Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
1990. Paris, dimanche fin d'après-midi, je prends le métro à Bir Hakeim je sors de ma boîte, je suis ambulancier, j'étais de garde depuis la veille au matin. A peine installé sur un strapontin, je remarque trois jeunes femmes blondes. L'une d'entre elles doit avoir quarante ans, les deux autres flirtent avec les vingt ans. Elles sont debout face à moi et parlent joyeusement. Je ne les écoute pas mais je les regarde, et mes yeux sont contents car elles sont fort agréables à voir. Cela me fait un bien fou, après ces trente-six heures où j'ai eu à manipuler des corps mal en point. Ce joli spectacle dure le temps de quatre stations. A la cinquième, elles descendent de la rame, mais la plus âgée maintient les portes ouvertes, me regarde avec insistance et à ma grande surprise me lance :
« Mais ! Alors ! Vous ne nous suivez pas ? »
Il n'y a ni reproche ni ironie dans ses propos, elle a juste l'air étonné que je ne vienne pas avec elles. Elle m'avoua plus tard que je les regardais avec tant d'insistance qu'elle ne trouvait pas normal que je ne les suive pas.
Les sous-entendus que laisse supposer l'expression dite en français à travers le monde « Ah! Les petites femmes de Paris ! » ne sont pas une légende. Alors, bien qu'un peu surpris par la manière cavalière de cette femme, je m'efforce de prendre un air dégagé, me lève et suis le charmant trio sur le quai de la station. Là un moment de silence normal s'installe entre nous car c'est une chose de réagir comme elles et moi l'avons fait et il en est une autre de poursuivre sur un mode intelligent et courtois.
Et puis, alors que nous nous regardions dans le blanc des yeux, une idée lumineuse me traverse le neurone : « Présentons-nous, le reste suivra automatiquement. »
La plus âgée se nomme Patricia. L'une des deux autres est Léa, nièce et filleule de Patricia. La troisième est Claudine. Léa et elle sont toutes deux étudiantes à l'école d'architecture et sont les meilleures amies du monde et ne se quittent pratiquement jamais. D'ailleurs, j'avais remarqué dans le métro que ces-deux là devaient être bien plus que meilleures amies, elles avaient des manières de se frôler et de se regarder qui ne trompent pas. Patricia, une fois ces préliminaires terminés, me demande avec un grand sourire qui illumine son visage :
« Si vous n'avez rien de prévu ce soir et que personne ne vous attend, venez chez moi. Nous faisons une petite soirée informelle entre nous. »
Si là, je ne viens pas de me faire draguer, c'est que vraiment je ne connais plus rien à rien moi. J'accepte avec enthousiasme son invitation et nous nous dirigeons vers son domicile. En chemin elle m'explique que Léa est sa nièce et sa filleule mais qu'en réalité elle est bien plus pour elle depuis longtemps. Tiens, tiens ! Si ce que je pense est vrai, la soirée risque d'être amusante.
Nous arrivons enfin chez elle. C'est un vaste duplex, luxueux et moderne. Nous entrons dans son salon. Pas de fauteuil. Juste un immense canapé et, lui faisant face, une montagne de coussins multicolores sur lesquels Léa et Claudine se vautrent et se caressent sans même se demander si je vais être choqué. Patricia s'approche de nous, faussement scandalisée et les rappelle à l'ordre. On ne sent d'ailleurs aucune conviction dans son propos, et même je dirais qu'il y a quelques sous-entendus :
« Allons, mes chéries ! Voulez-vous être sages un peu ? Nous avons toute la soirée devant nous. »
Puis elle dépose des flutes à champagne sur une table basse, me tend une bouteille de Brut et me demande :
« Bruno, veux-tu bien déboucher la bouteille, je te prie? J'ai quelque chose à faire, je reviens. Euh... tu permets que je te tutoie ? » me dit-elle sans même écouter ma réponse.
Elle quitte le salon, j'adore sa façon de se déplacer, elle ondule des hanches d'une manière plus que suggestive, et ça me fait bander. Pour penser à autre chose, je débouche la bouteille et remplis les 4 verres. Je m'abstiens de tendre leurs verres à Léa et Claudine. Ayant oublié les conseils de Patricia elles se bécotent à bouche que veux-tu. Dom Pérignon lui-même me reprocherait de les interrompre tant le spectacle est beau.
Patricia revient enfin. Elle s'est changée. Et pour du changement, c'en est un. Elle a un chemisier si fin qu'on pourrait se demander si elle en a un. Il laisse apparaître une paire de seins pas menus que rien ne soutient. Elle a enfilé une jupe si courte qu'on pourrait la confondre avec une ceinture très large. L'ensemble ne protège pas un corps mince et bien fait. Sa démarche est souple et sensuelle. Bref, une fort jolie femme parfaitement à l'aise dans cette tenue et qui, visiblement, s'amuse de constater que je suis moins à l'aise qu'elle. Patricia s'assied à mes côtés je lui tends son verre.
Et ça me permet de constater qu'elle a oublié de mettre une culotte. Sa chatte est finement ciselée et glabre. Voyant la direction de mon regard, elle écarte un peu plus ses jambes et m'octroie un sourire en stéréo du plus bel effet, ses quatre lèvres sont souriantes. Je suis tendu comme un arc elle s'en aperçoit et en caressant la bosse de ma braguette elle me dit :
« Mets-toi donc à l'aise. Regarde Léa et Claudine, elles n'ont pas attendu mon autorisation pour le faire. »
Dans mon émotion, je les avais oubliées, ces deux-là. Elles sont maintenant à poil et font un 69 très excitant. Deux filles qui se grignotent est un spectacle féérique.
« Vois comme elle est belle, ma nièce chérie ! Et puis tu sais, sa mouille est délicieuse, légèrement sucrée. Je l'ai initiée elle avait quatorze ans. Ce n'est pas bien je sais, mais elle et moi adorons ça. Je n'ai aucun interdit. »
Comme pour me le confirmer, elle joint le geste à la parole et retire mon pantalon. Elle a une légère surprise muette en constatant que je n'ai pas de slip mais cela ne semble pas la perturber. Seconde surprise plus flagrante celle-là mon absence totale de poil. Cette anecdote se passe il y a vingt ans, et à cette époque, c'était quelque chose de rare chez les hommes. Aussi elle interrompt les ébats des deux copines pour leur montrer mon entrejambe. Léa s'approche elle passe la main partout. Claudine la suit et plus dévergondée que sa copine embouche ma queue et la titille d'une langue mutine. Elle fait cela si bien que je lui rends la politesse. Nous voilà dans un 69 très chaud.
Je m'aperçois aussitôt que Léa avait vraiment chauffé Claudine car elle est toute mouillée. J'apprendrais dans un petit instant et pour mon plus grand plaisir que c'est une jeune femme fontaine. Léa voyant qu'elle n'a rien à attendre de sa copine se dirige vers sa tante la dénude entièrement et laisse courir ses mains sur son corps. Rapidement Patricia se met à gémir, les mouvements de son bassin montrent qu'elle aime ce qu'on lui fait. J'aime ce genre de femme qui aime aimer et qui le manifeste sans aucun complexe. Claudine, quant à elle, mouille de plus en plus, mon visage est tout mouillé d'elle, je me régale. Elle est sucré-salé dans ses épanchements, et son petit bouton se dresse encore un peu plus.
Patricia, chauffée à blanc par sa nièce, l'abandonne et vient vers moi, écarte Claudine pour s'empaler sur ma queue. Elle donne à son bassin les mêmes mouvements que lorsque Léa la léchait. Extraordinaire sensation, et ses gémissements qui grandissaient, de quoi entrer en éruption. Je sens que ça va arriver, je préviens Patricia qui change aussitôt de position et me prend en bouche. Elle me tète doucement pour retarder mon explosion. Mais celle-ci ne tarde pas à arriver, je pars, Patricia n'en perd pas une goutte. Elle me quitte pour retrouver les deux copines et partager avec elles mon sperme.
Amusante cette scène, on croirait voir deux oisillons recevant la becquée. Et elles aiment ce petit jeu des trois gourgandines. Leurs yeux pétillent, elles sont à leur affaire. Tout en me remettant de mes émotions, je remplis à nouveau nos verres. Les trois jeunes femmes sont sur le canapé, seule Patricia est assise, les deux autres continuent à se lutiner sans vergogne, visiblement pas encore repues. Sur une table basse était un gros mortier en bois d'olivier Léa prend le pilon et s'en sert comme d'un gode pour sodomiser Patricia.
Mes yeux papillonnent et je sens que doucement mon énergie revient. Mais j'ai envie d'uriner, je demande à Patricia où je peux aller me soulager. Elle interrompt aussitôt sa nièce :
« Viens je vais te conduire. »
Primesautière en diable, elle me précède et pour me guider me tire délicatement par la queue. Ce geste est tout de même amusant, et je souris de la situation en rendant grâce par la pensée à l'inventeur du métro sans qui je ne serais pas là ce soir. Nous arrivons dans une salle d'eau vaste et lumineuse, Patricia entre dans la baignoire et m'invite à l'y rejoindre. Elle s'allonge et me demande de pisser sur elle. Je suis heureux, cela faisait longtemps que je n'avais pas trouvé quelqu'un qui aime cela. J'ai une grosse envie et j'essaie de freiner mon débit pour que le plaisir dure. A la demande de Patricia je dirige un moment le jet vers sa bouche pour qu'elle me boive ,puis vers sa chatte dont elle écarte les lèvres, elle aime qu'on pisse en elle.
Uriner est comme bailler, cela donne envie aux autres, Claudine et Patricia nous rejoignent dans la grande baignoire, Patricia s'allonge sur sa tante pour lécher son corps tout mouillé. Claudine, qui a envie de pisser, vient sur moi et s'accroupit au dessus de mon visage et bouche grande ouverte, je la bois avec délice. Nos esprits échauffés nous font à nouveau baiser dans la baignoire. J'ai le plaisir de sodomiser Léa et Claudine durant que Patricia, à ma demande m'encule avec le pilon en olivier qui servait il y a peu à Claudine.
Après une bonne douche réparatrice, et un petit repas bienfaiteur, j'ai fini la nuit avec les filles sans rien faire d'autre que dormir, cette séance après mes longues heures de travail m’avait épuisé.
Après cela, comment ne pas dire : « Vive les transports en commun ! »
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