Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Acte I
Il est dix heures du matin, en pleine vague de chaleur, début août, je suis au boulot, il fait déjà chaud, la météo a prévu 38°C pour l'après midi.
Le téléphone sonne, c'est ma femme au bout du fil.
« Oui, je peux rentrer ce midi. »
Elle m'a juste demandé de rentrer manger ce midi. Comme je suis à quelques minutes, cela ne me pose pas trop de problème et puis il faut dire qu'en plein mois d'Août par cette chaleur, ma motivation n'est pas au top.
J'arrive à la maison à midi juste, sa voiture est déjà là.
C'est plutôt silencieux da ns la maison,
« Les enfants ne sont pas là ?
- Je les ai laissés au centre aéré pour la journée, » me répond-elle avant de venir m'embrasser.
Je découvre ma femme en minijupe et jolie chemise assez ouverte pour laisser apercevoir son beau soutien-gorge aubade.
Elle est resplendissante.
« Bon anniversaire, chéri » me dit-elle ensuite.
Je mets quelques secondes pour réaliser qu'effectivement cela fait tout juste neuf ans qu'on est mariés.
« Avais-tu oublié ? »
Je n'ose pas lui faire croire que j'y avais pensé.
« Désolé chérie…
- Te souviens-tu de notre accord ? me demande-t-elle.
- Euh ! Celui sur le fait de ne pas oublier une fête ou un anniversaire ?
- Parfaitement mon chéri, et je te rappelle qu'en cas d'oubli, l'autre à droit d'exiger un gage.
- Je ne pensais pas que ce pari s'appliquait aux anniversaires de mariage, ma douce, lui dis-je en essayant de l'embrasser pour me faire pardonner.
- Comment ça ? dit-elle légèrement énervée en se reculant pour échapper à mon étreinte.
Pour calmer le jeu, j'abonde dans son sens :
- D'accord chérie, j'accepte. Quel est ton gage ?
- M’obéir sans protester toute la journée, dit-elle
- Original comme gage, qu'est-ce tu manigances ? Tu as l'air d'avoir une idée en tête.
- Tu l'acceptes, oui ou non, mon gage ? » insiste-t-elle.
Je la regarde, elle est ravissante aujourd'hui… A accepter, je risque d'avoir à faire cuisine, de passer l'aspirateur ou de devoir mettre une cravate la prochaine fois que l'on va chez ses parents !
Mais bon si cela lui fait plaisir et peut contribuer à me faire pardonner.
« Ok mon amour, j'accepte ton gage.
- Bien. A partir de maintenant, tu me parles que quand je te le demande et tu répondras en disant : oui maîtresse. Au bout de neuf ans, il est temps de commencer le dressage !
- Ok, chérie, comme tu veux.
- Tais-toi, ça commence mal, on dit oui maîtresse.
- Oui maîtresse, dis-je amusé.
- Bien, c'est mieux, il fait chaud on va manger dehors à l'ombre. Tu vas mettre le couvert.
- J'y vais maîtresse.
- Tais-toi, je ne t'ai pas dit de parler et je n'ai pas fini de donner mes consignes. D'abord, comme il fait chaud, tu te mets tout nu ! Et pendant que tu y es, déshabille-toi avec un peu d'érotisme et plie tes fringues ! Cela changera des vêtements balancés en boule sur une chaise ou en vrac par terre. »
Je suis estomaqué !
Je ne m'attendais pas du tout à ça, mais bon je trouve ça rigolo et comme tous les voisins sont en vacances, je ne risque pas grand chose à me balader à poil dehors.
Je m'exécute donc en essayant même de refaire comme dans les films en faisant tourner ma chemise et tout !
Assise dans le canapé elle me regarde faire. Elle a notre appareil photo numérique dans les mains !
« Tu ne vas pas quand même me prendre en photo tout nu !
- Tais-toi, ton impertinence commence à bien faire ! » single-t-elle.
C'est plus hard que je le pensais. Elle me mitraille et avec une capacité de 250 photos, elle peut en faire des photos…
Je suis maintenant tout nu et commence à plier mes affaires, elle continue à me prendre en photo.
Elle s'est levée pour me prendre sous différents angles. Passés les premiers instants de gêne, je suis maintenant plus et l'aise et même une certaine excitation me gagne.
Ce qu'elle ne tarde pas d'ailleurs à remarquer…
« Est-ce que cela t'excite, mon beau mâle, d'être photographié tout nu par ta femme ?
- Oui
- Oui, maîtresse.
- Oui maîtresse.
- Montre-moi ta belle queue qui gonfle. »
Bien sûr, ça ne loupe pas, ces dernières paroles m'excitent encore plus, et bientôt, je bande comme un taureau. Elle fait quelques gros plans sur mon sexe en érection puis me dit : « Allonge-toi sur la table du salon. »
J’obéis.
Elle m'administre alors plusieurs fessées.
« Tiens c'est pour t'apprendre à mieux obéir. »
Certaines sont gentilles, mais une ou deux font un peu mal. Je proteste faiblement :
« Qu'est ce que tu fais, ça fait mal !
- Silence !
- Tu n'as pas l'air d'avoir compris que tu étais mon esclave pour la journée, alors, je vais te le faire comprendre ! »
Elle me donne alors une fessée.
« On dit merci maîtresse.
- Merci, maîtresse, » dis-je.
Je reçois pendant plusieurs minutes d'autres fessées que je dois ponctuer à chaque fois par un « merci maîtresse. »
« C'est mieux, esclave. On obéit aux ordres et on se tait. Est-ce compris maintenant ?
- Oui, maîtresse.
- Retourne-toi ! »
J'obéis à nouveau sans moufter.
.
Elle saisit alors ma queue encore toute raide et commence à me branler :
« Aimes-tu ça que je te branle ?
- Oui, maîtresse. »
Sur ma réponse elle accélère.
« Quand tu approcheras de l'orgasme, tu me préviendras, est-ce compris ?
- Oui, maîtresse. »
Je sens l'orgasme monter rapidement…
« Je sens que ça vient maîtresse.
- Ok mon ange. »
Là dessus elle s'arrête, sort un bandeau noir de sa poche et me bande les yeux. Elle avait tout prévu la garce !
« Mets-toi debout et suis-moi. »
Je n'ai pas le choix, de toute façon, car elle a attrapé ma queue, toute gonflée, à pleine main. Elle me dirige ainsi un peu partout, histoire que je ne sache plus où je vais.
Elle me lâche soudain.
« Branle-toi et préviens-moi juste avant d'éjaculer, je souhaite immortaliser ça ! »
A la luminosité qui filtre derrière le bandeau je pense que l'on est dehors !
Elle me demande de me masturber dehors devant elle en plein jour, chose que je n'ai jamais faite !
Comme j'hésite, ça ne loupe pas elle m'interpelle.
« Allez, on s'astique le manche, esclave ! »
Je commence à me branler.
Drôle de sensation, je fais le vide dans ma tête pour ne plus être gêné, je me lâche, j'imagine qu'il n'y a personne. J'accélère le rythme.
« C'est entrain de monter maîtresse. Ça vient, ça vient, oh! Oui oh! oui, aaahhh, aaaahhhh, aaahhhhh, aaahhhhhhhh !!! »
Je sens jaillir de ma queue de longs flots de sperme. « Bouge pas mon beau mâle, reste où tu es ! »
J'entends une bouteille de champagne qui est débouchée, puis, un peu plus tard :
« Tiens prends ta coupe. »
Elle me donne une coupe de champagne : « Santé ! Mon beau male ! À nos neuf ans, cul sec ! »
Je bois d'un coup ma coupe de champagne, elle a un goût et une consistance bizarre.
« Pas mal mon cocktail non ?
- Étrange mais bon.
- Veux-tu ma recette ?
- Oui maîtresse.
- 2/3 champagne, 1/3 de cointreau et… une bonne dose de sperme tout juste tiré ! »
J'ai un haut le cœur
« Ne fais pas ta mijaurée, mon ange. Toi qui me demandes souvent de finir dans ma bouche quand je te suce ! En plus, tu as de la chance, il est dilué, moi je trouve que cela rehausse pas mal le champagne. A la tienne ! »
Et elle me ressert un verre que je suis bien obligé de boire.
« Enlève ton bandeau et vas mettre le couvert dehors pendant que je finis la préparation du repas. »
Je l’enlève, et je constate alors que suis bien au milieu du jardin, tout nu, une toile cirée parsemée de sperme à mes pieds disposée sans doute là pour les besoins du cocktail.
Je me retrouve donc à faire des allers et retours entre le jardin et la cuisine nu comme un vers.
Et comme le coin à l'ombre est au fond du jardin, je dois tout le traverser à chaque fois !
J'ai un peu peur à chaque traversée que quelqu'un me voie, comme le facteur arrivant à l'improviste avec un recommandé, ou un voisin rentré plutôt que prévu. Je guette chaque bruit suspect, mais tout est calme. Étrangement calme, comme si la vague de chaleur avait endormi tout le monde.
Une fois la table mise, elle arrive avec deux énormes langoustes mayonnaises.
« Ressers du champagne, me dit-elle. Pour le temps du repas, entracte. Tu as le droit de parler mais tu restes nu. »
Tout en dégustant nos deux langoustes, nous parlons de choses et d'autres, des neuf ans déjà passés ensemble, des bons souvenir des enfants, de nos projets, mais pas un mot sur ce qui vient de se passer !
La chaleur est étouffante, et finalement, je ne suis pas mécontent d'être nu. La fin du repas est arrivée, elle me fait un gros bisou langoureux, puis me dit :
« Fin de l'entracte ! Tu débarrasses tout et nettoie la toile cirée sur laquelle tu as éjaculé. Quand tu seras prêt, tu me préviendras, je vais faire une sieste sur la chaise longue. »
J'obéis, et un quart d'heure plus tard je la préviens que tout est fait.
« Ok, mon agneau, viens par ici. »
Elle écarte alors ses cuisses, j'aperçois son sexe, car elle n'a pas de slip…
« Viens me lécher ! »
Je m'exécute, à genoux, son sexe est fraîchement épilé ! Pas un poil pour arrêter mes doux baisers.
Je parcours lentement tout son sexe, m'attardant sur son mont de venus avant de plonger sur son clitoris. Elle gémit, cela m'encourage et je continue à la lécher tout doucement.
« Plus fort, esclave ! »
J'accentue mes caresses, j'insiste plus sur son clitoris que je finis par gober. Je relève la tête pour la regarder et je m'aperçois quelle est encore entrain de me prendre en photo !
Je ne peux me retenir de lui demander :
« Qu'est ce que tu comptes faire des photos ?
- Tais toi et lèche ! Pour ta gouverne mon chou, je vais me faire un dossier sexy perso sur l'ordinateur à coté de celui où il y a toutes tes femmes à poil ! Eh oui ! Pas de bol mon chou… je suis tombée dessus ! Remarque que cela m’a donné des idées ! Cela monte doucement, continues à me lécher… »
J'accélère, et j'accompagne du mieux possible ma femme dans sa jouissance.
Je sens rapidement du liquide couler, j'hésite un peu à continuer à la lécher. Elle met ses deux mains sur ma tête et me la recolle fortement sur son sexe.
« Ce n'est pas fini, lèche tout mon jus ! »
Mon nez est collé à l'entrée de son vagin, j'ai un peu de mal à respirer, mais je m'attelle doucement à la tâche. Elle gémit et se détend un peu.
La pression sur ma tête baisse, je peux enfin dégager mon nez et respirer. Mon visage est plein de sa cyprine, je continue à la lécher doucement et je la nettoie petit à petit.
Son jus est douceâtre, légèrement parfumé. Goûter au jus de sa femme est une chose mais lui nettoyer son sexe en entier je ne l'avais pas encore fait !
J'arrive, au bout de quelques minutes, à avoir tout nettoyé, sauf mon visage !
« Merci chéri, rhabille-toi, essuie-toi le visage et fonce au boulot. Tu es déjà en retard et ne te fatigue pas trop, car ce soir il faudra que tu sois en forme. Eh ! Avant de partir, tu m'enfiles ça... » Et elle me tend un string…
Encore une première, je n'en avais jamais encore mis un seul. Résultat, je la fais éclater de rire car je me trompe et l'enfile mal, une cuisse à la place du bassin !
Bien sur la séance photo est de rigueur…
Finalement après trois tentatives j'y arrive. Il faut dire qu'il est vraiment string de chez string !
Je l'embrasse.
« Avec ton string qui te rentre dans le cul, je suis sûr que tu vas penser à moi tout l'après midi. »
Sur la route du travail, je repense à ce qu'il vient de se passer, quelle surprise, je n'avais jamais vu ma femme aussi déchaînée, aussi érotique.
Je ne sais pas ce que sera la soirée, mais une chose est sûr, c'est qu'elle avait raison concernant le string !
Acte II
L'après midi est particulièrement chaude, on dépasse les 40° dehors et plus de 34° dans mon bureau non climatisé. Je suis en sueur, le string me colle au cul et cela me gêne pas mal.
Je ne sais pas si on s'y fait, mais en tout cas si le but recherché est de ne pas oublier de penser à sa chérie, ça marche plutôt bien !
Le soir venu, de retour à la maison je suis accueilli par un gros bisou.
« Alors, as-tu pensé à moi ?
-Oui, avec le string, je ne risquais pas d'oublier, et toi ?
- Oh ! Moi, tu verras de soir, me dit-elle avec un grand sourire. En attendant mets-toi à l'aise ,et entracte jusqu'au coucher des enfants. »
Il est vingt deux heures, le soleil commence à se coucher et la température doit être encore autour de 32 ° !
Les enfants sont couchés mais vu la chaleur, ils ne dorment pas encore.
« Chéri, c'est reparti ! Esclave, tu vas prendre une bonne douche et te raser tout le sexe, je ne veux plus voir un poil ! N’oublie pas tes fesses ! Quand tu seras prêt, tu m'appelleras ! »
Dans la série innovation, on continue !
Je me suis souvenu elle m'a déjà rasé les bourses et la queue, c'est plus sensuel pour moi et plus agréable pour elle lors d'une fellation mais c'est bien la première fois qu'elle me demande de me raser intégralement ! Je commence par le rasage en m'appliquant pour ne pas me couper. Une bonne douche bien tiède, limite froide ensuite cela fait du bien. Me voilà tout nu, sans poil sur le sexe, ni l'entrejambe, ni sur le pubis.
Je me regarde dans la glace, je trouve le résultat plutôt sympa. J'avais peur de ressembler à un petit garçon, mais ce n'est pas du tout le cas. Ma belle queue est plutôt mieux mise en valeur ainsi, que noyée parmi les poils.
J'entrebâille la porte de la salle de bain et glisse un « je suis prêt chérie. »
« Ok, viens me rejoindre dans le jardin et ne t'inquiètes pas, les enfants dorment. »
Je me retrouve donc de nouveau nu dans le jardin, la nuit est tombée mais le gros spot qui éclaire la moitié du jardin est allumé.
« Viens ici me montrer le résultat », me dit-elle.
Stupeur ! Elle a troqué l'appareil photo contre le caméscope numérique, et elle est entrain de me filmer, la garce !
« Pas mal, tourne-toi ! »
J'obéis.
« Écarte les jambes et montre-moi tes fesses ! »
Je ne sais pas si elle continue à filmer, je crois bien que si.
« Bien, prend l'arrosoir, remplis-le au récupérateur et va arroser le parterre de fleurs. »
Avec le récupérateur d'eau de pluie qui récupère toute l'eau du toit, on peut toujours arroser malgré les restrictions.
J'obéis donc, et me voilà à arroser des fleurs dehors en plein été, de nuit, mais éclairé par un puissant spot, tout nu, le sexe rasé et ma femme me filmant.
L'évocation de cette situation me donne à moitié la trique, ce que remarque bien sur ma femme.
« Tiens, tiens cela t'excite, ce petit jeu. Branle-toi un peu, et n'arrête pas d'arroser les fleurs pour autant ! »
Elle tourne autour de moi et me filme sous tous les angles tandis que je m'exécute.
Une fois l'arrosoir vide pour la troisième fois, elle me dit :
« C'est bon pour les fleurs, maintenant viens par ici mon beau jardinier. Prends ce flacon d'huile et enduis-toi tout le corps avec. »
C'est notre huile de massage « maison », parfaite pour les massages en tous genres, mélange d'huiles d’amande douce, d'abricot et de germe de blé. Je débouche le flacon et commence à m'en mettre sur le buste et les bras.
« Huile-toi et caresse-toi avec un maximum de sensualité, me dit-elle en me filmant au caméscope. Je te préviens, si je ne suis pas satisfaite de ton érotisme, tu retournes à la douche et tu recommences. »
J'étale doucement l'huile sur mon corps. Je commence par la main gauche, l'avant-bras avant de remonter sur l'épaule. Je change de main au niveau de la nuque, redescends sur le bras droit jusqu'à la main. Je parcours ensuite mon buste de haut en bas, puis le dos en descendant progressivement vers mes fesses. Je reprends de l'huile pour les masser le plus sensuellement possible, je regarde ma femme, elle a l'air d'apprécier.
« Pas mal, continue, penches toi un peu pour que je puisse bien filmer ton beau petit cul », me dit-elle
J’obéis, massant encore pendant quelques instants mes fesses avant de descendre le long des cuisses jusqu'aux pieds. Je reprends de l'huile pour remonter le long des genoux, puis mes cuisses pour finir par faire le tour de mon sexe. Ma femme s'approche pour me filmer en gros plan.
« Reprends de l'huile et caresse-toi ! Je veux voir ta queue grossir petit à petit. »
Je verse directement une bonne quantité d'huile sur mon sexe, puis je commence à me caresser doucement. Sans les poils, c'est très agréable notamment le passage sur le pubis. Tellement agréable que je ne mets pas longtemps avant de rebander ferme.
Elle pose le caméscope, est-il encore entrain de filmer ?
Elle vient parcourir mon corps de la tête aux pieds de ses mains douces. Elle remonte ensuite vers mon sexe. Elle l'empoigne d'une main et me masturbe doucement, tandis que son autre main caresse mes fesses. J'aime !
« Très agréable ce corps imberbe à caresser… J'abuserais bien de toi tout de suite, mais la soirée ne fait que commencer ! » dit-elle.
Là-dessus, elle arrête ses caresses, je n'étais pas loin du point de rupture ! Je n'ose pas imaginer la suite si j'avais éjaculé dans sa main…
Elle me place un bandeau sur les yeux, me fait tourner plusieurs fois sur moi-même puis d'une main elle saisie mon sexe.
« Suis-moi »
Ai-je le choix ?!
Et voilà ma femme qui me promène en me tenant fermement par la queue, par un soir d’août, nu dans le jardin, le sexe rasé, le corps huilé, chose impensable pour moi pas plus tard qu'hier !
Je ressens un mélange de stress et d'amusement pour cette situation avec, en fond, toujours l'appréhension que quelqu'un nous voie. Elle, elle a l'air de s'amuser comme une folle aussi j'essaye de m'oublier, de me relâcher et de jouer le jeu à 100 % pour la soirée soit parfaitement réussie.
Brusquement je reçois une fessée
« La promenade est terminée, mets-toi à genoux. »
Elle me lâche alors et me met dans les mains le flacon d'huile.
« Comme tu as l'air d'être au point au niveau massage, tu vas me masser délicatement tout le corps et pour que cela soit plus sensuel, tu garderas les yeux bandés amis d'abord déshabille-moi. »
Je lui enlève sa chemise, son soutien gorge puis sa jupe. Je cherche ensuite son slip mais elle n'en a pas !
Je ne résiste pas à lui poser la question :
« Depuis quand as-tu enlevé ton slip ?
- Je ne l'ai pas remis après avoir joui ce midi, je suis restée ainsi tout l'après-midi, c'était plutôt agréable ! Mais ça suffit, penches-toi. »
Je reçois alors plusieurs fessées.
« On ne parle pas sans mon accord, allez, au travail mon beau jardinier. »
Elle s'allonge sur le ventre. Je lui masse délicatement le corps en commençant par le haut du dos, la nuque avant descendre doucement vers ses fesses aux formes bien arrondies reconnaissables entre toutes. Elle roucoule !
J'attaque ensuite à ses jambes, des cuisses jusqu'à la dernière extrémité du petit orteil.
Elle se retourne et je procède de même du coté pile sans insister sur son sexe et en massant délicatement ses beaux petits seins en forme de poire.
« Occupe-toi maintenant de ma petite fleur, mon jardinier, viens la butiner avec ta langue. »
Mais comme j'ai toujours le bandeau sur les yeux, elle guide ma tête entre ses cuisses.
« Maintenant, au travail jardinier, butine-moi! »
Je commence à lui lécher doucement son mont de vénus, avant d'aller explorer un peu plus bas son sexe tout mouillé. Je prends mon temps et effectue plusieurs fois le tour avant d'aller à la rencontre de son clitoris. Je le lèche doucement, le suce, puis l'aspire dans ma bouche. Je sens ma femme onduler doucement, je continue à la lécher en accélérant doucement le rythme.
Bientôt son ondulation s'accélère, son souffle aussi, je suis son rythme.
« Ca monte, ça monte, ça monte, maintenant viens me rejoindre, viens me pénétrer avec ta belle queue »
Je la pénètre doucement, hum ! Que c'est bon !
C'est tout doux, nos deux pubis se frottent l'un contre l'autre. Quelle agréable sensation de sentir mon pubis rasé glisser doucement contre le sien aussi lisse que le mien.
Je sens rapidement son orgasme monter. Je sens sa cyprine couler contre mon sexe, je continue doucement à lui faire l'amour, le plus voluptueusement possible.
Après plusieurs minutes et elle me dit :
« Merci mon beau jardinier, que c'était bon ! As-tu éjaculé en même temps ?
- Non chérie.
- Vas me lécher maintenant, lèche-moi comme ce midi tout mon jus ! »
Je redescends entre ses cuisses et commence à goûter timidement sa cyprine avant de petit à petit, me lâcher totalement et lui lécher son sexe à fond !
Elle jouit ainsi rapidement, et mouille encore plus que la fois précédente !
« Lèche-moi bien et viens me faire goûter. »
Je rentre ma langue le plus profondément possible en elle, puis viens l'embrasser.
L'échange est fougueux !
« Redescends. »
J'obéis, elle se retourne et m'offre ses fesses.
« Lèche-moi maintenant mon petit cul. »
J'entame du bas de ses reins un long parcours avec ma langue, tournant autour de son petit trou.
A chaque tour, je me rapproche du centre, j'y arrive enfin et je commence à le lui lécher doucement.
« Plus fort, je veux sentir ta langue ! »
Décidément, elle qui est souvent timide de ce coté-là… J'obéis, lui empoigne ses fesses à deux mains pour bien les écarter, et j'introduis ma langue le plus profondément possible. Elle ne met pas longtemps à réagir
« C'est bien mon beau jardinier, continue, lèche mon petit cul à fond. Réalises-tu que tu es filmé ! »
De surprise, j'arrête de la lécher.
« Je n'ai pas dit d'arrêter continue ! Après t'avoir bandé les yeux, j'ai placé la caméra sur son trépied dans un endroit bien situé qui me permet de tout filmer. Quel film érotique je suis entrain de faire ! Bien meilleur que ceux que tu as dans ton armoire n'est ce pas ?
- Je ne sais pas, je ne voie rien.
- Ne t’inquiète pas ! On aura l'occasion de le voir ensemble et il faudra que tu me montres comment faire un montage sur l'ordinateur et inclure les photos de ce matin.
Tu rêvais d'une femme épanouie et libérée, et bien tu vas être servi mon amour ! »
Je continue toujours à lui lécher ardemment les fesses en pensant à tout ce qui a changé en moins d'une journée. C'est à la fois étrange et plaisant, mais je n'ai pas le temps de m'attarder dans mes pensées que j'entends :
« J'ai encore envie de toi, viens mon jardinier me labourer mes fesses, je veux sentir ton soc en moi dans mon petit cul. Amène-moi ta queue que je l'enduise de lubrifiant, pas question d'avoir mal ! »
Elle s'est emparée de ma queue, me branle un peu et je sens bientôt un liquide froid dessus.
« Aller viens, mais attention, pas question que t'éjacules dans mes fesses, OK ?
- Oui chérie. »
Je guide avec ma main mon sexe tendu vers son petit trou, comme je ne vois rien, j'ai du mal à trouver l'entrée, rapidement je sens sa main venir à la rescousse, et placer ma queue à l'entrée de son petit cul. Je le pénètre doucement mais profondément.
Elle est bien serrée, qu'il est bon son petit cul ! Après quelques instants, je commence à bouger doucement et progressivement j'accélère le rythme.
Elle m'encourage : « Vas-y mon chéri, accélère, prends-moi mon cul ! »
Je sens mes couilles venir buter contre sa main venue je pense caresser son clitoris.
Elle gémit, me crie : « Plus vite, plus fort, vas-y laboure-moi, fais-moi jouir ! Oui ! Comme ça, allez ! »
J'accélère encore et je l'encule à fond de plus en plus vite. Je sens les spasmes accompagner la jouissance de ma femme, j'ai le plus grand mal à ne pas exploser moi aussi !
Je souffle, je me relâche tout en gardant le rythme ! Faire du sport, ça aide !
Son orgasme est passé, je diminue mon rythme doucement, bientôt je fais de grands aller-retour lentement, le plus doucement possible, avec mon sexe gonflé, prêt à exploser, elle doit bien me sentir !
« Ah, merci mon amour, c'était génial, je n'ai jamais aussi bien joui avec mes fesses. Tu en es où, toi ?
- Prêt à exploser, maîtresse.
- Ça te ferait plaisir de venir m'asperger le visage ? »
Je n'en reviens pas, elle qui me le refusait tout le temps, me propose de réaliser enfin un de mes fantasmes.
« Bien sur que oui, tu le sais bien, maîtresse, lui dis-je.
- Enlèves ton bandeau, viens t'asseoir sur mon ventre et branle-toi ! »
J'obéis avec plaisir. Je ne mets pas longtemps à jouir. Un premier jet puissant atterrit sur son front, les suivants s'éparpillent sur son nez, sa joue, dans sa bouche grande ouverte et les derniers tombent sur son menton et coulent doucement le long de son cou.
Elle me regarde avec un grand sourire.
« Viens m'embrasser. »
Je viens lui déposer un doux baiser chaste sur la bouche un peu rebuté, je pense, comme beaucoup de mecs, par mon propre sperme. Soudain, d'une main, elle me saisit le cou et me roule un patin d'enfer avec encore mon sperme dans sa bouche.
J'ai du mal, mais une tape sur mes fesses me rappelle que le jeu n'est pas fini. Je me relâche et participe sans retenue à ce baiser. Elle rompt le baiser en premier et me dit :
« T'as peut-être mis ton sperme partout mon petit jardinier, mais ce n'est pas fini. Comme tu n'as pas été au top sur ce bisou, tu vas maintenant me lécher tout le sperme que t'as mis sur moi ! Je veux sentir ta belle langue nettoyer mon visage et mon cou ! Au boulot ! »
Je reçois en même temps une fessée. Je commence par un tout petit amas, un peu réticent.
« Allez, tu as voulu finir comme çà, maintenant tu nettoies, et quand t'auras fini, tu viendras m'embrasser. »
Je n'avais jamais goûté mon sperme avant, mis à part ce midi bien dilué dans du champagne. J'ai du mal au début, mais ses ordres, appuyés par quelques fessées, finissent par me faire obéir.
Je lui lèche doucement les sourcils, le front. D'un grand coup de langue j'avale une longue traînée de sperme sur sa joue droite. Je lui bisouille le menton, puis le cou avant d'aller lui nettoyer son sein gauche où quelques gouttes ont atterri.
J'ai du mal à finir mais j'y arrive, visiblement elle, elle adore sentir ma langue la lécher doucement et me regarder faire !
Je viens finalement l'embrasser, l'échange est toujours aussi sauvage !
« C'est bien mon beau, tu vois ce n’était pas si difficile ! Je suis sûr maintenant que tu apprécieras mieux les fellations où j'avale ton sperme. Rien de tel que des expériences partagées pour mieux apprécier. D'ailleurs, ça me donne des idées mais je les garde pour un autre jour. Le jeu est fini, viens. »
Elle ramasse ses affaires, éteint la caméra et on part tous les deux reprendre une douche.
Peu après nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Avec juste ces derniers échanges avant de sombrer dans le sommeil :
« Bonne nuit mon amour, je pense que tu n'oublieras pas de sitôt nos neuf ans de mariage !
- Bonne nuit chérie et bon anniversaire de mariage. »
Merci Sophie, de toutes ces bonnes idées !!
Il faut parfois tester des situations inédites.. Mais je sais que moi, j'ai mes limites ! La soumission en est une....