Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Quelques jours plus tard, je trouve une nouvelle fois un papier scotché sur la porte palière : Naima me demande de monter la voir dès que je serai rentrée. C’est un billet un peu « cochon », car la signature est recouverte de l’empreinte d’une bouche au rouge à lèvres brillant.
Comme aujourd’hui il faisait très chaud, je n’ai mis aucun sous vêtement sous ma jupe courte. J’ai la chatte toute nue, d’autant que deux jours avant, je suis allée dans un institut de beauté pour me faire épiler la touffe ! Je dépose ma veste dans mon entrée, je me regarde brièvement dans la glace tout en tirant sur mon T-shirt. Je me plais, malgré mon soutif, on voit les tétons de mes seins pointer.
Dès que j’arrive sur le palier de l’étage supérieur, la porte s’ouvre. Naima me fait entrer et referme aussitôt. Elle m’enlace et ses lèvres cherchent les miennes. Et c’est un baiser à en perdre le souffle ! Immédiatement nos mains partent à la redécouverte de nos corps ! Je glisse mes mains dans le dos de Naima, l’une remonte sous son sweat-shirt et fait sauter l’agrafe de son soutif, pendant que de l’autre, je plaque son corps contre le mien en emprisonnant une de ses fesses dans le creux de ma paume. De son côté, Naima glisse difficilement une main entre nous deux, et remonte ma jupe pour atteindre ma chatte dans laquelle elle introduit directement deux doigts…
Ça promet d’être chaud. Toujours enlacées, nous nous dirigeons vers la chambre où, avant de nous affaler sur le lit rond qui nous tend les bras, nous nous déshabillons mutuellement en échangeant baiser et caresses. Immédiatement Naima me domine, elle me plaque sur le dos, enserre mes cuisses entre les siennes et se penche sur ma bouche qu’elle envahit de sa langue pour un baiser langoureux comme le ferait un amant. Puis elle descend sur mes seins qu’elle caresse de ses doigts fins avant de sucer successivement les bourgeons qui sont dardés et sensibles…
Elle s’écrie soudain :
« Je veux te faire l’amour ! Laisse-moi t’aimer ! Je veux te lécher, sucer ton clitoris, le faire rouler entre mes dents… »
Oh oui, je suis prête à me laisser emporter par ce tourbillon charnel dans lequel Naima veut m’entrainer. Elle m’embrasse encore et encore dans des baisers savants tout en frottant une de ses cuisses entre les miennes si bien que je sens mon sexe ruisseler ! Que c’est bon ! Mes tétons sont de plus en plus sortis, et elle les fait rouler entre ses doigts, et je suis partagée entre douleur et plaisir…
Peu à peu, sa bouche descend, de mes seins, elle passe au nombril, et je sens une langue pointue tourner dans ce lieu qui chez moi est ultra sensible. Elle descend encore, embrasse mon pubis glabre puis je sens la pointe de la langue ouvrir mes lèvres intimes, y faire quelques aller-retour avant de pointer à l’entrée de mon vagin…
Naima s’est déplacée tout d’abord entre mes cuisses puis elle se met en 69 au dessus de mon corps. Des deux mains, elle maintient ma fourche ouverte et sa langue va de plus en en plus vite dans ma fente intime, léchant et aspirant la cyprine qui, désormais, suinte abondamment de ma chatte. Au dessus de mon visage, je vois la vulve de Naima avec ces lèvres épaisses, gorgées de sang qui pendent un peu, largement ouvertes et découvrant le pistil de son clitoris qui bande hors de son capuchon…
Je ne peux m’empêcher de relever la tête pour venir coller ma bouche à cette bouche intime qui m’attire comme un aimant. Je sors ma langue, et je lape comme un jeune chat le suc douçâtre qui s’en écoule. Pendant ce temps, Naima me lèche toujours la chatte, faisant aller et venir plusieurs doigts à l’intérieur, l’ouvrant de plus en plus au fur et à mesure que ma cyprine s’écoule, mouillant mon périnée et humidifiant mon petit trou ! Oh que c’est bon !
Mais c’est encore meilleur quand mon amante introduit dans mon sphincter un gode vibrant qu’elle fait bouger alternativement dans mon antre interdit qui s’est ouvert dès la première sollicitation. Je sens la jouissance monter en moi, je sens cette boule chaude qui envahit mon ventre quand le plaisir est sur le point de déferler ! Oh que c’est bon quand il arrive brusquement, provoqué par ce double assaut que Naima me fait subir ! Sa main est presque entrée entièrement dans ma chatte, qui est prise de convulsions au moment de ma jouissance, si bien que j’expulse le gode qui occupait ma gaine anale.
Lorsque je retrouve mes esprits, Naima est toujours au dessus de moi et dit :
« Je n’en ai pas fini avec toi ! Je te veux encore et encore ! »
Nous nous enlaçons de nouveau, allongées dans les bras l’une de l’autre au milieu de ce lit qui m’accueille une seconde fois à quinze jours d’intervalle. Nos seins sont en contact. La poitrine un peu opulente de mon amante est collée contre la mienne, beaucoup plus menue (je ne fais qu’un 85.B) mais c’est doux. Nos cuisses sont emmêlées et nos pubis sont en contact. Nos mains libres courent dans le creux des reins de sa partenaire en une douce caresse qui nous remet le feu au ventre ! Nous avons encore envie de baiser, d’autant plus que Naima est restée sur sa faim…
Lorsqu’elle se redresse, elle sort de sous les oreillers un gode à double tête et introduisant une des extrémités dans sa bouche, elle mime une fellation et me regarde avec des yeux pleins d’amour et d’envie :
« Viens, nous allons nous aimer ! Nous n’avons pas besoin de Gilles ! Ce gode va nous donner beaucoup de plaisir ! »
Nous nous mettons dans la position du papillon et Naima introduit une extrémité du double dong dans ma chatte et en fait autant avec l’autre. Waouh que c’est bon ! Que c’est chaud ! Le gode m’emplit bien la chatte et lorsque nous commençons à bouger en me tenant pas les mains, le sexe factice coulisse en nous comme si c’était Gilles ou un autre homme qui nous baisait.
Je divague en disant des mots d’amour à Naima, puis avec l’excitation qui monte en nous, les termes deviennent de plus en plus crus : Baise-moi salope ! Défonce ma chatte ! Etc.… Bref, nous cherchons à nous donner et à prendre le plus de plaisir possible en faisant l’amour de cette manière, à la fois sensuelle et triviale.
Lorsque la jouissance nous emporte presque en même temps, c’est pour moi un déferlement de sensations comme je n’en n’avais jamais connu lors d’étreintes masculines ou féminines. Cet accès de plaisirs sexuels nous laisse pantelantes, essoufflées, apaisées…
Ce n’est que tard dans la soirée que je redescends chez moi, rhabillée à la va-vite mais repue de jouissances. Je suis invitée samedi prochain à l’anniversaire de Gilles et Naima m’a prévenue qu’il y aurait trois couples et moi… et que ce serait très « SEXE ». J’ai hâte d’être à la fin de la semaine…
A suivre !
Ps : désolée de cette mise en page ratée, le logiciel ne veut rien savoir !!!! Sophie
Comme d'habitude, je suis fan des récits du Matou... Une suite, peut-etre ?
Elle est venue, et j'espère qu'elle t'a plue !
Excuser - excuser c'est tellemon bon que tu es pardonné sauf si tu veux une fessé
Pour qui la fessée ???
Je ne suis pas surpris, la qualité est là.
Pour la responsable de la mise en page ou pour ceux qui veulent Suisse
Oui, que puis-je pour toi, meme si je reponds horriblement tard à ton commentaire....