Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Philippe nous explique le candaulisme, et comment il pratique cette « philosophie » au quotidien avec son adorable femme Olga.
Merci à eux, à Hassan aussi, de nous offrir leur histoire hors du commun, si particulière, si intime…
Le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Le
candaulisme est caractérisé par un fantasme bien précis : voir son épouse faire l'amour avec une ou plusieurs personnes étrangères à son couple.
Le candaulisme se distingue de l'échangisme car il est une activité sexuelle "mono-active", une pratique à sens unique. Seul un des deux membres du couple a une totale liberté
sexuelle pour son plus grand plaisir et celui de l'autre. Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme.
Il se distingue aussi du voyeurisme, qui fait que l'on est excité par la seule vue de scènes sexuelles, même avec de parfaits inconnus. Dans le cas du candaulisme, il faut un
sentiment fort, affectif, amoureux, avec l'objet du fantasme, son conjoint.
Pas de candaulisme sans amour conjugal.
Le candaulisme se distingue aussi du cuckolding par l'absence de besoin d'humiliation du partenaire voyeur.
Dans l'article paru le 18 octobre, nous avons expliqué l'origine historique ou mythique du terme, qui se rattache à Candaule, un roi de l'Antiquité grecque, et à la légende qui s'attache à sa
femme Nyssia, qu'il aurait offerte à un de ses officiers, Gygès.
Il s'agit dans la plupart des cas d'un fantasme masculin. Seul l'un des partenaires a une liberté sexuelle pour son plaisir et surtout celui de l'autre. Très cérébral, le candaulisme n'est
pratiqué qu'en couple très amoureux l'un de l'autre, et jouissant d'une grande complicité. Sans ces deux conditions, toute la saveur en est totalement perdue. Car en règle générale il n'y a aucun
plaisir et aucun intérêt à partager ce genre d'émotions lors d'une aventure d'un soir.
L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du Candaulisme. Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple de
partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement. Même si, pour le réaliser, ils
doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, certains me jugent sévèrement, mais personne ne peut nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga.
J'ai détaillé dans le second article, paru le 19 octobre, les différentes formes de candaulisme, qui sera qualifié de complice, d'humiliant, possessif ou de passif. On parlera aussi de
candaulisme visuel, auditif.
Avec Olga, nous avons pratiqué ces différentes formes de candaulisme.
Il a été complice, puisque je l'ai poussée à cette pratique. Je dois dire qu'elle a "résisté" longtemps mais ce qui s'est passé depuis deux ans montre que j'avais
raison, que j'avais bien deviné ce qu'il lui fallait.
Oui c'est moi qui ais poussé Olga à me tromper, et d'abord dans les bras de Rachid, son premier mâle. Rachid m'a dit qu'il raconterait en détails le complot qui a fait tomber Olga dans ses
bras. Olga sait tout et ne m'en veut pas, bien au contraire !
Il a été humiliant, car je n'ai plus que le titre de mari, que seuls ses mâles successifs, Rachid puis Hassan, ont désormais le droit de se vider dans sa chatte et que Rachid l'a fécondée. Et
même le titre de « mari » m'est de fait contesté aujourd'hui par Hassan.
Mais j'ai accepté ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.
Il a été passif, puisque mon premier et principal plaisir est d'assister à ses ébats, de la prendre en photo dans ces moments de bonheur.
Olga m'a déjà dit combien elle a du plaisir quand je l'observe dans ses ébats, nous nous regardons dans les yeux, son regard, voilé par la montée du plaisir veut dire : « Merci
chéri pour ce que tu m'as fait découvrir, pour l'amour que tu me portes. »
Quant au candaulisme possessif, il a plutôt été du côté de Rachid, puis de Hassan, qui ont éprouvé le plaisir rare d'offrir à d'autres une femme qui pouvait être exclusivement à eux, la mienne.
Car c'est Rachid qui a ouvert la boite de Pandore, qui a poussé Olga à s'offrir à d'autres, au départ elle se serait volontiers contenté de lui, dont elle était follement amoureuse.
J'ai connu toutes ces situations que je décris.
Mon candaulisme complice va très loin, puisque j'ai accepté qu'Olga soit amoureuse de Rachid (mais aussi de Nicolas et aujourd'hui de Hassan. Elle a aussi été amoureuse de
Christine, de Cindy et d'une façon particulière, de la redoutable Marie) et qu'il lui fasse un enfant. J'ai accepté qu'elle se « marie » dans son rite avec Hassan, qui est aujourd'hui
son vrai époux.
Nous pratiquons le candaulisme auditif, moi « dormant » sur le canapé ou dans une pièce voisin de la chambre conjugale, Olga et son mâle
dans le lit conjugal. Ils laissent la porte ouverte pour que j'en profite et j'en prends plein les oreilles, y compris en pleine nuit, car Rachid comme Hassan savent reprendre vite des forces et
ne se lassent jamais du corps de mon épouse.
Entendre est un plaisir autant qu'un divin supplice car la tentation est forte d'aller mater la scène qui se déroule dans l'autre pièce. C'est encore plus dur quand les amants
ont volontairement laissé la porte ouverte. Les cris de plaisir de l'épouse sont sans équivoque et les amants en ajoutent même parce qu'ils savent que le mari n'en perd pas une miette, il en aura
pour son argent.
Ce que je préfère naturellement, c'est le candaulisme visuel. Car le vrai plaisir du candauliste est d'imaginer, d'entendre ou de voir sa chérie prendre du plaisir avec
un autre homme. Le vrai plaisir candauliste pour moi est naturellement d'assister, de ne rien perdre de ces moments exceptionnels où Olga se fait baiser. Ce plaisir doit être long,
profond, intense.
J'aime aussi voir Olga "habillée" de façon sexy, voire provocante ou indécente,
J’aime lire le désir dans le regard des hommes ou dans la barre qui déforme leur pantalon (ou leur
maillot sur la plage).
Oui j'aime que ma femme porte des dessous les plus sexy, qu'elle s'exhibe sur la plage ou au bord d'une piscine, qu'elle s'exhibe devant ses amants, les mettant en condition pour la saillie
qu'elle attend avec impatience
J'aime voir ensuite ma salope être déshabillée, puis lovée dans les bras de son amant, que celui-ci la caresse et qu'ils s'embrassent amoureusement, la voir branler la queue de son
amant qu'elle prendra en bouche, impatiente d'être saillie, la voir sucer à fond ce mâle qui vante devant moi les talents de fellatrice de mon épouse,
Il me faut voir cet amant lui imposer toutes ses envies, y compris les plus hard comme celle de lui fister sa chatte et voir cette main disparaître dans les fondements de ma belle épouse,
voir cet amant préparer le cul de votre épouse, elle qui a vous a toujours refusé la sodomie, avant qu'elle ne supplie l'amant de lui casser le cul, la voir enfin se faire mettre, (et c'est
encore meilleur quand c'est sans capote), baiser, niquer, et écouter, pendant un coït qui doit durer, ses cris de plaisir et d'amour, ses "oh oui, vas y mon amour, oui comme ça plus fort
oui, bien à fond", ses gémissements, ses plaintes de plaisir, qui deviennent des cris, des hurlements.
Ca tourne quelquefois à l'humiliation quand l'amant lui demande si : « c'est meilleur qu'avec ton cocu », qu'elle répond : « évidemment », et qu'ils échangent
des paroles d'amour, sans se soucier de ma présence.
Imaginer peut aller très loin, reposer sur une vraie complicité, en l'aidant à se préparer pour l'autre, en choisissant ses dessous, ses vêtements, en la conseillant sur son
maquillage, sur son parfum.
Ca peut aller jusqu'à conduire la femme infidèle sur les lieux où elle va se faire baiser. Le plaisir est ensuite de l'imaginer, de voir en rêve ce que son amant ou ceux à qui il l'offre lui
font. Et puis attendre qu'elle rentre enfin, épuisée par ses excès, découvrir sur son corps la trace de ses ébats. Le bonheur est alors d'obtenir un récit détaillé de ceux-ci pendant qu'elle
autorise le mari bafoué à la déshabiller, à la nettoyer, à la masser, à la caresser, à boire à sa source la semence que le ou les mâles y ont déposé. Quelquefois, le mari candauliste a le plaisir
de succéder dans la chatte de l'épouse aux autres hommes et de mêler sa semence à celle de l'amant de Madame.
Le mari candauliste a une image de la femme comme complice, égale, active et féminine. Le candauliste n'éprouve pas de jalousie, un sentiment qu'il réprouve car ce sentiment ne permet pas
une générosité spontanée et naturelle sans concession.
Or quelle plus grande générosité que d'offrir la plus complète liberté sexuelle à la femme qu'on aime?
Le candauliste a des pratiques amoureuses qui visent la complicité amoureuse totale, ainsi que la recherche et la réalisation prioritaires des désirs de l'autre et de son
plaisir. Tout ce qui me préoccupe, au delà du plaisir que j'ai de voir Olga se faire baiser, c'est son plaisir, sa jouissance, son bonheur.
Au fond, peu m'importe qui la baise, pourvu qu'elle jouisse, qu'elle ait du plaisir.
Depuis deux ans, Olga a eu des amants en titre, des mâles, comme Rachid ou Hassan dont elle a été amoureuse, qui ont vécu à notre domicile, qui m'ont remplacé dans le lit conjugal, avec qui elle
se promenait amoureusement dans la rue.
Poussée par ses mâles, Olga s'est offerte à beaucoup d'autres, dans beaucoup d'endroits : dans notre immeuble, dans mon bureau, dans la nature, sur la plage, dans la mer. Il n'y a guère de
possibilité de plaisir qu'Olga n'ait pas explorée.
Olga est aussi devenue profondément bisexuelle et j'éprouve le même plaisir candauliste à la voir avec ses maitresses, en particulier en 69. Dans ses relations saphiques, Olga est déterminée,
elle prend beaucoup plus d'initiatives, elle est plus active. Souvent elle est l'homme avec ses conquêtes féminines.
Mon seul regret c'est que son attrait pour les femmes la rende vulnérable envers Marie, qui la déteste (le mot est faible), et qui pousse Olga vers les pires excès : nymphomanie, pratiques
sm, soumission, prostitution. Elle lui a pris Rachid mais n'a pas réussi à la séparer de Hassan.
Le candaulisme de notre couple est donc bisexuel.
Sous l'influence de Rachid et de Marie, il a rapidement dérivé vers d'autres pratiques, Olga étant offerte à d'autres, y compris dans des partouzes et gang bang dont elle était la vedette. Mon
plaisir candauliste a été d'être généralement associé à ces parties pour ne rien perdre du plaisir de ma chérie.
Le candauliste vit un amour profond qu'il ne dissocie pas de la communication culturelle et affective, de la tendresse et du plaisir physique. Le candauliste fait souvent preuve
de tendresse et d'une grande sensibilité physique et morale. Le candauliste, dans les relations quotidiennes, refuse des valeurs et attitudes de rivalité/domination qu'il estime non
progressistes, il préfère ainsi les valeurs consensuelles.
Le candauliste cultive l'amitié totale et généreuse avec les partenaires qui composent sa sphère. Le candauliste privilégie en premier lieu le sentiment d'attirance mutuelle. Les mâles d'Olga,
ont été mes amis et, même dans mon cas, mes amants. J’ai poussé la complicité avec eux jusqu'à la bisexualité. Même si ce n'est pas automatique, le candauliste a en lui une part de féminité, que
pour ma part j'ai assumée. La relation d'un couple qui pratique le candaulisme est fusionnelle.
Il s'agit d'une recherche commune du plaisir et de l'épanouissement. Ainsi l'époux éprouve une profonde excitation à voir son épouse dans des situations érotiques avec d'autres que lui et
celle-ci, en paix avec son corps, s'épanouit aux travers des différentes sensations que lui procure la variété des situations.
Le plus grand plaisir d'une épouse est surtout l'idée d'avoir l'exclusivité de l'excitation de son homme. Cela peut passer du simple slow lors d'une soirée, à faire
l'amour devant son mari.
Oui, Olga et moi sommes un couple fusionnel, ce qui explique que nous sommes toujours ensemble et qu'elle n'a toujours refusé qu'une seule chose, que j'étais tout prêt à accorder
si elle l'avait demandé : le divorce.
Pour Olga, son plaisir, son bonheur ne serait pas identique, sans ma présence, sans mon regard amoureux et excité sur elle quand elle fait l'amour devant moi. La communion du plaisir passe par
ces échanges de regards lors de l'acte ou par des « aveux physiques » lors de leur intimité retrouvée.
Dans la plupart des cas, la complicité du candauliste avec les amants ne va pas jusqu'à participer aux ébats de sa femme en la partageant avec d'autres. Dans ce cas, ce serait plutôt du
triolisme, des partouzes, ou de l'échangisme. D'autres encore poussent très loin la situation et font partie du jeu des amants : ils sont humiliés par eux, attachés, assistant impuissants aux
ébats de l'épouse et de l'amant.
J'ai enfin expliqué dans l'article paru le 22 octobre les points communs entre le cocufiage et le candaulisme. Car je l'assume, je suis les deux. Quand il réalise son fantasme, le mari
candauliste est forcément cocu. Surtout si on considère que l'on est cocu à partir du moment où son épouse a un amant.
On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une
infortune, comme une disgrâce ou comme une honte. Il est un cocu qui non seulement sait ce qu'il lui arrive mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat et qui en tire un grand
plaisir.
Alors oui le bonheur du mari candauliste que je suis est de voir Olga baisée encore et encore, jusqu'à ce que les deux amants s'effondrent, en particulier quand Rachid ou Hassan lui inondaient le
vagin de leur semence abondante. Je ne m'en lasse pas.
Quelquefois, j'ai droit d'embrasser ou de caresser Olga pendant qu'elle se fait prendre. Mais mon vrai plaisir de candauliste est d'assister, je jouis sans même me toucher. Nous pratiquons
surtout, à mon grand bonheur, le candaulisme visuel et je ne m'en lasse d'autant moins que Rachid, puis Hassan n'ont cessé de varier les situations en offrant ma femme à
d'autres…
Oui, je suis cocu et je n'en ai pas honte. Mais je revendique ma particularité de candauliste.
Le mari candauliste ne peut exister que s'il y a un amant qui accepte une telle situation et une femme adultère complice. Rachid, Hassan et Olga ont été avec moi les acteurs heureux de cette
aventure candauliste, où chacun a trouvé son compte.
Oui les choses ont été beaucoup plus loin que je les imaginais au départ. Je voulais que mon épouse prenne un amant, des amants, que je puisse mater. La voir devenir gouine m'a
réjouit. Je voulais aussi qu'elle pratique sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist.
Oui, je voulais voir Olga dans des partouzes et des gang bang. Je ne pouvais rêver aux milliers de rapports, aux centaines d'amants qui m'ont "déshonoré" depuis deux ans. Et bien j'espère, si
Olga le veut, qu'il y en aura encore beaucoup d'autres.
C'est vrai que je ne pensais pas qu'elle tomberait amoureuse de certains de ses amants (et de ses maitresses), qu'elle tomberait sous la coupe de la redoutable dominatrice qu'est Marie, que
Rachid se vengerait sur elle de sa haine de la bourgeoisie de sa ville. Je ne pensais pas non plus aux dérives que je n'ai pas su empêcher, comme la nymphomanie, la prostitution à l'étranger,
comme les partouzes sm voulues par Marie et ses amis. Mais nous avons réussi à arrêter ça, Hassan et moi.
Je ne pensais pas que le résultat de cette aventure serait qu'un autre que moi aurait conçu un enfant avec mon épouse. Car je l'ai accepté tout de suite, j'ai assisté à la conception,
c'était beau et cet enfant est aussi le mien, il n'aurait jamais été conçu sans notre aventure candauliste.
Je n'aurai pas pensé non plus que, par le biais d'un mariage dans son rite, son amant actuel se considérerait comme son vrai mari.
Et pourtant je suis toujours à côté d'Olga. J'aurai pu la perdre. Certains diront: "Imbécile, à part un lien légal, Olga n'est plus à toi" J'aurai pu la perdre vraiment si son amour pour un de
ses mâles l'avait conduit à vouloir reconstruire un couple exclusif avec lui. Au fond, en l'offrant à d'autres, Rachid, qui n'a jamais été amoureux d'Olga à la grande différence de Rachid, a
peut-être évité que les choses n'en n'arrivent là. Olga a toujours refusé le divorce. Pas seulement parce que ma présence, lors de ses ébats, l'excite tout particulièrement. Mais tout simplement
parce qu'il y a entre nous deux un amour si fort, qui échappe à toutes les normes, qui dépasse l'amour physique. Rien ne pourra désormais nous séparer, dans l'équilibre très
particulier que nous avons trouvé.
Ma récompense, c'est le plaisir que je lis dans les yeux d'Olga quand elle se fait prendre devant moi.
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