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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je me présente, Yann, trente-neuf ans, brun. Je suis marié à une jolie femme de trente-cinq ans, Mathilde, brune, un joli corps et surtout une superbe poitrine. Elle a de très gros seins qui attirent les regards, et j'avoue que ça me plaît. Voilà comment j'ai mis ma femme dans les bras de deux hommes…

 

J'ai un grave problème : dans les magasins, je ne peux m'empêcher de voler. Je me suis déjà fait prendre et emmener chez les flics. On m'a dit qu'à la prochaine récidive, je risquais de graves ennuis. J'ai arrêté un moment, puis un jour j'ai replongé : dans une grande surface, j'ai volé des CD.

 

Deux surveillants m'ont emmené dans leur bureau, où je leur ai remis les disques. Alors qu'ils allaient appeler la police, je fus pris de panique, et sans espoir, je les suppliai de me relâcher. Je n'avais pas assez d'argent sur moi pour payer, mais je leur montrais mes papiers en leur disant qu'ils les gardent et que j'irais chercher l'argent pour payer les disques.

 En ouvrant mon portefeuille, je fis tomber quelques photos au sol. Sur l'une, on voyait ma femme en tee-shirt et minijupe. Son maillot contenait avec peine son opulente poitrine, et je vis l'un des vigiles la regarder avec intérêt.

Il dit à l'autre :
« Regarde un peu ces seins, j'adore les gros nichons, et elle a l'air d'avoir un joli cul ! »

Ce type m'agaçait, mais je préférai me taire. Il était bedonnant et laid. Son collègue était plus jeune et mieux physiquement. Il regarda la photo de Mathilde, et me dit que lui aussi aimait les gros nichons. Ils me demandèrent si c'était ma femme, je leur dis que oui, et que j'avais une autre photo d'elle en maillot de bains, prise cet été.

 

Je la leur montrais, en espérant gagner leur clémence. Mathilde, sur cette photo, était dans l'eau jusqu'aux genoux. Elle portait un maillot de bains deux-pièces et ses seins débordaient généreusement du maillot. Elle était super bandante. Les deux types furent d'accord à ce sujet. Je leur dis alors : « Gardez la photo et laissez moi partir ! »


Ils se mirent à rire en disant qu'il leur en fallait plus.
« Si ta femme se montre à poil devant nous et qu'elle nous suce, alors d'accord ! » me dit le gros vigile.
Sans savoir s'il plaisantait ou non et sans réfléchir, je leur dis :
« OK, je téléphone à ma femme pour lui expliquer et nous allons chez moi. »


Les vigiles me dirent alors qu'ils remplissaient une fiche de renseignements réglementaires suite au vol, fiche où figure mon identité, et que si tout allait bien, ils me la donneraient, sinon ils la transmettraient aux flics.

J'appelai alors Mathilde. Le gros prit l'écouteur. J'expliquai à Mathilde que je m'étais fait épingler et ce que je souhaitais d'elle. Elle refusa d'abord. Je lui dis alors qu'étant fiché et récidiviste, je risquais gros. Je lui promis que si elle faisait un strip-tease ça suffirait.

 

Les deux types me firent signe que non, alors je lui dis :
« Chérie, fais ça pour moi, je risque de perdre mon boulot et qui sait, peut-être le tribunal et plus. Je te promets que jamais je ne le referai ! »
Mathilde aime faire l'amour. Elle n'est pas spécialement prude, car je sais qu'elle apprécie les regards sur sa poitrine. Elle m'a déjà avoué que, plus jeune, elle en était complexée, mais que maintenant elle la met exprès en valeur pour exciter un peu les types que nous croisons dans la rue. Mais jamais nous n'avons connu autre chose que l'amour entre nous. Je sais que je lui demandais beaucoup. Elle me dit :
« Je t'aime, mais tu mériterais que je te laisse à ton sort, c'est la première et dernière fois que tu me fais faire cela. Et puis après tout, ce sera une punition pour toi aussi ! »
Le gros me murmura alors :
« Dis-lui qu'elle mette des bas, j'adore cela et qu'elle s'habille sexy. »

En rouspétant, elle me répondit :

« D'accord, je vais me transformer en pute, et cela à cause de toi. J'espère seulement que tu ne me le reprocheras jamais car là, ce serait vraiment trop ! Je vais les exciter, ces types, et j'espère qu'au moins ils tiendront parole ! »

 

Je restai une demi-heure avec les vigiles, et à leur fin de service, je les emmenais chez moi, inquiet et soulagé à la fois. Mathilde nous ouvrit la porte et me murmura avec dégoût :
« Le gros, qu'il est laid ! »


Apparemment, le deuxième lui convenait mieux. Je remarquais alors qu'elle portait son déshabillé noir et dessous sa nuisette, noire également, qui lui arrivait sous les fesses. Elle avait mis dessous des bas coutures et des hauts talons. Elle me dit alors :
« Ça te va ainsi ? Je vous fais bander, j'irai plus vite à me déshabiller et vous partirez plus vite !

Je réclamai le papier aux vigiles qui me dirent :
- Tu l'auras après.
Ils mataient Mathilde comme des fous. Ils s’assirent sur le canapé, et moi dans le fauteuil. Mathilde leur dit :
- Alors je fais quoi ? »


Le gros répondit :
« Déshabille-toi pour commencer. »
Mathilde retira son déshabillé. Sa nuisette ultra courte et transparente ne cachait ni ses gros seins nus, ni son string.

Le gros lui dit de tout retirer sauf les bas. Mathilde obéit et se retrouva nue face à nous, son cul rebondi, ses deux gros seins et sa chatte à la fourrure noire abondante, offerts à nos yeux. Je bandais et les deux vigiles aussi. Ils avaient ouvert leur braguette et se branlaient doucement. Leurs bites étaient très grosses, surtout celle du gros. Mathilde me dit :
« Branle-toi aussi, chéri, au point où nous en sommes ! »


J'en avais envie et je le fis. Le gros attira alors Mathilde et l'assit entre lui et son ami. Mathilde protesta mais à ma demande, se laissa faire. Ils la caressaient sur le corps en s'attardant sur ses seins, ils en suçaient chacun un. Le gros caressa ensuite la chatte de ma femme, le jeune lui caressant les fesses.
Mathilde changeait peu à peu d'attitude. Elle semblait y prendre du plaisir. J'étais trop excité pour protester en voyant les deux types ôter leurs pantalons et leurs slips. Leurs queues étaient énormes, j'en étais envieux. Ils s'assirent à nouveau, faisant mettre Mathilde à genoux sur le sol face à eux.

 

D'où j'étais, je voyais le cul de Mathilde tout rebondi. Il remuait lentement, et je savais qu'elle mouillait à cet instant. Les types lui prirent les mains et y déposèrent leurs queues. Mathilde caressa alors ces deux bites. C'était fou, je me branlais, mon cœur cognait ! Voir ces deux gros sexes dans ses mains m'excitait.
Le gros lui prit alors la nuque et Mathilde se retrouva avec sa bite à l'entrée de sa bouche. Elle ne fit pas d’histoire et la suça en l'enfournant profondément. Mathilde sait très bien me sucer, et là, elle se surpassa. La queue, pourtant énorme, du gros, entrait presque entièrement dans sa bouche. Il la tenait par les cheveux et lui disait :
« Vas-y, salope, avale ma bite, suce mes couilles, elle te plaît ma grosse queue ? »


Mathilde était comme folle, car pendant ce temps, l'autre type la branlait en lui suçant les seins. Puis il se mit derrière elle. A quatre pattes, elle se laissa manipuler tout en continuant de pomper le gros. Alors le jeune approcha sa longue queue de la chatte de ma femme et, sans ménagements, la pénétra. Elle ne put crier, la queue qu'elle tenait en bouche l'en empêchant, mais elle remuait sa croupe, prenant un vif plaisir à être pénétrée par cette queue qui allait et venait dans son vagin. Pendant ce temps, de ses deux mains il lui malaxait les seins en disant :
« Si tu en as plein la chatte de ma grosse bite, j'en ai plein les mains de tes nichons ! Ils sont gros ; il a du pot, ton mari!  Je suis sûr qu'il se branle souvent dedans, c'est peut-être à force de te les faire peloter qu'ils sont si gros ? Tu dois être une drôle de salope ! »


Leurs propos m'excitaient et apparemment, Mathilde aussi. La situation me dépassait, et pourtant je n'avais pas envie que ça cesse, au contraire. Le gros dit alors à son collègue :
« Viens te faire sucer par cette salope, j'ai envie de lui mettre ma bite dans le cul, elle doit aimer cela, cette pute. »

Puis s'adressant à moi : « Tu l'encules souvent ta femme ? Je vais l'enculer devant toi avec ma grosse bite, quand tu l'enculeras, ça rentrera comme dans du beurre ! »
II m'arrive parfois de sodomiser Mathilde, elle y prend du plaisir, mais devant la taille de sa queue, je pris peur qu'il ne lui fasse mal. Je lui dis :
« Tu es trop gros, tu vas lui faire mal ! »


Mais ébahi, je vis Mathilde se retourner, les cheveux hirsutes, et retirant de sa bouche la queue du jeune qui venait de remplacer l'autre, elle me dit :
« Tu l'as voulu, chéri ! Alors laisse-le me la mettre dans le cul ! »

Malgré mon excitation, j'allai dans la salle de bains où je pris un tube de vaseline, dont je me sers lorsque je sodomise Mathilde. Le gros n'avait pas encore pénétré Mathilde, il lui pelotait à son tour les seins d'une main, et de l'autre lui titillait l'anus. Mathilde se trémoussait en gloussant et suçant le jeune. Ce dernier dit alors :
« Je vais te jouir dans la bouche, salope ! Avale tout ! »


Je le vis maintenir Mathilde et éjaculer dans sa bouche une énorme quantité de foutre, car elle eut un haut-le-cœur et je vis du sperme couler de ses lèvres. Le jeune se servit de sa queue pour lui en étaler sur la bouche et le visage. Elle en avait plein la figure. Il me dit alors :
« Viens galocher ta salope de femme, si tu veux ton papier ! »

 

Je m'avançai alors et sans réfléchir, j'embrassais Mathilde qui me donna sa langue, et par la même occasion le sperme qui y restait. Le jeune, nous tenant la tête, nous dit alors :
« Allez, mes salopes, nettoyez ma bite ! »

Jamais on ne m’avait dit de telles choses ! Jamais je n’avais touché un homme !


Il mit sa queue humide et molle entre mon visage et celui de Mathilde. Cela m'excita pourtant, et Mathilde la reprit dans sa bouche. Puis soudain elle guida cette bite sur ma bouche et me dit :
« Suce le, chéri, vas-y, je veux te voir, ça m'excite ! »

 

Jamais a femme ne m’avait dit qu’elle voulait me voir sucer un autre mec !
Je pris cette queue et la suçai, étonné d'y prendre plaisir. On se la partagea avec Mathilde et elle devint à nouveau dure. Le gros riait et dit :

« Tu es une salope comme ta femme, mets-lui donc de la vaseline sur le cul que je l'encule, et mets en sur ma queue ! »


Je mis une noisette de vaseline sur l'œillet de Mathilde et une dans ma main, sans me soucier de ses rires, j'en étalai sur sa grosse bite, prenant un plaisir inouï à le branler. Il me repoussa et me dit :
« Arrête, c'est dans le cul de ta femme que je vais jouir ! »


Je le regardai alors pointer sa queue sur l'œillet de Mathilde, et après un léger tâtonnement, il l'encula d'une traite. Elle poussa un cri de douleur, qui devint rapidement du plaisir. Il me dit alors de me branler et de jouir sur Mathilde. Je ne me fis pas prier, et je n'eus que le temps de m'approcher de son visage pour exploser, lui balançant à mon tour un flot de sperme au visage. Elle attrapa ce qu'elle put avec sa langue. Le jeune rebandait et me dit :
« Je vais te faire comme à ta femme, suce-moi ! »

 

A nouveau, Mathilde guida sa queue dans ma bouche. Je l'enfournai alors et le pompai en lui pelotant les couilles. Jamais je n'aurais pensé y prendre autant de plaisir ! Il se retira au bout d'un moment et, pointant son dard sur mon visage, éjacula en me balançant son foutre en pleine figure. Il dit à Mathilde :
« Salope, lave-le avec ta langue ! »


Mathilde me lécha le visage en avalant le sperme s'y trouvant. Le gros l'enculait, lui donnant des claques sur les fesses. Son cul rougissait, mais elle y prenait plaisir. Il se retira et dit à Mathilde :
« Suce ma queue sortie de ton trou à merde ! »
Je le vis alors retirer sa queue du cul de ma femme, pénétrer sa bouche et jouir immédiatement. Il lui ordonna brutalement :
« Avale et suce ta merde ! »

Comment avions-nous pu tomber si bas. ? Et surtout, y trouver autant de plaisir ???


J'enculai alors Mathilde. Le passage était agrandi, mais elle y reprit plaisir et acheva de nettoyer la queue du gros avec sa langue. Soudain, je sentis un doigt titiller mon anus, et le jeune dit :
« Vous êtes deux enculés, ta femme par ta queue, et toi par mon doigt ! »


Il m'encula avec son doigt et j'y pris un plaisir inouï. Ils nous insultaient, mais je jouis alors dans le cul de Mathilde qui me la suça à nouveau.
Je m'allongeais alors près de ma femme et l'embrassais. Le gros se leva et, pendant que je câlinais Mathilde, nous pissa dessus en visant nos visages. Sa dernière condition était que nous avalions son urine. Je ne pus le faire, ayant des haut-le-cœur,

Mais Mathilde en pleine jouissance, accepta, elle ouvrit la bouche et reçut le dernier jet d'urine. Malheureusement, le jeune exigea la même chose, pointa sa queue et pissa dans la bouche de Mathilde qui se caressait en criant et en avalant la pisse.


Les types se rhabillèrent, nous jetèrent le papier et partirent. Nous restions étendus, Mathilde soudain honteuse, le visage couvert de foutre et de pisse, moi honteux d'avoir sucé une bite, de m’être fait enculer par un doigt de pervers…

 Nous en avons reparlé quelques jours plus tard avec Mathilde, sans regret, au contraire, en en riant car  elle a eu mal au cul pendant quelque temps : jamais elle ne s'était pris un tel calibre dans le fion ! Elle m'a avoué qu'elle ne m'en voulait pas du tout, mais elle m'a fait promettre que si je voulais recommencer à chaparder dans un magasin, je le fasse obligatoirement dans le même, car ainsi nous serions surs que je ne risque pas d'aller chez les flics. Elle avait un sourire égrillard en disant ça et j'ai bien sur promis.

 

Je pense que d'ici quelques semaines, le démon de la cleptomanie va me reprendre..!!!!

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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