Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Dans les chapitres précédents, je vous avais raconté les frasques de ma cousine, la comtesse Astrid Meillac de Laulne. Vous aviez découvert comment elle s’est dévergondée avec ses jardiniers, puis des ouvriers venus chez elle. En un mot, elle est devenue une vraie garce !
La semaine dernière, j’ai reçu un mail de mon petit cousin Guilhem. Ce dernier a découvert le blog, et l’histoire de sa tante. Au vu de petits détails il a « su » que c’était elle dont on parlait… Cela ne l’a guère surpris, vu ce qu’il a vécu avec elle ! Il m’a raconté une histoire incroyable, que j’ai rédigée à votre intention… J’espère qu’elle vous plaira !
« Au printemps dernier, l’occasion s’était présentée à moi d’occuper seul, pendant quelques temps, la demeure familiale, au motif d’un séjour de mes parents durant plus de trois mois en Chine.
C’est dire si cette période fut mise à profit pour y vivre certaines expériences. La première fut de contribuer, avec les amis des deux
sexes conviés à moultes reprises, à réduire sensiblement le nombre d’excellentes bouteilles de la cave paternelle.
Une autre fut de découvrir des facettes nouvelles d’une sexualité qui ne demandait alors qu’à s’épanouir.
Plusieurs jeunes personnes (féminines) de plus ou moins bonne famille prolongèrent une soirée ou un après midi pour mieux apprécier les
charmes du logis (piscine et jardin) et de son locataire.
Ces petites sauteuses agrémentèrent plus qu’agréablement mon séjour et la précocité dans le vice de certaines de ces polissonnes
dévergondées me conduisit à inventorier nombre de pratiques libidineuses et de fantaisies libertines.
Mais de toutes les folies accomplies lors de cette heureuse période, celles commises avec ma tante Astrid furent les plus
mémorables.
Je revenais d’un cours quelconque suivi à la fac, et, ce soir là, alors que je rentrais à pied par le jardin, j’aperçus de la lumière
au travers des persiennes quasi closes du salon.
Il ne me vint pas à l’idée que la maison puisse être la cible de visiteurs mal intentionnés et je me dis que j’avais sans doute oublié
d’éteindre la lumière.
« C’est curieux, tout de même, pensai-je, je n’ai pas fermé les persiennes ce matin... »
Comme à l’accoutumée, j’évitais de rentrer par la porte principale, et me rendais vers la porte côté jardin, donnant sur le garage et
la cuisine.
Aussitôt le seuil franchi, j’entendis immédiatement, en provenance du salon, le son doublement caractéristique de la télévision et d’un
film porno.
Je me rappelais soudain, que seul depuis quelques jours, j’avais laissé traîner sur la table du salon, quelques indices de ma vie
dissolue, et notamment quelques ouvrages très dépravés et des vidéos de film x.
Je me surpris même à me demander si toutes les petites culottes qui avaient pu quitter leur propriétaire ces dernières semaines avaient
été retrouvées...
Naturellement, je me fis la réflexion qu’un camarade avait trouvé le moyen d’entrer et profitait de mon absence pour visionner un
film.
Je décidais donc de surprendre ce larron voyeur et m’approchais alors d’un pas de Sioux.
De suite, j’aperçus en haut du canapé de cuir crème dépasser des cheveux blonds, qui oscillaient légèrement.
Ma compagne friponne préférée du moment étant brune aux cheveux courts, je me demandais qui pouvait être cette intruse aux mœurs
curieuses, venant chez moi mater un film porno, et des plus hard.
Quelques prénoms me vinrent à l’idée tandis que j’avançais sans faire un bruit.
Je perçus bientôt quelques gémissements caractéristiques de la montée du plaisir féminin, entrecoupés d’une respiration quelque peu
saccadée.
Persuadé d’avoir affaire à une copine de soirée ayant décidé de revenir bluter les fleurs du mâle, je n’hésitais pas à dégrafer les
boutons de ma braguette et d’en sortir mon gourdin, dont la raideur progressait à grande vitesse.
C’est dans cette position déboutonnée, mon outil à la main que je fis d’un saut les quelques mètres me séparant de la coquine qui,
manifestement, attisait elle-même son excitation, ainsi que le démontrait le mouvement régulier de son épaule.
Tandis que d’un autre bond, je présentais ma bandaison auprès de la bouche de ma visiteuse, je découvris enfin son identité.
Notre surprise fut réciproque.
Cette branleuse n’était autre qu’Astrid, ma Tante Astrid, qui, nue sur le canapé, à l’exception de ses bas noirs, se flattait les
lèvres intimes au moyen d’un vibromasseur doré.
Après un bref instant de flottement, le regard de Tante sembla irrésistiblement attiré vers le vit turgescent et tendu devant son
visage. Elle eut un soupçon d’hésitation, mes yeux dans les siens où il me sembla trouver une lumière égrillarde, puis elle avança la tête, ouvrit la bouche et d’un geste gracieusement gourmand,
goba ma queue.
Sans cesser de manipuler le vibromasseur, elle entreprit une fellation de haute école, alors que je venais empaumer et tripoter ses
seins en poire, aux mamelons tendus par son désir, mon regard allant tantôt vers cette bouche et ce regard de suceuse sans complexe, tantôt vers la main qui s’agitait entre ses cuisses, tantôt
vers l’écran où une donzelle en bas et porte jarretelles se faisait prendre en levrette en même temps qu’elle avalait, aussi, un honorable braquemart, sous les yeux d’une spectatrice qui se
masturbait impudiquement.
Il va sans dire que quelques minutes de ce traitement aussi délicieux qu’inopiné (si l’on peut dire) eurent raison d’une certaine
résistance habituelle…. Cela d’autant qu’Anita, une copine un peu boulotte mais portée sur la bagatelle, m’avait obligeamment branlé dans les toilettes de la cafétéria, après que je lui eus
brouté le minou. Cette petite séance plaisante avait eu lieu après le cours du matin, où nous étions assis l’un près de l’autre.
C’est ainsi que les signes avant coureurs d’une éruption liquide se firent rapidement sentir entre les lèvres de Tante Astrid,
laquelle, son regard fixé dans le mien, pompait activement, les lèvres bien refermées, et sa main tripotant mes couilles.
Je ne pus que dire des : « Ohh Tante Astrid, qu’est ce que tu fais ? Ohhh... oui, je vais jouir, ma Tante, je vais
gicler... »
Et c’est ce qui survint alors. Astrid ne retira pas sa bouche, et au contraire, fit en sorte de réceptionner le nectar copieux sans en
perdre une goutte.
Elle avait poursuivi sa branlette et le gode vibrant sur son clitoris, elle exprima son propre plaisir par un gémissement
alangui.
Nous restâmes ainsi sans rien dire quelques minutes, elle assise sur le canapé, ses cuisses toujours écartées et moi sur l’accoudoir,
le pantalon baissé, alors que le film porno continuait à diffuser ses images obscènes.
« Eh bien Tante Astrid, c’est du joli !!! finis-je par dire.
- Oh, Guilhem, tu... tu m’as prise par surprise...
- Mais tu n’as pas protesté quand je t’ai mis ma queue dans la bouche...
- Oh non, mais, mais que vas-tu penser de moi ?
- Que tu es une belle cochonne, Tante !
- Et toi, un petit vicieux...
- A-t-on idée, Tante, aussi, de se branler devant un film porno et de s’enfourner la bite de son gentil neveu sans
barguigner ! »
En définitive, après nous être entreregardés, nous convînmes en même temps que l’un comme l’autre n’avions guère d’intérêt à ébruiter
la chose dans la sphère familiale.
« Pas la peine de raconter tout çà à toute la famille, conclut-elle fermement.
Cette connivence nous amena à dire concomitamment et dans un parfait ensemble :
- D’accord, mais à une condition...
Nous sourîmes de cette coïncidence.
- Toi d’abord ! dit-elle.
- Combien de temps restes-tu ici, Tante Astrid ?
- Quelques jours, pourquoi ?
- Eh bien ma condition, c’est que nous… Bref, tu as compris...
Elle sourit, mutine, toujours la main posée sur sa motte bien taillée.
- Je te propose bien mieux que çà, c’est ma condition à moi...
Je n’osais imaginer ce qu’il fallait comprendre de cette observation.
- Euh, que veux-tu dire par là Tante ?
- Eh bien n’aurais-tu pas un bon camarade ? Un copain que tu pourrais inviter à se joindre à nous ?
- Oh ! Tante, tu veux faire l’amour avec deux... euh ?
- Pas tout à fait, enfin oui, mais aussi un peu plus... alors ce copain tu l’aurais ?
- Peut-être…
- Attention, il faut que euh.. Tu comprends ? Quelqu’un qui soit assez ouvert à ces jeux…
- Oui je vois. Il y aurait bien Marc... Il est déjà venu ici, en fait Tante, on a déjà fait çà ensemble avec deux filles...
- Oh ! Mon Guilhem, mais tu es décidément un petit vicieux, déjà une partouze à ton âge... Bravo ! Cà promet... Au fait, et
ta condition à toi ? me demanda Tante.
- Hum... ma condition, oui, ma condition, c’est que... c’est que nous, enfin, tu as compris... »
Elle m’adressa pour toute réponse un sourire coquin, et soudain concentrée sur son bas ventre, retira le gode de son fourreau
humide.
La nature polissonne de notre conversation et le défilé des images érotiques sur l’écran de la télévision, m’avaient ragaillardi et
j’exhibai aux yeux de Tante un chibre de nouveau bien tendu, tension que je n’hésitai pas à encourager de quelques mouvements onanistes.
A la vue de cette proéminence renouvelée, d’un geste Tante m’invita à lui rendre une visite intime et c’est ainsi que sur le grand
canapé du salon, je connus ce soir-là, la profonde et délicieuse volupté d’enconner ma Tante Astrid.
Ramonage et pistonnage étant, entre autres ardeurs (hardeur), les mamelles du plaisir, nous ne tardâmes pas à cheminer de concert sur
la voie de la jouissance.
Et c’est au fond de la chatte de ma tante Astrid que je déversai une nouvelle fois ma liqueur intime, encouragé par les feulements extatiques de ma libidineuse parente.
C’est après une douche réparatrice que je retrouvais ma tante à la cuisine, toujours quasiment nue et seulement vêtue de ses bas, et
d’un modeste tablier.
Je demeurai quelque temps, assis à la table, dans la contemplation de cette croupe offerte et dansante sous mes yeux, rêvant aux
félicités à venir.
Nous dînâmes ensuite des mets simples mais parfaitement cuisinés par Astrid. Alors que nous terminions notre dessert, Tante, qui avait
de nouveau contribué à un nouveau déploiement de ma bite en me racontant certaines de ses frasques sexuelles et espagnoles, me rappela que j’avais un coup de fil à passer.
« Euh, ce soir, ma Tante…
- Bien sur... Ne me dis pas qu’un jeune homme vigoureux comme toi est fatigué au prétexte qu’il a juté deux fois ???
- Pas exactement Tante.
J'avouais la séance de branlette avec Anita en fin de matinée.
- Ohh... tu es un vrai coquin !
- C’est de famille, sans doute...
- Bon, on remet çà à demain soir, finit par accepter Tante, tout en passant ses doigts sur ses lèvres intimes, avec un zeste de regret
de devoir en rester là... »
Quelque peu fatigué de cette journée, je me rendis dans ma chambre non sans observer que Tante semblait former le projet de visionner
un autre film porno, en recherchant dans le stock disponible.
Je m’endormis en imaginant Tante poursuivre ses excitations audio visuelles et godesques (godiques) sur le canapé du salon, ses cuisses
écartées et répandant sa cyprine sur le cuir fauve.
C’est d’excellente humeur que je me levais le lendemain, pas de très bonne heure, prêt à en découdre avec cette tante débauchée, et à
lui rendre les hommages que ses cavités hospitalières méritaient.
Mon excitation matinale retomba bientôt lorsque je me rendis compte que la belle avait quitté la maison et m’avais laissé
seul.
Renonçant à un petit plaisir personnel et manuel, en prévision des probables débordements à venir, je vaquai à quelques oiseuses
occupations.
Alors que j’avalais quelques denrées éparses en guise de déjeuner, le téléphone sonna.
« Allo ?
- C’est toi, mon neveu baiseur ?
- Euh oui...
- Tu as invité ton copain ?
- Ben, pas encore, j’allais le faire.
- OK, à tout à l’heure petit coquin et ne te branle pas. Garde tes forces pour ce soir.
- Mais... »
Tante Astrid avait déjà raccroché. Je fis alors le numéro de Marc.
« Ouais, entendis-je...
- Salut, Marc, c’est Guilhem.
- Wooh, salut qu’est ce que tu veux... Dis donc, j’ai trouvé deux minettes qu’on pourrait sortir ce soir, à mon avis des saute-au-paf,
çà te dit ?
- En fait, j’avais un autre projet. C’est pour çà que je t’appelle.
- C’est quoi ton projet ? Un plan cul j’espère !
- Tu ne crois pas si bien dire.
- Avec qui ?
- Tu ne la connais pas...
- Y en n’a qu’une, non ?
- Une quoi ?
- Une nana ?
- Oui, mais pas n’importe laquelle...
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- Tu es là aussi ?
- Ben oui, elle veut se faire deux mecs en même temps... Enfin, je suppose !
- Une fille de la fac ?
- Non, pas du tout.
- Qui ?
- Ma tante. Astrid, elle s’appelle.
- Dis-donc, et c’est une... une...
- Oui, c’est une sacrée salope...
- Hum...faut voir, elle me tente, ta tante... ha ha !
- OK je compte sur toi, je pense qu’on va s’amuser...
- Tu l’as déjà baisée ?
- Ouais, hier soir. Je l’ai même surprise à se branler sur le canapé en regardant un film porno...
- La cochonne wwaaooou.
- OK, tu viens ?
- Super mec, à ce soir.
- Eh attends, qu’est ce que je fais des deux minettes ?
- Tu les gardes pour demain... »
A peine avais-je raccroché avec Marc, que le téléphone sonnait de nouveau.
Cette fois c’était Anita -la branleuse de la fac- qui me demandait si justement, j’étais libre ce soir, pour développer nos relations à
d’autres pratiques, dans le prolongement de notre prise de contact de la veille.
Je lui répondis que cela aurais été avec grand plaisir mais que justement, ce soir j’étais coincé et je lui servis l’arrivée inopinée
d’une tante vieille fille avec laquelle je devais passer la soirée, par respect familial...
« Mon pauvre Guilhem, je te plains...
- Une autre fois, je te rappelle... Anita... Bises où tu aimes...
- Bisous aussi, au même endroit... »
Plus tard dans la journée, Tante Astrid fit son retour, chargée de divers paquets attestant d’une après midi de shoping.
« Hello ! Guilhem... En forme j’espère ? Dis, tu as eu ton copain ?
- Oui, Marc arrive vers 8 heures...
- Super. Tu nous prépareras un apéritif et après j’ai acheté une grande pizza. Nous aurons autre chose à faire que la cuisine. A plus
tard... »
Tante se dirigea vers la salle de bains, et j’entendis l’eau couler. Je subodorais qu’elle envisageait une préparation exceptionnelle
pour la soirée.
Marc arriva alors, au moment convenu, alors que Tante n’avait toujours pas reparu. Il commença par douter de la réalité de l’existence
de la rencontre promise.
J’avais sorti une bouteille de champagne et une de scotch. Nous primes avec Marc un petit verre de whisky pour nous permettre de
patienter et aussi sans doute de nous détendre quelque peu.
« Hello les garçons !!! entendîmes-nous soudain, et Tante Astrid fit son apparition au salon, juchée sur des escarpins de cuir
blanc à haut talons, ses jambes gainées d’un voile blanc à résilles, avec couture, une courte jupe de stretch, un chemisier de soie grège laissant apparaître un décolleté pigeonnant.
J’observais Marc, dont le regard ne semblait pas pouvoir se détourner de la femme qui se tenait devant nous. Elle était sûre de sa
féminité, et de la séduction torride qui émanait de sa personne, campée devant deux jeunes godelureaux, un sourire aux lèvres. Nous l’interprétâmes comme une invitation à des plaisirs sans
barrière.
« Bonsoir, tu es Marc, je présume ? poursuivit ma tante.
- Euh oui, bonsoir...
- Guilhem m’a dit que tu étais un petit polisson ?
Marc me jeta un coup d’œil et benoîtement, je lui souris.
- Alors, je vous plais les garçons ? demanda Tante Astrid en s’asseyant sur le fauteuil en face du canapé où nous
étions. »
La coquine prit soin de nous gratifier d’un gracieux mouvement de ses jambes. Ce geste nous permis d’observer qu’elle portait, d’une
part, des bas soutenus par des jarretelles blanches, et d’autre part, un string arachnéen de dentelle blanche.
« Guilhem, tu nous sers le champagne ?
- Bien sur, Tante... »
Elle caressait doucement sa cuisse faisant crisser le bas. Nous trinquâmes à notre soirée et ma tante, une fois sa coupe reposée, entra
dans le vif du sujet sans autres tergiversations.
Cette entrée en matière consistait à croiser et décroiser les cuisses le plus lentement possible en nous regardant par dessous, avec
son petit sourire enjôleur qui en disait long sur ses intentions libertines.
« Alors, les garçons, le spectacle vous plait ? »
La gorge nouée par l’émotion, et l’excitation croissante, nous nous contentions de hocher la tête, les yeux exorbités devant ces jeux
de jambes de plus en plus impudiques. Maintenant sa jupe était remontée, et nous pouvions admirer les cuisses striées par les jarretelles.
« Dites, je vous fais bander au moins ?
- Euh… oui, répondis Marc., un peu gêné. »
Pour ma part, j’opinais vigoureusement du chef en continuant de mater ma tante dans son exhibition. A cet instant, elle passait sa main
entre ses cuisses par dessus la fine culotte, avec un bruit d’ongle délicieux sur le tissu tendu.
« Alors ? relança Tante Astrid.
- Euh… quoi ?
- Eh bien qu’attendez-vous ? Montrez-moi comme vous bandez... Sortez vos queues, les garçons... »
Fascinés par la dimension érotique de la situation, nous entreprîmes de concert de défaire notre braguette pour en extirper notre
engin.
« Déshabillez-vous ordonna soudain ma chère tante, alors que nous regardions sa main se glisser dans sa culotte... Mettez-vous
tous les deux à poils. Je vous veux nus devant moi... »
Marc, subjugué par Tante Astrid, obéit aussitôt. D’un sourcil relevé, elle me décida à faire de même. C’est bientôt, deux jeunes hommes
nus devant elle que Tante put voir, l’étendard vigoureusement levé.
« Elles sont belles, vos bites, les garçons. Allez, branlez-vous devant moi. Montrez-moi comment vous vous paluchez, mes petits
cochons. Je veux vous voir vous masturber devant moi... »
Nous nous livrâmes ainsi, à sa demande irrésistible, cuisses maintenant écartées devant nous, au maniement de notre queue, occupation
au demeurant familière, et pour ne pas dire quotidienne. Mais il faut bien l’avouer, c’était une première pour nous de le faire dans de telles conditions !
C’est alors que ma tante repoussa sur le côté le tissu de son string pour nous dévoiler impudiquement son sexe humide d’excitation.
D’un geste gracieux, elle écarta d’un doigt ses lèvres intimes et s’exhiba à nos regards perdus de concupiscence juvénile.
Elle s’engagea alors dans une masturbation lente, méthodique, jouant de ses doigts, tantôt sur la perle ourlée de son clitoris, tantôt en s’enfonçant délicieusement l’index ou le majeur dans les plis de sa chatte, tout en ne quittant pas des yeux nos mains qui maintenant s’agitaient de manière quasi automatique sur notre gourdin tendu.
« Humm, Vous êtes superbes comme ça les garçons, branlez-vous bien devant moi… C’est bon, vous me faites mouiller mes petits
cochons. Ohh ! Vous savez ce qui m’exciterait encore plus ?
- Euhh ... non... Tante Astrid...
- Branlez-vous ensemble...
- Ben, c’est ce qu’on fait déjà !
- Vous avez bien compris ce que je voulais dire. Guilhem, prend la queue de Marc et branle ton copain et toi Marc fais
pareil... »
Nous nous regardâmes, Marc et moi, quelque peu surpris par cette invitation, mais nous avions probablement déjà dépassé nos limites,
plongés dans l’érotisme torride diffusé par cette garce d’Astrid.
C’est ainsi qu’avançant la main, je pris la hampe douce, chaude et dure de mon copain et lui fit de même. Nous nous branlâmes ainsi,
timidement d’abord puis ensuite plus franchement sous le regard embrasé de Astrid, dont la délicieuse branlette et l’exquis auto-doigtage exsudait un stupre du meilleur aloi.
Cette palpation réciproque se poursuivit quelques minutes, et je fis le mouvement que chacun semblait attendre, Tante la première, à
savoir me pencher pour poser mes lèvres sur le gland turgescent de Marc. Je commençais ainsi la première pipe de ma vie, alors que ma tante, à moitié nue, se levait de son fauteuil et venait
présenter, ventre en avant et cuisses écartées, sa chatte humide sur la bouche disponible de Marc qui se laissait sucer, dévorant en même temps l’abricot gorgé de sève.
« Mes petits cochons vous m’excitez. Vas-y Guilhem suce-lui sa belle bite à ton copain qui me bouffe en même temps. Ho oui...
j’adore... continue toi, gémissait Astrid en caressant les cheveux de Marc. Mange-moi, dévore-moi déguste-moi la cramouille... »
Nous communiquions dans le même délire érotique, et ce fut bientôt au tour de Marc de me rendre la politesse caudale, ce qu’il accepta
sans hésiter, gobant avec délice mon chibre déployé. Tante Astrid vint alors prêter main et bouche fortes à Marc. Ce fut alors un galant et tendre ballet de langues fureteuses et de lèvres
aspirantes, qui dansèrent sur ma bite, et un peu plus loin du côté pile.
Nous échangeâmes alors force léchouilles de toutes sortes, dans un festival oral (si l’on peut dire car nous avions toujours la bouche
pleine de quelque chose, qui une bite, des couilles, un sein, une autre langue).
« Petits vicieux dit-elle soudain, il est temps de me foutre ! Venez me mettre vos bites. »
A ce moment, Marc était allongé sur le tapis de telle sorte que Tante Astrid vint s’empaler sur son manche rigide, offrant sa croupe à
mon concupiscent désir.
Je me penchais alors vers le divin cul de Tante, léchant la raie publique comme un roi, désireux de préparer ma vicieuse tante à la
double pénétration à laquelle elle nous invitait.
« Allez, viens mon petit neveu, viens sodomiser ta tante...
- Ho oui… Quelle cochonne tu fais. Je…
- Trêve de discours, mets-moi ta queue, petit coquin... J’en ai trop envie ! »
Je me positionnais alors devant les fesses tendues d’Astrid, qui se les écartait des deux mains, exhibant son œillet coquin et luisant
de salive et de mouille...
« Alors Guilhem, qu’est ce que tu attends pour enculer ta tante ? Vas-y, mets-moi ta queue... »
Mon gland força alors la rondelle de ma tante, et c’est toute la hampe qui fut aspirée dans l’antre culière d’Astrid, maintenant
doublement queutée.
Je sentais le gros engin de Marc qui reprenait du service dans la chatte de Tante, et nous accordâmes nos allées et venues, alternant
nos coups de boutoirs et nos délectables glissades dans ces deux orifices que ma vicieuse tante nous offrait de concert.
« Oh oui j’aime, disais Tante Astrid, me faire sandwicher comme çà.
- C’est plutôt notre mie entre deux saucisses, rétorquai-je... poursuivant le pistonnage culier de Tante dont les déhanchements
avalaient nos bites au plus profond de ses sensations. »
Confrontés à un tel régime, Marc et moi ne tardâmes pas à sentir monter notre sève. Tante le sentit aussi.
« Oui.. oui !! Mes petits vicieux, jutez moi dans les deux trous, j’adore çà... »
Une telle invitation ne se refusant pas, nous nous répandîmes dans les entrailles de Tante, quasiment en même temps. Cette coïncidence
a déclenché à son tour l’orgasme vertigineux de Tante Astrid, haletante, qui exprima vivement son plaisir à cris et à corps.
Nous nous retirâmes alors, et Tante, satisfaite et repue, se tournant vers nous, vint de sa bouche et de sa langue gourmande, savourer
les effluves musquées et les dernières gouttes de notre plaisir.
Après quelque temps de récupération, ma tante, en lingerie blanche, mais sans son string, se mit à la cuisine et réchauffa la pizza que
nous mangeâmes de bon appétit. De ses mains polissonnes, elle venait nous flatter la queue, de telle sorte que nous étions bientôt prêts à remettre le couvert, ce que nous fîmes au long de cette
soirée inoubliable. »
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