Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Grégory a envoyé son récit sur la découverte de sa bi sexualité qu'il incombe à sa femme dans: « Ma femme m'a fait
« Bi ».
J'ai osé sodomiser pour la première fois ma femme à quarante ans. Étonnée, elle n'a pas fait de commentaire, comme si elle attendait ça
depuis longtemps, sans vouloir le réclamer.
Et c'est elle la semaine suivante, après une soirée un peu arrosée, qui me tendit son cul « Encule moi, » me chuchota-t- elle à l'oreille.
Des phrases pareilles, ça vous chamboule et on ne se les fait pas répéter deux fois. C'est ainsi devenu assez naturel que je la sodomise en moyenne une fois par semaine, sachant qu'elle éprouvait du plaisir. Ce qui devint nouveau, c'est lors de fellations, qu'elle m'introduise un doit dans l'anus et m’appuie sur la prostate, ce qui me faisait jouir plus intensément.
Plus tard, quand elle me mit deux doigts, j'ai ressentis une petite douleur qui disparut quand mon cul s'ouvrit plus à ses investigations. J'avoue que j'y ai pris goût, et j'ai accepté son petit gode bien huilé. Elle prenait grand plaisir à me le tourner dans le cul en m'invectivant de propos orduriers qui me mettait une trique pas possible, dont elle profitait ensuite.
Je pense avoir le cul comme tous les hommes, à part que j'avais découvert que je pouvais en tirer plaisir. Je me suis doucement fait à l'idée que je devais être « bi » sans pour autant passer à l'acte.
C'est deux ans après mon premier en-godage anal, lors d'un déplacement en province, que je me rendis au sauna de l'hôtel. En entrant, un homme nu, allongé sur un banc, me salua d'un grand sourire. Je restais assis en face de lui, et admirais son corps parfait, mieux entretenu que le mien, plus jeune aussi (je sais ce n'est pas une excuse :)
Imberbe sur le corps, du pubis poilu mais entretenu, sortait un mini sexe comme un petit garçon. Perdu dans mes pensées érotiques, je me mis à bander sans m'en rendre compte, ce qui attira son regard.
Il se leva, et il vint s'assoir à mes cotés pour me caresser le sexe gaillardement dressé. Honteux, je me laissais tripoter sans rien dire, trouvant cette expérience plus qu’agréable. –
« Qui ne dit rien, consent », et mettant en application ce vieil adage, il s’accroupit entre mes genoux. Il prit délicatement ma bite entre ses doigts, il me léchouilla le gland avant d'engloutir mon sexe complètement dans sa bouche. Jamais une femme ne m'avait sucé aussi bien la queue. Mémorable!
Il léchait le gland, passait sa langue sous la couronne, descendait le long du frein, le long de la hampe pour revenir m'avaler entièrement, puis remontait doucement pour me mordiller le gland. Pour calmer mon excitation, il redescendait m'avaler les couilles une à une, en les étirant jusqu'à la douleur.
Il pompait fort. La bouche autour du gland, il aspirait, se creusant les joues comme pour me faire exploser en lui. Pendant toute sa fellation, il me titilla de son index le pourtour de l'anus et exerça une pression comme pour me dire :
« Ce n'est qu'un début, c'est encore meilleur plus tard… »
Il me fit comprendre que c’était mon tour en me présentant son sexe devant la bouche. En érection, ça faisait moins sexe d'ado, mais c’était quand même une verge assez petite, à part les couilles qui pendaient spectaculairement comme deux chaussettes dans lesquelles on aurait mis des boules de pétanque.
La première bite à sucer, ça fait drôle, mais j'ai trouvé agréable cette sucette rigide et vivante qui semblait apprécier ma langue. N’étant pas expérimenté, je recopiai ce qu'il m'avait fait subir cinq minutes avant.
À entendre ses soupirs, il aimait beaucoup. Sa bite était plus grosse et un peu plus longue que le gode que ma femme utilisait pour m'enculer, mais j'estimais faisable une pénétration. J'avais le temps de la fellation avant de me décider, sachant qu'une occasion pareille ne se représentait pas tous les jours.
Un « arrête ou je vais partir » me fit froid dans le dos, de peur de le voir éjaculer dans ma bouche. Il me caressa gentiment allant jusqu'à m'embrasser sur la bouche, ce qui me dégouta un peu. Se faire sucer la bite, ok, mais rouler une pelle à un mec, je n'étais pas encore prêt.
Il me demanda un instant, quitta le sauna pour revenir une minute après avec deux préservatifs, ce qui explicitait son enculage, et je suppose, le mien. Devant le fait accompli, je me résignai à mon sort, et pris position à quatre pattes, le cul offert. Il me prépara longtemps pour m'ouvrir l'anus. Je ruisselais de sueur dans la chaleur moite du sauna. Je sentais la pénétration des ses doigts de plus en plus facile.
Avec ses trois doigts qu'il écartait doucement une fois entrés, il jugea satisfaisant l'ouverture pour un enculage à sec, car nous n'avions pas de lubrifiant. J'ai senti son gland à l'entrée de mon orifice me pénétrer doucement, avant qu'il ne s'enfonce d'un seul coup.
J'ai gueulé un grand coup, plus d’étonnement que de douleur. Il avait été très doux jusqu'alors, mais maintenant, il m'enculait durement, sans concession, malgré mes protestations.
Vaincu, je me laissais faire. J'avais débandé et une chaleur m'irradiait le bas ventre, comme une envie de pisser pressante, et comme on se retient d'une envie de chier quand on est loin de toutes commodités.
J'avais l'impression qu'il s'enfonçait trop loin dans mon cul, et qu'une main cherchait à me fouiller les boyaux. Me voyant soumis, il se fit plus doux et me masturba lentement ce qui me fit rebander. Avec le temps, cette bite, que j’acceptai dans mon cul, me faisait du bien et je senti la jouissance venir. Je ne mis pas longtemps à lui éjaculer dans la main. Il en fut déçu, car il me dit
« Dommage, je voulais te boire… »
Je n'avais jamais envisagé qu'un homme puisse avaler le sperme d'un autre ! J’avais du chemin à faire avant d’être un vrai homo ! Il remuait encore dans mon cul quand je l’entendis souffler comme un phoque avant de se serrer contre mes fesses en un « Putain c'est trop bon » et jouir en tremblant comme une feuille. Il avait joui mais en sortant de mon trou, il bandait comme si rien ne c’était passé.
Retirant sa capote, il voulut que je le suce pour le laver avec ma bouche, mais là faut pas pousser le bouchon trop loin et il n’insista pas. J'avais perdu au moins deux kilos et on ruisselait de sueur. La douche fut la bienvenue, et en remontant dans nos chambres, il me dit que la sienne était la 236. Selon lui, je lui devais une tournée.. Cela sous-entendait la sodomie qu'il n'avait pas eue.
J'avais le troufignon en feu, et je pris un bain de siège dans le bidet de la salle de bain avant de me coucher. Je m’endormis ce soir là avec une sensation de fierté et de honte.
En retrouvant ma femme, on a fait l'amour très classique, et surtout elle n'a pas touché mon cul qui m'a fait mal au moins quatre ou cinq jours. Maintenant, ça passe mieux et en déplacement, c'est occasionnellement que je me fais draguer par un homo. Je ne prends pas le motard musclé, mais plutôt l'androgyne qui m'encule un soir, et puis « ciao ». Je ne fréquente pas les backrooms, même si j'y ai été trainer un soir pour voir mais j'ai failli me faire violer en m'étant aventuré dans les salles reculées et sombres où tout le monde s’emmanchait joyeusement.
J'encule aussi, mais il faut que je sois en bonne condition car j'ai du mal à tenir la bonne érection nécessaire à la pénétration anale que réclame un cul bien serré. « Casser un cul », ce n'est pas donné à tout le monde, ça se mérite.
Je considère maintenant avoir une sexualité épanouie, même si je cache à ma femme mes rapports homosexuels.
Voilà mon témoignage que je pense sincère et qui peut être ouvrira les yeux (et les fesses :) ) de certains hommes.
Signé : Grégory
Source : http://experiences.centerblog.net
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