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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je suis marié depuis plus de dix ans, et ma vie sexuelle avec Barbara n’est plus ce qu’elle était au début. Elle me fuit, repousse mes avances. J’ai toujours autant envie d’elle. D’autant que depuis qu’elle bosse dans cette nouvelle boite, je la trouve de plus en plus belle, de plus en plus sexy…

Ce matin-là, je me réveillais en retard, mais juste à temps pour la voir partir au travail dans une tenue que je lui trouvais assez particulière... En tout cas aguichante : un tailleur noir moulant, avec une jupe droite assez moulante et mi-cuisses... Elle qui était plutôt jean basket, je ne la reconnais plus vraiment….


Elle me jeta un regard et ferma la porte partant pour une journée de travail...
Et moi, je ne pouvais cesser de penser qu'elle partait travailler avec ce type dont elle parlait avec une drôle de lueur dans les yeux, un de ses nouveaux collègues…

Un matin, j’étais resté à la maison pur recevoir un artisan, alors qu'elle était partie depuis près d'une heure, le téléphone sonna...
« Allo ?
 - Oui, bonjour, qui est à l'appareil ?
 - ... Qui je suis... est peu important... je suis un collègue de votre femme... Et je vous appelle parce que je crois que vous devez savoir...
- Savoir quoi ?
- Savoir que... savoir que votre femme est une petite salope qui se fait défoncer le cul par son patron... Tous les jours et plusieurs fois.  Cette salope en redemande et ne se cache pas, la chienne ! ... Il fallait que vous le sachiez ! Si vous avez un peu de dignité ou même du respect pour vous ou pour les autres...
- Mais...
- C'est une garce complètement sous la coupe de Jacques qui la baise et en baise d'autres... Il fallait que vous le sachiez, il le fallait... « 

La communication se coupe brutalement, sans que j’aie pu ajouter un mot.

Je restais là, le combiné dans la main : cette nouvelle me surprenait elle réellement ?

Comme un robot, je passais une veste, et décidais de me rendre au bureau de ma femme.
Durant le court trajet en voiture, je ne voyais rien de la circulation. J’étais un vrai zombi. Qu'allais-je faire une fois là bas exactement ? Je ne sais pas. En tout cas, j'avais besoin de... savoir !

J'arrivais près de la société de mon épouse, et regardais l'immeuble qui me faisait face. Je me décidais enfin à entrer.
Dernier étage. Je sonnais la porte du bureau cossu, elle s'ouvrit sur un large vestibule où une secrétaire, du fond de son bureau, me fixait :

«  Le bureau de monsieur Jacques..., dis je

- Ici monsieur, fit-elle en me montrant une porte en bois massif magnifique. Mais qui dois-je annoncer ? »
Sans me soucier de lui répondre, je me dirigeais vers ce bureau, me disant : « Dis lui que le cocu est là... »

Mais les mots restèrent dans ma tête, tout comme mes cris de surprise dans ma bouche quand, ouvrant la porte, tandis que la secrétaire criait : « Il est en réunion !!! », je découvrais la scène de mes pires cauchemars :

Jacques était là, debout, dans son splendide bureau, et ma femme était, elle, pliée en deux sur le bureau, offrant sa croupe à son patron qui lui bourrait les reins avec violence. Il lui assenait des coups de bassin violents qui la faisait bouger en cadence. Elle frottait, basculait sur le bureau, jupe retroussée au-dessus des fesses,  culotte sommairement écartée pour permettre la violente pénétration.

Je restais coi devant cette scène abominable pour moi. Ma femme, elle, lâchait des râles de plaisir assez rauques, encaissant le coup de reins de l'homme en sueur qui lui gifla la fesse lui lâchant un : « grosse salope ! »

La secrétaire, à coté de moi, semblait tout aussi interloquée, mais après quelques secondes qui parurent une éternité, elle se recula et ferma la porte non sans marmonner : « Quelle salope cette Barbara ! » Elle me laissa seul fasse à ce spectacle qui bafouait la dignité de mon couple.

A nouveau, ma femme se faisait prendre sous mes yeux par ce salaud, et à nouveau j'étais là incapable de dire ou de faire quelque chose.

Le bruit de la porte se fermant a couvert celui de ses couilles butant contre les fesses de ma femme. Il attira l'attention de Jacques. Il se tourna alors vers mo, et eu un regard particulier. Il souleva un sourcil mais continua de besogner ma femme. Cette dernière n'en finissait pas de jouir de cette pénétration violente :

« Qu'est ce que tu fous là, p'tit gars? .... Tu ne vois pas que tu déranges ? »

Puis, se tournant vers Barbara toujours allongée sur le bureau, il accentua encore ses coups de reins, la faisant crier plus encore, comme jamais je ne l'avais entendue...

Elle adorait littéralement ce que lui faisait subir Jacques... J’étais totalement, irrémédiablement anéanti.

« Oh t'es bonne toi, dit il tout en serrant les dents et continuant ses allées et venues. Tu aimes ce que tu vois ... hein ! Je la baise bien cette salope hein !! Je bourre cette salope depuis une heure, et elle en veut encore... Son cul va fumer ! Et aspirer ma queue !!! J'ai jamais vu une telle vicieuse... »


Il s'adressait à moi, et je compris alors qu'il ne savait pas qui j'étais. Il ne me reconnaissait pas. Il baisait ma femme sous mes yeux en me demandant d'apprécier cette turpitude... et il en rajoutait dans le vice :

« Attends, regarde, » dit-il.
Il tenait alors sa grosse queue, et avec application, la sortit de ma femme, puis la remis doucement mais en profondeur. Il forçait son anus qui baillait grand ouvert, visiblement avide de cette grosse verge : il la sodomisait !!! C'était dans le cul qu'il la prenait depuis tout à l'heure ! Il lui défroissait le sphincter avec cette violence !! J’étais abasourdi !

Et elle, elle gémissait ainsi la bouche ouverte, complètement absente, submergée par le plaisir malsain que lui distillait avec force Jacques ! Etait-ce bien ma femme ? Je ne la reconnaissais plus !

Elle si prude, qui me vantait les vertus de la fidélité, des relations raisonnables, et les relations sexuelles simples à la " papa-maman ", outrée par les scènes de sexe trop explicites au cinéma, fustigeant les femmes faciles habillées comme des putes et surtout celles qui trompent leur mari ! Elle, elle se faisait enculer comme la dernière des chiennes en chaleur…

Cette femme était là, maintenant, subissant dans son délicat anus vierge de mon sexe, les assauts d'un sexe gros et noueux, qui ne cherchait qu'à la défoncer brutalement ! Que se passait-il exactement ???

Il sortit à nouveau son sexe du cul de ma femme qui soupira en écartant ses fesses d'une main et de l'autre cherchant le pieu qui la laminait :
« Remets-la !!! vite.... remets… » Ce qu'il fit dans un sourire qui m'était adressé.

C’était ma douce Barbara qui réclamait ce pieu violacé ? Je n’en croyais pas mes oreilles…

 

Il a alors enfoncé à fond son sexe rigide et luisant dans l'anus de Barbara offert sans résistance, ce qui ébranla ma femme. Elle se tordit de plaisir, se cambrant encore plus. Ce geste la fit regarder vers moi, la bouche ouverte de jouissance, le visage traversé de spasmes de plaisir.


Elle eut un éclair dans ses yeux embrumés par le plaisir avant de crier la jouissance qui l'électrisa par le cul... elle s'affala alors sur le bureau et dit plusieurs fois le souffle court tout en lapant l'air : « C'est mon mari, c'est mon mari... c'est mon mari… »

 

Jacques eut un sursaut presque imperceptible, et tout en me regardant, il tira Barbara lentement hors de dessus le bureau ... il la positionna en approchant sa tête de son sexe encore vigoureux souillé de sperme et de matières fécales...

Il força doucement ma femme à le saisir en bouche : Barbara qui, au début, me fixait et tentait de redescendre sa jupe moulante en lycra noir, n'y parvint qu'a moitié. Sous la pression de son baiseur Jacques, elle devait maintenant s'atteler à le lécher, à sucer devant moi l'énorme sexe de celui qui l'avait débauchée. Lentement, en me regardant, puis en fixant Jacques, elle finit par fermer les yeux de contentement. 

« Ta femme... C’est une vrai salope, me dit il alors doucement, comme pour vouloir me ménager, mais aussi me montrer qui était le maître...

- Ce qu'elle aime c'est que je lui défonce le cul avec ma grosse bite et ensuite me la lécher... Elle adore ça, c'est comme une récompense pour elle... n’est-ce pas, grosse truie ? »

Disant cela, il la regarda : «  Dis-le devant ton mari, que tu aimes ça, les grosses bites hein ! et surtout dans le cul ! »

Se tournant vers moi : « Ta salope de femme, c’est une dingue du cu,l jamais satisfaite... » "

Je contemplais Barbara avilie à ses pieds le suçant, sa bouche déformée par le pieu de chair qui ne semblait pas vouloir dégonfler. Elle s'attachait à creuser ses joues et serrer avec ses lèvres ce sexe turgescent.

Elle l'astiquait avec minutie, plaisir et délectation.

Elle ne négligeait aucune succion, ni aucun coups de langue sur la hampe de cette grosse tige chair qu'elle branlait en même temps d'une main ferme : sa science dans ce domaine me sidéra et ses mouvements lascifs de la tête pour mieux le prendre... Mais comment pouvait elle supporter que cet homme la traite ainsi et surtout devant moi son mari... mais elle ne disait rien et d'ailleurs comment l'eut elle fait avec cette énorme bite fichée dans la bouche...

Voyant que je ne disait rien, toujours ahuri de cette situation perverse, il continuait plus avant ses commentaires salaces :
« Il parait que tu n'as jamais goûté son cul… T'es vraiment un con, je comprends qu'elle te fasse cocu : ta femme aime le cul mais... vraiment le cul.... le cul tu comprends !!! Ah ah !! T'es vraiment un cocu, je l'ai baisée dans tous les sens ta femme, au point d'en avoir mal aux couilles. Et je suis pas le seul à lui avoir ouvert les fesses... Comme elle est trop bonne, je l'ai fait goûter à certain de ses collègues… Ta femme n’est que putain gratuite !

 

C'en était trop, je serrais les poings et avançais d'un pas vers lui. Mais il me stoppa net par ses propos :
« Tu vois, je crois que tu devrais toi aussi goûter à son cul... Pourquoi serais-tu le seul à ne pas sodomiser ta femme connard ! »

Alliant le geste à la parole, il se baissa et prit ma femme par l'épaule et la jeta sans ménagement sur le bureau et lui ordonna d’un ton sec : « Allez cambre-toi, salope. Ton mari va te défoncer l’anus… »

Elle obtempéra, se cambrant et s'appuyant sur le bureau. Elle me proposa son cul qui laissait échapper le sperme du boss.. Il coulait à l'intérieur de ses cuisses, et j'observais ainsi ma femme debout, me  tournant le dos, les jambes légèrement écartées, le cul saillant vers moi. Elle attendait ma baise anale qu'elle avait toujours refusée.

Pourtant, elle tenta de protester faiblement :
« Non... s'il vous plait pas lui... pas lui s'il vous plait... »

J'étais interloqué : elle se refusait à moi, son propre mari, alors qu'elle acceptait avec grand plaisir les viols de son patron et de ses collègues.

« T'es vraiment une drôle de salop, lui dit alors Jacques. Tout le monde peut te monter mais pas ton mari ! »

C'est à ce moment que je devins comme fou face à cette situation incroyable et humiliante. Sans que je m’y attende, cette nouvelle humiliation se transforma en puissance érotique bestiale et vengeresse.

Je me suis précipité vers ma femme,  sortis ma bite en pleine érection. Je la pointais en direction de ses fesses béantes et de son anus. Je la sodomisais d'une violente et profonde pénétration.

Mon sexe dur et long s'enfonçait centimètre après centimètre dans  le conduit brûlant de Barbara encore visqueux du sperme de Jacques. Ses fesses serraient chaudement mon sexe tendu, ce qui avait pour effet de décalotter mon gland, et provoquant ainsi une sensibilité accrue de celui-ci.

Elle criait sous mes coups de boutoirs, mes couilles venant buter contre ses fesses si douces. Mais là, je voulais la défoncer furieusement. Elle n'était plus ma femme, mais une salope, unique objet de mon désir violent de vengeance. Mes coups de reins violents accompagnés de cris rauques, le prouvaient à Jacques. Il observait la scène sans un mot mais avec un large sourire vicieux.


Barbara lâchait le même type de cris qu'avec Jacques, cherchant désespérément de ses mains une prise sur le bureau pour supporter ma furie qui lui écartelait l'anus. Je la pistonnais tel un étalon en rut, sans tendresse, sans précaution aucune.

Dans ma furie sexuelle, je transpirais et regardais mon sexe aller et venir lentement mais fermement dans le fourreau brûlant de ma femme. Je voyais mon sexe enfiler l'anus de Barbara, frottant vigoureusement son sphincter. Il lui procura ce plaisir qui semblait la rendre folle de jouissance.

N'y tenant plus, j'accélérais mes coups de reins, et plaisir étant si grand que je lui éjaculais dans son boyau étroit dans un dernier coup de reins. Je poussais un cri de dément et de libération. Je jouis, et  me vidais au fond des entrailles du cul de ma femme. Elle aussi, elle cria et fut parcourue de frissons et de spasmes...

Je sortis ma bite de son anus souillé, plein de foutre dans un bruit humide. En observant une coulée de sperme émanant du trou malmené de ma femme, je pris conscience de ce que j’avais fait : violer l'anus de ma propre femme.

Dans un geste désespéré, je pris la fuite sortant de ce bureau en courant, à peine rhabillé.

Ma femme me semblait complètement perdue. Elle était acquise et soumise à ce salaud de Jacques. Il l'avilissait dans les bras et sur le sexe d'autres hommes. Et moi, je n'avais pas su réagir comme un mari normal, sans réellement comprendre l'enchaînement des évènements qui firent de ma femme si pudique et douce cette... salope qui ne jouit qu'avec des sodomies violentes.

Ce que je ne comprenais pas, c’est le désir violent que j’avais eu pour elle, malgré l’humiliation subie. J’avais aimé la sodomiser de force. J’étais cocu, mille fois cocu, ma femme refusait de faire l’amour avec moi, pour mieux baiser avec d’autres. Et tout au fond de moi, j’aimais cette idée.

Le soir, elle rentra très tard, la tête basse. Je ne savais que lui dire. Elle vint vers moi, des  larmes plein les yeux : « Mon chéri, il m’a ensorcelé. Je n’arrive plus à me passer de sa queue qui me déchire. Je n’arrive pas à refuser que les autres me baisent, car je sais qu’ensuite, Jacques viendra me récompenser, en me prenant avec encore plus de force… Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Si tu veux te séparer de moi, j’accepterai. Je ne suis plus digne d’être ta femme. Je ne suis plus qu’une femme publique, qui se fait baiser par tous et tous les trous… »

J’étais très ému par cette déclaration. J’étais partagé. J’aimais toujours ma femme, j’étais humilié au plus profond de moi-même par ce que je venais de vivre, honteux d’avoir violé ma femme, et malgré tout excité par ce que j’avais vu…

Presque malgré moi, je prononçais les mots qui allaient changer toute notre vie :

« Ma chérie, je t’aime, je ne veux pas te perdre. Mais tu ne m’humilieras plus de la sorte. J’accepte que tu te fasses saillir comme la chienne que tu es devenue. Mais j’exige d’être là à chaque fois. Je veux te voir, m’exciter sur toi, peut-être te prendre. Ne me trompe plus jamais, où je te quitterai sur le champ. »

Ma femme sembla surprise de mon offre. Elle baissa les yeux, puis me  fixa, avec une lueur que je ne lui connaissais pas : « Merci mon chéri, tu ne le regratteras pas… »

Je peux vous dire qu’elle a tenu parole. Elle est la femme publique, celle que tout le monde s’offre gratuitement. Mais je suis avec elle, je la regarde jouir tant et plus, et notre vie sexuelle est la plus épanouie possible…

Par Sophie 973 - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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