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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Elle était en transe et répondait aux coups de butoir de ses baiseurs par des mouvements de bassin incontrôlés. La bouche ouverte, elle profitait du plaisir intense que lui procurait cette étreinte bestiale. Des petites gouttelettes de sperme canin goutaient de son cul, l'animal devait commencer à épancher son besoin de se vider. Comme de petites perles, la semence du chien coulait sur sa chatte et glissait dans sa raie jusque sur les bourses du videur.

 

Le chien, couché sur son dos, la tête posée sur son épaule, accéléra encore l'allure tout en poussant de petits aboiements. Cette petite chatte rose qui tant de fois avait reçu ma queue, était pour le chien un régal. Malgré le contrôle qu'il exerçait sur ses sens, le noir s'avisa qu'il allait être emporté prématurément par son plaisir, il ne s'attendait pas à trouver dans le public une fille aussi chaude et aussi salope.

 

Alors, d'un coup,  le colosse agrippa les hanches de ma bien-aimée, son visage eu un rictus, son corps s'arcquebouta, le chien, de son côté, s'enfonça plus encore dans les entrailles et poussa sur ses pattes arrières. Aude, les seins gonflés par la jouissance, poussa un cri rauque, le noir et le chien se vidaient d'un même élan dans son corps magnifique. Son anus et son sexe en gros plan sur l'écran débordaient de semence blanchâtre.

 

La foule, jusqu'alors silencieuse, s'agita, on entendait dans la pénombre des gémissements, des spectateurs trop excités, n'avaient pu résister au spectacle et se branlaient, soit dans leurs mains, soit dans la bouche de leur accompagnatrice ou dans les mains de leurs voisines consentantes. Des jeunes femmes, la jupe relevée sous la table, se faisaient fister par leur compagnon.

Le plaisir d’Aude les avait contaminés...

 

Aussi vite qu'il était monté sur le canapé, le chien retira dans un bruit spongieux son sexe violacé de l'anus de Aude et sauta a terre en se secouant. Le noir sortit du réceptacle sa bite débandée qui pourtant était restée de belle taille.

 

Aude, repue de plaisir, se laissa tomber sur le coté, impudiquement, les jambes ouvertes, l'on voyait s'échapper de ses trous béants les deux spermes mélanges. Quatre hommes, trop excités, sautèrent sur la scène et rapidement sortir leurs sexes gonflés de désir, mais l'idée de clouer de leurs bites raidies le corps d’Aude après y avoir vu s'introduire la bite canine les arrêta. D'une main ferme, ils se branlèrent rapidement. Aude tenta de se lever, mais le gorille noir la retint, elle se débattait en criant, et dans un accord parfait les  quatre membres éjectèrent leur sauce épaisse sur la jeune femme. Aude le visage, les yeux, les seins, la bouche envahit de sperme, finalement vaincue, se laissa maculer.

 

Le rideau de scène tomba, l'écran vidéo s'éteint, les lumières furent promptement allumées et l'on vit, qui se reboutonner rapidement, qui rabattre hâtivement sa robe sur ses genoux. Derrière le rideau, les cinq hommes devaient surement la pénétrer en secret, activement stimulés par un besoin dévorant d'épuiser à fond leur vigueur et sachant que cette merveilleuse aubaine se représenterait jamais plus.

 

Aude ne les
empêcherait pas dans l'état où elle se trouvait. Les gens étourdis mirent quelques
minutes à récupérer leur sang froid et commencèrent à quitter la salle. Machinalement, je fis de même, déchiré entre une jalousie lancinante et un sombre ressentiment à l'égard de ma femme, elle l'avait fait exprès pour se venger d'une morne journée et pour assouvir un appétit sexuel devenu trop exigeant. Un vietnamien discret s'approcha de    moi, et m'invita à me rendre au bar...

Les consommations m'étaient offertes par la maison... La tête me tournait, je ne savais pas quelle contenance adopter lorsque que Aude réapparaitrait devant moi. Certains hommes en passant prés de moi, me décochaient un regard vaguement narquois mais tinté d'envie.


Beaucoup se demandèrent si le scenario n'était pas réglé à l’avance, et s'il ne se reproduisait pas tous les soirs. Déjà de nouveaux clients pénétraient dans établissement. Aude avait récupéré son manteau, et accompagnée du noir et du travesti, fraiche et remaquillée, délivrée de ses fantasmes me dit :

« Le directeur de l'établissement m'a proposé un contrat et de me payer pour la soirée, figure-toi... mais j'ai refusé, tu penses... »

 

Je finis mon verre, elle fit une bise a ses deux amants d'un soir et a notre tour, nous sortîmes de la boite, l'hôtel se trouvait a une dizaine de minutes à pied.

Elle rompit le silence :
« Alors chéri n'avons nous pas passé une bonne soirée ? Tu te sens plus inspiré, à  présent ?
- Qu'est-ce qui t'a pris de te donner en spectacle de cette façon ? Répondis-je.

- il fallait bien que quelqu'un se dévoue ! répéta-t-elle avec légèreté. D'ailleurs, ils étaient beaux ces types, tu ne peux pas le nier ! »

 


Comme je restais silencieux, elle ajouta :

« Quand on entre dans un sex-club, on doit laisser ses préjuges à la porte ! Tu as été secoué par l'imprévu de la situation c'est tout ! En plus, je n'ai pas pu récupérer mes habits, quelqu'un a dû les emporter en souvenir... .. Tiens, regarde. »

 

M'entrainant dans un recoin, elle ouvrit son manteau, elle était nue, merveilleusement désirable, elle me prit le poignet et plaqua ma main sur les poils fins de sa petite chatte,  « Suce-moi, j'en ai envie... Enfonce bien ta langue ! »

 

Je me mis à genoux devant elle, enfouis ma tète entre ses jambes, sa grotte était encore huilée et odorante de foutre, ma langue lapait les dernières gouttes des épanchements de ses amants, Les deux mains plaquées sur ma nuque, elle arquait les jambes pour que je puisse mieux la lécher....

« Dis-moi comment ca fait de se faire prendre par un chien ? Dis-le moi, ça m'excite, lui
demandais-je brusquement.

- C'est curieux, ça n'a rien d'humain, me dit-elle, pas de préliminaire, le chien vient et cherche a te baiser tout de suite, il faut l'aider un peu s'il n'a pas l'habitude, sinon il n'arrive pas a rentrer sa bite... mais quand il est dedans, c'est le bonheur, il lime a toute vitesse, tu sens sa queue qui gonfle a l'intérieur, il baise pour se vider, pour purger son envie un point c'est tout. Et puis tout d'un coup, comme giclant de plusieurs trous, sa semence te tapisse l'anus ou la chatte d'un miel plus liquide que le sperme humain,
vraiment chaud aussi car sa température corporelle est plus élevée que celle des hommes, c'est l'extase, il bouge, il bouge et ça gicle, ça gicle...

Tu le sens s'agiter sur ton dos, ses poils chauds sur ta peau, son souffle dans ton cou... Tu sais que tu es une salope a ce moment la, et c'est bon, c'est bon... et puis le noir et le chien ensemble, j'avais le ventre rempli des deux bites qui allaient et venaient, c'était comme s'ils étaient dans le même trou…

Incroyable... et puis l'excitation de savoir que j'étais regardée... que je les faisais tous bander... si tu savais comme j'ai joui...! »

 

Un désir violent monta de mes reins, j'eu envie de la prendre la, tout de suite dans la rue comme une belle garce qu'elle était... Je sortis ma bitte turgescente et la clouais dans sa chatte ruisselante. Son corps tiède était plaqué sur le mien, elle s'accrochait a moi, sa langue dans ma bouche, son corps agite par le plaisir...je lui tenais les cuisses en hauteur, la décollais de terre et la labourais violemment de mon sexe.

« Je t'aime, oui vas-y... répétait-elle, je t'aime...., je t'aime.... oui, je t'aime... »


Je me vidais en elle comme un torrent...

Moi aussi, je l'aimais, je l'aimais comme un fou...


FIN DE L'HISTOIRE



 

Par Théo R. - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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