Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Ma chère cousine a continué de jouer avec le feu, multipliant les occasions d’assouvir ses envies de sexe. Celles-ci sont de plus en plus fréquentes, de plus en plus hard. Elle va de plus en plus loin, surtout quand son mari est en déplacement pour son travail. Heureusement, cela arrive souvent. Mais un jour, tout a changé… pour son plus grand malheur.
Six heures du matin, le téléphone sonne. Mais qui ça peut-il être à cette heure ? Quelle nuit ! Ça faisait longtemps qu’Astrid n’avait pas baisé
comme ça Jean-Etienne est un mant hors pair ! Péniblement, elle émerge de son sommeil et des bras de son amant en balbutiant un « Allo » pâteux. Aussitôt, un curieux dialogue
s’engage.
« Bonjour chérie, c’est moi !
- Toi ? Mais tu sais quelle heure il est ici ?
- Mais oui chérie, il est la même heure qu’ici, puisque je suis à Paris moi aussi.
- Comment ça, tu es à Paris ? Mais tu ne devais pas rentrer avant huit jours !
- Tu as raison, chérie, mais la coulée du béton a posé bien moins de problèmes que prévu. Les piles du pont ont parfaitement refroidi, aucune fissure, les vérifications ultrasonores ont été
faites. Nous sommes en avance de quinze jours sur les travaux. En attente des poutres maîtresses pour les arches, je me suis accordé dix jours de vacances à Paris, d’autant plus que l’agence SSAS
m’avait envoyé un mail il y a de cela quelques jours...
- Qu’est-ce que c’est cette histoire, qu’est-ce que c’est cette agence SSAS ?
- Ah oui, tu n’étais pas au courant ? SSAS, c’est l’agence Search, Survey and Secure. C’est une agence de détectives privés spécialisée dans la télé-surveillance. Par exemple, là maintenant,
de ma chambre d’hôtel, je peux te voir dans ton lit, je peux même faire un plan plus large et je peux constater que, comme il me l’avait promis, Jean-Etienne ne t’as pas laissée toute seule, et
s'est bien occupé de toi... »
Astrid maintenant est tout à fait réveillée.
« Chéri, je t’en prie, je peux tout t’expliquer...
- Alors, ça tombe bien, parce que justement, si je te téléphonais si tôt, c’est qu’il faudra aller voir cet après-midi notre avocat pour le divorce.
- Comment ça, le divorce ?
- Mais oui, avec les photos que j’ai eues par mail, plus la vidéo de ce matin, je crois que je vais avoir le divorce sans peine et sans pension alimentaire. Tiens, salue Jean-Etienne de ma part,
je vois qu’il vient de se réveiller. Bonjour à sa femme aussi ! »
Astrid est maintenant en pleine panique. Son mari n’est pas un plaisantin, et s'il ne s’énerve pas, c’est que précisément il est dans une colère terrible. Que va-t-il lui arriver ? Le divorce et
après... Elle vivra de quoi ? Et en faisant quoi ? Elle ne sait rien faire, c’est une potiche, une très belle potiche, mais rien qu’une potiche. Elle a toujours été élevée dans le but d’être
l’épouse parfaite un riche notable. Et elle est exactement cela : la femme modèle d’un chef d’entreprise reconnu dans la région.
« Écoute, on pourrait peut-être discuter avant ?
- Oui sans aucun problème. Viens à mon hôtel, je suis en bas de la rue à l’hôtel de l’Etoile. Je préfère ça, je n’ai aucun goût pour le théâtre de boulevard... Le mari, l’amant, la femme, la
maîtresse, tout ça c’est d’un vulgaire ! Bon alors t’es d’accord ? Hôtel de l’Etoile, chambre 696, dix heures précises.
Et il raccroche. Bordel de bordel, quel réveil !!! Comment se sortir de cette affaire ? Avant toute chose, il faut garder son calme. Edmond a toujours été un homme de dialogue et de
négociations.
« Il y aura peut-être, non il y aura sûrement, se dit-elle, un moyen de s’arranger. »
Elle ne voyait pas très bien comment mais elle pouvait faire confiance à Edmond. Il avait l’imagination fertile.
Dix heures. Astrid est là, devant la porte de la chambre 696, apparemment forte et digne, mais en réalité prête à tout pour s’en sortir. Jean-Etienne ne divorcera jamais, sa femme n’en à rien à
foutre de ses incartades, elle n’a pas de travail et elle dépend entièrement de son mari pour s’assurer son train de vie, un train de vie assez dispendieux. Son mari lui ouvre la porte d’un air
enjoué.
« Tout ça n’annonce rien de bon, se dit-elle.
- Alors chérie, t’as réfléchi à la situation ? T’as discuté avec Jean-Etienne, il va t’épouser ?
- Bon écoute, on ne va pas jouer au chat et à la souris. Tu connais exactement la situation. Je suis tombée sur une des micro-caméras, je suppose qu’il devait y en avoir d’autres, donc tu es au
courant de tout. Qu’est-ce que tu proposes ?
- Astrid, ma chérie, je ne m’attendais pas à une discussion de marchands de tapis de la sorte. J’avais connu une femme distinguée, raffinée, je m’attendais à un : « Ciel mon mari ! » de
circonstance, mais certainement pas à un : « Qu’est-ce que tu proposes ? » Enfin, là n’est pas l’important. Puisque tu veux jouer franc jeu, jouons franc jeu... Puisque tu
aimes appeler un chat, un chat, appelons un chat, un chat. »
Edmond subitement prend une voix de théatre :
« Voilà, Madame, en un mot comme en cent, vous m’avez fait cocu, archi-cocu, plusieurs fois et par tous les trous. Qui plus est avec mon meilleur ami. Un ami de trente ans... Femme, ces
preuves, je les mets ici sous vos yeux ébahis. Qu’avez-vous à dire pour laver votre honneur et vous protéger de mon courroux ? »
Reprenant ensuite sa voix normale, Edmond enchaîne, en prenant en main la pile des clichés, et sans lui avoir laissé le temps à Astrid de s’exprimer, commente :
« Des photos pareilles. On ne voit pas ça tout les jours... »
Prenant cette fois une voix de conférencier, Edmond commente les photos :
« Photo 1 : Une superbe bourge de quarante ans, et qui ne fait pas du tout son âge, en robe du soir et talons aiguilles, pénètre dans sa chambre. À voir sa tête de grosse vicieuse, elle ne
doit pas être seule...
Photo 2 : Effectivement, elle n’est pas seule. Toute habillée encore, elle se met tout de suite à genoux pour une superbe fellation. Comment est-elle sous sa robe du soir ? À poil ? Non, ce serait trop vulgaire pour une femme de sa condition !
Photo 3 : Bien deviné ! Effectivement, elle n’était pas à poil, mais en soutien-gorge et porte-jarretelles, en train d’expliquer avec forces détails et devant la glace au monsieur avec qui elle s’est déjà montrée si généreuse qu’elle sait aussi s’occuper toute seule quand il le faut. Mais le comportement du monsieur semble indiquer que ce soir, il ne le faudra pas sauf pour le fun, bien sûr.
- Bon ça va, ça va comme ça, ça suffit ! Tu ne m’as pas fait venir ici pour me montrer ces photos, je te connais assez. Qu’est-ce que tu as derrière la tête ?
- Bien, effectivement, faut bien reconnaître que tu t’es comportée comme une vraie pute. Je ne m’attendais pas à ça de toi, toi une Comtesse Meillac de l’Aulne, désargentée peut-être, mais noble
quand même, comme ta famille me l’a fait si souvent remarquer.
- Où veux-tu en venir ?
- Bon, et bien voilà, ce n’est pas compliqué : si t’es pute, t’es pute, il n’y a rien à y faire à çà, alors autant en profiter. Depuis le temps que j’attendais quelques piments dans notre vie
conjugale...
- Bon, on y est ! Sois plus précis !
- Et bien d’abord, et avant toute chose, une petite pénitence s’impose. Pendant toute une soirée, tu feras exactement ce qu’on te demandera, sans la moindre hésitation et sans poser la moindre
question. J’avais épousé une femme du monde que tout le monde complimentait, je veux maintenant savoir si j’ai épousé une pute tout aussi remarquable. D’accord ? »
Astrid n’avait pas le choix et c’est d’une voix vaincue et résignée qu’elle lui répondit :
« D’accord.
- Bon, alors, voilà le scénario : ce soir dix-neuf heures, un taxi viendra te chercher. Je l’ai réservé à ton nom et j’ai, à tout hasard, laissé notre numéro de téléphone en cas d’empêchement de
dernière minute. Tu t’assoiras à côté du chauffeur. Tu répondras à toutes les questions qu’il te pose, sans tergiverser. L’adresse c’est : 18, rue des Herbiers, à Créteil. Ne t’étonne pas, c’est
une cité en construction, tu verras une lumière, tu seras attendue. N’oublie pas l’argent pour le taxi. Ah oui, n’oublie pas aussi ton tailleur blanc, ton chapeau blanc à voilette,
porte-jarretelles et soutien-gorge blanc, pas de slip, bas fumé à coutures, escarpins vernis, gants et pochette. N’oublie pas : tu feras tout ce qu’on te demande. J’avais cru épouser une
femme honnête, intelligente, et cultivée. Je vois déjà que pour l’honnêteté, je me suis fait avoir. Tu comprends que maintenant je vérifie. S'il y a d’autres problèmes, je te vire. Bonne soirée
! »
C’est comme ça que se passaient toutes leurs engueulades : sur le ton de la plus aimable conversation. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais uns insulte. On était largement au dessus
de ce genre de banalités mais la menace en était encore plus redoutable. Astrid était sur un nuage, elle s’attendait à beaucoup de choses mais pas à ça. Décidément, Edmond n’était pas à court
d’imagination.
Bon, ce serait un mauvais moment à passer, et puis, qui dit que ce serait un mauvais moment ?
A dix-neuf heures précises, le taxi sonne à la porte. Astrid était fin prête et avait suivi les instructions à la lettre.
Elle s’attendait à ce qu’Edmond soit là mais non. Le taxi était vide. Curieux, qu’avait-il encore imaginé ; avec lui on pouvait s’attendre à tout et quand il était en colère, c'était pire que
tout ! Le chauffeur, un "Pied Noir" d’une quarantaine d’années, lui ouvre la porte arrière.
« Non, dit-elle, je préfère aller à l’avant. »
Assez étonné, le chauffeur ne réagit pas, il se dit qu’il pourra ainsi reluquer tout à loisir ses longues jambes galbées, parfaitement mises en valeur par ses bas fumés.
« Qui sait, se dit-il, il pourra peut-être engager une conversation agréable mais il ne fallait pas trop y croire. Une bourge pareille, ce
n’était visiblement pas dans ses possibilités. Enfin, c’est ainsi que va la vie ! »
- Quelle adresse Madame ?
- A Créteil, 18 rue des Herbiers.
- Créteil ? Vous êtes bien sûre Madame ?
- Oui, oui, on m’y attend à vingt heures.
- Ah bon ! »
Vu la classe de sa cliente, il est surpris qu’elle se rende dans cette banlieue souvent mal famée…
Et le taxi tente sa chance dans la circulation, particulièrement dense à cette heure, sans poser la moindre question. Mais dans le véhicule, l’atmosphère est tendue. Il est clair pour lui comme
pour elle, que quelque chose ne va pas. Mais qu’est-ce qui ne va pas ? Ça c’est autre chose. Astrid ne peut pas s’empêcher de penser que le taxi, c’est son mari qui le lui a envoyé.
Quant à Abdel, lui, il n’aime pas du tout ce coin de Créteil. Pour l’un comme pour l’autre, ce n’est pas clair du tout, cette course. La
conversation, malgré tout, s’engage, mais chacun interprète les paroles de l’autre à sa manière. Pour elle, il est de plus en plus certain que le taxi, c’est l’envoyé de son mari, et que c’est
donc lui son épreuve. Il faudra lui obéir en tout et elle aura la paix. Bon, c’est pas trop cher payé et puis le chauffeur aurait pu être pire. Pour lui, c’est de plus en plus clair aussi. C’est
une bourge un peu dingue qui veut sérieusement se faire tringler… C'est inespéré !!!!
« Où allez-vous comme ça, Madame ? C’est un curieux endroit pour une femme de votre condition...
- J’ai eu de petits problèmes avec mon mari et je me suis engagée à répondre à tous ses désirs ce soir. Et d’abord, je crois que ça a déjà commencé non ?
- Euh... C’est possible, dit Abdel, sans trop vouloir s’avancer. Et en quoi consistent exactement vos ennuis ?
- Et bien disons... Disons que je l’ai un peu trompé et qu’il n’a pas fort apprécié...
- Ah ! Je vois...
- Non, vous ne voyez sûrement pas, parce que mon mari c’est du genre sérieux vicieux et la punition qu’il a choisie pour moi va sûrement être adaptée à mon cas. Sinon, je ne vois pas pourquoi il
m’aurait envoyée à Créteil, à moins que ma destination finale ne soit pas Créteil... Qu’en pensez-vous ?
- C’est possible Madame, c’est possible, dit Abdel, comprenant qu’il devait y avoir un sérieux quiproquo. Il s’efforçait de marcher sur des œufs.
- Bon alors, ne tournez plus autour du pot, arrêtez-vous où vous voulez puis vous ferez de moi ce que vous voulez, on ne va pas y passer la nuit. »
Ça c’est encore plus fort que ce à quoi il s’attendait ! Nom de Dieu ! Une occasion comme ça, ça ne se présentait pas tous les jours. La route longeait à ce moment une très longue haie,
Abdel connaissait bien l’endroit. À cinq cents mètres, il y a un trou dans la haie, et derrière, un vieux parking abandonné. Ce n’est pas terrible mais c’est le plus près, et il ne faut surtout
pas qu’elle change d’avis. Con promis, chose due, comme disait Coluche ! Un brutal coup de volant, et les voilà de l’autre côté de la haie.
Abdel ne s’attarde pas dans les préliminaires. Il se penche vers elle, s’empare de sa bouche et, dans la foulée, lui bascule son siège en position auto-stoppeuse. Il a tôt fait de remonter sa
jupe, et c’est stupéfait qu’il tombe sur un porte-jarretelles sans slip et une vulve déjà bien humide. Bordel de bordel ! Mais qu’est-ce qui lui arrive ? Une histoire pareille en vingt ans de
métier, ça ne lui est jamais arrivé !
« Surtout rester calme se dit-il, une affaire comme ça, ça se déguste, et sans doute à plusieurs, mais pour l’instant ça se déguste surtout
tout seul. »
Après lui avoir roulé une sacré pelle et lui avoir copieusement peloté son 90C et l’avoir de façon incroyable fait déjà sérieusement jouir à main nue, une idée lui traverse l’esprit : il faut
continuer la conversation, mais dehors.
- Viens, on s'est pas baisé correctement ici, dit-il, je vais sortir le tapis de sol du coffre et on va baiser dehors, discute pas ! »
Au grand étonnement d’Astrid, Abdel en profite pour sortir une chaise pliante de son coffre. Elle n’a pas le temps de réfléchir que déjà Abdel a déroulé le tapis de sol devant sa voiture et s’est
confortablement installé dans son fauteuil.
« Désappe-toi », lui dit-il, sur un ton sans équivoque mais avec grâce et sensibilité, on a tout notre temps.
Astrid n’a plus qu’à s’exécuter. Elle veut commencer par enlever son chapeau à voilette mais Abdel, d’un ton sec, lui ordonne de le garder. Rien ne vaut une bonne pipe tirée par une belle bourge
avec un chapeau à voilette.
« À poil, salope ! Du sexe et de l’ambiance bordel ! »
Astrid sait ce qui lui reste à faire. Tout en faisant magnifiquement onduler son corps, elle fixe intensément Abdel dans les yeux. Elle déboutonne ensuite lentement la veste de son tailleur,
laissant apparaître son chemisier transparent.
« Bordel, ça s’annonce bien !!! Et cette conne n’a toujours rien compris à l’astuce », se dit-il.
Au tour de sa jupe maintenant, elle ne tarde pas de glisser à terre, laissant apparaître Astrid, toujours coiffée de sa voilette, en chemisier transparent et en porte-jarretelles.
« Enlève ton chemisier salope ! »
Astrid s’exécute, le tableau est vraiment charmant : le soutien à balconnets mettant brillamment le 90C en évidence.
« Masturbe-toi maintenant. Et n’oublie pas, je veux tout voir !
Astrid entame sa danse, tout en ondulant de la croupe, elle prend à pleines mains ses deux seins, les malaxe, en fait ressortir les pointes, tout en affichant une moue provocante. Ses mains se
glissent maintenant entre ses jambes, malgré la honte de la situation, son sexe est trempé. Il faut dire qu’elle ne ménage ni ses lèvres, ni son clitoris. Astrid sent monter en elle un puissant
orgasme et c’est à ce moment qu’un formidable coup de klaxon se fait entendre, bloquant net Astrid dans son élan. Elle se retourne brutalement et comprend tout de suite la situation : la
haie qui les abrite de la nationale n’a que deux mètres de haut. Pour les automobilistes, ils sont parfaitement invisibles mais pas pour les camions. Ce salaud de taxi l’avait fait exprès. L’air
innocent et confortablement assis dans son fauteuil, Abdel la voyait complaisamment se donner en spectacle à des dizaines de camionneurs. Mais elle se rappelle les consignes d’Edmond : tout,
absolument tout, sans remarque, sans discussion. Abdel affiche maintenant un superbe sourire et lui présente bien fièrement un sexe de taille fort raisonnable.
« Mets-toi à genoux salope et suce-moi bien. T'as tout ton temps, et comme tu as pu le voir. Les camionneurs apprécient fort ton spectacle, d’autant plus que les embouteillages sérieux ne
font que commencer. »
Morte de honte, Astrid s’exécute. Du coin de l’œil, elle peut en effet observer la circulation qui ralentit sérieusement et les camionneurs qui n’en perdent pas une. Edmond ! Salaud de salaud,
humilier ainsi une Meillac de l’Aulne, se dit-elle.
« Bon, le spectacle est terminé maintenant », dit Abdel, arborant un sexe au bord de la congestion.
Couche-toi sur le capot, replie tes jambes et écarte-les biens avec tes deux mains. La fête va pouvoir commencer... »
Abdel adore cette position car mine de rien, en accentuant un peu la cambrure, les choses se présentent fort différemment.
Abdel introduit alors d’un seul coup son sexe dans le vagin trempé, sous les acclamations d’un camionneur tout à fait ravi d’être bloqué par l’embouteillage. Il la besogne avec force, lui
autorisant malgré les circonstances un orgasme bien mérité et bien bruyant. Il déclenche ainsi un tonnerre de klaxons du camionneur hilare. Puis, Abdel l’encule sans problème. Elle est bien
coopérante, elle va avoir droit à la totale.
D’un camion, un conducteur leurs lance une poignée de cacahuètes, tout en arborant un sourire complice à Abdel qui rayonnait de bonheur. Quelle humiliation pour une femme de son rang ! Astrid
demande alors au chauffeur de taxi :
« Mon mari sera content ?
- Ben, euh... Écoutez Madame, vous avez été charmante avec moi, mais je crois qu’il y a un gros malentendu depuis le début. Je ne le connais pas du tout, moi, votre mari.
- Comment ça ? dit Astrid, folle d’inquiétude.
- Ben non, la seule chose que je sais, c’est que je dois vous conduire comme vous me l’avez demandé, 18 rue de Herbiers… »
Astrid fond en larmes. Le salaud, le salaud ! Tout ça, toute cette humiliation pour rien ! Et ce salaud d’Edmond avait prévu tout ce qui allait arriver. La vraie soirée ne commence que rue des
Herbiers…
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