si bon, continue, OUI, encule-moi, encule-moi comme une putain, comme ta pute que je suis !
- Dis que tu aimes ma bite, salope !
- Oh ! Oui, oui, je l’aime ta bite dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche !
- Tu ne pourras plus t’en passer, je viendrais te prendre souvent, si tu veux.
- Oh ! Oui, tout le temps, tout le temps, Jacques…
- Et ton mari ?
- Mon mari sera cocu par toi, continue, encule moi ! »

Il l’encula encore longtemps avant de crier :
« Je vais jouir dans ton cul ma chérie, je vais t’inonder le cul !
- Ouiiiiiiiii, viens, viens dans mon cul. »

 

Ils crièrent ensemble, Laly jouit encore de se faire enculer et il envoya tout son sperme dans le cul de celle qui était, il y a encore quelques heures, ma fidèle épouse.
Je regagnais vite mon bureau ...

Le lendemain, ils petit-déjeunèrent dans le jardin, ils étaient toujours nus.
Je remarquais que Laly était tout à son aise. Elle l’embrassait d’elle-même et attrapait souvent sa bite au passage.
Je l’entendis même dire :
« Qu’est-ce que tu m’as mis ce matin, j’ai la chatte ouverte, et ton sperme colle mes poils !
- Et c’est pas fini…
- Oui, oui, j’en prendrais bien encore ! »

Effectivement, après une sieste réparatrice, il la prit dans le jardin, puis l’encula encore une fois. Il dura encore plus longtemps que la veille. Il l’enculait sans ménagement. Il avait enduit son cul de beurre et il pouvait pénétrer son cul sans problème.
Laly se déchaînait et implorer son enculeur de se retenir de jouir.
Mais il jouit. Il se planta au fond de ses entrailles pour y déverser son sperme.
Laly hoquetait de plaisir :
« Jacques, Jacques, je suis à toi, tu m’as révélée, je ne pourrais plus me passer de toi, maintenant.
- Je viendrai souvent t’en mettre un coup, rassure-toi.
- Oui, ouiiiiiiiiiiii !!! »

Vers dix-sept heures, Laly attira son amant dans la salle de bain. Elle savait que je devais arriver. Je sortis donc de ma cache et à dix-huit heures, et j’entrais. Ils étaient au salon. Nus.
Je pris mon air le plus étonné, le plus offusqué :
« Mais enfin qu’est-ce que cela signifie ??? 

- Eh bien ça signifie, pauvre idiot, que ta femme a payé les loyers que tu es incapable de payer, voilà ce que ça signifie !
- Comment, je ne comprends pas…
- Explique à ton mari nos accords, continua Jacques.
- Alain, Jacques a accepté d’annuler les loyers dus, j’ai d’ailleurs les quittances, contre un week-end avec moi.
- Avec toi ???
- Oui, nous avons eu des rapports sexuels contre les loyers, tu vois, dit-elle, d’un ton agacé.
- Mais enfin et moi dans tout ça ?
- Toi, repris Jacques, tu économises les loyers, Laly a fait ce qu’elle pensait devoir faire et moi je suis satisfait de m’être envoyé une si jolie jeune femme. Tout le monde est content.
- Content, content, vous en avez de bonnes, vous, c’est de ma femme qu’il s’agit !
- Oui et donc tu es cocu et content.
- Alain, il faut bien reconnaître que Jacques a été un gentleman et pour tout te dire, j’y ai pris beaucoup de plaisir ‘
- Quoi ?
- Ta femme te dit qu’elle a aimé que je la baise !
- Ah bon, elle a aimé ?
- Oui, Alain j’ai aimé et si tu veux savoir, j’ai joui plus qu’avec toi, Jacques a une queue énorme, et il faut aussi que tu saches que je lui ai tout donné de moi…
- Qu’est-ce que ça veut dire ?
- Je l’ai sucé et j’ai avalé son sperme et il m’a enculée.
- Qu’est-ce que tu dis, il…
- Oui tu as bien entendu… »


Je m’effondrais dans un fauteuil et fis semblant d’être atterré.
« Maintenant que… soufflai-je.
- Maintenant je rentre chez moi et tu n’as plus de problème de loyers… »


Il remit ses vêtements et partit.
Seuls avec Laly nous avions beaucoup à nous dire.

 

A suivre...

Par Sophie de R. - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme
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