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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie


Sur un forum consacré aux baises express avec des inconnus, un participant m’a demandé si cela m’arrivait souvent. Vous, vous le savez, car vous avez déjà lu certaines de mes histoires, où cela m'est arrivé...


Mais la semaine dernière, il m’est arrivé une nouvelle aventure totalement inattendue.

Certains le savent, il n’y avait plus de net dans ma région depuis le 7 juillet. Il fallait donc parfois échanger certains documents « en vrai » avec des clients, le net ne permettant plus de le faire.

Il y a quelques jours donc, j'ai eu un rendez-vous pro avec un homme inconnu, pour le compte de mon boss. Pour plein de raisons, on a du se retrouver pour échanger nos dossiers sur un parking. Désert, le parking, car il était 18h30. Je précise qu’ici, à cette époque, il fait nuit à 19 heures…

J’arrive en voiture de mon coté, lui aussi. Le mec était banal, pas mon genre.


Il a commencé à pleuvoir, et nous sommes montés dans sa voiture. Vu ma position en travers du siège, quand je me suis tournée vers lui pour continuer notre discussion, j'ai eu le sein qui a jailli de mon décolleté. Il l'a bien sur remarqué, malgré la pénombre. La nuit était presque tombée. J’ai voulu me rajuster, mais il a arrêté mon geste en attrapant mon poignet vigoureusement. Surprise, j'ai voulu protester. il m'a dit aussitôt :
« Vous portez un string, et vous êtes épilée, je me trompe ? »
Je ne pus que dire faiblement : « Non, vous ne vous trompez pas. »

Et sa question, plus sa main qui enserrait mon poignet, mon sein presque entièrement à l'air... Ça m'a subitement excitée. J'ai baissé les yeux vers lui, et j'ai vu qu'il bandait sous la toile fine de son pantalon.


Là, je me suis sentie liquide.


il a lâché mon bras, et fini de sortir mon sein. Le téton était dur d'excitation. Il s'est penché et l'a aspiré. Je mouillais comme une folle. Pourtant, je ne connaissais ce type que depuis dix minutes à peine, et il n'était même pas mon genre de mec !

D'une main, il a malaxé mon autre sein, de l'autre, il a soulevé ma jupe ample pour glisser très vite un doigt sous mon string. Il a poussé un grognement animal, et a voulu se pencher pour me lécher. Gêné par la position dans la voiture, il s'est subitement levé, sorti de la voiture, et a ouvert ma porte. Il m'a fait pivoter, une jambe sur le dossier, l'autre sur le tableau de bord.
Il s'est reculé, visiblement satisfait du tableau totalement impudique je lui offrais... j’avais les jambes grandes ouvertes, le string de coté, mon abricot bien gonflé et affamé à l’air

Et soudain, il s'est mis à genoux, et a dévoré ma chatte à grands coups de langue, de dents, de lèvres baveuses. Il m'a littéralement mangée. J’ai joui très vite, trop vite, une première fois.


Mais le comble de l'extase a été atteint quand un vigile qui surveillait le bâtiment voisin s'est approché, sans doute alerté par mes cris. Il s'est mis juste à côté de l'aile. Comme il frottait son pantalon, fidèle à moi –même, je lui ai dit : « Branle-toi".

Même pas surpris, il a obéit et a sorti sa bite de taille honorable de son pantalon d’uniforme. Il s'est branlé en regardant mon inconnu me lécher la chatte à fond.

Il murmurait de temps autre : «  Putain, la blanche, elle est bonne, elle est trop bonne à baiser… »

 

Ce genre de phrase a le don de m’exciter d’avantage encore ! J'ai à nouveau joui en lâchant pas mal de cyprine dans la bouche du gars.
Il m'a alors dit : « je vais te baiser à fond ! »

Il a sorti rapidement une capote de son portefeuille, m'a fait me retourner en levrette, à quatre pattes sur le fauteuil passager, les bras sur celui du conducteur. Il m'a enfilée sans ménagement. Mais j'étais tellement trempée qu'il est entré comme dans du beurre. Le vigile, qui n'a pas perdu son temps, est venu devant moi. Il a pointé sa belle queue devant ma bouche. Tout naturellement, Je l'ai sucé au rythme des coups de boutoir de mon baiseur. Il a fini par jouir par terre, pendant que l'autre déversait son foutre dans la capote. Il a joui si fort que je l'ai senti à travers le latex.

J'ai demandé au vigile de venir me « nettoyer », d'avaler toute la mouille qui collait sur ma chatte et mes cuisses. Il a accepté, et il m'a fait jouir encore.
Le tout a duré trop peu de temps, mais c'était intense et hyper jouissif.

Voilà, ce mec ne m’inspirait pas plus que ça… Mais la situation a tout fait… Je ne pensais à rien avec lui, et enfin de compte, il m'a super bien baisée !!!

Par contre, je n'ai pas envie de le revoir. C’est la situation qui m'a fait avoir envie de lui...

 

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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