Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

La merdique toilette terminée, il lui prit le menton, la forçant à le regarder dans les yeux, il discuta un instant avec elle, mais nul ne pouvait entendre leur conversation. Aude, comme une enfant, baissa la tête et acquiesça. Il l'embrassa sur les lèvres, la serra contre lui, leurs seins se frottaient, leurs langues se mêlaient et leur baiser devint passionné, provoquant...


Alors, se tournant face au public l'acteur, leur signifia dans les trois langues que sa partenaire, dont le désir n'avait pas été comblé, désirait faire l'amour avec un mâle, « un vrai » dit-il en souriant. Des huées montèrent de la salle, quelques phrases vicelardes fusèrent, mais personne ne se fit connaitre, apparemment le spectacle qu'elle leur avait offert les avait un peu refroidit....

Ils hésitaient tous à monter sur scène...

 

L'acteur insista et pour mieux inciter un éventuel amateur, l'écran vidéo retransmit quelques images d’Aude sagement assise sur le divan, les jambes repliées sous elle. Lorsqu'elle vit ses seins sur l'écran elle eut un large sourire. Elle était désarmante de beauté et de tendresse. Aude fixait dans ma direction et je levais le doigt.

« Non pas vous, me dit sèchement la tantouse, vous êtes ensemble... »

 

Aude eut un sourire dépité, elle aurait aime me faire partager son expérience sur scène...

Aucun spectateur ne se décida. ...

« Bien dit-il, je suis un peu déçu par votre manque de coopération, Mademoiselle  est pourtant jolie, douce ... et très agréable... Je vais devoir faire appel à Leo qui reste le seul male... si toutefois Mademoiselle l'accepte... »

 

Alors apparu dans la lumière tamisée de la scène, en peignoir vert, le colosse noir qui gardait l'entrée. Il était immense, plus de deux mètres, des mains et des lèvres énormes, un monstre de muscles. Quand il ouvrit son peignoir il monta de la salle un murmure de stupéfaction, ce n'était pas les beautés de son corps musclé, mais l'ampleur du désir qu'avait suscité en lui le spectacle d’Aude lors de ses ébats. Subjugué par la virilité de l'artiste, je ne pouvais admettre dans mon for intérieur que cet individu oserait en faire usage. D'autres spectateurs semblaient partager cette opinion, tout en espérant au fond d'eux-mêmes avec une jubilation anticipée, qu'elle serait démentie.


Elle ne tarda pas à l'être, prenant Aude dans ses bras comme un fétu de paille, il se coucha sur le divan, Aude à califourchon sur lui, l'écran vidéo nous retransmettait en gros plan son sexe érigé, les petites fesses et l'entrée humide de la chatte d’Aude.

Avec une adresse de satyre l'acteur s'empara du corps gracile et se l'appropria d'une longue poussée jusqu'à se souder lui, et à l'énorme surprise  de tout le monde. La grosse bite entreprit son mouvement de va et vient, et il prouva généreusement sans hâte a Aude que celle-ci lui plaisait infiniment...

 

Quelques minutes de pistonnage passèrent, et un éclat de rire général secoua la salle. En effet,  assis dans la pénombre à coté de son maitre, le berger malinois attendait sagement que celui-ci ait conclu… Tout en continuant de limer la petite chatte rose, le colosse fit signe a son chien.


Le public retenait son souffle... jamais en entrant dans cette salle quelque peu minable, aucun ne s'attendait à assister pareille scène...

« Décidemment, devaient-ils penser, Amsterdam est la capitale de tous les vices.. »

 

Et s'ils avaient su que tout cela n'était pas préparé...
Les deux grosses mains du colosse, chacune couvrant largement une fesse, les écartèrent sans ménagement. La langue rose du chien léchait de haut en bas la raie culière, et s'attardait quelquefois sur le gros mandrin noir qui allait et venait dans le trou du dessous. Aude était aux anges...

 

Egarée, le cerveau vide, enfin comblée par des ardeurs masculines aux moyens redoutables, Aude cédait aux caprices de ses amants sans plus réaliser où elle se trouvait.

La grotte ruisselante de ma compagne fut pour le chien comme une invitation, car d'un bond, des deux pattes avant, il s'accrocha aux hanches satinées.  Le sexe canin était devenu long d'environ une douzaine de centimètres et d'un diamètre de quatre centimètres. Lorsqu’Aude sentit le sexe bestial forcer sur son anus, elle tenta de se dérober, mais le grand noir la tint fermement serrée contre lui et lui bâillonna la bouche de ses grosses lèvres. Les fesses largement ouvertes par les mains épaisses, le canidé trouva rapidement l'entrée du petit anneau brun...

 

Dans un cri de bonheur mêlé de douleur, Aude fut prise en sandwich par le noir et son chien.
Sur l'écran, les images de ces trois corps imbriqués étaient d'une intensité sexuelle folle. Aude, le cul bien en l’air, se faisait limer à qui mieux par le chien qui se branlait en elle avec une vitesse décuplée, le noir pistonnait dans sa chatte avec avidité. Les griffes du chien commençaient marquer la peau ambrée de son dos de striures rouges.

« Oui ! Oui ! Plus vite ! Plus fort ! Oui c'est ca... encore... » criait-elle pour les encourager...

 

Et de la langue, elle léchait les gouttes de sueur qui coulaient du front de son amant

Par Sophie de R. - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
Donnez votre avis... - Lisez les 4 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés