Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Merci à tous pour vos compliments et vos encouragements. Voici la suite mes aventures avec ma belle-mère Janine, et ma femme Sandy.
Un soir, Sandy me demande de ne pas rentrer trop tard du travail le lendemain. Ca tombe bien, on sera vendredi, et je finis à midi ce jour-là.
En rentrant le lendemain, Sandy me demande de venir la retrouver dans la cuisine à 16 heures. Très intrigué, je suis là pile à l’heure. Je suis à peine arrivé, qu’elle entre dans la pièce, avec une bassine d’eau tiède entre les mains. Un rasoir et une bombe de mousse sont coincés sous son bras…
Elle a aussitôt enlevé sa jupe et sa culotte, s’est assise sur la table, et a écarté grand les jambes.
Aucun doute, elle voulait que je lui rase la chatte… Je me mis au travail avec grand plaisir. Je me suis donc assis devant elle, j’ai étalé la mousse sur les poils soyeux de sa chatte. De la main gauche, je lui tins les lèvres, pour ne pas la blesser. De l’autre, j’entamais un lent mouvement de rasage. Je n’oubliais pas de lui masser le clito, histoire de faire monter l’excitation… Je n’ai oublié aucun endroit, j’ai passé mes lames partout, en descendant près de son petit trou… Sa peau était aussi lisse que celle d’un bébé… Je finis en passant un gant pour ôter toute la mousse. Bien évidemment, je bandais comme un cheval. Elle sentait bon le savon. Impossible de résister : je jouais avec les lèvres gonflées, et introduisis deux doigts au fond du vagin accueillant…
« Chris, mon chéri, tu me fais du bien… Lèche-moi mon bouton... Je mouille pour toi… »
Je ne me fis pas prier pour passer ma langue sur cet abricot juteux. Je butinais son clito, forçais les lèvres avec ma langue… Elle se mit à frémir de plus en plus fort… pour finir dans un grand cri :
« ah ah ah ahhhhhh ahahahahahaha hhhhhh »
Sans plus attendre, j’enfonçais ma langue au plus profond de son vagin, pour avaler toute sa mouille. Je bandais encore plus, si c’est possible. Ma queue est sortie du short.
J’entendis du bruit près de la porte. Janine, ma belle-mère se tenait là, à nous regarder. Elle avait entendu sa fille crier, et n’avait pas résisté à l’envie de venir, une fois de plus.
« Que veux-tu, Janine ?
- Vous deux sur la table, ca va pas la tête ? Vous allez me la démolir !
- Casse-toi, lui répliqua vertement Sandy. »
A ma grande surprise, elle obéit. D’habitude, elle reste ! Nous sommes descendus de la table, et j’ai baisé ma femme à fond, lui labourant le vagin sans ménagement. Je sentais sa peau nue contre mes couilles... J’ai joui bien trop vite. Elle est trop bonne, ma femme…
Le soir venu, nous nous sommes retrouvés en famille à table. Janine attaque frontalement :
« Mais qu’est-ce qui vous a pris, de faire ça sur la ma table ? Elle n’est pas assez solide !
- Maman, c’était ma récompense pour mon coiffeur préféré. Si tu voyais comme il m’a bien rasé le minou…
- Ok, je vois… mais ne recommencez pas ! Ma chérie, ca fait quoi d’être rasée ?
- C’est super, Maman, je n’ai jamais senti aussi bien la langue de Chris. Il m’a bien léché, j’ai joui comme rarement… »
La conversation continua sur le sujet encore un moment, puis nous partîmes nous coucher.
Le lendemain matin, quand je suis descendu, la vieille était en train de faire sa toilette. Je faisais mon café quand elle a surgi derrière moi.
« Chris, tu veux bien raser ma fleur ?
- Pas maintenant, je dois aller à la pêche. Mais ce soir, si tu veux…
- Je t’attends avec impatience »
Rien que l’idée de la raser aussi, ca me faisait bander ! J’aime trop le sexe, et la vielle, elle est plutôt bonne à baiser !
Quand je suis rentré, Janine est montée dans la chambre dès qu’elle m’a vu. J’ai eu à peine le temps de me changer et de me doucher, que Janine était sur la table, cuisses ouvertes, bassine et rasoir à portée de main.
Sandy était là, mais devant la télé.
La foufoune de la vieille était si fournie que j’ai du couper d’abord aux ciseaux les poils. Elle avait vraiment une grosse touffe velue !
Au fur et à mesure que je coupais les poils, je voyais les lèvres apparaitre, bien gonflées… Visiblement, ca l’excitait aussi, que je m’occupe d’elle ! C’était une première pour elle.
Elle avait vraiment une belle chatte. Quand les poils furent plus courts, je les couvrais de mousse, et je commençais à la raser. Comme pour ma femme, je tenais ses lèvres intimes, et je caressais aussi son clito bandé.
Elle gémissait de plaisir, ce qui accentuait mon excitation. Je bandais de plus en plus. Je finis mon rasage, en laissant une fine bande de poils sur le pubis, et lui rinçais la mousse.
« Voilà, j’ai fini, tu peux te relever.
- Mais comment, tu ne veux pas ta récompense, comme pour ma fille ?
- Je veux bien, mais Sandy ?...
- T’en fais pas, j’en ai parlé avec elle. Elle est d’accord. Elle me laisse à toi. »
Je ne me le suis pas fait dire deux fois, et je me jetais sur cette chatte toute nue, baveuse et odorante à souhait ! Je le dévorais à fond, mâchouillant le clito et tout ce qui dépassait. J’enfonçais un doigt dans son abricot, et bouffais sa rondelle toute nue. Un vrai régal ! Plus un poil pour obstruer ces beaux orifices !
C’est le moment qu’a choisi Sandy pur venir voir ce qu’il se passait. Elle vint près de moi, et me dit :
« Mon chéri, tu ne t’ennuies pas ! Tu bandes bien, dis-donc ! Viens là, un peu, que je te branle. «
Sans lâcher la chatte de la mère, je me tournais pour que la fille attrape ma bite dure. Sandy accélérait son mouvement de masturbation. Au même rythme, je baisais le vagin de ma belle-mère avec ma langue et mes doigts. Je violais son anus avec mon pouce.
La vieille jouissait à fond, pendant de longues minutes. Une vraie machine à orgasmes ! Elle me criait de continuer de la sodomiser. Sous la main habile de Sandy, je jouis aussi entre ses doigts. Elle donna la purée à lécher à sa mère. Elle aime trop mon sperme, la salope. Elle a tout sucé, la vieille !!!
Janine est descendue de la table, et Sandy et moi, on a baisé comme des fous sur le lit. Sa mère est restée à nous regarder, assise dans un fauteuil. Elle se branlait le clito à fond, et jouissait un peu en nous regardant.
Sandy n’arrêtait pas de m’embrasser. Je lui ai dit :
« Ma chérie, tu es un peu folle, pourquoi tu fais ça ?
- Mon amour, tu sens trop bon !
- Mais je viens de sucer ta mère !
- Justement, j’aime trop l’odeur de sa mouille… Tu aimes nos odeurs ?
- Oui, j’adore, j’aime vous lécher toutes les deux… »
Alors, Sandy enfonça ses doigts dans sa chatte, et me les a donnés à gober. Puis j’ai pris ma femme en levrette, et ca m’excitait de voir l’autre se faire plaisir… J’ai joui bien au fond de ma femme chérie…
A peine sorti, Sandy me demanda de venir la lécher. Je n’aime pas trop, quand je viens de jouir dedans… Mais elle m’a demandé ça si gentiment que je n’ai pas pu lui refuser cet acte d’amour. Je me penchais entre ses cuisses, et entrepris de la faire jouir sous ma langue… Ce qu’elle ne tarda pas à faire, lâchant dans ma bouche un flot de mouille et de sperme mélangés.
En fait, ce n’était pas si mauvais que cela ! J’entrepris donc de la nettoyer bien à fond, n’en laissant pas une goutte. La vieille finit de se branler, et elle nous a enfin laissés seuls pour une bonne nuit de sommeil…
Avant de dormir, Sandy me murmura à l’oreille : « Mon amour, tu es un sacré pervers avec ma mère ! Tu lui as même mis un doigt dans le cul !
- Tu as vu comme elle a aimé. Elle est aussi très salope, ta mère !
- Oui, mais bon... Je n’aime pas trop…
- Tu sais, ma chérie, ca m’a plu de te lécher avec ma crème. Tu avais bon gout, comme ça… »
Quelques jours plus tard, nous regardions la télé en famille, et je remarquais que Janine se grattait beaucoup l’entre-jambes.
« Janine, ta chatte te pique ?
- Oh oui, c’est la repousse…
- Tu veux que je te rase à nouveau ?
- Je ne sais pas… avant tu peux regarder où ça pique… »
Je me levais, et vint m’assoir au sol devant la vieille. Elle a soulevé sa chemise de nuit, et j’ai vu sa chatte toute rouge. Sandy aussi. Elle lui dit :
« Maman, tu es toute rouge ! Tu as dû beaucoup te gratter !
- Oh oui, ça me pique trop ! »
Mais moi, je ne pensais déjà plus à ce problème. Avoir la chatte de ma belle-mère sous le nez me mettait dans tous mes états. Quelle bonne odeur de femelle… Je me mis à bander illico, comme d’habitude… Mes deux femmes l’ont vu, et ont commencé à se disputer un peu :
« Chris, dis donc, tu bandes au quart de tour !
- C’est l’odeur de ta chatte, Janine.
- Normal, Maman...
- Pourquoi tu dis ça ?
- Tu sens trop fort de la chatte !
- Dis donc, ma fille, dis tout de suite que je pue de la moule !
- Mais non, tu sens bon… même moi, ca m’excite ! Chris, pousse-toi de là ! »
Sandy me bouscula un peu, et vint se mettre devant la fleur boursouflée de sa mère.
A ma grande surprise, je la vis plonger sa langue dans la vagin écarlate de sa mère ! Je n’en revenais pas ! J’avais toujours eu envie de voir deux femmes se gouiner, mais là, ma femme et sa mère !!! Quel spectacle inouï !!!
Janine a d’abord fait mine de résister, puis elle a saisi la tête de sa fille pour mieux la plaquer sur sa chatte en feu.
« Vas-y ma fille, suce-moi, fais moi bien jouir ! »
Bien sur, je me branlais à fond devant ces deux femelles en chaleur. Je me suis approché de Sandy, elle débordait de mouille. Autant sur le visage qu’entre ses cuisses. Je lui léchais le visage, pour gouter la bonne cyprine de sa mère. Celle-ci s’est penchée, et a pris ma bite dans sa main. Elle m’a masturbé avec un art consommé, comme d’habitude…
Puis Sandy m’ordonna : « Chris, viens me baiser, je veux ta queue au fond de moi ! »
J’obéis aussitôt, et la pris encore en levrette. Elle criait un peu, et Janine commentait : « Tu aimes ça, ma fille, tu es aussi une belle cochonne ! Comme ta mère !
- Oh oui maman, j’aime la baise, c’est de ta faute, je suis comme toi ! »
Je sentais la mouille de ma femme qui coulait le long de mes jambes. Visiblement, Janine n’en pouvait plus.. Elle vint se mettre prés de nous, elle aussi à quatre pattes. Son visage était à quelques centimètres de ma bite, qui baisait sa fille. Alors que j’étais en arrière, elle a saisi ma queue pour l’emboucher à fond. La garce, elle m’a fait une gorge parfonde, comme ça !
En manque de moi, Sandy s’est effondrée au sol, puis s’est retournée pour nous mater. Janine me suçait à fond, je baisais sa gorge comme un vagin, sans ménagement.
Mais je voulais la défoncer à mort.
Alors, je lui ai demandé de se mettre en levrette. Elle ne s’est pas fait prier. Me voilà derrière elle, le cul en l’air, la vulve rouge bien exposée à ma vue. J’écartais les replis du vagin, et enfonçais mon gourdin d’un trait, presque brutalement. J’étais en train de la besogner, quand j’ai vu ma femme venir face à sa mère. Elle s’est assise devant elle, sa chatte sous le nez. Visiblement, elle voulait se faire brouter le minou…
Courbée en deux, la vieille a tout de suite compris, et enfourné sa langue dans le sexe trempé de sa fille. Elle y allait de bon cœur, Sandy jouit une première fois.. Mais sa mère continuait quand même, tant elle aimait la mouille de sa fille… Quelle salope, celle-là !
Quant à moi, je sortais de temps en temps ma queue de son con, pour la frotter contre sa rondelle. En suffoquant à moitié, Janine me dit : « Oh oui, Chris, mets-là moi profond ! Encule-moi à fond ! »
A ces mots, Sandy ouvrit des yeux comme des soucoupes. Moi, je ne perdais pas le nord. Je mouillais la rondelle avec de la salive. Quand elle fut bien lubrifiée, je m’enfonçais en elle. Pour une première, elle s’ouvrait bien, la chienne !
Elle a écrasé son visage en sueur dans le minou de ma femme. Elle lui disait des cochonneries, pour s’exciter encore plus. Moi, je m’enfonçais de plus en plus dans l’étroit conduit. Bon sang, que c’était bon, de se sentir serré à mort. Je l’enculais plus vite, quand elle s’est cabrée d’un coup. Elle a crié très fort : « Vas-y mon fils, encule-moi bien à fond ! »
Puis elle a replongé sa langue dans la chatte de ma femme. Sandy n’arrêtait plus de jouir. Nous étions tous les trois en transe. Du sexe brut, hard, non conventionnel… Jamais je n’aurais imaginé cela…
La vieille serrait si fort sa rondelle que je n’arrivais presque plus à la baiser. Elle empêchait mes va et vient. Elle jouissait du cul sans fin. Moi, je n’en pouvais plus. J’ai lâché ma purée à gros jets dans ses intestins. Je lui donnais de grands coups de queue, pour lu faire mal. Je sais qu’elle aime ça, cette garce.
J’ai fini par me retirer de son cul. Janine avait le visage plein de la cyprine de sa fille. Sandy restait à demi assise, les jambes grandes ouvertes. Je voyais dans les yeux de ma belle-mère qu’elle avait aimé ca…
A ce moment-là, ma femme a vu le cul de sa mère, ultra dilaté.
« Mais Chris, tu l’as enculée ! Tu es un salaud !
- Non ma fille, c’est moi qui lui ai dit... ton mari est un bon baiseur, tu sais… »
Moi, je ne pouvais plus répondre, j’étais trop essoufflé.
Janine a alors pris ma bite molle dans sa main, et a commença à me caresser.
« Mhumm, en voilà une bonne bite, je l’aime trop…
- Maman, tu coules du cul, le foutre de Chris sort de toi…
- Pas grave, je suis trop occupée. Dis ma salope, viens lécher cette bite d’amour…
- Ca ne va pas, Maman ! Elle sort de ton cul ! Je ne peux pas ! »
Alors, sa mère lui a enfoncé de son autre main trois doigts dans la chatte, et deux dans le cul. Sandy a crié de douleur. La vielle nous masturbait tous les deux, à grande vitesse. Je n’ai jamais vu une telle bête de sexe !
Elle a lâché la chatte de ma femme, pour mieux me branler, puis elle a enfourné ma bite dans sa bouche. J’étais debout, mes couilles venaient heurter son menton. Elle me pompait comme une folle, avalant toute ma bite. Je sentais ses lèvres contre mon bas-ventre.
A bout de résistance, je balançais mon foutre dans sa gorge. Sandy jouit aussi, car elle continuait de se branler d’une main, et de bourrer sa mère de l’autre. Les deux femmes ont joui presqu’ensemble. Nous sommes retombés épuisés, sur le tapis.
Quelques minutes plus tard, nous sommes allés nous laver, et nous coucher.
Quelle soirée de rêve !!!
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