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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je pris une douche, m’habilla et allai préparer le déjeuner. Je planais !

 

Jacques fut de bonne humeur et bizarrement me souhaita une bonne journée. Cela me surprit. Me croyant seule, je me servis une tasse e café et envoyai un sms à ma tendre et douce amie.

 

« Gros bisous ! Tu m’as fait découvrir une partie de mon être et des sensations que je ne connaissais pas. Si c’est cela tomber amoureuse alors oui, je le deviens. Ton amante. »

 

Je lui envoyai. Je ne sais pas si en une nuit on peut tomber amoureuse. Je n’ai jamais cru au coup de foudre. Mais il ne jamais dire jamais.

« Bonjour, me fit une voix de femme.

- Euh… bonjour. Qui…

- Je m’appelle Thérèse. Je suis une amie de Jacques et de Caroline. J’étais aussi aux fiançailles. Je me rappelle bien de vous. Vous étiez sublime et si… désirable… »

 

Elle me faisait peur. Ses petits yeux essayaient de percer mon esprit. Je ne détournai pas le regard et je l’affrontai. Un combat entre les regards commença. Tout en buvant lentement mon café, je la fixai.

 

Ce fut elle qui quitta mon regard.

« Vous avez encore du café ?

- Oui ! Je vais vous servir.

- Pas la peine, je suis assez grande pour le faire. »

 

Un sentiment de joie était perceptible dans sa voix.

« Vous ne ressemblez pas du tout à la femme de chambre classique. Vous ne vous laissez pas faire, je suppose.

- Jamais !

- Vous ne me posez pas la question qui doit vous brûlez les lèvres.

- Laquelle ?

- Qu’est-ce que je fais ici ? dit-elle un peu déçue.

- Ce que Jacques et Caroline font de leur vie ne m’intéresse pas. Je suis engagée pour le ménage. Le reste, c’est leur vie privée.

- Même si vous devinez que comme Caroline n’étant pas là, je n’ai à rien faire ici à part…

- Madame ! Je ne suis pas naïve ! Si Jacques a envie de tromper sa femme, cela le regarde. Et si vous aimez trahir des soi-disant amies, c’est votre affaire. Maintenant si vous le voulez bien, je dois travailler, dis-je en colère.

- Ne vous brusquez pas ! Vous me plaisez ! C’est rare les personnes qui osent dire ce qu’ils pensent. De toute façon, je dois vous laisser. Bonne journée.

- Bonne journée, » répondis-je sèchement.

 

Elle partit rapidement le sourire aux lèvres. Je ne savais si je devais prévenir Caroline et je ne le fis pas. Si Caroline pouvait tromper son mari à qui mieux mieux, il pouvait en faire autant. Je fis mon travail comme à l’accoutumée.

 

C’est tranquille que j’allai dans le bureau de Caroline et de visionner mon enregistrement d’hier soir.

J’allumai, et passai sur les périodes où je vis Jaques seul dans sa chambre marchant d’un pas hésitant.

A vingt heures, Thérèse sonna. Au bout d’un long moment, je le vis entrer dans sa chambre, nu et à quatre pattes. Thérèse le tenait à la laisse. Je remarquai la tache noire entres ses fesses et me rendit compte qu’il avait un plug entre ses fesses.

 

Ce qui me surprit fut l’homme qui rentra avec eux. Petit, trapu et sans charme. Il ne parlait pas et semblait sur une autre planète.

 

Le spectacle que je vis me fit horreur et me révulsa parfois. Je ne sais qui prit le plus de plaisir, Jacques, je ne crois pas car les cris de peur qu’il poussa lorsque l’homme lui présenta un sexe démesuré entre ses fesses furent impressionnants. L’homme, non plus ne transcrit aucun plaisir lorsqu’il éjacula sur la figure de Jacques. C’est Thérèse qui prit son pied. Je la vis jouir je ne sais combien de fois ! Est-ce en voyant le spectacle ? Ou juste par les coups violents qu’elle donna à Jacques, ou le fouet qui claqua sur les fesses de celui-ci ou lorsqu’elle fut prise et par les deux hommes.

 

Cette femme était sadique car, malgré les suppliques de Jacques, elle ne s’arrêta jamais. Je ne crois pas que l’on peut appeler encore cela du SM. J’en doute. N’est-ce pas le soumis qui décide en fin de compte ?

 

L’homme partit, raccompagné, par Thérèse qui jouait le rôle de Caroline. Jacques dut dormir à terre sur la carpette pendant qu’elle se donnait du plaisir avec toute sorte de vibros plus gros les uns que les autres.

 

Je fis une copie du CD et allai le mettre dans une cachette que j’avais trouvée. Il allait payer. Qu’il se fasse sauter comme bon il lui semble, je m’en foutais, mais faire jouer le rôle de sa femme par une salope, cela me restait en travers de la gorge.

 

Je pris une enveloppe et glissai une copie remaniée et beaucoup plus courte. J’inscris l’adresse de son cabinet et accompagnai le cd d’un mot tapé à l’ordinateur.

« Crois-tu que certains de tes amis seraient content de te voir prendre par un mec ? Je n’en suis pas sûre ! A bientôt. Tu auras encore de mes nouvelles ! PS : Il paraît que tu te branles sur la porte de ta bonne ? Pas bien ! »

 

Je fermai, et allai la poster directement dans sa boîte aux lettres de son cabinet.

 

Caroline me téléphona l’après-midi. Je ne parlai pas de Cerise. Par contre elle arriva à me faire mouiller en me racontant ses retrouvailles avec ses collègues européens sans se priver de l’active participation de Florence.

 

Je raccrochai excitée sans amertumes ni jalousie quelconque. Malheureusement, le désir de me satisfaire était bien présent.

Ce fut le moment où la sonnerie d’entrée tinta.

J’allai ouvrir.

« Bonjour !

- Bonjour Rodrigue.

- Caroline n’est pas là ?

- Non, elle est en séminaire.

- Zut ! J’avais oublié.

- Dommage ! Tu avais quelque chose à lui dire ou à lui donner.

- Peut-être que je pourrai te le transmettre.

- Quoi ?

- Du plaisir ! » dit-il l’œil égrillard.

 

Chaude comme je l’étais, sa proposition si explicite ne me laissa pas de marbre. Comme réponse, je lui ouvris la porte et il entra.

« Non, pas par là ! fis-je en le voyant entrer dans le bureau de Caroline.

- Ah ?

- Que dirais-tu ? Sur le lit de ta chère fiancée !

- Tu ne serais pas vicieuse ?

- Non, pas du tout ! Viens, on n’a pas beaucoup de temps. Steve revient dans une petite heure.

- Ce sera assez pour te faire prendre ton pied ! »

 

Je le devançai et tout en montant les marches, je soulevai ma jupe avec rien en dessous.

« Toujours prête ?

- Pas toujours mais aujourd’hui, oui !

- Ton copain doit être un homme heureux.

- Qui te dit que c’est un copain ?

- Une… femme ? répondit-il en s’étranglant.

- Mhumm peut-être dis-je en faisant une moue d’écolière.

- Putain ! Tu me fais encore plus bander. »

 

Je me dépêchai et couru sur le lit encore défait. Sans me déshabiller, j’écartai les jambes et je me caressai le sexe lorsqu’il entra dans la chambre.

« Viens tout de suite, j’ai un manque à combler.

- Tout de suite ! Le temps d’enfiler une capote… »

 

Il partit vers la table de nuit d’Emma et ouvrit le tiroir qui gorgeait de préservatif en tout genre.

« Je suis sûr qu’elle doit se faire un pharmacien !

- Ou sa femme ?

- Tu connais ses goûts ?

- Elle connaît aussi le mien !

- Putain ! J’hallucine. Toi et elle ! La prochaine fois, invitez-moi ! Tu dois être une vraie salope pour avoir réussi à l’avoir.

- J’ai mes petits secrets ! Maintenant, tais-toi et viens. »

 

Il s’avança le sabre devant prêt à me transpercer. Il se coucha sur moi et s’embrocha lentement. C’est ce qu’il me fallait, un bon chibre bien dur et long. Il me lima encore et encore.

« Putain, te savoir avec elle va me faire jouir en moins de deux !

- Alors, jouis et rattrape-toi au second round.

- Merde ! Je deviens précoce avec toi ! »

 

Il jouit dans son capuchon et se retira de moi. Un peu blessé, il descendit et s’activa sur mon bouton tout gorgé. Je le sentis lécher, renifler, goûter, presser, contourner avec sa langue. Les vagues de plaisirs se firent plus grandes et plus denses.

 

Il m’arracha une première jouissance.

 

Il s’ôta, et remit un deuxième morceau de latex. Sans attendre que je revienne à moi, il s’introduit en moi et se mit en branle. Quel bonheur !. L’orgasme continuait de plus belle s’enflant encore et encore.

J’étais devenue une poupée en latex qui ne servait qu’à le satisfaire sauf que je prenais énormément de plaisir.

« T’es vraiment bonne ! Putain ! J’aurais du te connaître avant !!

- Oh oui ! Continue ! »

 

Il accéléra le rythme et subitement, il s’arqua et jouit intensément. Si fort que je sentis à travers le latex la force de ses jets. Je jouis encore plus fort.

Reprenant mes esprits, je me redressai. Lui, avachi sur le lit, la queue molle emprisonnée par le préservatif avait quelques peines à se lever.

« Allez ! Debout ! Steve va arriver.

- Ouais ! Il faudra que je te revoie. J’adore te baiser !

- D’abord, c’est moi qui ai accepté, pas toi. J’ai bien pris mon pied mais cela doit rester occasionnel. Tu sais te servir de ton membre, j’en conviens, mais pour ce qui concerne l’élégance, tu repasseras. Je dois avouer que j’aime bien quelque fois et juste quelque fois !

- Ok ! J’ai compris. Merde ! J’ai laissé couler la capote sur ses draps. Elle va gueuler.

- Laisse ! Elle ne s’en rendra peut-être même pas compte, surtout si elle ramène un mec. »

 

Il se rhabilla et partit. Steve arriva un quart d’heure plus tard. Je m’étais cachée à son arrivée et attendis qu’il rentre dans sa chambre. Celui-là aussi, il fallait que je me le mette en poche. J’ouvris l’armoire de surveillance et regarda ce qu’il faisait. Le matin, j’avais repéré les deux ou trois caméras qui étaient disposées dans chaque chambre. Une par fenêtre ou par porte.

 

Je sais ce n’est pas bien de jouer les voyeuses, mais on ne se refait pas.

 

Il ouvrit son ordinateur que j’avais de temps en temps scruté afin de regarder ses petits films faits en cachette. Il alla sur la toile, et atteignit un site de cul où l’on peut voir des vidéos pornos gratuites.

 

Il bougea, fit tomber son jean sur ses chevilles et sortit son sexe de son boxer. Il se masturba et très vite, il éjacula sur son bureau. Mais au lieu de profiter de sa jouissance, il se mit à pleurer. Les sanglots coulaient à flots. Il m’attendrit. Je ne pouvais pas le laisser dans un tel état.

 

Je fis semblant de rentrer de quelques courses et rapidement, je montai les marches. J’ouvris sa porte et il n’eut pas le temps de cacher son méfait car le jean était accroché à son siège et le sexe mou dépassait de son boxer.

 

Je fis semblant de ne rien voir et lui posai une question :

« Pourquoi, pleures-tu ?

- Sors ! Tu n’as pas le droit d’entrer dans ma chambre. »

 

Je sentis que ce petit avait besoin d’une certaine autorité.

« Je suis la femme de chambre et je dois rentrer dans ta chambre si tu veux que j’enlève les draps souillés. »

 

Il devint rouge et honteux.

« Mais ne t’inquiète pas, ta mère n’en sait rien. Je ne suis pas une balance et puis à ton âge, c’est normal.

- Non, je ne suis pas normal, dit-il en baissant les yeux.

- Tu n’es pas normal ? Et pourquoi ?

- Parce que… Fous le camp, laisse-moi !

- On me parle sur un autre ton ! Je ne suis pas ta merde ! Et si tu le prends sur ce ton, attends quand ta mère rentrera. Je suis sûre qu’elle sera ravie de savoir son fils se branler tous les jours et même plusieurs fois par jour ! Cela devient un vice pour finir ! »

 

Il prit peur.

« Non ! Pas ça ! Ma mère sera furax et je serai le dernier des cons.

- Alors dis-moi pourquoi tu n’es pas normal ? Tu n’aimes pas les filles ? Tu aimes les garçons ?

- Non et oui !

- Cela veut dire quoi non et oui ?

- Oui, j’aime les filles et aussi les garçons.

- Et alors ? Pourquoi est-ce anormal ?

- Je suis un mec et les mecs normaux ne fantasment pas sur un autre mec !

- Il est beau ? »

 

Je vis ses yeux briller.

« Oui ! Un vrai dieu, mais j’aime aussi ma copine. Même si elle me dit que je suis un éjaculateur précoce. Tu vois, je suis un pédé, et en plus je suis un vrai lapin. Un coup et je jouis !

- On peut toujours arranger cela ? dis-je sans réfléchir.

- Quoi ??? »

 

Je me rendis compte de la réponse un peu trop tard mais le ton heureux de sa voix me dit que j’avais eu raison. En fait, j’avais un ado un peu paumé sur son identité sexuelle qui, refusant de voir sa nature profonde, était méchant et agressif avec tout le monde.

« Cela s’apprend à se retenir.

- Et où je peux l’apprendre ? »

 

Je pris mon courage à deux mains et lui répondit :

« Si tu veux, je peux le faire.

- Tu… tu… m’apprendrais à…

- Oui mais à une condition !

- Accepté !

- Attends ! Ce que nous allons peut-être faire ensemble devra être un secret absolu ! Si par le plus petit des hasards, j’ai su que tu avais raconté nos futurs cours particuliers, face book et la terre entière connaîtraient tes petits problèmes. Compris.

- Je ferai ce que tu voudras et je te jure que je ne dirai rien. Dit-il en baissant la tête.

- Parfait. Alors leçon numéro une : arrête de te sentir « anormal » ! Tu aimes les filles ?

- Oui !

- Et les garçons ?

- Oui !

- Qui préfères-tu pour l’instant ?

- Je ne sais pas trop.

- Alors dis-toi que tu es peut-être bisexuel. Que tu aimes autant les hommes que les femmes. Cela va peut-être changer dans es semaines ou mois ou années à venir. Laisse-toi aller et écoute ton corps et surtout ton cœur. Et si quelqu’un te reproche ton attirance pour les deux ou pour un homme, il n’en vaut pas la peine.

- Mais mes copains, ils frappent les pédés !

- Alors, garde-le pour toi ! Ils ne doivent pas connaître ta vie privée en détail. Pense que dans quatre mois, tu seras à l’université, personne ne te connaîtra.

- Et ma famille ?

- Si elle t’aime, elle t’acceptera tel que tu es. Fais-moi confiance ! Bon, maintenant, mets-toi debout et nu !

- Mais je…

- Si tu veux que je t’apprenne à te servir de ton engin, il faut que je le voie un jour ! »

 

Cramoisis, il prit son temps à obtempérer. Je vis bien que son chibre avait déjà repris des proportions intéressantes.

« Et sois tranquille si tu bandes en ce moment. C’est déjà bon signe !

- Ah oui ?

- Cela veut dire que tu es un garçon normal et en bonne santé. »

 

Il sourit et enleva le boxer et le jean. Cela m’aurait suffit mais il ôta aussi son t-shirt.

 

Il était nu devant moi, un sexe long et fin durci par le désir.

« Aujourd’hui, tu vas te branler devant moi. »

 

Il prit son manche et s’astiqua rapidement.

« Prends ton temps. Personne n’a dit que tu devais battre un record de vitesse.

- Oui mais dans les films, ils vont vite et longtemps.

- Oublie les films pornos. Ce n’est pas la réalité ! Ils doivent prendre des pauses entre deux prises afin que l’on croie qu’ils durent longtemps. Et puis, ils ont aussi appris à se retenir.

 

J’espérai que je disais vrai car les pornos ne furent pas ma tasse de thé et puis on n’y avait que rarement accès. Pas comme maintenant !

« Va t’asseoir sur ton lit et recommence lentement.

- Et toi ?

- Je… je vais me mettre sur ton siège en face de toi.

- Ah, dit-il l’air désolé.

- Pourquoi ?

- Ben, je pensais que…

- Que quoi ?

- Que tu me montrerais tes seins. Ils me font… »

 

Il ne manquait pas d’air, l’ado. Ce n’est pas l’envie que me manquait, mais il ne fallait pas que je cède. C’est moi le prof ! Pas lui !

« Aujourd’hui, je resterai assise en face de toi.

- Alors, viens près de moi.

- D’accord, pliai-je.

- Maintenant, caresse-toi lentement et lorsque tu sentiras que tu vas jouir, arrête. »

 

Il fit quelques va-et-vient et stoppa, déçu. Le voir se branler humidifiait mon sexe de manière incroyable. Il fallait faire attention si je ne voulais pas laisser de traces sur le siège.

«  Cela va mieux que tantôt ! Non ?

- Oui !

- Chaque fois que tu jouis, la suivante est toujours un peu plus longue à venir. Mais ici, tu as su t’arrêter à temps. C’est bien. Dès que tu sens que le désir redescend, reprends. »

 

Il attendit quelques instants et reprit sa lente masturbation. Malheureusement, il ne sut plus s’arrêter et envoya sa semence sur… mon chemisier.

« Pardon ! Pardon ! Je ne voulais pas !

- Ce n’est rien. Je le laverai. Heureusement que je n’en ai pas eu sur la bouche car j’en aurais avalé, dis-je sans arrière-pensée.

- Tu l’as déjà fait ?

- Quoi, fis-je interloquée.

- Ben, avaler !

- Cela ne te regarde pas et n’entre pas dans les leçons que je vais te donner. A propos, il va falloir me les payer ces leçons.

- Mais je n’ai pas d’argent.

- Je n’en veux pas de ton argent, garde-le pour toi. Tu vas me payer en nature. A partir de maintenant, je veux que tu sois gentil avec moi et que tu arrêtes de salir les draps tous les soirs ! Cela t’ira ?

- Oui !

- A la bonne heure.

- Quand est-ce que ce sera notre prochain cours ?

- On verra lorsque je serai seule avec toi.

- Je peux aussi venir dans ta chambre le soir.

- Oui, c’est vrai mais c’est moi qui te le dirai. Bon, je vais te laisser. Je dois faire des courses. »

 

J’ouvris la porte et allai sortir lorsqu’il me dit :

«  Gwendoline ?

- Oui ?

- Pardon si je t’ai fait du mal et merci pour… la leçon.

- De rien et j’accepte tes excuses. A ce soir.

- A ce soir. »

 

Je partis en ayant l’impression d’avoir fait une bonne action mais aussi en ayant été un peu salope sur les bords car il m’avait bien émoustillé le petit Steve. Je glissai un doigt sur le chemisier, prit un peu de sa semence sur l’ongle et le porta à la bouche.

« Et en plus, il a bon goût. Je crois que les leçons vont devenir de plus en plus chaudes... »

 

A suivre...

Par Un Mari Heureux - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Récits Erotiques X
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