Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Il y a deux jours, ou plutôt, deux soirs, mon chien aboyait à s’en rompre les cordes vocales. Et je ne supporte pas ça. Je m’acharnais à le faire taire, mais il était de l’autre coté du grillage, chez mon voisin. Impossible de l’atteindre pour lui fermer la gueule.
Mon voisin a fini par sortir, alerté par les aboiements et mes cris. Nous avons peu de rapports. Il est courtois, souriant, mais priori, pas le genre d’homme qui me plait le plus.
Je sais qu’il m'a déjà vue, voir même carrément matée, quand je me baigne dans ma piscine, nue comme toujours. Une fois où je me faisais plaisir avec le jet de mon tuyau d’arrosage, je le soupçonne d’être resté là un bon moment, à m’observer. Il faut dire que j’aime bien me mettre dans l’eau, les bras et les jambes calés par une « frite » de piscine, et de me caresser comme ça, en plein soleil, avec ma main ou le jet d’eau bien puissant de mon tuyau d’arrosage. Je me fais jouir en plein jour, et cette situation d’exhibition potentielle m’excite au plus haut point….
D’ailleurs, dans un autre texte, en début de blog, j’avais raconté comment un copain m’avait surprise dans cette position. Il en avait découlé un après-midi de sexe pur, de folie hard, avec lui, et deux voyeurs de passage…
Depuis je recommence souvent, et je me dis que peut-être….
Bref, avant-hier, j’étais dehors, à neuf heures du soir, avec une quasi pleine lune, à appeler mon chien en vain. Jacques, mon voisin est donc sorti, et s’est approché de moi. Nous avons discuté à travers le grillage. Un moment, j’étais vraiment proche de la clôture, et Jacques y avait accroché ses doigts, pour prendre un appui. Comme toujours, quand je suis chez moi, je n’étais « habillée » que d’un paréo, noué sur les seins. Et rien en dessous.
Alors qu’il me parlait de mon chien, il a brusquement changé de sujet : « Tes seins sont très beaux, ca me change de voir ça de ceux de ma femme ! »
J’étais un peu interloquée, mais ca m’a fait chaud au ventre. Il fut dire que je n’ai pas baisé depuis une semaine, un record d’abstinence pour moi !
J’ai souri, ce qu’il a pris pour un encouragement. A travers le grillage, il a tendu carrément les deux mains, pour attraper les seins. Il les a massés à travers le tissu du paréo. Son geste a immédiatement mis le feu dans ma chatte affamée. Je me suis collée au grillage, pour qu’il me caresse mieux. Il a écarté le paréo, et a saisi mes aréoles déjà très sensibles. Il les a pincées, ce qui m’a arraché un gémissent profond. Mes jambes ont tremblé. Nos visages se trouvent juste au dessus du maillage. Nous nous sommes embrassés, j’ai dévoré sa langue, sa bouche. Il semblé surpris… Mais m’a dit très vite :
« Tu me fais bander ! J’ai envie de te baiser… »
Mais sa femme était chez lui, et mes enfants ne dormaient pas encore. Nous ne pouvions donc rien faire de concret.
Il a sorti sa jolie queue, pas très longue, mais un peu épaisse. Tout en continuant de malaxer un de mes seins, il a commencé à se branler vivement. J’adore voir un homme se branler. De plus, la lune éclairait bien la scène. Je voyais presque comme en plein jour. Je n’ai pas pu résister longtemps.
J’ai écarté encore plus mon paréo, et enfoncé d’un coup deux doigts dans mon con bien mouillé. Je me fouillais le vagin, passant mon index partout, le ressortant pour masser mon clito bandé. J’ai basculé mon bassin, pour que Jacques me voie mieux me branler. Nous étions là, chacun d’un coté du grillage, à nous regarder nous caresser, les yeux fixés sur le sexe de l’autre.
Puis Jacques a introduit sa bite dans une maille de la clôture, et j’ai pu le crasser, décalotter son gland brillant de son excitation. En me collant au grillage, il a pu aussi glisser un doigt dans ma chatte. J’étais tellement trempée que ses caresses m’ont électrisée. Il titillait mon bouton raidi, s’enfonçait sans ménagement dans ma chatte de plus en plus avide. Bon sang, qu’est ce que j’avais envie qu’il me baise bien profond !!! Je dansais sur sa main, pour quelle s’enfonce encore plus.
J’avoue que le spectacle devait être comique, vu de l’extérieur, et était inédit pour moi : se branler, se caresser au travers d’un grillage !
Pourtant, à force de nous caresser, de nous embrasser, j’ai joui en inondant ses doigts de cyprine chaude. Dans les secondes qui suivirent, un épais jus de foutre giclait dans ma main, pour s’écraser ensuite dans l’herbe…
Ah, voir jouir un homme au clair de lune !!!! Vraiment bandant ! Mais maintenant, je n’attends plus que le jour où il va vraiment me baiser. Il semble être un gros cochon vicieux, comme j’aime…
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