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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Quelques mots de présentation. Je me prénomme Jack, j’ai soixante et un an. J’ai toujours été attiré par le sexe dit « hors-normes », et je vais vous conter comment ma femme m’a obligée à pratiquer du sexe pour le moins inhabituel dans un couple…

 

Grâce a une collègue et amie de ma femme Coralie, qui a su percer à jour la personnalité cachée de mon épouse, cette dernière est devenue libertine, puis ma maitresse.

Voilà comment tout a commencé et évolué/jusqu'à présent :

 

Mon épouse Coralie, vingt-neuf ans, a dû changer de service, il y a a deux ans et demi, suite à une restructuration, au sein de la grosse société d'assurances qui l'emploie, et où elle était entrée il y a six ans.,

Elle est devenue l'adjointe d'une avocate de trente-deux ans, chef de ce service. Très vite, les deux femmes ont sympathisé, et Coralie, quelque temps après, l'invita un samedi après-midi à la maison.

 

Elle arriva pour prendre le thé, et mon épouse me la présenta  sous le prénom de Victoria. Je constatais très vite que ma femme était sous l'emprise de sa belle supérieure hiérarchique. Coralie n'avait d'yeux que pour elle, buvant ses paroles, riant à chaque occasion de ce petit rire de séduction qui me fait craquer...

Leurs relations se développèrent rapidement, et bientôt, elles devinrent des copines quasi inséparables, s'invitant l'une chez l'autre très souvent et courant les magasins, restos, expositions... Elles passaient ensemble tout leur temps libre.  Mais j'étais loin d'imaginer la réalité des choses.

 

Victoria était de plus en plus souvent chez nous. Un soir, je suis rentré plus tôt que prévu, et stupéfait, je stoppe net sur le pas de la porte : juste en face de moi, sur le canapé du salon, les deux femmes s'embrassent à plein bouche. Aucun son ne peut sortir de ma bouche, tant je suis ahuri. Mes rêves les plus fous sont en train de se réaliser : voir ma femme faire l'amour avec une autre.

 

Mais Victoria m'aperçut, et se recula brusquement. Je protestai :

« Mais non, continuez, vous êtes très belles, ainsi... Vous me plaisez beaucoup... » 

 

Du coup, elles reprirent leurs baisers, leurs caresses. Je vins m'assoir près d'elles et les observais, déjà très excité. Mais brusquent, Victoria se leva et annonça :

« Je dois partir, nous recommencerons un autre jour ! »

 

Dépité, je ne dis rien, et regardait Coralie raccompagner sa supérieure à la porte, non sans un dernier baiser passionné.

 

 

A partir de ce jour-là, les deux femmes ne se gênaient plus pour se câliner devant moi, se tenant par la taille se faisant des bisous pour un oui ou un non. Parallèlement, ma femme devint distante avec moi, puis froide, et elle commença à me donner des ordres …

« Jack, va me faire un café et apporte-le moi ! »

 

« Retourne me chercher le sucre, du lait... Tiens, va rapporter ma tasse dans le lave-vaisselle et donne un coup de torchon sur la table basse où la tasse a laissé un cercle, dépêche-toi avant que ça tache etc... »

 

Intrigué par ce changement d'attitude, j'obéissais sans rechigner, elle accentua alors son autorité sur moi, prenant tous les prétextes pour me donner des ordres divers d'un ton sec et dur.

 

Et un soir devant Victoria, elle me traita carrément comme son domestique. Victoria, les yeux brillants, suivait son manège, paraissant l'encourager à me maltraiter, m'humilier, et s'enhardissant, elle s'adressa à moi en m'ordonnant :

« Jack, va donc me chercher mes cigarettes qui sont dans mon sac. Je l'ai posé sur la console de l'entrée en arrivant. »

 

Interloqué, j'hésitais. Aussitôt, ma femme intervint brutalement :

« Qu'attends-tu, nigaud, pour obtempérer ? Dépêche-toi voyons ! »

 

Muet de surprise, j'allais donc chercher les cigarettes et les remis à Victoria. Ma femme me murmura, les lèvres pincées de colère :

« Alors, qu'attends-tu pour lui donner du feu ? Va donc prendre mon briquet dans ma chambre ! » 

 

Quand je revins avec le briquet, Victoria me remercia, et s'adressant à ma femme elle lui sourit :

« Bravo chérie, je vois que tu l'as déjà bien conditionné à être obéissant, mais il faut accélérer son dressage, laisse-moi faire. »

 

Et comme Coralie ne répondait rien, elle se leva et me dit sèchement :

« A poil, déshabille-toi, allez tout nu... »

 

Je ne bougeais pas, ahuri de tant d’audace et de détermination. Alors, ma femme se leva à son tour et me cria :

« Eh bien quoi ? Tu n'as pas entendu ? Enlève tes vêtements, tout, et fais vite, minable ! »

 

Comment pouvait-elle me traiter ainsi de minable, et devant sa supérieure ? Ma douce femme avait bien changé en très peu de temps... Je ne savais plus si je devais en être heureux ou contrarié ! Etre dominé n’avait jamais fait partie de mes fantasmes !

 

J’en étais là de mes réflexions, toujours immobile.

Ce qui contraria grandement Victoria.

 

Elle s’approcha de moi, et me donna une paire de gifles de toutes ses forces. Le choc fut si violent que j'en eu les larmes aux yeux. Coralie me dit avec un sourire vicieux : 

« T'en veux une autre ou quoi ? Ne reste pas là sans rien faire, allez à poil ! »

 

Un peu honteux mais de plus en plus excité, je me déshabillai docilement, et quand je fus nu devant les deux copines, Victoria s’empara de mes couilles et de ma bite molle. Elle les serra dans une main en déclarant :

« Tu avais raison ma chérie, il a vraiment des petites noix et une petite nouille molle, c'est un sous homme… »

 

Quoi ? Ma propre épouse avait dit ça de moi ? Mais elle ne s’était jamais plainte de mes attributs !

 

Elle continua a me tripoter en serrant mes testicules très fort et en tirant sur la peau de mon sexe, me faisant grimacer de douleur. Cependant, très étonné, je sentis ma verge durcir  Elle ria  et   elle constata :

« Mais ça le fait bander ! Mhum… elle est quand même d’une bonne taille en érection. Enfin y a mieux mais c'est un minimum acceptable… »

 

J’étais soudain soulagé de son commentaire. UD coup, je me laissais aller et espérais qu'elle continuerait à me branler à fond. Mais elle me lâcha et s'assit dans un fauteuil en face du divan sur lequel ma femme se posa doucement.

D’un ton péremptoire, elle m’ordonna :

« Fais le chien ! Ah tu ne sais pas, et bien mets-toi à quatre pattes, et lèche mes pieds ! »

 

A la fin de sa phrase, elle enleva ses chaussures et me tendit ses pieds que je léchais docilement, nu, les fesses en l’air. J’étais humilié, mais aussi très excité. Et je bandais de plus en plus fort. Je suçais consciencieuses les orteils de ma nouvelle maitresse, et léchait la cambrure blanche… Je ne stoppais que lorsqu’elle m’intima :

« Maintenant, va te frotter sur la jambe de ta femme et  bouge-toi comme font les chiens. Branle-toi sur son mollet, gicle sur elle, allez, obéis ! »

 

De plus en plus surpris par ces ordres, je m’exécutais. Victoria vint s’assoir près de ma femme et commença à l'embrasser et lui peloter les seins. Non seulement ma femme se laissa faire, mais lui répondit avec ardeur. Je m'activais sur la jambe de Coralie, en faisant des pauses de temps en temps pour ne pas éjaculer trop vite, pour faire durer mon plaisir... Car je prenais un véritable plaisir à branler ma queue contre sa jambe, et à la regarder embrasser Victoria à pleine bouche si près de moi…

 

Leurs mains quittèrent les seins qu’elles se malaxaient mutuellement avec ardeur, pour glisser sous leurs jupes remontées haut sur leurs cuisses. Surprise, aucune de deux ne portait de culotte !   Chacune remonta une jambe vers le dossier, afin de d’ouvrir le plus possible. Halluciné, je voyais ces deux chattes épilées à quelques centimètres de mes yeux. Mon rêve devenait réalité !

 

« Ca t’excite,  grosse chienne ? Tu aimes hein, eh bien pas touche ! »

 

Sans plus se préoccuper de moi, les deux femmes se doigtaient mutuellement. Elles gémissaient de plus en plus fort. Je crevais d’envie de les lécher l’une après l’autre. Mais leurs caresses les amenèrent à un fort orgasme, quasiment simultané…

Victoria expulsa une belle quantité de liquide, qu’elle recueillit du bout des ses doigts :

« Tiens, bois, comme un gros porc que tu es ! Bois ma mouille de femme ! Tu aimes ça, hein le cocu ? »

 

En même temps, elle mit son pied nu sur ma bite tendue et me caressa. J'accélérais mes mouvements, et me frottais de plus en plus vite sur mon épouse. Je finis par gicler sur sa jambe et sur le pied de son amie. Un beau jet de foutre épais glissa sur sa peau lisse.

 

Les deux femmes, d’un commun accord, m'ordonnèrent de les nettoyer avec ma langue. Je le  fis malgré une certaine répugnance. Je ne devrais pas être dégouté ! Après tout, il s’agit de mes propres secrétions…

 

Puis ma femme me repoussa du pied et m'ordonna de me rhabiller, et de faire chauffer du thé, comme si de rien n’était.

 

Nous prîmes le thé tranquillement, puis les deux femmes décidèrent de sortir finir l’après-midi et la soirée au resto en me laissant seul à la maison. Je restai comme hébété par ce qui venait de se passer. Avais-je rêvé ? Comment avais-je pu être excité en me faisant humilier ainsi ? Je découvrais une nouvelle facette de ma personnalité… Et finalement, j’avais envie d’aller plus loin. Après tout, ça faisait des années que je tentais de dévergonder ma femme. Si je devais y parvenir de cette façon…

 

Les semaines qui suivirent, la domination de ma femme sur moi se fit de plus en plus forte. Elle me parlait sur un ton sec, me donnait perpétuellement des ordres, y compris dans le domaine sexuel. Je devais longuement la lécher, puis quand elle avait joui, me branler devant elle, à genoux. Parfois, j’avais le droit de jouir dans sa chatte. Mais alors, je devais ensuite tout nettoyer avec ma langue, dans tous les replis de son vagin trempé. Si je m’appliquais bien, il arrivait qu’elle jouisse encore. Elle me caressait alors la tête, comme on le ferait pour récompenser un gentil chien… Elle commença aussi à me dilater l’anus à l’aide de godes de plus en plus gros. J’y trouvais de plus en plus de plaisir.

 

Parfois, je devais satisfaire les deux femmes, les léchant à fond, dévorant leurs minous dégoulinants, pendant qu’elles s’embrassaient à pleine bouche, et suçaient leurs seins avidement… J’attendais de plus en plus ces séances à trois, où pourtant, elles ne se privaient pas de m’humilier de de me traiter plus bas que terre… Elles me godaient avec un gode-ceinture, sans ménagement, laissant mon cul en feu. Mais j’aimais ça de plus en plus.

 

Un mois après la première séance de domination, Victoria arriva un soir avec un petit homme qu'elle nous présenta comme étant Robert, mon mari.

Nous dînâmes presqu’en silence, les deux femmes se faisant moult mamours devant nous leurs maris. Elles nous donnaient des ordres secs : aller chercher les plats, les servir etc... Visiblement, Robert était aussi obéissant que moi. Il me confia que ça durait depuis deux ans…

 

 

A la fin du repas après un café, on se retrouva tous les quatre au salon, les deux femmes sur le canapé et nous les hommes chacun dans un fauteuil.

 

Victoria sortit d'un sac qu’elle avait amené, deux colliers de chien, deux laisses et deux martinets et elle nous ordonna à moi et à  son mari de nous mettre nus. Puis elle nous passa à chacun un coller, auquel elle attacha une laisse. Enfin, elle prit un martinet en donnant l’autre à ma femme. Elles  nous firent nous mettre à quatre pattes et nous fouettèrent à coups de martinet. Nous couinions sous les coups, mais alors, elles frappaient plus fort…

 

Pour continuer leur jeu, elles nous obligèrent à nous frotter sur leur jambe comme des chiens, moi sur une jambe de Victoria et son mari sur une jambe de Coralie. J’y prenais de plus en plus de plaisir, et je giclais le premier. Robert me suivit de près.

 

Comme c’était devenu l’habitude, elles nous firent lécher nos spermes. Moi, je dus lécher le sperme de Robert sur ma femme, et lui mon sperme sur la jambe de son épouse. Nous pensions en avoir terminé pour ce soir-là.

 

Grave erreur. Le pire restait à venir…

Comme nous avions bien fini de tout nettoyer ainsi, la sonnette de l'appartement retentit, Victoria sourit :

« Ah ce sont eux, juste à l’heure ! »

 

Elle partit suivie de ma femme ouvrir la porte. Nous étions vraiment intrigués par cette visite surprise. Nous tentâmes de nous rhabiller, ne voulant pas nous montrer ainsi à des visiteurs inconnus.

Mais elles revinrent trop vite au salon avec, à ma grande surprise, des hommes tous jeunes et bien bâtis. J'en comptais onze !

 

Chacune des femmes nous présentèrent à ces nouveaux venus de la façon suivante :

« Ces chiens... nos maris, et voici le mien ! »

 

Nous étions rouges de honte. Je m’étais habitué à être le chien de ma femme et de sa maitresse, mais me retrouver face à ces hommes... Quelle honte !

 

Très vite, tout le monde fut nu, les hommes, et nos femmes.. Ils les embrassaient à qui mieux-mieux, les pelotaient... Totalement hypnotisés, nous assistions à ce ballet de nos chères femmes caressées, léchées de partout, par tous… Enfin, deux hommes s’allongèrent au sol, et elles vinrent s’empaler sur leurs bites tendues vers le plafond. Elles chevauchaient ces beaux males, pendant que des mains leur palpaient les seins, des bouches les embrassaient, les léchaient sur tout le corps. Deux autres vinrent se mettre derrière elles, les courbèrent, et dans un même élan, pénétrèrent leu anus bien offert. Je me branlais à fond, hyper excité de voir ma femme en double. Elle criait son plaisir… le premier enculeur jouit sur son dos, et laissa la place à un autre.

 

Stupéfaits tous les deux, nous assistions sans mot dire à ce ballet de mains, de bites dressées, de cors qui s’enlaçaient, se cherchaient, se frottaient sans fin… Les uns après les autres, les onze hommes baisèrent nos femmes… Ils défonçaient à grands coups de queue leurs chattes détrempées, leurs culs offerts et ouverts. Nous assistions à une vraie orgie !

 

Dans un halètement, Victoria leur cria, de façon très vulgaire :

« Vous voulez des culs à enculer ? Il y a ceux de nos maris ! »

 

J’eus un sursaut de recul, mais trop tard, l’un des hommes qui était derrière moi en interpella un autre, tout ne me courbant vers le sol.

« Eh, Marco, viens je veux enculer la chienne ! »

 

Le dénommé Marco arriva, une capote à la main. Il la tendit à l’autre, qui l’enfila rapidement, le temps que Marco me mette à quatre pattes. Je sentis deux mains écarter mes anus sans ménagement, et tentais de protester. Sans aucun succès. Au contraire, on aurait dir que mes plaintes décuplaient leur vigueur !

A coté de moi, Robert avait droit au même traitement. Il était à genoux, avec un gros malabar à la bite énorme derrière lui. Il geignait doucement, mais semblait résigné. Je regardais, effaré, le gros pieu s’enfoncer dans les chairs de mon ami d’infortune. Mais je n’eus pas le temps d’y penser plus, car je me sentis envahi d’un coup par un monstre de chair. Je criais.

 

Ma femme me foudroya du regard :

« Tais-toi, ou je sors mon fouet ! »

 

Je me tus, et me laissait prendre par l’enculage qui me ramonait à fond. Petit à petit, je bougeais mon bassin pour accompagner cette défonce inhabituelle. Une chaleur m’envahit le ventre, et le plaisir me faisait bander à nouveau. Je n’eus pas le loisir de réfléchir encore, car une bite vint forcer mes lèvres. Il en était de même pour Robert. Je le regardais, embroché par ses deux trous, et je su comment j’étais moi-même. Cette image m’excita tant que je jouis sur le tapis du salon.

 

Les hommes se moquaient de moi…

« Regarde, la salope, sa nouille a lâché du jus.. Tu n’es qu’un porc ! »

 

Celui que je suçais cracha son venin dans ma bouche, j’eus un hoquet de dégout, mais une grande claque sur les fesses m’obligea à tout avaler. J’avais à peine dégluti qu’un autre prenait sa place. Je ne sais plus combien j’en suçais, ni combien m’enculèrent…

Pendant plus de quatre heures, nous avons servi de chiennes à jus à ces mâles en rut, sous les yeux de nos femmes, baisées comme jamais. Et visiblement, elles y prenaient un plaisir intense !

 

Les hommes finirent par partir au petit matin, non sans promettre de revenir plus nombreux, puisqu’il y avait plein de « trous » à remplir !

 

 

A suivre (si j’ai el temps… lol)

 

Jack Leduc et Sophie

 

Par Jack Leduc et Sophie - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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