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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chapitre I - L'Initiation

 

 

 

Ce soir, je vais vous raconter les aventures insolites de ma cousine, Astrid Meillac de Laulne. C’est une belle femme de quarante-cinq ans issue de la noblesse locale, élevée selon les principes chrétiens et les règles les plus strictes qui ont cours dans son milieu.


Mais depuis quelques temps, de nouveaux démons l’habitaient…. Elle voyait régulièrement au loin, chez es voisins, leur fils, un jeune homme d’une vingtaine d’année, Hervé. A sa grande surprise, elle se prenait à l’épier, à le regarder faire du sport dans son jardin. Elle admirait la peau mate et lisse, la belle musculature du jeune homme. Et elle en éprouvait un désir qui la hantait. Elle avait bien tenté de se confesser au prêtre de son village, pour éloigner les démons de la chair qui l’attiraient de plus en plus… Mais rien n’y faisait : elle avait envie de ce garçon !

 

Dix-sept heures sonnèrent à l’horloge de famille de Marie-Hélène, sa confidente. Astrid décida de quitter son amie, chez qui elle prenait le thé. La journée avait été longue, et elle avait hâte de rentrer chez elle, s'installa au volant de sa Fiesta. Là, avant de démarrer, elle prit le temps de bloquer les portières de l'intérieur. Elle avait pris cette habitude après avoir vu un reportage à la télévision, où de jeunes voyous n'hésitaient pas à ouvrir les portières des automobiles. Ils dérobaient ainsi par la force les sacs à main des automobilistes féminines.

Puis elle prit la route pour rejoindre sa  maison de maitre, distante d’une dizaine de kilomètres, où l'attendaient sans doute Edmond son mari, Virginie et Matthieu, ses enfants.  

 

Mais comme elle passait devant la piscine, elle reconnut une silhouette qui, son sac de sport posé à ses pieds, téléphonait à l'aide d'un portable. Son cœur s'emballa soudain, tandis que sa respiration se bloquait. En ce jeune homme vêtu d'un short de sport et d'un maillot aux couleurs de l'équipe de natation, elle avait reconnu Hervé, son jeune voisin si désirable….

Stoppant la voiture au niveau de l'adolescent, elle fit descendre la vitre, coté passager.

« Hervé ! Appela-t-elle. Monte !... Je te ramène ! »

 

Reconnaissant en la conductrice de la Fiesta la voisine de ses parents, Hervé sentit à son tour son cœur battre la chamade. Elle l'avait si voluptueusement initié aux jeux amoureux un mois auparavant, qu’il en avait encore le cœur et le corps chavirés.  

Sans hésiter, tout heureux de cette rencontre, il lança son sac de sport sur le siège arrière avant de s'installer à coté d’elle.

Astrid, les mains tremblantes d'émoi redémarra, la gorge nouée :

« Que fais-tu ici ? demanda-t-elle d'une voix sourde, afin de briser le silence un peu lourd.
- J'étais à l'entraînement de natation, répondit Hervé, aussi ému que sa compagne... J'appelais mon père pour qu'il vienne me chercher. »

 

Tout en conduisant lentement, Astrid songeait que, si elle voulait profiter de la chance inespérée qui s’offrait à elle en la rencontre d’Hervé, il fallait qu'elle fasse le premier geste, le garçon étant très timide. Cet adolescent avait depuis un mois inexplicablement éveillé en elle des désirs sexuels de plus en plus incontrôlables…   

 

« Tu as un peu pensé à moi ? demanda-t-elle d'une voix émue.

- Oui, reconnut Hervé qui, depuis un moment, fixait les longues jambes bronzées de la conductrice, dévoilées par sa coute jupe.
- Moi aussi, avoua Astrid dont le corps commençait à se couvrir d'une sueur érotique. J'ai souvent pensé à toi. Bien trop souvent, murmura-telle pour elle seule.
 - Oui », acquiesça Hervé, de plus en plus excité par la vue des cuisses à demi nues.

 

S'apercevant de la direction du regard de l'adolescent, Astrid ressentit une soudaine chaleur se propager dans le bas de son ventre et à l'intérieur de son sexe. C’était inhabituel, son mari la laissant de marbre depuis des lustres. Instinctivement, elle resserra ses jambes, autant que lui permettait la conduite du véhicule. Elle pressa ses cuisses l'une contre l'autre pour tenter d'atténuer le désir qui humectait sournoisement sa vulve affamée. Voyant que les kilomètres défilaient et qu'ils allaient bientôt arriver à destination, Astrid décida qu’il lui fallait à tout prix prendre l'initiative, si elle voulait en avoir le cœur net…

 

Comme un automate, sans penser à rien, elle ôta sa main droite du volant, elle la posa sur la cuisse nue de l'adolescent. Aussitôt, une troublante émotion la saisit, de sentir cette chair ferme, musclée, frémir sous ses doigts. Le désir qui, déjà, lui crispait le bas-ventre et lui incendiait la chatte, s'accentua encore un peu plus…

 

Quand elle le toucha, Hervé tressaillit de surprise et de plaisir. Tout son être se tendit dans une avide attente. Comme la douce main féminine lui effleurait la cuisse d'une manière affolante, en frôlant insensiblement son entrejambe, il sentit son membre viril se gonfler inexorablement.

Excité par cette affolante caresse, il s'empressa d'écarter ses jambes, espérant que la femme vienne le toucher plus intimement. Il attendait fébrilement qu’elle caresse son membre qu'elle avait, par ses attouchements, tiré de sa torpeur.

 

Percevant sous sa main les frémissements qui agitaient la cuisse du garçon, Astrid en éprouva un intense plaisir. Tandis qu'une nouvelle onde sensuelle la submergeait, elle laissa ses doigts errer au hasard sur cette chair douce et ferme à la fois.

 

Tout en fixant la route devant elle, elle ne put s'empêcher de revoir en songe le corps nu de l'adolescent : son torse lisse, son ventre dur, et surtout sa verge longue et épaisse qui se laissait deviner sous le fin tissu du short.

 

Une envie folle de sentir sous ses doigts cette virilité massive, la saisit. Elle laissa alors sa main remonter en direction de l'entrecuisse du garçon. Le cœur battant, elle réussit à glisser ses doigts sous la jambe du short. Et lorsqu’elle sentit à travers le tissu du slip, la raideur de la jeune bite, une boule de désir lui obstrua la gorge, tandis qu’une chaleur intense se propageait dans son bas-ventre. Au fond de son vagin, un véritable brasier lui irradia les entrailles. Entre ses cuisses, ses lèvres intimes s'écartaient en humidifiant sa légère culotte :

« Tu as envie de moi ? demanda-t-elle émue devant sa découverte.
- Oh, oui ! grogna Hervé, au supplice.
- Moi aussi, j'ai très envie de toi, » lui répliqua-t-elle dans un souffle.

 

Cependant, comme ils arrivaient devant un rond point, Astrid retira à regret sa main de l'entrejambe d’Hervé pour reprendre le volant. Mais comme elle négociait le virage à gauche, elle sentit les doigts du garçon se poser sur son genou découvert. Puis ils remontèrent doucement le long de sa cuisse droite, s'infiltrèrent sous sa jupe et tentèrent d'atteindre son entrecuisse.

Tremblante d'émoi, elle laissa l'adolescent continuer sa douce progression en direction de son intimité moite de désir.

 

Hervé, la gorge nouée par ce qu'il avait osé entreprendre, éprouvait un sensuel plaisir à sentir la chair veloutée de la cuisse féminine frémir doucement sous ses doigts fiévreux. Fixant avec avidité les genoux dénudés par la courte jupe retroussée, il tenta d'infiltrer ses doigts fureteurs dans la fourche des cuisses de sa compagne. Il percevait avec émotion la douce tiédeur qui s'en dégageait.

 

Perdant complètement conscience de la réalité, Astrid songea qu'il fallait à tout prix trouver un endroit suffisamment désert pour s'arrêter et profiter de l'incroyable chance qu'elle avait eue en rencontrant l'adolescent. Comme les premières maisons du lotissement où ils habitaient apparaissaient au loin, elle sentit une angoisse lui serrer la gorge à l'idée qu'elle allait être obligée de laisser partir Hervé.

 

Soudain, elle se rappela qu'un groupe d'immeubles se trouvait en construction pas très loin. Songeant qu’à cette heure, les ouvriers ne travaillaient plus, qu’il y avait peu de chance que des curieux visitent les lieux, elle engagea la Fiesta dans la direction du chantier désert :

« Tu as bien cinq minutes ? demanda-t-elle à l'adolescent d'une voix rendue rauque par l'intense désir qui maintenant l'habitait… Tu veux que l'on s'arrête un moment ?
 - Oh oui, » approuva Hervé complètement affolé par les courtes bouclettes pubiennes qu'il percevait sous ses doigts.

 

Louvoyant entre les constructions en cours, Astrid rechercha un endroit suffisamment désert et éloigné de la route, afin que l'on ne remarque pas la voiture. Lorsqu'elle coupa le contact, Hervé avait enfin réussit à glisser ses doigts sous son slip et tentait maladroitement de les enfoncer entre les grandes lèvres de sa faille sexuelle béante.

 

Le bas-ventre crispé par le puissant désir qui lui ravageait maintenant les entrailles, elle contrôla une dernière fois que les portières de la voiture étaient bien bloquées. Elle avait perdu toute notion du bien et du mal…

Elle rabaissa vivement son dossier afin d'être à l'aise pour subir les caresses malhabiles de son jeune compagnon. Décollant les fesses de son siège, elle retroussa sa jupe jusqu'à la taille pour pouvoir largement écarter ses jambes, et s'offrir ainsi complètement aux attouchements de plus en plus insistants du garçon.

 

Jamais elle n’aurait osé imaginer etre un jour dans cette position impudique, elle la jeune comtesse de Laulne, héritière d’une des plus vieillies familles de France..

 

Ayant enfin son amante à sa disposition, Hervé s'activa entre les grandes lèvres qu'il venait de mettre à jour. Maladroitement, il chercha l'entrée du sanctuaire sacré, découvert un mois auparavant. Depuis, il peuplait ses rêves érotiques et embrasait sa virilité.

Sans avoir à tâtonner bien longtemps, son majeur glissa le long de la fente béante et inondée. Il s'enfonça entièrement dans ce repaire brûlant. Une chaude liqueur lui poissa aussitôt la main. Les yeux fixés sur l'abondante pilosité brune qui moutonnait sur le bas-ventre de sa compagne, Hervé explora avec trouble et curiosité la vulve profonde et chaude.

 

La gorge nouée, il agita en tous sens son doigt raidi, le laissant longuement aller et venir le long des parois juteuses de l'affolante galerie sexuelle. Il y avait connu, un mois plus tôt, et pour la première fois, un orgasme extraordinaire.

Dans son slip, sa verge terriblement tendue déformait outrageusement le devant de son short.

 

Bien calée dans son siège, Astrid, les yeux clos pour mieux apprécier les caresses, se laissa emporter par l'extraordinaire plaisir qui envahissait peu à peu son corps, depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre.

Dans son corsage, ses seins emprisonnés dans les corbeilles de dentelle, s'étaient douloureusement gonflés, tandis que ses mamelons, enflés par le désir, réclamaient leur part de caresse.

 

Sous ce doigt malhabile qui la fouillait intimement, elle sentait sa chatte se liquéfier littéralement.

« Oui, continue, gémit-elle à l'intention de son jeune amant… C'est merveilleux… Doucement, va doucement... Oui comme ça… Huumm, c'est bon… »

 

Grisé par l'ampleur de la vulve à l'intérieur de laquelle son doigt se démenait, Hervé accola son index à son majeur et il continua ainsi à ramoner cette chatte si accueillante.

« Oh oui ! râla Astrid en s’arquant sous cette nouvelle pénétration. Oui, c'est bon. Branle-moi bien, mon chéri. Tu me rends folle de toi... »

   

Carlos vivait sur le chantier depuis trois mois, et ce, jusqu’à la fin des travaux. Il se sentait bien seul le soir. Alors qu'il quittait son logement de fortune, Carlos distingua avec surprise une petite voiture garée dans un coin discret du chantier.

 

Curieux, songeant qu'il s'agissait peut-être d'une voiture volée, il s'en approcha doucement. Mais à peine fut-il à quelques mètres, qu'il s’aperçut que celle-ci était en fait occupée par un couple. Ce dernier semblait simplement occupé à se procurer du plaisir, loin des regards indiscrets.

 

Poussé par une curiosité perverse, il fit encore quelques pas. La première chose qu'il découvrit à travers le pare-brise, fut le visage d'une femme élégante, les traits ravagés par le plaisir, les yeux clos, la bouche entrouverte, la tête reposant sur le dossier rabattu. Et, penché sur elle, le haut d'un crâne, appartenant sans aucun doute à un jeune homme. Alors qu'il aurait dû se retirer discrètement, Carlos, saisi d'une curiosité vicieuse, se pencha afin de ne pas se faire remarquer. Il s'approcha furtivement de la voiture. Ce qu’il vit alors, l'immobilisa, et son souffle s’accéléra.

 

A l'intérieur de l’habitacle, la femme était allongée sur son siège au dossier légèrement rabattu. Sa jupe, largement retroussée jusqu'à la taille, dénudait son ventre quelque peu arrondi recouvert par une fine culotte noire pratiquement translucide. Penché sur ce bas-ventre, un jeune homme, nettement moins âgé que sa partenaire, avait largement repoussé sur le coté le morceau de dentelle, afin de découvrir le sexe de sa compagne.

 

D'où il était, Carlos put voir au centre d'une épaisse touffe de poils bruns. Les doigts du jeune garçon s'agitaient follement dans la chatte rose de la femme. Jetant de nouveau un coup d’œil en direction du visage de celle-ci, le gardien portugais fut surpris par l'expression d’intense volupté qui le déformait.

 

Sentant le plaisir s'emparer insensiblement de son bas-ventre, Astrid, les yeux toujours clos, porta machinalement ses mains à sa poitrine douloureuse ; et prise d'une soudaine fièvre érotique, elle entreprit de faire sauter un à un les boutons de son chemisier qu'elle repoussa de chaque coté de son torse. Puis, gémissant doucement sous le plaisir que son jeune compagnon lui prodiguait si généreusement, elle repoussa les balconnets de dentelle de son soutien-gorge, libérant ses seins gonflés par le désir. Empoignant ses lourdes mamelles, elle entreprit de les presser avec une fièvre grandissante, tout en encourageant son jeune partenaire :

« Oh oui, c'est bon, mon chéri… Continue comme ça ! … Oui… Oh oui…. Enfonce bien tes doigts !... »

 

De son poste d'observation, Carlos pouvait contempler avec envie les merveilleux seins de la femme. Sans être trop gros, ces derniers avaient la sensuelle pesanteur commune aux appas des femmes ayant passée la quarantaine. D'une blancheur de lait, ils possédaient de larges aréoles roses, au centre desquelles se dressait un téton d'une étonnante longueur. Mais à contempler pareil spectacle luxurieux, Carlos ne tarda pas à sentir le désir l'envahir peu à peu et sa virilité se gonfla lentement. Alors sans réfléchir à ce que son geste avait d'impudique, il fit prestement glisser le zip de sa braguette.

 

En se contorsionnant, il en sortit difficilement son membre épais et raidi. Tout en suivant d'un œil allumé le spectacle terriblement excitant qui se passait dans la Fiesta, il entreprit de se masturber d'un poignet souple, habitué qu’il était à ce genre d’exercice.

 

Cependant, à l’intérieur de la voiture, inconscient du show qu'il offrait à ce spectateur improvisé, Hervé continuait ses fouilles sexuelles à l'intérieur de la vulve débordante de sa compagne. Le visage penché sur le bas-ventre frémissant, fixant l'abondante toison, il continua de fouiller avec ivresse les profondeurs brûlantes du sexe palpitant…

 

La chatte ruisselante, les tétons durcis, les reins arqués, Astrid se laissa emporter par le plaisir qui lui envahissait inexorablement les entrailles. Mais soudain, comme l'orgasme la saisissait impitoyablement, la faisant se cambrer frénétiquement sur son siège, elle s'empara de la tête de l'adolescent pour l'attirer contre sa poitrine dénudée. 

- Oh oui !... Ah, chéri, je viens !... Aaaaahhhhh !

 

Le visage collé contre les seins, le poignet bloqué dans l'étau des cuisses resserrées, Hervé écouta les sourdes plaintes que sa compagne émettait sourdement, tandis qu'un liquide brûlant lui engluait la paume...

 

Lentement, Astrid émergea de son nuage de félicité, revenant doucement à la réalité. Haletante, elle rendit alors sa liberté à son jeune amant qui venait, une fois de plus, de la faire jouir avec telle une violence. Jamais son mari ne lui avait procuré un tel orgasme. Desserrant l'étau de ses cuisses, elle relâcha ainsi le poignet du garçon, qui retira ses doigts poisseux de la chatte détrempée :

« C'était vraiment bon, susurra-t-elle à l'intention de son jeune compagnon… Tu m’as procuré énormément de plaisir… Tu es un amant merveilleux… A mon tour de te faire jouir, tu l'as bien mérité. »

 

Mais alors qu'elle tentait de se redresser, elle sursauta violemment en découvrant à la vitre de sa portière le visage d'un homme qui la fixait, le regard halluciné. Complètement affolée par la découverte de ce spectateur surgi de nulle part, Astrid songea à remettre en marche le moteur de la voiture, pour s'éloigner au plus vite de ce piège.

Se rendant compte que la femme à l’intérieur de la voiture l’avait découvert, Carlos, se recula précipitamment, apeuré, dévoilant ainsi à la conductrice son sexe outrageusement dressé hors de son pantalon.

 

Comprenant alors qu'ils avaient à faire à un voyeur, Astrid sentit une étrange sensation s'emparer d'elle : le fait de savoir que son orgasme avait eu un autre spectateur qu’Hervé, provoqua en elle un certain contentement pervers. Cependant, à ses cotés, l'adolescent qui avait aussi aperçu l'homme bandé, s’immobilisa sur son siège, pris de panique.

« Ne t'en fais pas, le rassura Astrid, qui sentait un désir pervers l'envahir, alors que son jeune compagnon semblait tout à coup moins amoureux. Il ne peut rien nous faire, les portes sont verrouillées de l'intérieur... Ce n'est qu'un malade pas dangereux... Tu n'as plus envie que je te caresse ?

 - Si », murmura Hervé d'une voix mal assurée, tout en regardant du coté de l'homme.

 

Ce dernier, comprenant que les occupants de la petite auto ne désiraient pas le pourchasser, il se rapprocha du véhicule pour surveiller ce qui allait se passer à l'intérieur. Il se masturba d'une main plus sure devant l'indifférence des occupants de la voiture à son égard.

 

Devinant le regard du voyeur sur elle, Astrid sentit une bouffée de chaleur l'envahir. De nouveau, un étrange désir la saisit, lui crispant le bas-ventre. Se forçant à ignorer le regard concupiscent de l'inconnu qui les espionnait, et surtout ce à quoi il était occupé, elle se tourna vers Hervé. L'adolescent semblait figé sur son siège, à cent lieux de tous désirs. Pour le rassurer, et surtout lui redonner cette vigueur qu’elle voyait disparaître avec inquiétude,

 

Astrid posa sa main droite sur le bas-ventre du garçon déconcerté. Ses doigts trouvèrent aisément la protubérance que faisait le membre viril d’Hervé. Pourtant, celui-ci s'était nettement ramolli avec la découverte du spectateur inopiné. Comprenant le désarroi de l'adolescent, Astrid entreprit alors de ranimer son désir défaillant en le caressant doucement par-dessus le tissu du short, pressant tendrement la jeune verge affaiblie.

Puis elle s'empressa de baisser le short du garçon, afin de mettre à jour l'objet de ses envies.

Les seins ballottant hors de son soutien-gorge, elle se pencha sur le jeune membre ramolli. Comprenant qu’il allait lui falloir se montrer experte pour réveiller la jeune verge, elle referma ses doigts autour du membre qui avait perdu de son arrogance. Elle le branla lentement, en un va-et-vient plein de sensualité. Tout en tentant de raviver les ardeurs de l'adolescent, elle jeta un coup d’œil en direction du voyeur qui ,de l’extérieur, suivait tous ses gestes en se masturbant furieusement.

 

Prise d'un désir pervers, Astrid se recula légèrement sur son siège, afin que l'homme dehors puisse suivre le mouvement de sa main le long de la bite qu’elle branlait. Il pouvait aussi contempler ses seins nus qui se balançaient mollement suivant ses mouvements de son poignet. Elle, qui se montrait si réservée, si pudique, même lors de ses débordements sexuels, éprouvait en ce moment un incontestable plaisir à être épiée par un inconnu. Pourtant, habituellement elle préférait agir en la seule compagnie de son compagnon du moment.

 

Tout en fixant avec effronterie le voyeur, elle écarta ses cuisses, offrant à l’inconnu la vision de sa vulve abondamment poilue. Le souffle court, éprouvant un plaisir étrange, mais d’une intensité rare, elle fit glisser son majeur le long de son conin mouillé.

 

Sous le voluptueux massage se son amante, Hervé oublia peu à peu la présence de l’inconnu qui les épiait pour se concentrer sur son plaisir naissant. Lentement, son chibre se gonfla par pulsations, pour bientôt retrouver une raideur majestueuse. Ne voulant pas voir ce qui se passait à l'extérieur, il porta son regard sur les lourdes mamelles laiteuses, qui oscillaient sensuellement au rythme de la sensuelle masturbation.

 

Sentant la hampe se gonfler en s’allongeant à l’intérieur de sa main, Astrid se pencha alors sur le bas-ventre de l'adolescent. Sans quitter des yeux l'homme qui, penché en avant, le regard halluciné, la fixait avec intensité, elle absorba le gland gonflé entre ses lèvres. Elle l'aspira fortement, l'avalant au plus profond de sa gorge accueillante.

 

Hervé poussa un faible gémissement de béatitude sous cette absorption en tendant frénétiquement son ventre en avant, à la rencontre de cette bouche chaude et savoureuse.

Alors, lentement, avec douceur, Astrid entreprit de faire coulisser ses lèvres charnues le long de la colonne de chair veloutée, la suçant avec un plaisir décuplé encore, par le fait que sa fellation avait un spectateur assidu. Désirant offrir un maximum de plaisir à son jeune amant, elle cessa son mouvement de succion, ne gardant que le gland dilaté en bouche. Elle le lécha du bout de la langue, excitant un peu plus l'épiderme irrité du bourgeon de chair.

 

Tout en exacerbant le champignon turgescent et sans cesser de fixer le voyeur, elle infiltra sa main gauche dans le short, à la recherche des couilles qu'elle trouva considérablement gonflées.

Doucement elle les saisit entre ses doigts pour les presser délicatement, recherchant les noyaux durcis blottis dans leurs gaines de chair plissées.  Elle les pinça subtilement, faisant se cambrer Hervé de plus belle. Ceci eut pour effet de lui enfoncer le gland qu'elle léchait, au plus profond de la gorge.

 

A l'extérieur, Carlos sentant le plaisir lui gonfler la queue, s'était redressé et activa sa folle masturbation. Puis il agita furieusement sa main le long de son membre courtaud, en prenant soin de présenter son gland mafflu devant la vitre de la portière par laquelle la femme le regardait.

 

Tout en continuant de pomper vaillamment la verge dressée de son amant, Astrid ne pouvait détacher son regard du spectacle qui se passait à l'extérieur de sa voiture. Elle fixa avec attention l'énorme bourgeon de chair violacé, qui à quelques centimètres d’elle, semblait la narguer. Une pensée salace lui traversa soudain l’esprit, que pouvait-on ressentir à branler deux membres en même temps ?

 

Qu’éprouverait-elle à être prise par deux hommes en même temps ? Un long frisson la parcourut toute en s’imaginant, là, à genoux, offrant sa croupe à cet inconnu pour qu’il la prenne en levrette, alors qu’elle pomperait son jeune amant.

La scène imaginée la troubla tellement qu’elle sentit sa vulve se liquéfier subitement. Soudain, du gland congestionné, elle vit jaillir un premier jet blanchâtre qui vint s'écraser contre la vitre de la portière. Un second, aussi copieux que le premier, suivit et puis d’autres encore, de moins en moins importants. Une véritable salve d'artillerie, qui mitrailla la portière et forma un écran blanchâtre sur la vitre.

 

Extrêmement bouleversée par cette éjaculation et par tout ce sperme qui maculait sa voiture, Astrid accéléra sa succion, avalant la queue palpitante d’Hervé dans sa bouche dégoulinante de bave.

Ce fut alors bref et rapide. Sans que rien ne le laisse présager, la queue qu'elle malaxait entre ses lèvres explosa, lui emplissant si copieusement le fond du palais qu'elle s'empressa d'avaler ce liquide chaud et salé.

 

Longtemps, elle pompa son jeune amant afin de le vider complètement, ne relâchant le membre que lorsqu'elle sentit ce dernier se ramollir dans sa bouche.

Alors, les lèvres luisantes sur lesquelles quelques gouttes de sperme restaient accrochées, elle se redressa pour jeter un coup d’œil à l'extérieur de la voiture. Tout était désert, leur voyeur avait disparu.

 « Le salaud ! protesta-t-elle en rangeant ses seins dans leurs balconnets respectifs, il aurait pu décharger son poison ailleurs ! Il va falloir que j'essuie ça avant de rentrer. »

 

La montre du tableau de bord indiquait 18 heures. Les deux amants remirent vivement de l'ordre dans leurs vêtements et Astrid quitta rapidement le chantier maintenant désert.

 

A quelques mètres des habitations, elle laissa descendre Hervé sur un dernier baiser, et pendant que l'adolescent s'éloignait, elle descendit de voiture un chiffon afin d'essuyer les traces blanchâtres qui souillaient la vitre de la portière. Elle éprouvait un certain malaise à contempler tout ce sperme inutilement répandu. Prise d’une envie subite, elle tendit un doigt en direction du liquide crémeux que le gardien avait si généreusement lâché, pour en recueillir quelques gouttes.

 

Avec un petit frisson de perversité elle porta son majeur brillant de sperme à sa bouche pour le sucer avec curiosité, éprouvant un étrange plaisir à sentir sur sa langue le goût âcre du sperme.

     

 

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Sexe Amateur Exhibitions
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