Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Chapitre 2 : Mon diner chez ma cousine
Il y a quelques jours, je vous ai raconté comment ma cousine, Astrid, comtesse Meillac de Laulne s’était dévergondée avec son jene voisin Hervé, et un voyeur, gardien de chantier... Visiblement, elle y avait pris goût. Un soir, elle me réserva une belle surprise !
Elle m’avait invitée à une soirée en l’honneur de son mari, pour fêter son succès professionnel. Je m’y rends pour lui faire plaisir, car ce genre de soirée
m’ennuie profondément…
Je sonne à la grande porte de la demeure comtale.
Le majordome qui m'ouvre la porte a l'air d'apprécier le tableau qui s'offre à lui car une lueur de convoitise brille au fond des yeux lorsque ceux-ci se posent sur ma silhouette. J'ai revêtu
pour la circonstance une petite robe de soie noire très courte qui met en valeur mes jambes et laisse deviner mes seins, nus sous le tissu. Il fait encore très chaud et même si le mois de
septembre approche, les soirées restent très estivales. Les invités sont répartis en petits groupes dans un immense patio où des tables disséminées offrent alcools, jus de fruits et amuse-gueules
à volonté. Des garçons circulent avec des plateaux de coupes de champagne, un orchestre joue en sourdine dans un coin de la pièce. Astrid n’a pas fait les choses à moitié, comme à son
habitude.
Je navigue d'un groupe à l'autre, saluant les uns, souriant aux autres et finis par rencontrer cousin Edmond Meillac de Laulne, entouré d'un petit nombre de personnes. Il s'interrompt lorsqu'il
me voit et, se prête aux civilités d'usage.
Il me présente son assistante, Laure. Grande, blonde, elle semble avoir entre 35 et 40 ans. Une silhouette fine et élégante, des cheveux mi-longs, des yeux bleus très clairs, le nez fin et petit, la peau bronzée. Il émane de sa silhouette une élégance et une sensualité troublantes qui agissent aussitôt sur moi. Un ventre plat et de longues jambes complètent un tableau déjà parfait. Elle porte un tailleur gris à rayures avec une veste longue et une jupe très courte comme le veut la mode actuelle. J'ai du mal à m'en remettre et il me semble bien qu'elle s'en rend compte lorsqu'elle me serre la main.
Pour masquer mon trouble, j'attrape une coupe de champagne et me laisse entraîner dans un autre groupe d'invités par une Astrid toute gaie de voir sa belle soirée
si bien organisée…
Plus la soirée avance et plus j'ai du mal à tenir debout : je ne supporte pas bien l'alcool et le majordome qui annonce le repas tombe vraiment à pic. Nous nous retrouvons placés autour de tables
octogonales, disposées près de la piscine, dans le jardin. Un subtil jeu de lumières met en valeur la végétation et l'eau bleue du bassin. Le cadre est joli et m'aide à supporter une conversation
technique assez pénible. Je me suis en effet retrouvée à la table d'honneur, face au collaborateur direct d’Edmond et son épouse, avec des chimistes du service de recherche avancée.
On y parle de molécules, de décantation et de plein de choses ennuyeuses. Je me contente de hocher la tête quand il le faut.
Le repas se prolonge, je m'ennuie. L'alcool aidant, je commence à avoir des pensées très osées. La voix de Laure me semble chargée de promesses sensuelles, son décolleté profond m'attire de plus en plus. J'ai souvent eu un faible pour les femmes, même si je ne peux me passer de l'âpreté et de la vigueur du sexe masculin.
Les regards qu'elle me jette m'encouragent à oser. Masquée par la nappe, je retire discrètement mes chaussures et tends une jambe vers elle. Mon pied nu entre en contact avec un de ses genoux.
Comment va-t-elle réagir ? Elle me regarde avec un petit air amusé et continue à parler comme si de rien était. Mon orteil remonte doucement en dessinant des
arabesques sur la peau satinée de sa cuisse. Mon cœur s'affole un peu, mais, l'alcool aidant, je continue dans ma progression. D'ailleurs ses jambes s'écartent un peu, comme si elle appréciait...
J'ai la bouche sèche lorsque j'atteins le tissu de sa culotte. La situation m'excite et je sens une vive chaleur se répandre dans le bas de mon ventre. Soudain une de ses mains saisit mon pied !
Je réalise en un clin d'œil la situation dans laquelle je me suis mise. J'ai peur, je veux le retirer, mais non : Laure le caresse un instant puis le plaque contre son pubis. Je reste une bonne
minute immobile, continuant à faire semblant de m'intéresser à la conversation, attentive en fait à ce qui se passe sous la table. La chaleur du sexe de Laure traverse son slip. Je me mets à le
caresser avec mon orteil, tout en essayant de m'insinuer sous la dentelle de ses dessous. J'y parviens sans difficulté et plonge dans la moiteur de ses lèvres intimes qui s'écartent à mon
passage.
Bien heureusement, personne ne s'est rendu compte de ce qu’il se passe. Les hommes discutent toujours parfum, Laure se tait et paraît concentrée par le contenu de son assiette. Je continue mon
manège. Mon orteil s'enfonce maintenant profondément dans son vagin puis remonte doucement vers le haut de son sexe, pour dénicher son clitoris.
Elle sursaute, ses yeux se troublent légèrement, je sens qu'elle a beaucoup de mal à feindre l'impassibilité. J'accélère impitoyablement mes mouvements. Mon orteil
caresse son petit bouton, le contourne avant de replonger dans ses chairs trempées. C'est au moment où l'on sert le fromage que l'irréparable se produit. Laure sert brutalement ses cuisses sur
mon pied, laisse tomber son verre qui se renverse et pousse un cri. Cet enchaînement masque son émoi. On s'affaire autour d'elle, le majordome éponge, emporte la vaisselle. Laure rassure Edmond :
« Excuse-moi, je suis vraiment maladroite ! »
Une goutte de sueur perle sur sa tempe. Je retire mon pied doucement et réintègre mes chaussures. Laure me regarde, mais je ne parviens pas à décrypter le message contenu dans ses yeux
bleus.
Le repas est terminé. Discours, cadeaux, on a droit à tout, puis les invités s'éparpillent dans le jardin, l'orchestre se remet à jouer et des couples dansent autour de la piscine. Laure reste
aux côtés d’Edmond, et je ne peux l'approcher. Je refuse plusieurs fois de danser, le petit intermède de tout à l'heure m'a émoustillée, mon slip est trempé et je n'aspire plus qu'à rentrer chez
moi, retrouver mon amant, et assouvir mes envies. Toutefois, il faut que je mette un peu d'ordre dans ma tenue et me passer un peu d'eau fraîche sur le visage me fera le plus grand bien.
Astrid me rejoint alors que je quitte le salon : « Alors, ma chérie, tu passes une bonne soirée ? Je crois que tu as provoqué le trouble de notre chère Laure…. »
Je rougis un peu et lui réponds : « Mais que vas-tu chercher, nous avons juste parlé un peu…
- Rassure-toi, je sais comment est Laure. C’est bien pour ça que j’accepte que cette très belle femme travaille avec mon mari. Elle n’aime que les femmes ! Toi y compris… Je te connais, je sais que tu as très envie de sexe ce soir… Alors, tu vas être servie, ma chère cousine lubrique… »
Elle part d’un grand éclat de rire, et me laisse plantée là, comme une âme en peine.
J'erre dans la maison. Je suis si troublée que je ne trouve pas la salle de bains. Je dérange plusieurs couples enlacés au hasard de mes déambulations. La musique assourdie continue de me suivre
au gré des couloirs. Je tâtonne dans une pièce plus sombre, pousse une porte et découvre un bureau. Au moment où j'amorce mon demi-tour, je sens un frôlement et je manque de crier : Laure se
tient face à moi, sur le seuil de la petite pièce. Avant que je ne puisse bouger, elle me repousse contre le mur, saisit mes deux poignets, les plaque au-dessus de ma tête et son corps se colle
au mien. Ses lèvres s'appuient violemment sur les miennes, sa langue investit ma bouche et son baiser me fait complètement fondre.
Je suis à sa merci, elle s'en rend compte très vite. Ses mains délaissent mes poignets et descendent le long de mon corps, effleurant mes seins dont les pointes se
durcissent. Je ne peux retenir un gémissement lorsqu'elle atteint mon bas-ventre. Mon sexe est déjà ouvert, complètement trempé. Pourtant elle ne se précipite pas, lentement sa bouche se promène
dans mon cou, caresse le lobe de mon oreille puis descend vers ma poitrine où elle excite au passage les pointes de mes seins qui tendent la soie de ma robe. Mes deux mains se posent sur ses
épaules, ma tête bascule en arrière dans l'attente de caresses plus précises. Je suis, les yeux fermés, la progression de sa bouche vers mon slip. Elle l'écarte d'un doigt et sa langue pénètre
dans mon sexe qui l'attend. Je me mets à geindre sous la douceur de la caresse. Elle s'attarde sur mon clitoris, descend le long de ma fente, remonte encore et je ne peux m'empêcher de jouir à
n'en plus finir...
J'ai du mal à refaire surface. Laure s'est relevée et me contemple pensivement. Je voudrais lui parler, nichée dans le creux de son épaule, dans le frisottis de ses cheveux blonds, mais elle ne
m'en laisse pas le temps. Elle se retourne vers la porte d'entrée et crie : « François ! »
Le majordome entre tout de suite, et je commence à comprendre. Astrid avait dit vrai : elle a tout manigancé !
Il tient dans sa main son sexe érigé qu'il est en train de masturber. Ses dimensions sont impressionnantes.
« Oui, Madame ? »
Laure se tourne vers moi, me regarde droit dans les yeux et lui dit : « Baise-la ! »
Je reste pétrifiée, mais je mouille encore plus…
Laure me prend par le bras et me fait pivoter face au mur. Juste à la hauteur de mes yeux, j'ai un petit tableau représentant une nature morte, avec comme signature un minuscule papillon bleu. Je suis très excitée, et je tremble dans cette délicieuse attente….
Enfin, je sens François qui approche et ne peux m'empêcher de sursauter lorsque le bout de son sexe se promène dans le sillon de mes fesses. Son membre est gros, très gros, mais il n'a aucun mal à me pénétrer, tant ma cyprine coule entre mes jambes, détrempant mon abricot brûlant de désir…
Il commence à bouger, doucement, accroché avec ses deux mains à mes hanches. Laure vient se placer à ma gauche. Je tourne la tête vers elle, elle se penche et m'embrasse tendrement. Sa langue s'enroule autour de la mienne, ses mains enserrent mes seins qu'elle se met à pétrir. C'est bon, je sens une grande chaleur envahir à nouveau mon sexe, les coups de boutoir de François se font plus rapides. Soudain le pilon s'arrête et glisse hors de ma fente humide : il remonte plus haut et s'immobilise sur l'anneau resserré de mon anus...
Je proteste pour la forme : depuis que j’ai vu de pieu géant, j’ai envie de le sentir dans mes entrailles…
La langue de Laure, ses mains dont une qui descend vers mon clitoris, c'est trop fort, je ne résiste pas. Elle enroule sa langue sur mon petit bouton durcit. Elle joue sans répit avec lui, le
mordillant, le suçant, l’aspirant sans faiblir…
François, lui, appuie sur ma rosette frémissante, et sans difficulté, s'introduit dans le fourreau étroit et soyeux. Les sensations deviennent extraordinaires, Il
me prend, me défonce en lents va et viens puissants et forts. Ses couilles tapent contre ma vulve, Laure les gobe au passage de temps en temps. Je jouis une première fois sous l'effet des
doigts de Laure et aussitôt après lorsque je sens François se répandre en moi… Son foutre inonde mes entrailles. Le liquide s’épanche hors de mon anus, et Laure vient le récupérer de sa langue
experte.
Je suis là, pantelante de tout ce plaisir ressenti, quand j’entends quelqu’un qui applaudit : c’est Astrid. Cachée dans l’encoignure de la fenêtre, derrière un rideau, elle a tout vu…
« Eh bien ma chérie, tu es douée pour les choses du sexe ! Nous devrions un jour jouer ensemble… »
Je rougis un peu, la remercie, et lui dis que je lui laisse la place... Je préfère rentrer, avant que mes démons ne me reprennent… Arrivée à la porte, je me retourne, et je vois ma chère cousine, penchée en avant, la jupe déjà relevée, Laure entre ses cuisses, sa bouche sur la fente épilée, et la bite de François entre ses lèvres…
Visiblement, ils vont bien s’amuser cette nuit !
Tu as raison, mais je garde une nette preference pour les hommes...
Bravo, ma Sophie, continue comme ça...
bises où tu aimes
Pzrfois, ce sont des drames, parfois, ce sont des moments de pur plaisir ! Mais si cela venait à se savoir dans nos familles, le reniement ne serait pas loin !
La suite va venir.. Elle ne va pas laisser partir aussi facilement une équipe d'ouvriers venus travailler chez elle...
Bravo pour ctte superbe histoire, je m'y voyais très bien...
Si cela te plait, tu peux très bien mettre en scène une telle histoire.. Il suffit de trouver les "bons" partenaires !
C'est une sensation intense et geniale ! ce week end, nous somesm sortis, alors que j'etais equipée d'un oeuf vibrant, declenché à distance... j'ai joui comme une folle, dans un silence presque total... quel plaisir !