Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Astrid, Comtesse Meillac de Laulne, que vous connaissez bien maintenant, s’est définitivement dévergondée. L’expérience avec son jeune voisin, et le gardien du chantier, puis avec son majordome, l’a définitivement convertie au sexe sous toutes ses formes. Elle va bientôt devenir pire que moi !!!!
Son mari est parti pour quelques jours en déplacement, et c’est à elle de superviser les travaux de ravalement de sa grande et belle demeure comtale.
Vous devinez déjà ma suite des évènements, que je lui laisse vous raconter…
« Ma chère Sophie,
Si tu savais comme je suis soulagée de pouvoir enfin me confier à une personne qui ne me juge pas ! Mieux, qui me comprend ! Notre secret restera bien gardé, mais au moins, nous pouvons nous confier l’une à l’autre… Tu sais mieux que moi que si nos familles étaient ou courant de noa délires libertins, nous serions bannies sans pitié…
Je vais te conter mon histoire avec les ouvriers venus faire le ravalement de la demeure familiale.
Après avoir fait établir quelques devis, mon mari a donc choisi une entreprise de maçonnerie qui est donc venue refaire notre façade. Ils sont arrivés le lundi matin, avec leur matériel : ils avaient une journée complète pour installer leur échafaudage. Ils n’avaient pas besoin de moi, et je suis donc partie faire une balade toute la journée. A mon retour, ils avaient terminé et étaient partis. J’étais tout de même un peu contrariée d’avoir des étrangers chez moi alors que j’étais en vacances, mais il valait mieux tout de même être présent. Aussi, je décidai le soir même, que je resterai à la maison jusqu’à la fin des travaux. Ca ne devait de toute façon durer que cinq jours, alors ...
Le lendemain matin, mon mari étant parti de bonne heure, je décidai de traîner un peu et ne prenais mon petit déjeuner que vers neuf heures. Je n’avais pas entendu les ouvriers. Je me disais en moi-même qu’ils commençaient mal leur chantier et me demandais comment ils comptaient faire pour le terminer en si peu de temps…
Convaincue de leur absence, je descendais donc en déshabillé de soie à la cuisine afin de prendre mon café. J’étais en train de petit-déjeuner, lorsque la sonnette retentit.
Oubliant ma tenue, j’allai ouvrir. Il s’agissait d’un des maçons qui me demandait s’il pouvait utiliser ma salle de bain. Visiblement, ma tenue lui fit de l’effet, car son regard avait du mal à se détacher de mon décolleté. Tournant les talons, je l’invitais à me suivre, lui montrant le chemin. Je sentais son regard sur mes fesses à peine dissimulées par la fine étoffe très moulante. C’est à ce moment que je réalisai que j’étais en train de l’exciter.
Une bouffée de chaleur m'envahit, semblable à celle qui m’avait traversé le corps lors de ma première aventure avec mon jardinier. J’ai bafouillé, cherchant mes mots, lui indiquant la salle de bain et la salle d’eau et suis repartie presque en courant, le laissant seul. Je ne voulais pas que mes démons me reprennent, aussi je courus à ma chambre afin de m’habiller. L’ouvrier ressortit et parut déçu lorsque j’apparus vêtue d’un jean et d’un tee-shirt, cachant toute mon anatomie.
La journée fut absolument abominable. J’étais troublée par leur présence. Ils étaient trois, deux jeunes d’une vingtaine d’années assez
musclés et bronzés et un plus vieux, probablement la cinquantaine avec un ventre assez important, pas très beau. J’ai du changer de culotte dans la journée tellement je mouillais. Je ne savais
plus que faire : les souvenirs des deux queues de mes jardiniers me défonçant la chatte et le cul me hantaient. Ce chantier devait encore durer trois jours. Ca risquait d’être dur de
résister.
Excitée au plus haut point, je sautais sur mon mari, afin de satisfaire mes envies et faire retomber la pression. Malheureusement fatigué, celui-ci me laissa sur ma faim et mes désirs.
Le lendemain matin, ma décision était prise. Je ne pouvais pas risquer quoi que ce soit avec ces hommes. J’avais échappé au discrédit quelques mois plus tôt, je ne souhaitais pas risquer à nouveau ma réputation. Aussi avais-je décidé de m’habiller vers huit heures avant l’arrivée des ouvriers.
Réveil à huit heures moins le quart, je descends à la cuisine prendre mon café avant de remonter à ma chambre. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis les trois maçons dans ma cuisine ! J’avais oublié que mon mari leur avait mis la cuisine à disposition pour leurs cafés du matin et leurs pauses. J’étais comme la veille, en déshabillé très moulant. La soie dessinait précisément chacune de mes courbes…
Les trois hommes, déjà torse nus, s’arrêtèrent de parler lorsqu’ils aperçurent ma poitrine et mon string. Tétanisée, j’étais à la fois paniquée parce que j’avais décidé de rester prude et excitée parce qu’à nouveau des hommes à moitié nus me voyaient également déshabillée !
La seule chose dont j’ai alors été capable a été de fuir de la cuisine laissant ces hommes la tasse à la main. Du couloir je pouvais
entendre leur commentaire :
« Tu as vu cette salope ? Tu crois qu’elle a fait exprès ? Moi je la baiserais bien ! Elle a une paire de seins énormes !
- Déconne pas, c’est une comtesse, quand même ! »
J’étais dans un état second. Sans plus réfléchir, mûe par mes pulsions, j’ai fait demi-tour et suis retourné à la cuisine. Je suis allée me servir un café comme si de rien n’était. Ils s’étaient à nouveau tus. Le seul qui a osé bouger, c’était le bedonnant. Il s’est approché de moi, dans mon dos, a relevé un peu mon chemise de soie grège, et voyant que je ne bronchais pas, il a glissé sa main dans mon string assorti.
S’apercevant que j’étais trempée, il s’est retourné vers ses collègues et leur dit :
« Elle mouille cette garce, les gars ! Comtesse ou pas, c’est une femelle en chaleur ! Je crois qu’il va falloir trouver une excuse pour son mari. On ne va pas beaucoup avancer sur le chantier aujourd’hui ! »
Et joignant le geste à la parole, il a ôté ma culotte, m’a fait asseoir sur la table. Jamais on ne m’avait parlé ainsi ! Pourtant, instinctivement j’écartais les cuisses et leur dis crument : « Baisez-moi comme une chienne ! »
Il ne leur en fallait pas plus pour se débarrasser de leurs pantalons et caleçons et c’est à poil qu’ils se jetèrent sur moi. Un des
jeunes décida de me dévorer la chatte pendant que les deux autres se disputaient ma bouche. L’autre jeune avait une queue très fine et de taille moyenne, mais l’autre, le gros, avait un véritable
pieu à la place de la bite. Très grosse et très longue, avec une énorme veine qui courrait tout le long. C’est simple, j’éprouvais les plus grandes difficultés à enfourner ce monstrueux engin
dans ma bouche !
Je n’imaginais même pas qu’il puisse me pénétrer la chatte, et encore moins le cul.
Le troisième me léchait avec application, mais c’est de queue dont j’avais besoin, aussi, je le stoppai dans son travail : « C’est
ta bite que je veux, met-là moi maintenant ! »
Il ne se fit pas prier et me la rentra d’un coup. Je n’avais pas eu le temps de la contempler, mais à en juger par ce que je
ressentais, elle devait être de belle taille. Il allait et venait en moi, ressortant presque complètement pour rentrer jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon cul. J’étais aux anges. Et
lui aussi, visiblement ! Je commençais déjà à venir quand je le vis se contracter. Il se retira et éjacula sur mes seins trempés de sueur.
Ma chatte n’eut pas un moment de répit, puisque le deuxième jeune y prit place. C’est quasiment quand il est entré en moi, que j’ai joui pour la première fois. Je criais mon plaisir haut et fort… Tout étonné de ma réaction, et sans doute stimulé par les contractions de mon vagin et mes cris, il se laissa aller dans mon ventre. Il avait visiblement très envie de moi, car je sentais les jets de sperme s’écraser au fond de ma matrice. Il resta encore en moi quelques secondes, et le troisième larron lui demanda de lui laisser la place :
« Sors de là que je la défonce cette chienne. Tiens nettoie-le, toi ! » m'intima-t-il crûment.
Sans protester, je m’exécutais et lui nettoyais son chibre de ma langue. Je trouvais le troisième vraiment laid et gros, mais sa queue
me fascinait. J’avais envie de la sentir en moi et c’est en ondulant du bassin que mon sexe vint à la rencontre de son gros pieu. J’étais dégoulinante de sperme, aussi il n’eut aucune difficulté
à entrer bien à fond. Il me lima pendant plusieurs minutes, pendant que je suçais alternativement les autres afin qu’ils reprennent vigueur. Quand ils eurent à nouveau une bite bien raide, le
gros me souleva sans sortir de ma grotte et me transporta jusqu’au salon. Je sentais qu’il maîtrisait bien son sujet, puisque toujours sans sortir de moi, il s’assit sur le canapé. Ainsi assise,
je me trouvais sur lui, la croupe exposé aux deux hommes qui me mataient, la queue à la main.
Toujours embrochée sur le membre raide, l’un d’eux commença à m’introduire un doigt puis deux dans l’anus. La pénétration était largement facilitée par le sperme qui avait coulé sur mon petit trou. Sous l’effet de ses doigts, je jouis une deuxième fois. Mais juste après mon orgasme, alors que je me relâchais complètement, il positionna son gland contre mon anus et poussa d’un coup. Je ressentis une douleur très vive et très fugace : il était entré en force, d’un coup, et ses couilles tapaient déjà contre mes fesses. Il resta un moment dans cette position, et les deux hommes commencèrent à me ramoner en rythme.
Il ne me fallut que très peu de temps avant de jouir une troisième fois, tout aussi bruyamment. Je n’en pouvais plus, mes jambes ne me
portaient plus, les deux hommes m’imposaient un rythme de folie, jusqu’à ce que le jeune m’inonde l’intestin. Il ressortit aussitôt et l’autre prit la place. Le gros ne bougeait plus, mais la
nouvelle queue dans mon anus faisait tout : il me labourait littéralement le cul en m’insultant :
« Tu aimes ça salope, te faire bourrer par trois maçons pendant que ton mari est au boulot !!! »
Quelques secondes plus tard, il m’inondait lui aussi l’intestin et se retirait aussitôt. Mes doigts allèrent à la rencontre de mon
petit trou dilaté. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses. Le bedonnant n’avait encore pas joui. Il me fit mettre à quatre pattes et tenta d’introduire sa queue dans mon cul. Je ne
pensais pas cela possible, mais il réussit, non sans difficulté à m’enculer, grâce au traitement de ses deux collègues. Bien calé au fond de mon cul, il me pistonnait sans ménagement, ressortant
sa queue totalement et la rentrant d’un coup sec. J’eus encore un orgasme avant de m’affaler définitivement sur le canapé taché de foutre. Il me lima encore quelques secondes et ressortit pour
présenter son gland à ma bouche. Il était un peu sale de mon cul, mais il ne me laissa pas le choix : « Avale ma queue pétasse, c’est ta faute si elle sale comme ça ! »
Et je pris sa queue dans ma bouche avide. Il jouit alors quasi instantanément, d’un sperme très épais, en si grande quantité que je ne
pus tout avaler…
Ses dernières giclées atterrirent sur mon menton et glissèrent sur mes seins et le canapé. Les trois hommes s’assirent alors et prirent un de repos bien mérité. L’un d’eux attrapa un miroir qu’il mit face à mon anus afin que je voie dans quel état il était. Il était béant, et dégoulinant de sperme. A ce moment, je pensais vraiment qu’ils m’avaient abîmée tellement le trou était dilaté. Reprenant peu à peu mes esprits, je les complimentai et leur demandai de garder tout cela pour nous. Ils étaient d’accord à une condition : pendant toute la durée des travaux, je devais être à leur disposition quelque que soit le moment dans la journée pour eux et pour les autres ouvriers susceptibles de venir les aider. J’acceptai bien sûr, en me disant que jamais plus je ne prendrai de résolution de fidélité.
Mais mon envie de sexe pur et dure est plus que jamais exacerbée : je veux de la bite, tout le temps, n’importe laquelle ! Je veux être fourrée à fond, baisée, enculée, je veux jouir sans entraves et le plus possible !
Le chantier n’est toujours pas fini. Et pourtant d’autres ouvriers sont venus prêter main forte aux trois premiers. En revanche, je
suis exténuée. Il n’y a pas une pièce où je puisse aller sans qu’un homme vienne m’y sauter. Même le patron des ouvriers est venu voir. Il ne comprenait pas pourquoi pas il y avait autant de
retard. Il a compris et a même promis de revenir superviser de plus près « mon » chantier. Il faut dire que ce n’est pas tous les jours que des ouvriers peuvent se taper une dame de
« la Haute », à bon compte !!!
Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Logiquement, l’échafaudage sera enlevé mardi prochain. Ca fera douze jours de « travail » contre cinq de prévus. Mon mari les a trouvés très professionnels : ils se sont excusés du retard auprès de lui et ils ne lui factureront pas de supplément. Il en était même étonné.
S’il savait… »
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