Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
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Bises libertines,
Sophie
Sophie, j’aime lire les récits que tu publies sur ton blog, je me masturbe souvent en les revivant, et tu habites mes fantasmes, toi et tous tes amants.
Ce soir, tu m’as enfin invité à venir te rejoindre chez toi. Tu as prétexté une envie de mieux me connaitre, de me permettre de me dévoiler, et de te raconter ma bisexualité. D’ailleurs, pour me mettre parfaitement dans l’ambiance, tu m’as suggéré d’enfiler une paire de bas résilles et un string.
C’est avec un peu d’émotion que je sonne à ta porte, et je suis très excité en entendant résonner tes talons dernière celle-ci. Tu ouvres enfin, et je suis très impressionné par ta beauté, par la générosité de ta poitrine, par les tétons qui percent déjà sous le tissu léger de ta robe transparente. J’admire tes jambes longues et fines, ta croupe rebondie mais ferme. Je ne peux contenir un début d’érection, alors que je suis encore sur le pas de la porte.
Avec un sourire radieux, te me fais pénétrer dans le couloir. Il est sombre car toutes les portes sont fermées. Là, tu me déshabilles lentement, mon pantalon disparait rapidement, ma chemise est à terre, et je me retrouve en deux minutes en string, lequel est maintenant bien tendu, et en bas résilles noirs. Tu me prêtes en paire d’escarpins, et sans plus d’explications, tu me lies les mains dans le dos, et me bandes les yeux.
C’est en titubant sur les talons aiguilles que je te suis, aveugle et excité, dans une nouvelle pièce. Il doit s’agir du salon, car je pense reconnaitre au son de mes pas un tapis épais. Toujours debout, quasiment nu, je sens tes mains parcourir mon corps, pincer mes tétons, caresser mes fesses lisses, ma verge bien dure à travers mon string. Toujours sans un mot, tes mains appuient sur mes épaules pour me mettre à genoux. C’est maintenant tes fesses qui caressent mon visage, mon nez, ma bouche. Je voudrais sortir ma langue pour te gouter, mais je n’ose pas encore, et me contente de sentir les effluves de ton plaisir naissant.
Toujours à genoux et toujours aveugle, te me fais progresser jusqu’au canapé. Je t’entends bouger, et brusquement, tes mains attrapent ma tête pour la diriger vers ….
Vers ta chatte brulante. Je ne vois pas mais j’imagine ta position, les cuisses bien écartées au bord du canapé. Mon nez tombe littéralement dans ta chatte humide, et tes mains plaquent mon visage sur ton sexe. Quand je suis au bord de l’asphyxie, tu relâches enfin la pression, et je peux alors entreprendre une séance de léchage consciencieuse. Ma langue vient fouiller ta chatte profondément, je lèche vigoureusement ton clito, je t’encule avec ma langue pendant que je te baise avec mon nez. Ton bassin ondule, tes mains se font plus pressantes, et dans un cri, tu lâches de longs jets de cyprine dans ma bouche, signe d’un premier et fort orgasme.
J’ai la bouche et le visage inondé par la jouissance, et c’est le moment que tu choisis pour ôter mon bandeau. Le temps que mes yeux s’habituent à la lumière, et je découvre que la pièce est loin d’être vide.
Tu as donné rendez-vous à tes amants, et ils sont nombreux à s’être régalés de cette petite séance préliminaire. Bertrand, Pierre, Marco, le plombier et le peintre, ils ont tous une bite bien dure entre les mains, se caressant sans vergogne sous nos yeux. Quel spectacle ! Les grosses côtoient les longues, mais elles sont toutes bien dures.
Ils se rapprochent alors de nous deux. Les uns se précipitent vers ta chatte, les autres vers ma bouche. On me viole littéralement la bouche. Celle-ci n’est pas trop longue, et les mains toujours attachées dans le dos, on me baise violemment la bouche. Elle entre entièrement, butant sur mon palais à m’en faire pleurer. La tête entre les mains de mon partenaire, je sens sa queue coulisser dans ma bouche qu’il utilise comme un vagin. Parfois, d’une poussée plus puissante, il ma plaque la tête contre son ventre, ses poils entrent dans mon nez, sa bite m’étouffe. Rapidement, je sens sa bite durcir encore un peu plus, et ce sont de longs jets qui explosent au fond de ma gorge. Il ne me lâche pas, et je dois tout avaler ce sperme légèrement acre, avant de sentir petit à petit sa queue ramollir dans ma bouche.
A coté de moi, j’entends tes soupirs monter crescendo, ma chère Sophie. Tu es à coté, sur le canapé, les cuisses totalement ouvertes. Une bouche fouille ta chatte, et cela te fais du bien, cela s’entend de plus en plus fort, même si tu ne peux t’exprimer comme tu le souhaiterais, car ce n’est pas aisé avec une bite dans la bouche. La langue experte passe de ta chatte à ton cul, le mouillant toujours un peu plus, et tes coups de reins viennent la chercher le plus profondément possible. Tu ne peux plus résister, et un nouvel orgasme te secoue brusquement. Cela à pour effet de faire éjaculer la bite que tu pompes depuis plusieurs minutes. Le sperme coule dans ta bouche, et tu n’en perds pas une goutte.
Tu viens alors près de moi, et dans un baiser fougueux, tu m’offres ce précieux liquide. Quel bonheur de déguster ce sperme qui est passé par ta bouche, les saveurs se mélangent et c’est délicieux.
Tu me détaches enfin les mains, et une nouvelle partie démarre. Les hommes se mettent en cercle autour de nous, les queues magnifiquement bandées. Pierre le premier me propose la sienne, pendant que Bertrand t’offre la sienne. Le plombier et le peintre se masturbent sur mes joues, j’ai des bites partout autours de moi. Nous échangeons les queues, nous passons de l’une à l’autre, nos salives se mêlent dans un pompier magistral à deux bouches et cinq queues.
Les bruits de succion se font plus forts, les hommes s’activent toujours plus dans nos bouches, nos mains s’activent autours de leurs membres turgescents et la tension devient de plus en plus palpable. Ce sont nos artisans qui craquent les premiers. Le plombier jouit dans ma bouche et le peintre dans celle de Sophie. A nouveau, tu viens m’offrir ce délicieux liquide en glissant ta langue dans ma bouche. Le sperme coule à flot, sur nos visages, dans nos bouches, sur tes seins. A chaque fois, tu me fais lécher les éclaboussures qui atteignent ton corps, et quand cela atteint mon visage, tu viens le lécher pour me le faire déguster dans ta bouche.
Cette partie a laissé quelques uns de tes amants en grande forme.
Tu te mets alors à quatre pattes sur le canapé, et me présente ta si jolie croupe. Je plonge avec délice ma tête entre tes fesses, pour te prodiguer une feuille de rose. Je sens ton anus se dilater lentement sous ma langue, et cette odeur caractéristique augmente encore la raideur de ma queue, qui ne s’est toujours pas vidée. Marco, qui n’a toujours pas jouit non plus, te donne sa bite à sucer, et il la plonge le plus profond qu’il peut dans ta bouche avide.
Tu viens bientôt t’allonger sur le dos, sous moi. J’ai ta chatte sous le nez, et je peux titiller ton clito, pendant que Marco te pénètre doucement le cul. Sa pénétration s’adapte à ton rythme, pour que tu ne souffres pas, et ma succion sur ton bouton t’aide à t’élargir. Il entre enfin jusqu’à la garde, et reste ainsi quelques secondes planté au plus profond de toi. C’est le moment que choisit une queue pour se présenter devant mon trou du cul, et d’une secousse directe, pour m’enculer profondément.
La surprise est totale et la douleur aigue, mais je reste sans bouger en attendant que mon anus accepte cet engin qui doit être de belle taille. Nous sommes ainsi tous les deux avec une bite dans le cul, ma queue est au dessus de ta bouche, ta chatte luit sous mes yeux. Nos deux enculeurs ayant fait leur trou, ils commencent à s’agiter, et à nous donner des coups de boutoirs de plus en plus sauvages. Par instants, et de manière assez coordonnée, ils sortent de nos boyaux, et tu peux lubrifier la queue de mon enculeur pendant que j’en fais de même avec le tien. J’adore sucer cette bite qui sort de tes entrailles, sentir cette odeur mêlée d’homme en rut et de fondement. Cette séance dure dans tous les sens du terme, je sens la bite qui me défonce le cul durcir un peu plus, et après un dernier assaut, elle se retire pour éjaculer dans ta bouche grande ouverte.
Cela procure le même effet à Marco que tu connais bien maintenan,t et qui s’autorise à lâcher de longs jets de sperme dans ton cul. Tu te précipites pour me cracher le sperme que tu as reçu dans ta bouche, avant de positionner ton cul juste au dessus de ma bouche. Je peux voir nettement tes chairs se détendre, et dans un bruit de pet, tu fais couler dans ma bouche le sperme de Marco. J’avale avec bonheur ce précieux liquide, et je me précipite pour lécher le pourtour de ton anus afin de ne perdre aucune goutte.
Cette séance vous a laissé un peu épuisés, mais en ce qui me concerne, j’ai le cul en feu et l’estomac un peu plus rempli que tout à l’heure, mais mes couilles sont toujours aussi pleines.
Mais ma chère Sophie m’a concocté une dernière surprise.
Tu m’emmènes à quatre pattes dans la salle de bain, et tu me positionnes la tête au dessus de la baignoire. Tu te places de telle sorte que tu peux entamer une terrible fellation. Je sens ta langue titiller le bout de mon gland, léchouiller mes couilles, avant de prendre ma bite au fond de la gorge. A l’entrée de la salle de bain, tes amants, une bite un peu molle à la main, font la queue. Le premier d’entre eux s’approche de moi, sa bite à hauteur de ma bouche toujours au dessus de la baignoire. Il ne semble pas décidé à me la donner à sucer. Et pour cause, je sens un jet doré fouetter mon visage, mon nez et mes yeux, puis emplir ma bouche. Il me pisse dessus, par petits jets au début qui finissent en inondation. J’avale ce que je peux, et quand il a finit, il me donne les dernières gouttes directement dans la bouche, et sa bite à nettoyer. Pendant ce temps, tu continues une fellation magistrale. Le premier homme cède à la place à ses comparses, qui se relayent pour m’inonder de leur douche dorée, plus ou moins fournie, plus ou moins odorante.
Le plombier arrive en troisième, et c’est pendant qu’il m’arrose les cheveux de sa douche dorée que tu me fais jouir dans ta bouche. Je lâche mon sperme, et j’ai l’impression de ne plus pouvoir arrêter.
Cette giclée, tu te la gardes pour toi, chère Sophie.
J’attends patiemment que tous tes amants aient fini de vider leur vessie sur mon visage, avant de m’écrouler dans le fond de la baignoire.
Merci pour cette soirée inoubliable.
Titou - t.titou@gmail.com
Titou, c’est moi qui te remercie pour ce texte très excitant !!! Il m’a terriblement fait mouiller…
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