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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Voilà, je me présente, Nadine, belle femme, enfin, on me le dit, d’une trentaine d’année. Je suis une hypersexuelle, que peu de choses arrêtent…

 

Il y a quelques semaines, j'étais à Paris pour passer quelques jours de vacances, et mes pulsions sexuelles sont revenues. Il me fallait les assouvir à tout prix. J’ai profité d’être à Paris pour aller à Pigalle...
Shopping en sex-shop, essayages devant les clients vicieux. Puis direction les cabines de projection. Un mec m’a suivie, rapidement caressée,  il s’est branlé, a joui sur moi, et a tourné le dos très vite. C’était très frustrant…
J'étais en manque et non satisfaite...

Je suis rentrée à l'hôtel, chaude comme la braise. J'ai remarqué au bar le serveur. Un grand black, bien fait. A sa manière de me regarder, je savais que j’avais là mon premier mec de la soirée. Je suis montée dans ma chambre me doucher, pour être bien propre, si mon instinct ne m’avait pas trompée…. Je me suis habillée d’un haut noir, d’une jupe blanche évasée, et je n’ai pas jugé utile de mettre une culotte…

Je suis retournée au bar m'asseoir, de sorte à être face au barman. A droite, trois hommes d'affaires discutaient à une table autour d'un ordinateur. Ils avaient la cinquantaine quelconque.
Le barman est venu prendre ma commande : une coupe de champagne, comme à mon habitude. J'ai regardé fixement sa braguette, puis ses yeux. Il hésitait à sourire, et il est reparti préparer mon verre.
Je me suis tournée vers les hommes d’affaires, j'ai croisé mes jambes. Ils étaient trop absorbés par leur travail, et ne m’ont pas vue. Je me suis alors dirigée vers eux et je leur ai demandé le journal posé sur leur table. En me le passant, l'un m'a averti que ce journal m'ennuierait. Ce n'était que des finances et la bourse.
Je lui répondais que j'aimais la bourse. Les bourses en général, avec un sourire discret.

De retour à ma place, c'était gagné, ils me regardaient à tour de rôle avec insistance. Je faisais semblant de pas les remarquer.
Assise de travers, j'ai décroisé mes jambes. Le temps nécessaire pour qu'ils voient mon sexe lisse, puis me suis tournée vers le bar. J'ai ensuite fait en sorte que le barman voit mon sexe, écartant sans sourciller les jambes.

Le barman est arrivé avec ma coupe, m'a demandé si je voulais autre chose.
Je l'ai regardé droit dans les yeux, et lui ai demandé ce que lui, voudrait. Gêné, il n’a pas répondu… Comme il repartait vers son bar, je l'ai arrêté pour lui demander s'il assurait le room-service. Il m’a confirmé que c'était envisageable. Jai alors demandé à ce qu'il me serve une bouteille de champagne, juste avant sa pause. Puis je me suis levée, sans même attendre sa réponse.

Quelques minutes plus tard, on frappait à la porte. Le barman, timide et incrédule est entré, son plateau à la main. Il a fermé la porte derrière lui. Le temps de cette manœuvre, je me suis déshabillée, et allongée sur le lit.
Sans plus de précautions, je lui ai dit que je voulais qu'il me défonce. Etre sa putain. Sa blanche putain. Je me suis mise à genoux devant lui, j'ai sorti sa bite, et je l'ai sucée. Il m’a ensuite allongée sur le lit, m’a dévoré la chatte. J’ai joui une première fois, assez vite. Il m’a alors pénétrée violemment, me besognant avec force, sans tendresse. Je jouis encore, en riant très fort dans la chambre feutrée…


Je lui ai demandé de prendre mon appareil photo dans le tiroir et de faire une photo de moi, pour qu'il la garde sur lui. Il pourrait la montrer à qui il voudrait. Je lui ai dit qu'un gars comme lui ne gagnait pas bien sa vie, et que je voulais être sa pute tout ce week-end, qu'il se débrouille comme il voulait. Je resterai dans ma chambre à sa disposition.
Qu'il me loue à qui il voulait et garde l'argent...
Je serai l'esclave de ses « clients. » Puis je lui ai montré le matériel acheté au sexshop : menottes, collier, laisse, etc.

Avant de partir, il m'a dit que ça ne tarderait pas, qu'il commencerait déjà par l'équipe de l'hôtel. Je devais les attendre allongée sur le lit, habillée comme une chienne. Il avait pris très vite à cœur son rôle de mac dominateur !

Très peu de temps après, deux jeunes arrivèrent. Ils m'ont défoncée rapidement, puis giclé dans ma bouche. Pas un mot. Le téléphone sonna, c’était le barman qui m’annonçait mes prochains « clients » : le gérant du soir, puis le vigile. Cela lui permettrait d'avoir les mains libres pour la suite de la nuit.

Le gérant était un jeune, maigre et moche. Il a juste voulu que je lui vide les couilles. Au moment où je lui léchais ses boules, à genoux, écartée devant lui, il a commencé à se lâcher. A m'insulter de tous les noms. Puis il m'a tirée la tête vers le haut et m'a enfoncé sa bite dans ma bouche, puis baisée violemment la bouche. Il a giclé puissamment et s'est rhabillé avant de partir discrètement.

Presque de suite, c'était le vigile. Un arabe, moche. Lui a été direct. il m'a traitée de trainée, m'a fait mettre à quatre pattes. Il a enfoncé ses doigts dans mon cul à sec et il a tourné dedans. Il m'a levée par les cheveux, poussée à plat ventre sur le lit, m'a écartée les jambes. Avec sa ceinture, il m'a liée les bras dans le dos avant d'embrocher mon cul à sec, sans aucune précaution. Il était violent et puissant. Pour me réduire au silence, il m'enfonçait ses doigts dans ma bouche. Un dernier coup de reins, et il s'est répandu en moi. Il a détaché mes mains, il s'est rhabillé, puis me faisant tourner la tête vers lui, il m'a traitée de pauvre putain.

Le cul endolori, écœurée, je me suis à nouveau nettoyée de partout. J’étais mal, mais j’en voulais encore plus ! Trois autres personnes ont suivi, séparément. Plus doux, mais tous silencieux. Le dernier m'a demandé de le doucher et savonner. Puis sous la douche, il m'a uriné dessus.

Douchée, remaquillée, le gérant m'a appelée, pour me donner les consignes du barman. Je devais attendre devant une chambre. Avec mes menottes, collier, godes etc.
Mais je devais être discrète, inutile d’alerter tout l’hôtel.

Un garçon d'étage était devant une chambre, avec un plateau repas. Il me fit signe : je devais faire le service aux clients.
J'ai frappé La porte s'est ouverte. Je me suis trouvée face aux businessmen, un énorme sourire accroché sur leurs visages... Je suis rentrée, poussant le chariot.
Je leur ai fait le service, nue avec mes chaînes et menottes aux poignets et chevilles. Ils me pelotaient, me doigtaient, rigolaient.
Après leur avoir servi le café, ils m'ont fait poser pendant qu'ils prenaient des photos. Ils se sont amusés à m’enfoncer des godes dans le cul.


Ils m’ont fait me fister le cul, puis enfin après m'avoir fait les sucer, assis sur leur canapé, ils m'ont prise par le cul à la chaîne. Tous se sont vidés dans une assiette.
Ils m'ont attachée les mains dans le dos avec les menottes, puis fait mettre à quatre pattes. Ils ont pris  maintes photos de mon cul ouvert.

L'un s'est approché avec la bouteille de champagne qu'ils avaient vidée. Le plus jeune a dit, dans un demi-rire, demi-inquiétude, qu'il était fou, qu’il ne fallait pas pousser. Et l'homme à la bouteille lui a répondu que le barman lui avait assuré qu’ils pouvaient disposer de moi comme ils l'entendaient. Et que pour 3 000 euros, ils n'allaient pas se gêner ! Surtout que j'étais déjà bien ouverte... Ils ont ri, puis l'un a posé ses pieds sur mon dos. J'étais plaquée, cul en l'air.
J’ai senti le froid de la bouteille contre mes fesses. Il me l'a enfoncée doucement. Puis il a commencé à forcer. Il m'ouvrait le cul, il me le déchirait presque… Ils étaient extasiés de voir ça... L'un a dit que ça suffisait, mais ils ont commencé des allers retours dans le cul, avec la bouteille. On m'a mis l'assiette de sperme sous le nez et je l'ai lapée, en les regardant. Ils prenaient encore des photos...
Pendant qu'ils appelaient la réception, les autres jouaient à m'enfoncer des doigts dans le cul. Le groom a tapé à la porte, et m'a posé un manteau sur les épaules. il m'a raccompagnée à ma chambre, où je me suis reposée quelques instants. Je regardais mon cul ensuite dans le miroir de la salle de bain. En effet, il était béant...

Le téléphone sonna, on me dit que je devais manger, puis me tenir prête pour être exhibée dans une boite de nuit.
Une heure plus tard,  un magrébin est venue me chercher pour me conduire. La boite étais archi comble, avec des clients plutôt zonards, une clientèle jeune, de banlieue.


Nous sommes rentrés, puis allés dans les bureaux. Le patron, un gros gars typé gitan, a sifflé d’admiration en me voyant entrer. Il a baissé sa braguette, et claqué des doigts. J’ai compris son geste, et me suis courbée vers lui. Assis sur son gros fauteuil, je le pompais, lui léchant ses énormes couilles, pendant qu'il discutait avec l'arabe qui m'avait amenée.


Une fois qu'il s'est vidé dans ma bouche sous les insultes, il m'a dit qu'il était temps d'aller danser sur le podium. Je devais garder mon string et les allumer au maximum.
Je monte sur le podium. La musique est à fond. Je danse, me tords, je les allume. Je m'éclate, à vrai dire. Puis on me fait signe de descendre.
On m'amène au bureau à nouveau. Je m'assois et j'attends. Une demi-heure plus tard, on vient me chercher pour aller dans une autre salle de la boîte.
Elle est plus petite, avec un podium central. On m'explique que c'est une salle « spéciale » pour les VIP, ceux qui payent cher…
Je dois me déshabiller, aller sur le podium et danser. J’obtempère, et en fait, je m'amuse. Des gens entrent, et une voie annonce au micro que je suis disponible de partout. La voix me demande de me mettre en levrette, de me trémousser. Puis elle invite l'assemblée à m'observer, me toucher. Si je les intéresse, qu'ils s'adressent au patron pour les modalités. J’aime qu’on me mate, j’aime voir les mecs s’excite sur mon cul. Il est encore ouvert de la pénétration avec la bouteille de champagne.

On me fait descendre, puis on me dirige vers une grande pièce derrière un rideau. Il y a un grand lit, des accessoires. J'ai compris. Résignée, excitée mais un brun écœurée, effrayée, je m'allonge. J’écarte mes cuisses, je me caresse les lèvres intimes. Je suis hyper excitée.
Le rideau s'ouvre. Un gros barbu apparaît. Il me regarde fixement, mais semble attendre quelque chose. J’entends un bruit sourd près de moi. C’est un chien, un labrador. Il prend la laisse et remercie. Mon arabe de chauffeur s'excuse, mais par rapport aux autres clients qui suivront, il devait faire entrer le chien par une autre entrée discrète.
Je n'ai jamais fait ça !!! La simple idée me terrifie et me dégoute.

Le barbu sort sa bite, et me fait signe d'approcher. J'enfourne avec répugnance sa bite dans ma bouche. Heureusement, il a une éjaculation rapide. Puis il me fera sucer son chien. Jamais je n’ai fait ça. Ce soir, je suis tombée plus bas que jamais.

La suite est encore plus humiliante. Il m’a fait lécher et saillir par son chien. Sa grosse langue râpeuse a léché ma chatte en feu, pénétrant partout, et me provoquant un orgasme fou. Humiliant surtout d'avoir joui avec un chien qui me labourait la chatte. Et d'avoir joui à nouveau quand il a lâché son sperme.

Il en avait fini, et il est parti avec son chien. L'arabe est rentré, m'a indiqué les toilettes et les douches en face. Il me fallait me nettoyer rapidement des souillures du chien. Les autres ne devaient pas savoir qu’ils passaient sur moi après un chien… Les hommes attendaient, là, dehors...

Je suis prête. Trois jeunes beurs de banlieue entrent, avec des exclamations vulgaires : « On va lui faire son cul à cette salope... »

Des hommes se succéderont en moi des heures durant. Tous mes orifices seront défoncés, surtout mon cul. Ils déverseront leur sperme par flots dans ma bouche, me bafferont, me fisteront, m'enfonceront des godes énormes.

Puis on me raccompagne dans ma chambre. Pour finir, je suis baisée à fond par l'arabe. Il inondera mon cul de son sperme avant de partir.


Effondrée de sommeil, je ne me réveille qu'en milieu d'après-midi. J'ai honte de mon attitude, de mes excès, j’ai des nausées en y repensant, mais je mouille… Du coup, j’ai encore plus honte de moi ! C’est un cercle infernal !

Je m'endors, en me demandant de quelle maladie je peux bien souffrir pour jouir de ces situations. Pourquoi tant aimer la perversion. Pourquoi cet appétit sexuel ? Pourquoi cette envie de servir d'objet, d’être humiliée comme je l’ai été hier ? J’ai été baisée et enculée par plus ou moins cinquante mecs, et un chien ! Je ne suis pas si fière de moi…

Ca ne servait à rien de me poser la question. C'était la faute à la nature. Un point c'est tout... C'était elle la coupable...

Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Porno XXX
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Commentaires

Elle a la santé, la Nadine. Mais y trouve-telle autant de plaisir qu'elle veut bien le dire. On dirait qu'elle se punit... Je ne suis pas sure qu'un femme comme elle soit réellement satisfaite de se faire humilier ainsi.
commentaire n° :1 posté par : Isa le: 02/10/2009 à 18h07
Je comprends Nadine car en tant qu'hypersexuelle je réagis comme elle quand mes envies me prennent je n'ai plus de limites. ce n'est pas toujours facile à vivre mais on ne refait pas sa nature.
commentaire n° :2 posté par : Olga le: 03/10/2009 à 00h17
si ca lui fait plaisir ou est le mal si elle a besoin de ça alors elle a qu a continué
commentaire n° :3 posté par : romain57 le: 03/10/2009 à 16h54
Tu as tout à fait raison. Il faut juste connaitre ses limites, et s'arreter si ca fait souffrir. Voir sur ce sujet : http://hypersexuelle.erog.fr
réponse de : Sophie de R. le: 03/10/2009 à 19h55
Nadine, jolie petite salope, dès que tu repasses par Paris, fois-moi signe, je t'organise la baise à la chaine que tu veux, payante ou non !
Les femmes comme toi me font bander dur. Je t'en donnerai autant que tu voudras !
commentaire n° :4 posté par : Patrick le: 03/10/2009 à 19h59
Parfois, comme Nadine, je reve de partenaire inconnus et multiples; Mais je n'ai jamais osé franchir le pas. juste un "petit" gang bang avec cinq hommes, et tous connus.
Je ne sais pas pourquoi j'ai cette envie d'etre traitée comme une chienne, mais quand ca m'est arrivée (avec moins d'hommes) ,e je sentais sale et très honteuse...
commentaire n° :5 posté par : Marine le: 07/10/2009 à 00h05
Plus je lis ce blog, plus je l'apprécie ! On est pareilles, ma chère Sophie, on a les memes envies, les memes délires. Parfois, je fais comme Nadine, le chien en moins. je me fais baiser à la chaine, sans regarder qui est là. Je vérifie juste que le mec porte bien une capote. Ensuite, ils me baisent à la chaine. je n'ai pas encore fait les chantiers, ca me fait un peu peur. Je fantasme sur des bites au kilomètres. Parfois, je me demande si je suis normale !
commentaire n° :6 posté par : Cindy le: 19/10/2009 à 19h33
bonsoir sophie
je me demande quel cocktail ferait un homme hypersexuel et une femme hypersexuelle, hummmmm , moi j aimerai bien avoir l adresse d une hypersexuelle , des fille comme nadine sont tres rares , je ne me vois pas coucher avec un chien, mais je me verrai bien coucher avec 10femme differentes , lecher ces dix femmes , sucer ces femmes , enculer à fond toutes ces femme quel homme n aimerait pas meme gratuitement avoir une prison pour femme à lui seule !!! hummm mais voilà l homme hypersexuelle n aura toujours que des poupées en plastique alors tous les jour aux amendiers des 20h j insite a sortir de mon slip ma bite dans le noir pour les fille seules faisant semblant de faire pipi elle regardent juste un peu et sen vont pauvre de nous les hommes pourquoi je suis pas nè femme!!!
commentaire n° :7 posté par : labite973 le: 20/10/2009 à 01h08
Tu vas vraiment aux amandiers t'exhiber ? Je croyais qu'il ne se passait rien là-bas ! Si tu le fais, je vais venir te voir un soir... Et je prendrais un grand plaisir à te regarder te branler devant moi. S'il n'y pas de monde, peut etre que j'en ferais autant....
réponse de : Sophie de R. le: 20/10/2009 à 05h26
Bravo pour ce témoignage sans aucune retenue
commentaire n° :8 posté par : Christophe soumis le: 26/05/2011 à 18h35

Tu as raison, sans absolument aucune retenue !

réponse de : Sophie de R. le: 31/05/2011 à 21h29
Vraiment très très hard et très sex.je bande comme un taureau!
commentaire n° :9 posté par : Jessy le: 27/05/2011 à 14h32

Heureuse de le savoir ! ;-)

réponse de : Sophie de R. le: 10/06/2011 à 21h50
je suis entièrement de l'avis de Isa
commentaire n° :10 posté par : brunobi le: 27/05/2011 à 20h18

Comme on dit "les grands esprits se rencontrent" !

réponse de : Sophie de R. le: 10/06/2011 à 21h51
@ Madame Sophie de R.
Vous disiez "Tu as raison, sans absolument aucune retenue !"
Et justement c'est l'absence totale de retenue qui est bon.
Ayons tous le courage de vivre nos envies, de vivre notre sexualité sans aucune retenue et le monde sera beaucoup plus beau. Halte à l'impocritie !
commentaire n° :11 posté par : Christophe soumis le: 01/06/2011 à 08h23

hypocrisie, je présume ? Oui tu as raison, meme si certaines barrières doivent toujours existezr.. comme l'interdiction de la pedophilie ou les pratiques violentes non consenties...

réponse de : Sophie de R. le: 12/06/2011 à 21h31
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