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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cela fait un moment que je veux vous raconter ma vie de mari candauliste, auprès de Sophie, mon ex femme.  Je savais qu’elle était hypersexuelle, et je me doutais bien que je ne la garderais pas pour moi tout seul très longtemps. D'autant que je n'ai pas toujours été la hauteur de ses attentes. Surtout au moment de notre voyage de noces.

Ce soir-là, je sais qu’elle sort voir un autre homme… Une fois de plus.

Ca m'excite de penser que ma petite femme va se faire baiser.

Je me sens seul tout d'un coup et mes sentiments sont complexes. Jalousie d'abord, de l'avoir vue partir si guillerette aller se faire baiser, troublé en même temps, songeant à ces mains, cette langue sûrement et ce sexe qui allaient tout à l'heure la fouiller.

Pourtant, il y a six mois encore, tu étais la femme d'un seul homme, tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte n'avaient connu que moi. Et puis il y a eu James le bien nommé. Tu avais d'abord été séduite par son efficacité, sa capacité de travail, d'analyse. Les méthodes américaines dont il usait. Tu m'en parlais le soir avec enthousiasme. J'avais une confiance absolue en toi et pas une seconde je n'ai été jaloux de votre complicité.

J'ai serré Sophie dans mes bras et j’ai chuchoté : « c'est vrai tu le désirais ? »

Tu as mis un long temps pour me répondre, et curieusement, j'ai senti ma bite se durcir au fur et à mesure de ton silence. Toi-même, sans t'en rendre compte, tu l'as saisie, t'es lovée encore plus contre moi et les yeux levés soudain vers moi, tu as répondu doucement : « Je crois que oui ! »

Elle s'est serrée contre moi un peu plus. J'ai dit : « Tu as senti sa queue contre toi ? »

Tu as murmuré un « oui » timide. De te savoir désirée par un autre que moi te rendait plus précieuse, et c'est à ce moment, je crois, que nos jeux pervers sont nés. Je n'étais plus le seul objet de tes pensées, et ta fente aspirait à une autre bite, je le devinais. Le plus étrange était que cette simple pensée qui aurait du me rendre fou de rage avait une face excitante.

« Depuis quand tu couches avec lui ?

Tu t'es révoltée :  je n'ai pas couché avec lui !

- Alors que s'est-il passé ?

- Cet après midi, il m'a prise soudain dans ses bras et là j'ai perdu la tête, je lui ai rendu ses baisers, ses caresses, j ai laissé sa main se glisser sous ma jupe, j'ai écarté les cuisses pour faciliter son passage vers ma chatte en feu, j’ai caressé sa queue par-dessus son pantalon pendant que ses doigts s'enfonçaient dans mon vagin trempé…

Tu es restée un moment silencieuse. J’ai insisté : et alors ?

- Alors il m'a faite me pencher sur le bureau, il a retroussé ma culotte, j'étais prête à me donner à lui, j'ai senti son sexe effleurer mes chairs quand soudain, nous avons entendu des pas. J’ai juste eu le temps de rabattre ma jupe. La secrétaire nous a annoncé que le patron demandait à nous voir, elle avait un drôle d'air comme si elle avait senti qu'il s'était passé quelque chose. »

Et bien, curieusement, je ne lui en voulais pas. Elle a poursuivi : « Par la suite, il m'a appelée sur mon portable, il avait réussi à se débarrasser du patron et me demandait de le rejoindre.

- Alors ?

- J'ai répondu que ce n'était pas possible, qu'en fin de compte heureusement que nous avions été interrompus et que je lui souhaitais bon retour aux USA. »

J'ai vu quelle était bien malheureuse, et du fond du cœur j'ai crié : « Tu es folle ! Tu aurais du accepter !!! »

Elle a paru ne pas comprendre : « C'est toi qui me dis ça ?

- Oui c'est moi et tu vas lui téléphoner de suite pour lui dire que tu le rejoins.

- Tu deviens fou ! Toi mon mari me demander de rejoindre un autre homme !

- Oui ! Moi ton mari parce que je t'aime et que j'ai peur de vivre avec une femme qui aurait des souvenirs et des regrets dans la tête. »

Je t'ai tendu le combiné du téléphone : « Vas-y ! Téléphone-lui ! »

Tu as hésité, J'ai insisté : «  Vas-y, téléphone, avant que je ne le regrette, et d'ailleurs je vois bien que tu en meurs d'envie. »

 Alors tu t'es jetée dans mes bras en m'embrassant follement.

Tu as dis : « tu ne le regretteras pas c'est sur ?

- Je ne t'en voudrais pas. »

En manière d’acquiescement, tu as composé son numéro. J'avais le cœur qui battait à cent à l'heure. Tu lui as dit que tu arrivais.

Ce fut une nuit délicieuse de perversité que d'imaginer ma femme adorée entre les bras d'un autre. Là, en ce moment évoquant la première nuit adultère de mon épouse, je connais la même excitation, la même impatience.

La retrouver demain la mine fatiguée de s'être tant donnée, un peu honteuse malgré tout, mais cependant l'œil provocateur.  Tu sembles m'annoncer ainsi sa nouvelle toute puissance de femme libérée.

«  Tu l'as voulu, tu m'as poussée à m'offrir à un autre, je veux te f aire sentir ta condition de cocu maintenant, j'adore çà et puis cesse de parler et lèche-moi ! »

Elle disait par exemple : « viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri ! »

Ou alors : « qu'est ce que j'aimais sa grosse bite » cherchant par là à me diminuer. Et curieusement c'était là des paroles qui sonnaient  comme de caresses à mes oreilles, tant je prenais du plaisir à me sentir rabaissé.

Un soir, n'y tenant plus, je lui 'ai dit : « Enfin il n'y a pas que James, sûrement que d'autres hommes te font la cour en ce moment ! »

A ma grande surprise, tu t'es jetée dans mes bras me couvrant de baisers !

« Comme tu es merveilleux mon chéri, je n'osais pas t'en parler mais depuis quelque temps mon prof de comédie me fait une drague d'enfer ! Chaque fois qu'il reprend mes mouvements il en profite pour m'effleurer, quelquefois même, me tripoter.

- Il te plait ?

- Oh oui il est très mignon et justement il voulait ce soir que je le rejoigne pour finir de mettre au point mon jeu dans la pièce que nous répétons ! »

Ce qu'il y avait de mieux cette fois c'est que ce nouvel amant elle pourrait le rencontrer souvent, m’offrant ainsi à chaque fois sa chatte souillée. Il y avait une chose que j'imaginais troublante, c'était d'avoir par la suite à le rencontrer en cocu que j'étais maintenant. .

C'est ainsi que je découvris son esprit pervers et hautement sophistiqué...

J'étais bien "cocu" et j’en ressentais de la satisfaction, voire même une certaine fierté !!!

Même si j’étais un peu gêné pour le prof de comédie…

« J'ai eu envie de lui. Je ne regrette rien, tu sais, d'autant qu'il baise bien. Ne te formalise pas pour ça. Avec lui ou un autre, quelle différence ?

- La différence ? C'est un collègue de travail !

- Ne t'énerve pas. Remets-toi dans ta peau de cocu, que tu as toujours voulu être et assume. Je suis sûre que tu peux y trouver une véritable source d’excitation. »

Un soir, elle le ramène à la maison. Nous discutons au salon, comme de vieux amis. Elle se lève, tirant le prof par la main. Je les suis des yeux, déjà excité par ce qui va suivre…

Quelques minutes plus tard, je monte, à poil, ils sont allongés, nus sur le lit. Les préliminaires ont commencé. Mon épouse me dit : « Tu peux nous regarder si tu veux, mais tu coucheras dans la chambre à côté, d'accord mon chou ?

- D'accord. »

Le lendemain matin, je suis le premier debout. Je suis pensif, au salon, quand ma femme m'appelle. Je monte, frappe à la porte de la chambre et entre.

« Tu n'as pas besoin de frapper mon chou. Tu veux bien nous monter le café au lit, s'il te plait ? »

J’obtempère, et quand je remonte, ils sont à nouveau en train de baiser comme des fous, là, dans le lit conjugal. Mon humiliation est complète.

Sophie me dit que je peux rester les regarder. Je ne me fais pas prier… Je pose le café sur la commode, et je m’assieds dans le fauteuil. Je commence à me branler devant ce divin spectacle ; Sophie chevauche Alain, sa bite bien plantée au fond de son vagin. Il lui masse les seins, les malaxe, les torture. Elle accélère le rythme, je sais qu’elle va jouir. Je me branle comme un fou furieux. Je jouis en silence juste avant qu’elle ne crie son orgasme puissant. Alain ne tarde pas à lâcher sa purée au fond du sexe de ma femme.

Alors, elle se retire de lin s’allonge, et m’ordonne d’un ton sec : « Viens me lécher, viens avaler le foutre de mon amant chéri. »

Je ne peux qu’obéir, avec un vague dégout au fond du ventre. Je m’applique, et sous le regard goguenard d’Alain, je nettoie consciencieusement la chatte souillée de ma femme…

Quelques jours plus tard, un de nos amis arrive à l’improviste à la maison. C’est Bertrand, un vieux copain de fac.

Cela fait plusieurs années que Sophie et moi n'avions pas vu Bertrand.

Moins d'une semaine après, nous l'invitons à manger. Il arrive en début de soirée. Après les banalités d'usage, il complimente Sophie sur sa tenue et le fait qu'elle soit toujours aussi jolie.

Nous nous retrouvons avec ma femme dans la cuisine. Je lui dis que Bertrand n'a guère changé. Elle rigole puis me dit qu'effectivement il est toujours aussi entreprenant. J'écarquille les yeux, l'air interrogateur.

« Lorsque tu t'es absenté pour aller aux toilettes, il m'a demandé aussi tôt si on pouvait se voir sans toi.

- Qu'est-ce que tu as lui répondu ? »

J'ai la bouche sèche dans l’attente de sa réponse.

« Qu'il n'y avait aucun problème. Cela te dérange ? »

Je lui demande alors si l'idée de se faire prendre par un de mes potes de fac l'excite. C'est à son tour de garder le silence, elle sourit malicieusement.

- Très bien, dans ce cas pourquoi attendre ? Va le trouver, dis-lui que c'est maintenant ou jamais. »

Sophie hésite avant de répondre.

« Tu es sûr ? Ce sera la seconde fois seulement en ta présence ?

Je fais le brave.

« Mais oui, mais oui. Vas-y. Je te laisse quelques minutes pour lui expliquer la situation. »

Elle me regarde, visiblement en proie à une réflexion intense. Sophie se décide, elle franchit la porte de la cuisine. J'entre au salon discrètement...

Sophie est nue, debout, accoudée sur la table de notre salle à manger.

Bertrand, toujours assis, lui bouffe la chatte avec énergie. Sophie, yeux mi-clos, gémit doucement.

Bertrand sort sa queue, elle s'en saisit puis le branle doucement.

« Viens, je veux me faire baiser dans mon lit. »

Docilement, il la suit. J'attends un moment avant d'apparaître sur le pas de la porte.

Je suis hypnotisé par cette colonne de chair qui va et qui vient dans la chatte de ma femme. Comme d'habitude, je me branle. Le rythme reprend, plus rapide encore.

Elle m'interpelle :

« Regarde comme il me défonce bien, il m'explose le cul ! »

Je garde le silence. Sophie jouit de nouveau. Bertrand aussi, dans un flot d'injures. Le corps de Sophie s'immobilise. Elle est en sueur. De petites mèches de cheveux se collent sur ses tempes humides. Ces détails qui m'échappaient auparavant m'interpellent maintenant. Je la trouve belle. Je la désire.

Après un moment, elle se retourne vers la porte et me demande :

« Franck, mon chéri, nous avons soif, va nous chercher à boire. »

Je suis tétanisé. Est-ce un test ? Je prends immédiatement conscience que cette demande n'a rien d'anodine, qu'elle peut influer considérablement sur nos rapports futurs. Je ne réponds rien, je ne bouge pas. Devant mon mutisme, elle insiste plus sèche : « Eh bien, je me suis mal fait comprendre ? »

Je soutiens son regard, notre relation se joue à l'instant. Les secondes sont des minutes, j'ai chaud.

Finalement je baisse les yeux, je m'incline. Je me dirige lentement vers la table de salon pas encore débarrassée. J'entends des murmures depuis notre chambre, aussitôt suivis par de petits rires.

Je reviens dans la chambre, avec un verre d'eau dans chaque main. Sophie a repris le sexe de Bertrand dans sa bouche. Elle sent ma présence, elle interrompt sa fellation, d'un mouvement du menton désigne la table de chevet, et reprend son activité.

Je m'exécute. Bertrand me regarde. Pas de traces de moquerie sur son visage, au contraire, je crois même y lire de la gêne. Immobile, j'observe ma femme qui aspire doucement le sexe encore flasque de son partenaire. Elle s'arrête de nouveau :

« Merci Franck, tu peux sortir maintenant, et referme la porte derrière toi. »

Dans un état second, je me retire et après un dernier coup d'œil, je referme à contrecœur la porte. Je reste prostré, fixant la mince cloison de plâtre qui me sépare de Sophie et de son amant.

Très vite les manifestations de plaisirs reprennent. Je colle mon oreille pour mieux entendre. Les sons me parviennent étouffés mais distincts. Sophie est en furie, Bertrand reste assez sobre et c'est sur demande de Sophie qu’il devient grossier.

Il ajoute néanmoins, avant de sortir :

« Sophie m'a demandé de repasser la semaine prochaine, si tu refuses je comprendrais. »

Sophie est déjà sous la douche. Je m'assoie sur le lit. Elle ressort de la salle de bain quelques minutes plus tard dans un nuage de vapeur. Elle me sourit.

J'attends qu'elle me dise quelque chose, n'importe quoi. Elle n'en fait rien, elle m'embrasse le front, puis se couche. Je l’imite, j'essaie de lui parler, je veux comprendre son comportement. Mais elle refuse. Elle me méprise ouvertement.

Un soir, quelques temps plus tard, elle m'annonce qu'elle sort seule, sans autres précisions : «  Ne m'attends pas, » ajoute-t-elle simplement.

Je l'attends quand même, puis vers minuit, décide de me coucher, cherchant sans succès le sommeil.

Elle rentre effectivement très tard. Je fais semblant de dormir. Elle se couche, son souffle régulier m'indique qu'elle s'endort rapidement. Je la regarde, je veux vérifier quelque chose. Sophie, comme à son habitude, a revêtu une nuisette de soie. Elle dort sur le dos, il est facile pour moi de diriger ma main vers son minou et de le palper. Il est encore poisseux de foutre.

Son sexe est rempli de sperme. Je m'introduis, la sensation est délicieuse.

Je la baise sauvagement. Elle ne proteste pas. Ma femme chérie me laisse enfin la baiser, après que tous ces hommes la chevauchent comme et quand ils veulent. Je suis jaloux et excité…

Quelques jours plus tard, elle m’annonce qu’on va se promener… Bien sur, je n’ai pas mon mot à dire.

Sophie conduit la voiture au milieu des bois. Quelques hommes sont là, seuls dans la nuit qui tombe.

Alain est là aussi.

Elle sort de la voiture, et Alain la fait monter sur le capot. Elle ouvre ses jambes. Elle ne porte pas de culotte sous sa jupe. Les voyeurs commencent à se masser le pantalon. Je les devine bander… Je suis excité, une fois de plus, mais aussi fier de l’effet que leur procure ma femme.

Elle se caresse la chatte, l’ouvrant bien d’une main pour leur offrir la meilleure vue sur son intimité profonde. De l’autre, elle se mase le clito, passe son doigt sur le pourtour de ses lèvres épilées. Les mateurs ont sorti leurs bites, ils se branlent à qui mieux mieux. Le spectacle est grandiose. Sophie, telle une reine sur son trône, se caresse avec gourmandise, les hommes sont là, en cercle, la bite à la main…

Je la sais très excitée par cette situation qu’elle adore.

Elle réclame Alain. Il vient la caresser, se penche pour lui lécher son abricot mur, près à éclater de jouissance. Elle glisse du capot, se tourne, offre sa croupe rebondie aux regards lubriques de tous. Alain sort sa grosse queue, écarte d’une main les fesses de ma femme chérie. J’ai les yeux hors de la tête. Je vais exploser. De l’autre main, il guide son pieu dans son con débordant de cyprine. Il lui laboure la chatte sans ménagement, sous les encouragements des voyeurs. Il jouit en elle, se retire, et m’interpelle : « Hé, le cocu, vient baiser ta femme, maintenant que je l’ai fait jouir… »

Je ne me le fais pas dire deux fois, et me précipite pour remplacer l’amant maudit. Jela pénètre comme je peux, englouti dans le sperme d’Alain. C’est chaud et écœurant. Je me noie dans le foutre. Pourtant, j’accélère les coups de boutoir.

Sophie parle à la cantonade, en riant :

« Regardez messieurs, comme il me baise bien mon petit mari. »

Je jouis de façon désordonnée, et sors ma bite du fourreau gluant. Je sais ce que je dois faire. Je soulève Sophie sur le capot, lui écarte les cuisses. Je mange des deux spermes mélangés, n’en laisse pas une trace. Autour de nous, les hommes jouissent, lâchent leurs semences dans l’herbe. Elle aime, elle jouit sous ma langue.

Puis elle se rhabille. Alain lui parle tout bas. Ils se concertent sur l'attitude à adopter à mon égard. Ils se décident, Alain me tend les clefs de sa voiture et me demande de prendre le volant. Sans réfléchir, je m'installe à la place du conducteur. Ils montent tous les deux derrière. Alain précise :

« Tu nous ramènes chez moi, prends ton temps. »

Je roule, très vite. Je regarde dans le rétroviseur. Ils s'embrassent à pleine bouche. Je fais comme convenu un détour pour gagner du temps.

J'entends le souffle de Sophie s'alourdir, elle gémit. A un feu rouge, je me retourne.

Alain aspire tour à tour chacun de ses seins pendant que Sophie lui caresse les cheveux. Sa tête se renverse vers l'arrière. Sa jupe est retroussée jusqu'à la taille, dévoilant sans pudeur son intimité, ses jambes sont écartées au maximum.

Alain en profite pour la doigter. J'entends nettement les petits bruits humides qui proviennent de sa fente. Nous sommes arrivés chez Alain. Je lui rends ses clés.

Très cool, il me dit que je peux maintenant disposer, Sophie passe la nuit chez lui. Je dois apporter ses affaires de rechange demain matin.

Comme un con, je les regarde entrer dans la résidence, elle ne m'a même pas regardé. J'ai froid, je trouve une cabine téléphonique, appelle un taxi qui me ramène vers mon véhicule. Je rentre chez moi, il est très tard. Je me couche dans le lit vide.

Je me sens seul... Mais après tout, je l’ai bien cherché.

Par Franck et Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Couples candaulistes
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