Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Episode n°3
Je pénétrai enfin sa chatte et sentis son ventre s'éveiller. Ma queue gonflée d'orgueil et son sexe brulant ne faisaient plus qu'un. Je n'étais pas simplement en elle, j'étais elle. Et ma maîtresse était moi. Doucement j'allais et venais cherchant les yeux mi-clos à capter d'elle, chacune de ses émotions, de ses petits frissons et gémissements.
Ses mains pressaient mes fesses pour forcer mon rythme avant de se redresser pour m'étreindre assise sur moi... Nous avons longtemps roulé sur les draps chauffés par nos corps enlacés. Puis elle m'avait projeté sur le matelas pour reprendre le contrôle qu'elle avait exercé sur moi tout l'après-midi. J'étais aveuglé par la danse de ses reins qui faisait briller ses seins. Elle me tenait les mains liées.
Quelle torture c'était de ne pouvoir aimer sa peau. La pression de son ventre se faisait plus intense à chaque mouvement de bassin. Si je me libérai de son emprise je savais que notre voyage merveilleux s'achèverait.
Il fallait pourtant que je renonce à la douceur de cet esclavage. D'un mouvement brusque je me dégageai, si bien qu'elle se retrouva offerte, à quatre pattes devant moi. D'une main ferme je la fis se cambrer davantage. Ses seins s'écrasèrent sur les draps et son ventre gémit lorsque je l'investi avec plus d'ardeur. Je voyais son cul et mon sexe, tous deux luisants de plaisir. Emportés par le jeu de nos désirs nous avons perdu l'équilibre nous écroulant sur ce lit, épuisés.
Ma maîtresse, couchée sur le ventre et moi, sur elle mes coups de reins de plus en plus vifs et saccadés. Ses cuisses tremblaient, et je sentis son souffle exploser au fond de cette poitrine que je pressais. Elle parvint à se dégager pour saisir mon sexe.
Un peu sur son cou bruni que j'avais baisé et sur son sein droit apaisé.
Quel trouble lorsque j'ouvrai les yeux sur le plafond de mon petit appartement parisien, la poitrine affolée par les battements de mon cœur et le sexe tendu par un réveil pourtant solitaire...
Episode n°4
Il fallait bien pourtant que je me réveille car la journée promettait d'être longue. Une journée de travail chargée car ma chef de service m'avait confié pour le plus important client de l'agence de publicité qui m'avait recruté un projet urgent à boucler. C'était assurément un test et je devais me montrer à la hauteur.
Je me redressai enfin et sorti du lit encore imprégné de mon rêve et le sexe encore tendu. Tandis que le café passait, je pris ma douche, étonné de constater dans le miroir de la salle de bain que mon excitation ne baissait pas.
Me raser, me doucher, me sécher, avaler ma tasse de café et filer. Le rythme de la vie devait reprendre son cours, et lorsque je claquais la porte de l'appartement, mon esprit se concentra sur les objectifs pénibles de ma journée.
La chaleur était déjà pesante dans les rues de Paris et ma course vers cette rame de métro m'avait essoufflé. Je m'assis. Il me fallu un peu de temps avant de reprendre mes esprits et prêter attention à mes voisins. A ma droite un quinquagénaire encostumé sentant l'Eau de Cologne bon marché. Face à lui une mamie dont la canne tremblait au rythme lent des secousses du métro et de ses virages.
Face à moi, je cru reprendre mon rêve là où il m'avait laissé. Une jeune femme brune d'une vingtaine d'années à la peau ambrée. Elle semblait sortir tout droit de l'hôtel sordide dans lequel j'avais fini l'après-midi...
Bien sûr, elle avait troqué sa robe de voile léger pour un tailleur, mais je cru en la regardant, caresser de nouveau la douce aventure de ses jambes. Son décolleté me rappelait tant les baisers que j'avais déposés sur les seins de mon inconnue, que je n'osais regarder la jeune femme franchement de peur qu'elle lise l'ampleur de mon trouble.
Toutes ces coïncidences, ou bien mon imagination galopante, ou bien encore ce sourire étrange qu'elle m'adressa avant de quitter la rame, avait fini par attiser mon excitation.
Que devais-je décider pour cette si jolie journée d'été?
... à suivre
Signé : Julien Zarka
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