Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Sophie
Chapitre 5 : Les grandes questions - Quelle domination ?
A ce stade de votre lecture plusieurs questions vous sont certainement venues à l'esprit.
Doit-il être soumis de façon permanente ? La soumission est-elle synonyme d'humiliation et dégradation ? Quelle est la durée maximum d'une période de totale chasteté ? Quels symboles de soumission devra-t-il porter ? Quelles relations envisager avec des personnes extérieures ? Où se situent les limites des pratiques raisonnables ?
Il ne m'appartient pas de donner à ces questions des réponses valables pour chacune d'entre vous, car votre attitude face à ces questions dépendra de la conception que vous avez de votre couple, de votre relation de domination avec votre mari, de vos désirs et de vos goûts : les vôtres et ceux de votre mari aussi. Une relation même de domination se vit toujours à deux.
Je ne vous ferai donc part que de ma propre expérience en vous indiquant et vous expliquant mes réponses à ces questions, elles n'ont d'autre valeur que celle de l'expérience vécue d'un couple nécessairement confronté à ces questions.
24 / 7 ?
Dans les codes de la domination anglo-saxonne, 24/7 ne désigne pas une fraction mathématique mais signifie 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et ce 365 jours par an.
En d'autres termes, doit-il devenir votre soumis à vie, sans trêve et sans interruption ? Chacune répondra comme elle l'entend à cette question mais pour ma part ma réponse est non. Une telle relation fondée sur sa chasteté et sa soumission est lourde à gérer, tant pour lui que pour vous. Pour que cette situation soit satisfaisante pour les deux parties ( et croyez moi, elle l'est, au delà même de ce que vous imaginez !) il faut que le quotidien ne vienne pas trop s'immiscer dans la relation. Or, il y a les boulots respectifs, les problèmes de santé des parents, les études et les peines de coeur des enfants, les impôts, les factures à payer, la voiture qui est en panne, etc. Avec de tels envahisseurs, pas facile de conserver en permanence l'esprit tourné vers une relation aussi forte et prenante que celle que vous avez entreprise avec votre mari. Il est possible, pour une période de temps limitée, notamment si on y englobe les vacances, de gérer le quotidien en repoussant les problèmes peu urgents et en ne traitant que le strict indispensable. Sur une longue durée, le quotidien finit par vous submerger.
Il existe aussi, à mon avis, une autre raison forte pour ne pas tenter le 24/7 : le risque de banalisation, de routine, direz-vous ? Oh non ! Sûrement pas ! Vous constaterez par vous même que, bien au contraire, une telle relation est un remède absolu contre la routine et la banalité. Non, l'autre raison se situe plutôt au niveau de vos relations avec votre mari : quand vous arrêterez, vous constaterez alors que vous aurez vraiment beaucoup de mal à en sortir, c'est un vrai déchirement !
Vous courrez donc le risque de ne plus pouvoir vous en passer, par contre, ce qu'il est capable d'accepter sur une période de temps qu'il sait par avance limitée, même s'il en ignore la durée, il risque de ne plus l'accepter si cela devient entre vous une relation 24/7. C'est donc une raison qui me paraît suffisante pour faire des pauses, car, je vous le rappelle, il ne s'agit que d'un jeu destiné à pimenter votre relation conjugale. C'est du moins ma conception de la chose.
Et puis, pour être vraiment franche avec vous, même si le retour sur terre est quelque peu difficile au début, j'apprécie beaucoup la relation que j'ai avec mon mari quand il reprend son statut de mâle dominant, il m'arrive même parfois d'être sa soumise ! Mais oui ! Si je le domine, c'est parce que j'aime ça, si je me fais parfois dominer, c'est aussi parce que j'aime ça.
En ce qui nous concerne, l'année est donc généralement rythmée par trois périodes bien distinctes : sa période de chasteté/soumission qui dure environ trois à quatre mois, ma période de soumission qui dure entre un et deux mois, le plus souvent en deux fois, et le reste de l'année, où notre relation redevient « normale. »
Tout cela est très personnel, à vous de décider ce que vous voulez faire.
Soumission : humiliation et dégradation ?
La notion de pratique humiliante ou dégradante est par essence très subjective : certaines femmes refusent la fellation ou la sodomie au motif que ce sont des pratiques humiliantes et dégradantes, d'autres à l'inverse s'exhibent dans des films pornos en le faisant avec fierté. Entre les deux, il y a toutes celles qui le font par plaisir exclusivement avec leur mari. Comment trancher ?
Il en est de même de la soumission et de tout ce qu'elle implique pour votre soumis. Humilier et dégrader le corps ne signifie pas nécessairement humiliation et dégradation de l'esprit de son partenaire. C'est donc l'état d'esprit dans lequel votre couple évoluera lors de ces pratiques qui déterminera s'il y a ou non véritable humiliation et dégradation de la personne. Rassurez vous, si cela devient le cas, il y aura suffisamment de signes manifestes pour que votre relation cesse rapidement et je ne parle pas seulement de votre relation de domination.
Pour ma part, je pense aller très loin dans les pratiques que je lui impose. Mais en toutes circonstances, je garde pour lui toute mon admiration. Pendant les périodes où je le domine, c'est plutôt sa capacité à m'aimer sans limite que j'admire. Le reste du temps, c'est de l'admiration tout court. Et quand il me domine, c'est encore beaucoup plus que cela, mais ce n'est pas le sujet de cet article…
Chasteté : durée maximum ?
Honnêtement, je n'en sais rien. J'ai lu sur Internet des choses contradictoires à ce sujet. Certains prétendre qu'au delà d'un mois il y a des conséquences physiques. Est ce vrai ? J'en doute mais il n'est pas facile de demander cela à un médecin ! On trouve sur Internet aussi des conseils pour « traire la prostate ». Ce serait une technique évitant l'orgasme, donc l'éjaculation Mais la semence est libérée, permettant ainsi aux glandes de continuer à travailler. J'ai essayé plusieurs fois de suivre les conseils détaillés dans différents articles, sans résultats ! Pour autant que je me souvienne de ce que j'ai lu un jour, je crois savoir que le sperme est fabriqué en continu et que l'excédent non utilisé s'écoule dans l'urine. Il n'y aurait donc aucun risque d'engorgement ou de mise en sommeil des glandes. Mais je n'ai aucune certitude absolue.
Je ne peux donc donner que le fruit de mon expérience personnelle : les séances de soumission/chasteté que j'impose à mon mari sont, comme je l'ai dit, généralement de trois à quatre mois. A quelques exceptions près, où sa chasteté a duré un peu plus de trois mois complets, ces périodes ont souvent été entrecoupées par une jouissance.
Nous n'avons constaté ni l'un ni l'autre de conséquence physique à la suite de ces périodes de chasteté prolongées. C'est tout ce dont je suis sûre.
Précision qui n'est pas sans intérêt. Si, en cours de période de domination, vous décidez de le laisser jouir tout en voulant continuer pour une nouvelle période, veillez à ce qu'il soit soigneusement attaché. Faute de quoi, vous aurez peu de chance de pouvoir lui faire réintégrer sa ceinture de chasteté. Comptez également qu'il lui faudra bien deux ou trois jours au minimum pour se remettre dans l'ambiance et redevenir le soumis docile et discipliné qu'il était précédemment. Profitez-en pour lui donner quelque repos, mais pour ne pas écorner votre autorité et votre aura. Faites vous rare, et évitez les occasions de punitions pendant deux ou trois jours, car il aura tendance à mal les accepter.
A vous donc de gérer la durée de sa chasteté comme vous le pensez. Le seul conseil que je vous donne est de le maintenir toujours dans l'incertitude. Ne fixez pas ensemble à l'avance la durée, variez les durées pour qu'il ne sache jamais à quoi s'attendre.
Le port de symboles de soumission
Ces symboles peuvent se ranger en deux catégories : les symboles extérieurs c'est à dire visibles et les symboles cachés.
Les symboles extérieurs :
Pour une femme soumise, il est assez facile d'envisager des signes extérieurs de soumission par l'utilisation de bijoux plus ou moins signifiants, et également à un degré moindre par les tenues vestimentaires. Par contre, cela est beaucoup plus difficile pour un homme, compte tenu que les bijoux qui leur sont destinés sont plutôt rares et peu usuels et compte tenu du classicisme vestimentaire auquel les hommes sont tenus dans la vie quotidienne.
En ce qui me concerne, comme je n'aime pas qu'un homme porte des bijoux, mon mari ne porte donc jamais de signe extérieur de soumission.
Les symboles cachés :
Le choix est vaste, la seule limite est l'imagination, votre imagination.
Laissons de coté ce qui est une évidence, la ceinture de chasteté bien sûr, mais aussi les marques qui subsistent après les punitions... Encore que ce point soit assez décevant car les marques ne durent jamais très longtemps.. A moins bien sûr d'aller assez loin dans ce que vous lui infligez…
Vous pouvez lui faire porter un collier de chien en cuir, il se dissimule très bien sous un col roulé ou un foulard, vous pouvez en plus y adjoindre une laisse que vous pourrez faire apparaître quand vous le jugerez possible.
Vous pouvez le faire sortir avec un plug anal dans les fesses, ni trop gros, ni trop longtemps tout de même ! Dîner avec lui au restaurant quand il est ainsi « équipé » est un excitant plus puissant qu'un café !
Mais, venons en maintenant à ce qui pose beaucoup plus question : les tatouages et les piercings intimes.
Marquer son soumis d'un signe permanent d'appartenance est terriblement gratifiant, c'est évident. Réfléchissez néanmoins longuement avant de passer à l'acte : un tatouage est définitivement définitif. Ne croyez pas aux publicités qui prétendent les effacer au laser. Si cela vous tente, et si vous êtes certaine, qu'il est vraiment d'accord, alors pourquoi pas ? Lorsque vous choisirez le motif, la taille et l'emplacement, pensez seulement que votre mari se met parfois en maillot de bains, et que de temps en temps, il devra subir des visites médicales !
Il existe aussi une solution temporaire : ce sont les tatouages au henné, qui peuvent être renouvelés aussi souvent que l'on veut. C'est une excellente formule que j'ai personnellement adoptée. Elle permet d'oser des inscriptions plus signifiantes : je vous conseille fortement d'assister à la séance où l'esthéticienne lui tatouera votre prénom ou « propriété de… »
Les piercings constituent un acte sans doute plus fort mais ils présentent l'avantage d'être temporaires, il suffit en effet de ne plus mettre l'anneau pendant quelque temps pour que la peau cicatrise et de plus ils peuvent être temporairement enlevés en cas de besoin, visite médicale par exemple. Pour ce qui concerne mon mari, je n'y ai pas encore succombé, mais un petit piercing à la base de son sexe me tente terriblement. La prochaine fois sans doute !
Pour le tatouage définitif, soyez certaine de son accord avant de le réaliser et quand je dis accord je parle d'un accord " à froid " c'est à dire obtenu dans une discussion qui doit avoir lieu en dehors des périodes de domination-chasteté.
Pour les autres tatouages et les piercings, je vous conseille de lui faire la surprise, c'est plus excitant.
Deux . et plus si affinités
Existe-t-il quelqu'un qui, ayant trouvé un superbe trésor, n'ait pas envie de le montrer ?
Si vous êtes parvenue avec succès à ce stade de votre relation, il serait douteux que vous n'ayez pas quelques envies de montrer au reste du monde la perle rare qui partage votre vie ? Ce qu'il vous donne, ce qu'il fait pour vous est si exceptionnel que ce petit péché d'orgueil est bien pardonnable.
Comment réaliser votre envie, et probablement la sienne aussi, interrogez-le, je suis sûre que l'idée lui sera venue bien avant vous !) ? Vos parents, votre belle-sœur, vos voisins, vos amis ou votre patron étant à l'évidence exclus, il reste bien sûr les boites spécialisées, mais elles sont généralement fréquentées par des cohortes d'hommes seuls et l'ambiance est plutôt tristounette, et puis vous risquez d'y rencontrer des gens de connaissance et alors là.. !!
Pour l'exhiber, ou comme on dit aujourd'hui faire votre coming-out, choisissez donc plutôt les grandes soirées annuelles de fétichisme organisées par des boites de réputation internationales situées bien loin de chez vous. A Paris éventuellement, seulement si vous habitez en province et si vous avez très peu de relations en région parisienne. Mais aussi Bruxelles, La Nuit Impossible, Amsterdam, Wasteland, et Londres ( Rubber Ball, Torture Garden, constituent le meilleur choix. Consultez les dates sur Internet par exemple sur le site www.demonia.com.
Dans ces soirées, le « dress code » est impératif. Ce qui signifie que vous pourrez donner libre cours à tous vos fantasmes vestimentaires. Pour lui, collier de chien et laisse, menottes, pantalon découpé, ou tout autre accoutrement de soumis que vous choisirez. Pour vous, une tenue de dominatrice provocante que vous ne mettriez que dans l'intimité. Je vous conseille néanmoins le port d'une perruque et pour lui d'un loup sur le visage. Il y a peu de chances que vous soyez reconnus mais malgré tout les Français y sont nombreux.
Ces soirées sont d'une excellente tenue. Vous n'y serez obligée à rien. Personne ne vous demandera rien et vous pourrez faire ce qu'il vous plaira, sauf des relations sexuelles, c'est interdit. C'est vous qui déterminerez le degré d'exhibition auquel votre mari sera soumis Sachez que vous pourrez aller assez loin si vous le souhaitez. De plus, pour ne rien gâcher, ces soirées de Bruxelles et de Londres ne sont vraiment pas chères, ni en droit d'entrée ni en prix des consommations.
En fait, devant un vaste public, il est assez facile de s'exhiber. Plus problématique est la participation d'un étranger aux pratiques de votre couple. L'idée m'en était venue quelquefois mais j'avais rangé cela au rayon des fantasmes que l'on ne réalise pas. C'est sous la demande répétée de mon mari que j'ai commencé à envisager de le soumettre devant une autre personne. Une femme bien sûr, car l'humiliation devant un autre homme aurait trop de conséquences psychologiques sur lui. De plus, se poserait la question de ma fidélité. Or notre couple évolue dans la fidélité réciproque, même sans ceinture de chasteté, et il n'est pas question de changer cela.
Après une longue gestation faite de beaucoup d'hésitation, j'ai fini par placer, sans l'en informer, une annonce dans un magazine. Je souhaitais trouver une femme qui voudrait assister, sans participer, à une séance de domination d'un homme porteur d'une ceinture de chasteté. Une dizaine de réponses, quelques contacts téléphoniques, deux rencontres et finalement une séance dans un hôtel où elle nous a rejoints.
Mon mari a gardé les yeux bandés pendant toute la séance. Quant à elle, elle avait déjà assisté à des séances de domination, mais était surtout fascinée par la ceinture de chasteté qu'elle voyait pour la première fois. J'étais beaucoup trop intimidée pour que la domination de mon mari prenne un tour vraiment sexuel. Je me suis donc contentée de quelques attouchements, de le contraindre à quelques comportements de soumission et de punitions diverses.
Pour dire vrai, j'étais plutôt mal à l'aise. Au fil du temps, c'est à dire sur plusieurs années, j'ai renouvelé l'expérience quelques fois, avec des partenaires différentes chaque fois. J’y ai pris de l'assurance et du plaisir. Tout naturellement, certaines de ces partenaires ont été amenées à dépasser leur simple rôle de voyeuses. Je n'avais jamais pensé avoir un jour des relations homosexuelles, mais je dois dire qu'un jour, prise par le climat du moment, j'ai franchi le pas.
Pour être tout à fait franche, je dois dire que si je l'ai fait c'est aussi et surtout pour mon mari : comme tous les hommes, son fantasme était bien sûr de me voir faire l'amour avec une autre femme. Après tout, avec ce qu'il fait pour moi, je pouvais bien lui donner cette satisfaction. Ce d'autant plus qu'une fois passé la –grande- difficulté du premier contact, c'est loin, vraiment très loin, d'être désagréable !
Mes pratiques ne constituent ni une norme ni un exemple. Mais je crois tout de même devoir insister sur le fait que la présence d'un tiers lors de vos ébats est à manier avec beaucoup de précautions. A mon avis, à proscrire absolument en ce qui concerne les hommes, sauf si votre infidélité fait partie du quotidien de votre couple, et encore !
Les limites à ne pas franchir
Difficile de fixer des limites, c'est avant tout une affaire personnelle. Néanmoins, je vous conseille fermement de ne jamais entrer dans les pratiques dangereuses telles que la strangulation. On dit que les pendus bandent, c'est peut être vrai, mais… pas pour longtemps ! L'asphyxie est à proscrire, même si dans les cours de récréation des écoles on dit qu'on éprouve une certaine ivresse ! Je vous conseille plutôt de lui faire boire un grand cognac !
N'oubliez pas simplement que vous êtes deux et ce dans les deux sens. Ne lui imposez pas des pratiques si vous n'êtes pas certaine de son envie de les réaliser. Mais inversement, ne vous laissez pas entraîner à des pratiques que vous rejetez car vous risqueriez alors de perdre le goût de l'ensemble de ces jeux… Avouez que ce serait dommage.
Pensez aussi que si certaines pratiques vous, ou le, rebutent, vous pouvez vous engager sur le chemin sans pour autant aller jusqu'au bout du trajet. Par exemple, je sais que mon mari souhaiterait passer aux jeux d'urologie. Pour ma part, je n'y suis pas tout à fait disposée, mais je prends néanmoins plaisir à me faire lécher après avoir uriné.
On peut donc toujours trouver des solutions à tout.
Plus vous y irez loin dans les pratiques de votre relation de domination avec votre mari, plus il est essentiel, comme je l'ai expliqué précédemment dans le paragraphe 24/7, que la relation ne soit que temporaire. Vous courrez en effet le risque de franchir un jour la ligne blanche. Vous en serez d'autant moins consciente que cela se produira certainement sur un point de votre comportement que croirez anodin, alors que lui le percevra comme intolérable. Ce serait dommage de tout gâcher après avoir construit patiemment tout cela. Si vous alternez les périodes de domination avec de longues périodes de relations normales, vous vous donnerez ainsi toutes les chances de réparer les morceaux que vous pourriez avoir cassés sans même le savoir.
Après une session de plusieurs semaines ou plusieurs mois, votre mari a besoin de se reconstruire, d'être certain qu'il bénéficie toujours de votre considération et de votre admiration : il faut que vous vous laissiez de larges plages de temps pour le lui prouver.
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