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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chris m'a raconté son histoire vécue, et je l'ai rédigée pour lui... Bonne lecture !

Voilà, je suis Christophe, chauffagiste-installateur sanitaire. Mon patron m’a appelé dans son bureau un lundi soir, juste avant de finir la journée, pour me donner une adresse et un numéro de téléphone.

Il me dit d’appeler pour savoir quand je peux aller chez cette cliente, pour faire les travaux de réparation. Je lui répondis que ce n’était pas mon job, car je suis installateur, pas réparateur.

Il s’est énervé, a haussé le ton et m’a ordonné de le faire. J’ai pensé très fort : « Tu fais chier, gros con », mais je n’ai pu que dire : « Ok, je vais le faire ! »

J’ai donc pris mon téléphone pour appeler la cliente. Elle avait une voix charmante, et m’a tout de suite demandé de venir le surlendemain, pour huit heures.

Le mercredi  matin, je me rends donc à l’adresse indiquée. Je sonne à plusieurs reprises, sans succès. Personne ne répond. Un peu en colère d’être venu pour rien, je m’apprête à partir, quand une voix venue de la porte demande :

 « Qui est là ?

-  C’est le réparateur, nous avions rendez-vous ce matin !

-  Ah désolée, je vous avais complètement oublié ! Attendez deux minutes, s’il vous plait, j’arrive. »

Elle finit par ouvrir la porte. Et là, miracle pour mes yeux, je vois une très belle femme, encore toute endormie, et qui ne portait qu’une chemise de nuit assez courte. Je me suis dit que j’avais bien de la chance de voir une telle merveille de si bon matin. 

Elle me dit d’entrer, ce que je fis sans me faire prier. Je saisis ma caisse à outils et entrais.  Elle me dit qu’il y a plusieurs réparations à faire, et me montre en premier les toilettes du rez de chaussée.  Arrivée dans le petit local, elle se baisse en avant pour me monter le siphon qui fuit.

Quand elle se penche, j’ouvre grand les yeux : elle ne porte pas de culotte ! Je vois ses fesses, et son petit abricot qui ressort en dessous. Une vision de rêve. Elle a un très beau cul !

A mon grand regret, elle se redresse, et m’annonce qu’elle va me montrer les autres réparations à effectuer.

Je la suis dans la salle de bain, et là, rebelote, elle se courbe en deux pour me montrer ce qui est cassé.

Je ne regarde rien de ce qu’elle m’indique. Je suis hypnotisé par ses fesses exhibées juste sous mes yeux… Comme je ne réponds pas à ses questions, elle finit par me demander :

 « Jeune homme, il y a un problème ? »

Je lui réponds en bégayant : « non, non aucun problème. »

En riant, et en me regardant droit dans les yeux, elle me dit : « Ca vous dérange que je ne porte pas de culotte ? »

Je finis par lâcher en rougissant : « Non, mais vous savez, je suis qu’un homme, et un homme a parfois des envies… »

Elle répond à coté de ma remarque : « Bon, c’est tout pour le moment, je n’ai rien d’autre comme job à vous monte. Je vais me rafraichir le visage. ».

Je suis tellement excité, que j’imagine qu’elle va se laver là, devant moi. Mais non, bien sur…

Elle sort, et me propose un café. J’accepte, et quelques minutes plus tard, elle me convie au salon prendre le café.

Elle est déjà sur le canapé quand j’entre, et me prie de m’assoir aussi, sur un fauteuil, face à elle. J’obtempère, et, à peine installé, elle entrouvre ses jambes !

Je ne peux que fixer la vision splendide que j’ai devant moi. Sa chatte est ouverte, elle semble déjà humide…

Elle me demande : « Est-ce que je vous plais ? » 

Que répondre à cette question ??? Oui, bien sur !

Elle reprend : « dans la salle de bain, j’ai vu que tu bandais déjà… Ca me plait… »

A ce moment là, je bande comme un taureau. Je sens ma queue prête à exploser ! Alors, le miracle se produit. Elle s’approche de moi, et ouvre le bouton de mon pantalon.

Elle semble apprécier ce qu’elle voit : « Mhumm, bel engin, tu bandes comme j’aime… »

Elle prend ma bite dans sa main, et commence à me masturber. Elle se relève, et attrape ma main, pour la poser sur sa chatte. Elle est humide, comme je l’imaginais.

Je lui enfonce un doigt curieux dans ce fourreau chaud. Bon sang, que c’est bon ! Elle mouille beaucoup sur ma main. Sans que je m’y attende, elle se baisse à nouveau, et enfourne ma queue dans sa bouche. Elle doit avoir faim, car elle l’avale presqu’en entier ! Jamais une femme me n’a sucé comme ça ! Je ne résiste pas à ce traitement très longtemps, et explose dans sa gorge. Elle avale tout, et se lèche même les lèvres... : « Ton jus est bon, j’en voudrais bien encore plus… Tu as joui trop vite ! »

Je suis un peu mal à l’aise, elle m’a pompé bien comme il faut, et moi, je n’ai rien fait pour elle.

Je lui proposais donc de finir vite mon travail, et de la retrouver ensuite. Ainsi, nous pourrions « jouer » bien plus longtemps…

Je crois que, jamais de ma vie, je n’ai travaillé si vite !!! J’ai mis une heure trente pour un travail de trois heures, habituellement. Je continuais de bander, en pensant  à elle. En plus, elle passait tout le temps près de moi, nue, en souriant. Je n’en pouvais plus d’excitation.

Quand j’eu finis mon travail, elle me dit de prendre une douche. Je pensais qu’elle voulait me prendre quand je serais propre. Mais ce n’était pas seulement ça. A peine la douche ouverte, elle entra dans le bac, pour me rejoindre.

« Fais ce que tu veux de moi, je suis à toi, » me dit-elle...

Jamais une femme ne m’avait fait une telle offre !

Nous nous sommes caressés sous la douche. Avec le savon, les mains glissent, les corps sont lisses, c’est divin. Je passais mes doigts partout sur elle, sur ses seins durcis par mes caresses, dans son con ouvert, dans sa rosette frémissante... Je n’oubliais aucune partie de son corps. Nous avons fini par sortir de la salle de bains, pour nous retrouver dans la salle à manger.

Elle recommença à me sucer, mais je l’interrompis, la soulevais et la posais sur la table. Elle était là, allongée, nue, offerte, un vrai cadeau du ciel. Cette femme était tout ce qu’ j’avais toujours rêvé : une femme aussi affamée de sexe que moi !

Je relevais ses jambes, et commençait à explorer sa jolie fleur avec ma bouche. C’était bouillant, son jus d’amour me coulait dans la gorge. Très vite, elle se crispa, et jouit une première fois. Alors, je me suis redressé, et lui saisis les cuisses. D’un fort coup de reins, je rentrais dans cette chatte qui m’appelait depuis ce matin. Un pur bonheur !!!

Je la limais profondément, rentrant toute ma queue au fond de cette moule avide. Mes couilles cognaient contre son petit trou. J’étais au bord d’exploser, quand elle me dit : 

« Arrête, je veux que tu baises mon cul… »

Je stoppais net, interloqué. Jamais je n’avais sodomisé une femme. Toutes mes conquêtes refusaient. Je n’en croyais pas mes oreilles. Cette magnifique femme voulait que je lui défonce le cul !!! !  

Je finis par lui avouer que je ne l’ai jamais fait. Alors, elle me dit de mouiller mon doigt avec sa cyprine, et de l’enfoncer dans son petit trou.

J’obéis immédiatement. C’est étroit, chaud, elle se contracte. Sa rosette s’ouvre sans difficulté. Je rentre deux, puis trois doigts. A ce moment-là, elle me dit d’arrêter, se tourne, et m’offre son cul bien ouvert.

Je présente mon gland contre l’anneau foncé, et commence à le pénétrer. Ca rentre facilement. Elle doit en avoir l’habitude ! Je suis bien serré, emprisonné dans l’étroit conduit. Je dois rêver, tant c’est bon ! L’extase, en tout point de vue !

Elle se contorsionnait sous mes coups de boutoirs, de plus en plus profond. Elle gémissait de plus en plus fort, et finit par crier très fort son plaisir. De l’entendre je n’ai pu me retenir, et lâchait ma semence au fond de ses entrailles.

Ce que j’ignorais, c’est que ce n’était que le premier round. Nous avons passé la journée à baiser comme des fous, dans toutes les positions possibles. Elle ne voulait jamais arrêter, moi non plus. J’ai dû jouir plus de sept fois !

Le portable me rappela à la réalité. C’était mon patron, fou furieux.

« Où es-tu ? Tu aurais dû rentrer depuis longtemps ! Je t‘attends tout de suite au bureau ! »

En partant, je lui demandais si on pourrait se revoir, mais elle a refusé : « Je ne veux pas m’attacher à mes amants. Alors, on s’amuse une fois, mais ensuite, c’est fini…»

Jamais je ne pourrais oublier une telle femme !!!

Cette histoire est tout ce qu’il y a de plus vrai. Alors, Mesdames, si vous voulez que je vienne travaillez chez vous, écrivez-moi !

Par Phoenix et Sophie de R. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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