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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ce texte étant très long, il fait l’objet d’une page complète. Ceci est donc une version « raccourcie ». Vous trouverez la version intégrale en cliquant dans la rubrique page, dans la colonne de gauche, sous le même titre.

Melody avait pris goût à ses aventures avec d’autres hommes, que son mari soit là ou non. Mais elle a aussi trois enfant. Son fils a un correspondant italien chez lequel il a passé quelques jours. Comme toujours dans ces échanges, il le reçoit à son tour. Son mari, Greg, ses filles et son fils devant revenir de province le lendemain, Melody va chercher seule à l'aéroport le jeune homme.

Elle a une photo et elle le reconnaît aussitôt. Il s'appelle Luciano, il a 18 ans et elle ne l'imaginait pas aussi grand eu aussi beau. Elle l'accoste, troublée malgré elle. Ils s'embrassent un peu gênés. Sur le trajet de retour, elle lui explique que toute la famille doit rentrer le lendemain, elle s'en excuse et elle est encore plus troublée lorsqu'il lui dit :
« Ce n'est pas grave ! Ce sera un grand plaisir de rester avec une femme aussi belle que vous ! »

Melody rougit de plaisir.
« Oh Luciano ! N'exagère pas ! Je peux te tutoyer ? »

Luciano sourit.
« Bien sûr, madame ! Et je vous le répète, je vous trouve absolument superbe ! »

Il ajoute, en regardant ses jambes que la robe dévoile à moitié.
-« Vous avez de belles jambes ! Elles ont l'air d’être très douces… »

Melody tremble malgré elle, à ces compliments pourtant osés, venant d’un jeune inconnu de 18 ans !
« Appelle-moi Melody ! J'aimerais aussi que tu me tutoies. Tu ne te moques pas de moi ? Je ne suis plus si jeune. »

Et avec un accent italien qu'elle trouve adorable, il lui dit :
« Je ne dis pas que tu es belle par politesse ! Je te trouve vraiment, vraiment sublime ! J'aime ton visage, j'aime tes jambes ! J'aime. J'aime... »

Malgré elle, elle l'encourage :
« Tu aimes quoi ?
- Non Melody ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas vous choquer.
- Je t'en prie ! Dis-moi.
- Et bien. Et bien ! Ta robe laisse deviner de jolis seins et de jolies fesses bien rondes ! Tu ne fais pas mentir la réputation des françaises !
- Et quelle est cette réputation ?
- C'est très cochon.
- Je t'en prie ! Dis le moi.
- Il parait que les Françaises sont les meilleures pour la fellation et qu'elles adorent se faire sodomiser. »

Melody ne s'attendait pas à cela. Elle rit nerveusement et, regardant Luciano brièvement, elle voit une bosse énorme qui déforme la braguette du jeune homme. Heureusement, ils arrivent et n'ont plus le temps d'être gênés. Elle lui montre sa chambre, puis ils dînent ensemble. Ils parlent de choses et d'autres, et Luciano est si galant que Melody se sent de plus en plus à l'aise.

Après le repas, ils vont sur le canapé, la chaîne diffuse de la musique, Luciano évoque son pays. Entendant un slow, il demande à son hôtesse si elle veut bien danser. Elle accepte, ils dansent doucement. Un deuxième slow suit et, insensiblement, ils se rapprochent. Elle sent alors contre son ventre la queue dure du jeune homme. Elle sait qu’elle ne devrait pas, mais au lieu de s'écarter tant qu'il en est encore temps, sa tête se niche sur l'épaule de Luciano.

Le jeune italien prend cela pour une invite. Il frotte alors sa bite de plus belle et, comme cela n'a pas l'air de déplaire à la jeune femme, il glisse les mains sur ses fesses. Il constate alors qu'elle a une croupe bien remplie. Il ne se prive pas de la malaxer. Il sent contre sa poitrine les tétons durcis par l'excitation que ressent Melody. Luciano lui relève doucement la tête, il l'embrasse et, comme on se jette à l'eau, elle lui dévore subitement la bouche. Ils échangent ainsi un fougueux baiser, torride, qui dure plusieurs minutes et les laisse haletants.

Melody se sent vaguement coupable, elle a rarement trompé son mari, en 20 ans de mariage. Souvent, Greg lui dit qu’il aimerait des parties à trois, avec un autre homme ou une autre femme. Elle a accepté, parfois, comme avec le plombier, après qu’elle ait été surprise avec le peintre.

Et à cette minute, ce qu’elle ignore, c’est que Greg a, en fait, tout manigancé. Quand il avait vu des photos de son fils prises chez le jeune italien, il a avait tout de suite su qu’il plairait à sa petite femme, malgré ses réticences. Il avait pris contact avec lui avant son arrivée, et lui avait demandé d’être très entreprenant… Luciano avait hésité, mais Greg l’avait totalement rassuré, en disant que c’était un jeu pour eux, et qu’il pouvait faire avec elle tout ce qu’il voulait.

Melody s'agenouille ensuite doucement. Elle ouvre la braguette, fait descendre le pantalon et libère la queue de Luciano. Elle contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue. Elle la trouve incroyablement dure, comparée à celle de son mari. Puis, elle s'approche et ses lèvres se referment sur le gland qu'elle lèche et suce longuement. Elle l'avale lentement ensuite et, alors que ses lèvres touchent le pubis de Luciano, il s'exclame :
« Ohhh ! Les françaises ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m'avales toute la bite ! C'est si bon !!! »

(…)

Greg n’en peut plus de ce spectacle qu’elle lui a toujours refusé… Pour un peu, il ferait irruption dans la pièce. Il commence à se branler…

Melody, sans aucune hésitation, se lève, glisse ses mains sous sa robe et enlève sa culotte. Luciano déboutonne sa robe et la retire lentement. Il lui reste juste un beau soutien-gorge noir qui moule bien ses deux seins. Melody vient à côté du jeune italien, saisit sa queue d'une main et la branle doucement. Elle sent sa liqueur intime imbiber sa chatte. Elle serre fort la bite tant elle en a envie. Elle s'installe de part et d'autre d'une jambe de Luciano et, tout en l'embrassant à pleine bouche, elle frotte sa vulve sur la cuisse du jeune homme, l'engluant carrément. Elle finit par monter sur lui, elle est tellement échauffée qu'elle veut être baisée à tout prix. Elle tient la queue raide, la frotte sur sa fente. Et, brutalement, elle s'empale en poussant un cri, tant son plaisir est grand. Elle s'est emmanchée à fond et, déjà, elle l'entraîne dans une cavalcade, elle se donne à fond.
Luciano apprécie d'être chevauché par une telle cavalière. Il n'aurait jamais imaginé baiser une telle femme. Il avait été très surpris de la demande de son mari, mais il ne regrettait vraiment pas d’avoir accepté !!!

Il la laisse faire, prenant garde à ne pas jouir, ayant une autre idée en tête. Pendant qu'elle s'empale, il saisit ses fesses, les écarte, les malaxe et chatouille d'un doigt mouillé le petit trou. Il l'enfonce doucement et le fait aller et venir au même rythme que Melody lui impose. Elle gémit soudain plus fort et elle est saisie par un orgasme dévastateur, qui la laisse pantelante quelques secondes. Luciano se lève alors et, debout, il lui présente sa bite toujours raide. Melody l'avale d'un trait, jusqu'à ce que son nez bute sur le pubis du jeune mâle.

Elle le suce comme une friandise. Elle sent son regard vicieux sur elle et cela la brûle, cela la fait mouiller encore plus. Il s'agenouille derrière elle et glisse un doigt dans son petit trou. Il l'enfonce vite à fond, puis il en met un second. Melody a une petite grimace, mais elle le laisse faire et les deux doigts la pénètrent vite à fond. Luciano les retire, guide son gland dans la raie et le glisse sur son anus entrouvert. Il pousse doucement, à petits coups. Le fin anneau cède le passage peu à peu, il s'assouplit bien que Melody soit crispée par l'appréhension. Bien qu’elle ait déjà été sodomisée par ses amants, son mari ne l’encule pas. Elle refuse toujours.

Et à ce moment-là, elle imagine la tête qu'il ferait s'il voyait la queue de ce gamin lui pénétrer son anus. Elle se répète qu'elle est une salope. Mais elle se rend compte qu’elle aime ça de plus en plus !

(…)


Ils sont épuisés et Melody l'invite à dormir avec elle dans le lit conjugal.

Si elle savait…

Greg les regarde se glisser dans SON lit, LEUR lit. Il a voulu ça, mais là, elle passe les bornes. Pourtant, il se résigne, et se glisse dans la chambre de son fils sans bruit.

Au matin, Melody est réveillée par une sensation bizarre. Le jeune Italien la tient serrée contre lui et elle sent sa queue dure, insinuée dans la raie de ses fesses. Elle se souvient brusquement de tout. Comment elle l'a sucé la veille, avalant du sperme pour la première, comment ce jeune homme de 18 ans l'a baisé, puis l'a enculé pour finir… Ces souvenirs lui font chaud au ventre, mais elle évite de penser à son mari, encore si loin d’elle…

Pourtant Greg est déjà aux aguets. Il a entendu à travers la cloison, sa femme se réveiller. Il se lève, et s’approche de la porte de la chambre conjugale. Heureusement, elle n’est pas fermée. Il tire un tabouret du placard voisin, et s’assied, pour mieux mater sa femme et son jeune amant.

Il voit Melody pousser ses fesses vers le jeune homme pour que sa bite s'incruste entre ses cuisses. Il gémit, elle tourne la tête, sourit et lui dit bonjour. Pour toute réponse, il l'enlace et lui dévore la bouche en un long baiser, auquel elle répond aussitôt. Melody se retourne alors et monte sur son jeune amant. Tout en s'embrassant, il glisse une main sur sa chatte et glisse vite deux doigts dans un véritable marécage. Puis il lui tâte les fesses à pleines mains, pendant qu'elle frotte sa chatte baveuse sur la queue dure. Il lui enfonce un doigt dans l'anus jusqu'à la dernière phalange. Elle se soulève à peine, pointe le gland sur sa fente et elle s'empale d'un coup en poussant une longue plainte de plaisir. Lui ordonnant de ne pas bouger, Melody se met à s'agiter sur la queue. Elle balance son torse d’avant en arrière, faisant une sorte de danse du ventre sur ce pieu où elle est empalée bien profond. Luciano se laisse faire. Elle se soulève en faisant sortir la bite couverte de mouille et elle retombe de tout son poids en se la renfonçant toute entière. Les pubis se choquent et elle pousse des gémissements de plaisir. Elle se baisse alors, écrase ses seins sur la poitrine de l'Italien et, joue contre joue, elle fait bouger son cul à petits coups très rapides. Sa chatte aspire la queue avec avidité. Dans cette position, elle offre son cul et elle murmure :
« Mets-moi un doigt derrière ! »

Il lui fait lécher un doigt et il le lui introduit dans l'anus. Elle accélère la cadence en gémissant. Elle se met alors à lui sucer la langue, ses trois orifices emplis et elle jouit en émettant des sons rauques. Luciano a eu le plus grand mal à se retenir d'éjaculer. Ils restent ainsi quelques instants. Toujours allongé, Luciano dit à la mère de son ami :
« J'ai envie de t'enculer ! »

(…)

Elle sait que son jeune amant préfère ce trou là et elle a envie de venir au devant de ses désirs pour lui laisser un impérissable souvenir. Toujours dans la cuisine, elle enlève le peignoir, apparaît nue devant le jeune homme. Elle se sent salope et cela l'excite énormément. Elle se tourne, pose une jambe sur une chaise et s'écarte les fesses. Il a sous les yeux sa belle croupe et son anus qu'il voit palpiter. Elle glisse un doigt dans son anus en lui disant :
« Tu m'as bien ouvert le cul tout à l'heure ! Il est rempli de ton jus ! Viens me le défoncer encore, j'en ai envie. »

Elle, si timorée d'habitude, se surprend à exprimer haut et fort ses envies, de façon plutôt crue. Luciano vient se coller derrière elle en l'agrippant aux hanches. Sa bite, de nouveau bien raide, bute contre les fesses offertes. Quand il colle son gland contre l'anus de Melody, elle lui dit :
« Dis donc, tu es drôlement vicieux toi pour ton âge ! Tu aimes mon cul ? »

Le jeune Italien taquine quelques secondes le petit trou de la pointe de son pieu, en répondant :
« J'adore ton cul Melody ! Il est tout petit et pourtant il peut avaler de grosses choses ! J'adore aller dedans. »

Aussitôt, il force. Tout de suite, il sent l'orifice s'écarter sous la poussée. Le gland est entré sans aucune résistance et, d'une seule poussée, il s'enfonce jusqu'aux couilles, facilement, tant le conduit est bien graissé. Melody pousse un long cri guttural de douleur et de plaisir mêlés, elle ne sait pas. Il l'a enculée d'un coup et c'est atrocement bon. Il voit son visage grimacer, il craint de lui avoir fait trop mal et il s'immobilise, ne bouge plus, toujours bien ancré au fond de ses reins. Mais, sans attendre, Melody pousse son majestueux fondement vers la queue qui la défonce, ses fesses forçant sur le pubis de son amant. Luciano prend cela pour une invite, il ressort doucement du petit trou et Melody pousse sa croupe sur sa bite. Il se sent comme avaler par l'anus bouillant et terriblement étroit. Cela est à peine croyable comment cela a été facile de la sodomiser, il n'en revient pas. Il ne bouge toujours pas et, fasciné, il regarde la rondelle ouverte à se rompre, aller et venir sur son manche. Elle pousse de drôle de râles chaque fois que la bite s'enlise dans son rectum. Luciano n'en revient pas, un pur délice...

(…)

Greg met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme adossée contre la rambarde de l'escalier. Elle le regarde d'un air étrange, qu'il lui a seulement vu quand elle se faisait baiser comme une chienne par les ouvriers, ou par Luciano... Elle lui demande : «  Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ? »

Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin : « Est-ce que tu veux voir de plus près ? »

Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe porte-jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large, froufroutante que ses amis lui ont offerte pour son anniversaire. Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eue aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins.

 

Melody fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers. Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à clé dès que Greg est passé devant elle. En entrant dans la chambre, Greg se souvient des ébats de sa femme le matin-même, ici, dans LEUR chambre. Il en est encore plus excité…

 (…)

Melody dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre. Greg l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà. Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes, elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte doucement. Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi. Elle écarte soudain l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un second.

(…)

Il est fasciné par le dos de sa femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa croupe qu'elle offre à sa vue avec cette nouvelle impudeur qu'il adore ! Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit trou mauve. Elle en enduit l'anneau encore distendu de sa mouille intime, et, du majeur, en a caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit passage secret. Aussitôt, elle s'est enfoncée le plus loin possible dans ses reins pour y joue une sarabande infernale.

 

Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit. Greg a l'impression de rêver, cette femme qui s'exhibe devant lui, elle qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. Il la voit se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller. Elle joui encore et encore. Elle est devenue une vraie machine à jouir !!!  Elle reste pantelante quelques longues secondes.

(…)

Greg ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu, mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est surpris, sa femme avait donc tout prémédité…

Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Melody attend. Greg met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume. Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit dans son cul doucement mais inexorablement...

 

Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme sur son visage. Elle gémit et grimace bientôt lorsque la carotte est enfoncée de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui enfiler tout l'engin dans les reins. Il l'encule alors de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la manœuvrer à sa guise. Melody geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les fesses à se les décrocher. Greg n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à chaque passage un peu plus. Melody apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Pour la prochaine fois, elle ira acheter avant un bon gode, bien gros, pour bien la remplir à fond !

Elle ne se caresse pas la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale soumission acceptée et cette pénétration contre nature. Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure les reins. Il se venge des années où il n’a pas pu la baiser comme il voulait, des scènes vues hier et ce matin, quand elle le trompait sans vergogne.

(…)

Greg la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches. Il ne voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend qu'elle apprécie de se faire sodomiser lorsqu'il la voit donner des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Elle le sent au plus profond de ses reins. Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le plaisir de la voir se trémousser de plus belle. Melody a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les entrailles tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir. Greg lui malaxe encore les seins. Melody halète de plus en plus fort, et s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les reins. Mais Greg la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme.

Il ne peut s retenir de l’insulter : « T’es qu’une salope, Melody, un garage à bites, qui se fait prendre par tous les trous !!! Tu t’en bien fait enculée par ce gamin... Hein, ma salope, t’as aimé ça ??? »

(...)

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Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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Commentaires

la greg peut dire qu'il a pris son pied a grand main
commentaire n° :1 posté par : phoenix le: 26/08/2009 à 20h39
Putain ca existe vraiment un femme comme ça, qui prefere se faire defoncer le cul que la chatte ? Son mari est un super veinard ! Je viens l'aider quand il veut.
commentaire n° :2 posté par : Harold le: 13/10/2009 à 23h02
Oui Harold ça existe Ce sont des femmes hypersexuelles et les maris qui accepent ça et qui aiment ça sont candaulistes
C'est un bonheur que de connaitre ça!
commentaire n° :3 posté par : Olga le: 10/12/2009 à 13h44
Moi, la sodo, j'aime bien... un peu ! Ensuite, il y a trop d'effets "indésirables", dont on ne parle jamais... Moi, ca me chagrine, alors, je limite ce genre de defonces... Sinon, ton histoire m'a bien fait mouiller !
commentaire n° :4 posté par : Alicia le: 11/12/2009 à 02h30
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